Tocane-Saint-Apre
Tocane-Saint-Apre est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.
Tocane-Saint-Apre | |||||
Le bourg de Tocane-Saint-Apre. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Dordogne | ||||
Arrondissement | Périgueux | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Périgord Ribéracois | ||||
Maire Mandat |
Pierre Janaillac 2020-2026 |
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Code postal | 24350 | ||||
Code commune | 24553 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Tocanais, Tocanaise | ||||
Population municipale |
1 716 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 53 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 15′ 19″ nord, 0° 29′ 50″ est | ||||
Altitude | Min. 68 m Max. 232 m |
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Superficie | 32,35 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Brantôme en Périgord | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Géographie
Généralités
La commune de Tocane-Saint-Apre, entièrement située en rive gauche de la Dronne, principal affluent de l'Isle, comprend également plusieurs îles au milieu de la Dronne.
Son altitude minimale, 68 mètres, se situe au nord-ouest de la commune, à la pointe occidentale de l'île de Bressol, là où la Dronne quitte la commune pour entrer sur celle de Douchapt. Le point culminant, 232 mètres, se trouve au sud-est, au château d'eau de La Cipierre, à une centaine de mètres de la limite avec les communes de Mensignac et Saint-Aquilin.
Le bourg de Tocane-Saint-Apre est situé, en distances orthodromiques, 13 kilomètres à l'est de Ribérac et 20 kilomètres à l'ouest-nord-ouest de Périgueux, au croisement des routes départementales 78, 103 et 710 (l'ancienne route nationale 710).
La commune est également desservie au sud par la route départementale 109.
Communes limitrophes
Tocane-Saint-Apre est limitrophe de huit autres communes dont Saint-Victor au nord-ouest sur environ 250 mètres et de Segonzac au sud-ouest sur 360 mètres.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Martin Rib. », sur la commune de Saint-Martin-de-Ribérac, mise en service en 1993[7] et qui se trouve à 11 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,3 °C et la hauteur de précipitations de 914,3 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988 et à 45 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[11], à 13,1 °C pour 1981-2010[12], puis à 13,3 °C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Tocane-Saint-Apre est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[14],[15],[16]. La commune est en outre hors attraction des villes[17],[18].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (65,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (66,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (38,4 %), forêts (25,3 %), terres arables (15,8 %), prairies (11,7 %), zones urbanisées (5,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,7 %)[19].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Prévention des risques
Un plan de prévention du risque inondation (PPRI) a été approuvé en 2014 pour la Dronne — qui borde la commune au nord — à Tocane-Saint-Apre, impactant ses rives, pouvant atteindre une largeur de 700 mètres au sud du Moulin du Pont, ainsi que la partie aval de son affluent le Sauvagnac (les 900 derniers mètres)[20],[21].
Villages, hameaux et lieux-dits
- Barra sur Dronne
- Beauséjour
- Bel-Air
- Belle Étoile
- Bonas
- Bos du Puy
- Bourgogne
- Brouillaud
- Chargnac
- Charleroix
- Château de Fayolle
- Chazelas
- Combenègre
- Courtaudie
- Fayolle
- Fouillarge
- Fourmieux
- Gandy
- Grands Champs
- Grange Neuve
- Jauzet
- la Beylie
- la Boissière
- la Borie
- la Chabane
- la Chauprade
- la Cipierre
- la Clavelie
- la Côte
- la Filolie
- la Filolie de Gandy
- la Font du Sable
- la Gatine
- la Grange
- la Jarrige
- la Lande
- la Martinie
- la Ponchetie
- la Quintinie
- la Serve
- la Trépinie
- la Vaurelie
- Lagorce
- Larue
- Lavalade
- Lavergne
- le Bouquet
- le Brandeau
- le Château Jalet
- le Clos de Palus
- le Jarrigeal
- le Moulin de Bonas
- le Moulin de Bressol
- le Moulin de Lavalade
- le Moulin de Salles
- le Parc de Fayolle
- le Plantier
- le Rieumançon
- le Treuil
- les Charroufeix
- les Combes
- les Gacheries
- les Garennes
- les Grandes Terres
- les Grèzes
- les Grillaudes
- les Peyronnies Basses
- les Peyronnies Hautes
- les Piles
- les Plantes
- les Trémoulades
- les Trois Maisons
- les Vergnades
- l'Étang
- Lorraine
- Maison Neuve
- Manieux
- Margnac
- Maureloux
- Millard
- Montamas
- Notre-Dame de Perdux
- Palus
- Paymie
- Pebre
- Peymie
- Peyretoux
- Peyvie
- Plaisance
- Planchelorau
- Puy de Bout
- Puychauvet
- Puypinet
- Puyponchet
- Rieumançon
- Ruisseau des Planches
- Saint Apre
- Sermage
- Siove
- Tailleferie
- Tantaloup
- Tourate
- Vernodes
Histoire
Au XIVe siècle, une bastide appelée Tocane est fondée entre les bourgs de Sainte-Marie de Perdus et Saint-Apre de Perdus. Le plus ancien texte citant cette bastide date de 1309. Un texte de 1285 indique que les comtes de Périgord ont décidé d'installer des bastides dans leur comté[23]. Elle ne se développe pas mais dès le XVe siècle, le nom de Tocane remplace celui de Sainte-Marie de Perdus[24].
Les communes de Saint-Apre et Tocane fusionnent en 1852 sous le nom de Tocane-Saint-Apre. Ladite commune de Saint-Apre porta, au cours de la période révolutionnaire de la Convention nationale (1792-1795), le nom de Barra-sur-Dronne[25].
Politique et administration
Administration municipale
La population de la commune étant comprise entre 1 500 et 2 499 habitants au recensement de 2017, dix-neuf conseillers municipaux ont été élus en 2020[26],[27].
Maires de Saint-Apre
Maires de Tocane puis de Tocane-Saint-Apre
Juridictions
Dans le domaine judiciaire, Tocane-Saint-Apre relève[33] :
- du tribunal judiciaire, du tribunal pour enfants, du conseil de prud'hommes, du tribunal de commerce et du tribunal paritaire des baux ruraux de Périgueux ;
- de la cour d'appel de Bordeaux.
Démographie
Jusqu'en 1852, les communes de Saint-Apre et de Tocane étaient indépendantes.
Démographie de Saint-Apre
Démographie de Tocane, puis de Tocane-Saint-Apre
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués depuis 1793 à Tocane, puis à Tocane-Saint-Apre. En 1852, Saint-Apre fusionne avec Tocane qui devient Tocane-Saint-Apre.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[35].
En 2018, la commune comptait 1 716 habitants[Note 7], en augmentation de 2,88 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,84 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Économie
Emploi
En 2015[38], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 647 personnes, soit 38,8 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (82) a augmenté par rapport à 2010 (72) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 12,7 %.
Établissements
Au , la commune compte 179 établissements[39], dont 88 au niveau des commerces, transports ou services, trente-deux relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, vingt-huit dans la construction, dix-huit dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, et treize dans l'industrie[40].
Entreprises
Dans le secteur agroalimentaire, parmi les entreprises dont le siège social est en Dordogne, la « SARL des établissements Delord et fils » (exploitation forestière), implantée à Tocane-Saint-Apre, se classe en 11e position en termes de chiffre d'affaires hors taxes en 2015-2016, avec 9 599 k€[41]. Tous secteurs confondus parmi les entreprises de la Dordogne ayant leur siège social dans le département, elle se classe 23e, en termes de chiffre d'affaires à l'exportation en 2015-2016 avec 2 236 k€[42].
La scierie Delord, créée en 1933, emploie 43 personnes dont 31 à Tocane-Saint-Apre[43].
Culture locale et patrimoine
Patrimoine civil
- Château de Beauséjour, XVe ou XVIe siècle[44].
- Château de Fayolle, XVIIIe et XIXe siècles, inscrit aux monuments historiques depuis 1969 pour ses façades, ses toitures et son parc[45], propriété privée. Marquisat héréditaire érigé en 1724 par décision du Roi Louis XV, avec semble-t-il justice seigneuriale jusqu'à la paroisse de Tocane. L'actuel marquis de Fayolle sera le dernier de sa lignée et le titre sera éteint à son décès.
- Pigeonnier du château de Fayolle.
- Château de Lavalade, XVIe et XVIIIe siècles[46].
- Ruines du château de Vernode dont le donjon est classé monument historique depuis 1886[47].
- Hôtel Paradol, XVe siècle, transformé en bibliothèque et musée[48] (Musée du costume et de son artisanat).
- Hôtel de Fayolle, XVe siècle.
- Hôtel de la Filolie, XVIIe siècle.
- Dolmen de Margot, appelé aussi dolmen de Palus, au sud-ouest de la commune, vestige d'un dolmen angoumoisin dont il ne subsiste plus que trois orthostates et la table de couverture (4,50 m de long pour 0,80 m d'épaisseur) en grès ferrugineux[49].
- Piste ULM du Pas de l'Aze.
Le château de Fayolle. Les ruines du donjon de Vernode. L'hôtel Paradol. Dolmen de Margot, la Pierre levée.
Patrimoine religieux
- Église Notre-Dame-de-la-Nativité, XIXe siècle, de style néo-roman[50].
- Chapelle Notre-Dame de Perdux, fin du XIXe siècle[51], en bordure de la Dronne.
L'église Notre-Dame-de-la-Nativité. Le portail de l'église. - Vitrail représentant saint Apre.
La chapelle Notre-Dame de Perdux. Croix de chemin près de la Musardière.
Patrimoine naturel
Au nord de la commune, la Dronne et sa vallée représentent une zone Natura 2000 : la « vallée de la Dronne de Brantôme à sa confluence avec l'Isle ». La rivière s'écoule dans un milieu principalement composé de prairies humides et de terres cultivées avec des zones de bocage. On y rencontre plusieurs espèces de poissons menacées ainsi que des écrevisses à pattes blanches (Austropotamobius pallipes) et des visons (Mustela lutreola)[52].
C'est également une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type 2[53],[54] protégée pour sa faune et sa flore spécifiques.
Patrimoine culturel
Depuis 1991, le village accueille chaque année en juillet, les « Rencontres musicales irlandaises de Tocane », festival de musique traditionnelle irlandaise de portée internationale qui se traduit par des concerts, un stage de quatre jours animé par des musiciens irlandais (flûte, tin whistle, violon, uilleann pipes, accordéon, concertina, banjo, chant, danse, etc.), et qui est l'occasion d'une forte activité musicale dans les bars du village dès l'après-midi et jusque tard dans la nuit[55].
Personnalités liées à la commune
- Eugène Le Roy (1836 - 1907), écrivain, fut percepteur à Tocane-Saint-Apre de 1863 à 1868[56] ;
- Alain de Fayolle (Tocane-Saint-Apre, - en Belgique, mort pour la France, ), sous-lieutenant français, Saint-Cyrien (promotion "de la Croix du Drapeau") ;
- Michel Debet (1944-2008), homme politique français est né à Tocane-Saint-Apre. Il est élu député le , pour la XIIIe législature, dans la 3e circonscription de la Dordogne.
Voir aussi
Bibliographie
- Annet Dubut, « À Tocane pendant la Révolution », dans Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, 1941, tome 68, p. 443-453 (lire en ligne)
- Arlette Higounet-Nadal, « La bastide comtale de Tocane », dans Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, 1975, tome 102, 2e livraison, p. 134-141 (lire en ligne)
- Pierre Pommarède, Tocane et Saint-Apre oubliés, tome 1 Les racines, Tocane, Fanlac, Périgueux, 1987, (ISBN 2-86577-111-3)
- Pierre Pommarède, Tocane et Saint-Apre oubliés, tome 2 Saint-Apre, Fanlac, Périgueux, 1996, (ISBN 2-86577-183-0)
Articles connexes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Démissionnaire.
- Décédé durant la mandature.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Saint-Martin Rib. - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Tocane-Saint-Apre et Saint-Martin-de-Ribérac », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Saint-Martin Rib. - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Tocane-Saint-Apre et Bergerac », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- PPR inondation - 24DDT20120001 - Dronne, DREAL Aquitaine, consulté le 14 avril 2019.
- [PDF] Rivière la Dronne - Tocane-Saint-Apre - Plan de prévention du risque inondation, p. 17, DREAL Aquitaine, consulté le 14 avril 2019.
- Le nom occitan des communes du Périgord sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le 21 avril 2014.
- Arlette Higounet-Nadal, « La bastide comtale de Tocane ».
- Notice no IA24000724, base Mérimée, ministère français de la Culture. Consulté le 26 octobre 2009
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Saint-Apre », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
- Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 16 septembre 2020.
- Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 26 novembre 2020.
- Pierre Pommarède, Tocane et Saint-Apre oubliés, t. 2, Fanlac, Périgueux, 1996, p. 225.
- Période 1800-1879 : Pierre Pommarède, Tocane et Saint-Apre oubliés, tome 1 Les racines, Tocane, Fanlac, Périgueux, 1987, p. 179 - Période 1881-1981 : registres de délibérations communales consultés en mairie le 4 octobre 2009.
- « Voici vos 557 maires », édition spéciale de Sud Ouest du 3 avril 2008, p. 15.
- « Pierre Janaillac, nouveau magistrat », Sud Ouest édition Dordogne/Lot-et-Garonne, , p. 15.
- https://programme-candidats.interieur.gouv.fr/elections-departementales-2021/data-pdf-propagandes/1-24-03-3.pdf
- « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- Dossier complet - Commune de Tocane-Saint-Apre (24553) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 4 février 2019.
- « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
- Dossier complet - Commune de Tocane-Saint-Apre (24553) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 4 février 2019.
- « Agroalimentaire », Sud Ouest éco & entreprises édition Dordogne, novembre 2017, p. 34.
- « Export », Sud Ouest éco & entreprises édition Dordogne, novembre 2017, p. 33.
- Philippe Christophe, « Un avenir en chêne », Sud Ouest édition Dordogne, 9 mai 2014, p. 11.
- « Maison forte dite château de Beauséjour », notice no IA24000381, base Mérimée, ministère français de la Culture. Consulté le 7 octobre 2009
- « Inscription du château de Fayolle », notice no PA00083021, base Mérimée, ministère français de la Culture. Consulté le 17 septembre 2009
- « Manoir dit château de Lavalade », notice no IA24000371, base Mérimée, ministère français de la Culture. Consulté le 7 octobre 2009
- « Classement du donjon de Vernode », notice no PA00083022, base Mérimée, ministère français de la Culture. Consulté le 17 septembre 2009
- « Hôtel Paradol », notice no IA24000383, base Mérimée, ministère français de la Culture. Consulté le 7 octobre 2009
- Alain Beyneix, Monuments mégalithiques en Aquitaine, Saint-Cyr-sur-Loire, Éditions Alan Sutton, , 96 p. (ISBN 978-2-84910-957-1), p. 77.
- « Église Notre-Dame de la Nativité », notice no IA24000373, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 26 mai 2017.
- « Chapelle Notre-Dame de Perdux », notice no IA24000375, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 26 mai 2017.
- Vallée de la Dronne de Brantôme à sa confluence avec l'Isle sur le réseau Natura 2000. Consulté le 26 octobre 2009
- [PDF] « DIREN Aquitaine - Zone bocagère de la vallée de la Dronne de l'embouchure à Épeluche »(Archive • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?). Consulté le 26 octobre 2009
- « Carte de la ZNIEFF 2678 sur le site de la DIREN Aquitaine »(Archive • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?). Consulté le 26 octobre 2009
- Les rencontres musicales de Tocane, consulté le 19 juillet 2013.
- Francis Lacoste, Eugène Le Roy, périgourdin : un romancier militant et sa province, p. 14-16, Presses universitaires de Bordeaux, 1985, (ISBN 978-2-86781-019-0).
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