Grand-Brassac
Grand-Brassac est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.
Grand-Brassac | |||||
Le village de Grand-Brassac. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Dordogne | ||||
Arrondissement | Périgueux | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Périgord Ribéracois | ||||
Maire Mandat |
Philippe Boismoreau 2020-2026 |
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Code postal | 24350 | ||||
Code commune | 24200 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
539 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 17 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 17′ 39″ nord, 0° 28′ 43″ est | ||||
Altitude | Min. 73 m Max. 211 m |
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Superficie | 31,74 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Brantôme en Périgord | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Géographie
Localisée au nord-ouest du département de la Dordogne, la commune de Grand-Brassac est arrosée à l'est par la Dronne, et, sur quelques dizaines de mètres, par son affluent l'Euche au niveau de leur confluence.
L'altitude minimale, 73 mètres, se situe à l'est, là ou la Dronne quitte la commune et continue à s'écouler sur celle de Lisle. Le point culminant avec 211 mètres se trouve en deux endroits, au nord-ouest, au lieu-dit le Colombier[1] et à environ un kilomètre à l'est du bourg de Grand-Brassac[2]
Établi dans un vallon et desservi par la route départementale 1, le bourg de Grand-Brassac est situé, en distances orthodromiques, douze kilomètres à l'est-nord-est de Ribérac et quinze kilomètres à l'ouest-sud-ouest de Brantôme.
La commune est également traversée par les routes départementales 93 et 103.
Communes limitrophes
Grand-Brassac est limitrophe de onze autres communes, dont Creyssac et Bourdeilles à l'est, chacune sur environ 160 mètres.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[5]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « La Tour Blanche », sur la commune de La Tour-Blanche-Cercles, mise en service en 1967[9] et qui se trouve à 8 km à vol d'oiseau[10],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 12,3 °C et la hauteur de précipitations de 964,3 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988 et à 49 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[13], à 13,1 °C pour 1981-2010[14], puis à 13,3 °C pour 1991-2020[15].
Urbanisme
Typologie
Grand-Brassac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[16],[17],[18]. La commune est en outre hors attraction des villes[19],[20].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (71,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (71 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (33,5 %), terres arables (31,7 %), forêts (27,7 %), prairies (6,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,9 %)[21].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Prévention des risques
Un plan de prévention du risque inondation (PPRI) a été approuvé en 2014 pour la Dronne — qui borde la commune en deux tronçons à l'est puis au sud-est — à Grand-Brassac, impactant ses rives jusqu'à une largeur pouvant dépasser 450 mètres au sud-est du lieu-dit Corneguerre, ainsi que la partie aval de son affluent l'Euche[22],[23].
Toponymie
Le nom de Brassac viendrait d'un nom de personnage gaulois Biracius et du suffixe -acum, indiquant le « domaine de Biracius »[24]. Les premières mentions écrites du village remontent au XIIIe siècle sous la forme Brassacum puis « Brassac » au siècle suivant[24]. Sous le règne de Louis XV, il prend le nom de « Le Grand Brassac » pour le différencier d'un autre village situé 20 kilomètres à l'ouest et également appelé « Brassac ». Ce dernier est transformé pour l'occasion en « Petit Brassac », avant de devenir Petit-Bersac[25].
En occitan, la commune porte le nom de Braçac[26].
Sur la planète Mars, en , la cible d'analyses poussées effectuées sur une crête rocheuse par l'astromobile Curiosity de la NASA, est baptisée d'après la commune[27]. Cette cible baptisée Grand Brassac est analysée à nouveau en [28],[29].
Histoire
Le territoire communal est occupé dès le Magdalénien, notamment en bord de Dronne dans la grotte de Rochereuil.
La construction de l'église fortifiée commence au milieu du XIIe siècle[24].
Politique et administration
Administration municipale
La population de la commune étant comprise entre 500 et 1 499 habitants au recensement de 2017, quinze conseillers municipaux ont été élus en 2020[30],[31].
Liste des maires
Juridictions
Dans le domaine judiciaire, Grand-Brassac relève[34] :
- du tribunal judiciaire, du tribunal pour enfants, du conseil de prud'hommes, du tribunal de commerce et du tribunal paritaire des baux ruraux de Périgueux ;
- de la cour d'appel de Bordeaux.
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[36].
En 2018, la commune comptait 539 habitants[Note 6], en augmentation de 2,08 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,84 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Enseignement
Les communes de Grand-Brassac et Celles sont organisées en regroupement pédagogique intercommunal (RPI). Celles accueille les élèves de primaire et Grand-Brassac, ceux de maternelle.
Économie
Emploi
En 2015[39], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 231 personnes, soit 43,7 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (trente) a augmenté par rapport à 2010 (vingt-huit) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 13,0 %.
Établissements
Au , la commune compte cinquante-huit établissements[40], dont vingt-huit au niveau des commerces, transports ou services, quinze dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, sept dans la construction, cinq relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, et trois dans l'industrie[41].
Culture locale et patrimoine
Patrimoine civil
- Grotte de Rochereil (ou Rochereuil), site archéologique classé au titre des monuments historiques depuis 1952[42],[43]
- Château du Bouchillon, XIXe siècle[44]
- Château de Marouatte (ou Marouate, Maroite ou Maroitte), XIIIe au XIXe siècle[45]
- Château de Montardy, XIVe, XVIIIe et XIXe siècles, inscrit depuis 2001 au titre des monuments historiques[46], extérieurs visitables
L'intérieur de l'abri de Rochereuil. Le château du Bouchillon. Le château de Marouatte. Le château de Montardy.
Patrimoine religieux
- Église Saint-Pierre-et-Saint-Paul, romane[47], église à file de coupoles construite du XIIe au XVIe siècle. Pour servir de refuge aux villageois furent installés, dès le XIIIe siècle, les dispositifs fortifiés qui apparaissent encore aujourd'hui : créneaux, galeries de défense, ouvertures très étroites ressemblant plus à des meurtrières qu'à des fenêtres. Elle est classée au titre des monuments historiques depuis 1885[48]
- Ancien couvent de sœurs de la congrégation de Saint-Joseph, XVIe et XVIIIe siècles[49], au sud-ouest de l'église
L'église Saint-Pierre-et-Saint-Paul. Coupoles de l'église. Détail des sculptures du portail nord. L'ancien couvent de
sœurs de la congrégation
de Saint-Joseph.
Patrimoine naturel
Bordée par la Dronne, la commune représente un grand intérêt pour la faune et la flore locales. Des zones de protection y sont donc délimitées.
Natura 2000
Deux sites Natura 2000 sont identifiés sur le territoire communal.
À l'est, la Dronne et sa vallée sont considérées comme site important par le réseau Natura 2000 : la « vallée de la Dronne de Brantôme à sa confluence avec l'Isle ». La rivière s'écoule dans un milieu principalement composé de prairies humides et de terres cultivées avec des zones de bocage. On y rencontre plusieurs espèces de poissons menacées ainsi que des écrevisses à pattes blanches (Austropotamobius pallipes) et des visons (Mustela lutreola)[50].
Les coteaux de la Dronne à dominante de pelouses sèches et de steppes calcicoles présentent de nombreuses espèces d'orchidées terrestres[51].
Site remarquable
En bordure de la Dronne, les amas rocheux face au moulin de Rochereil (ou Rochereuil) sont un site inscrit depuis 1936[52].
ZNIEFF
Toujours en relation avec la Dronne, la commune présente deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type II qui se succèdent :
- en amont, la vallée de la Dronne allie l'humidité à une variété de sites qui alternent, au fil des méandres successifs, des endroits ombragés puis lumineux ainsi que des zones escarpées puis planes. Elle est protégée pour sa flore spécifique, comprenant notamment de nombreuses variétés de fougères[53],[54].
Personnalités liées à la commune
- Joseph Baurac (1834-?), propriétaire du château du Bouchillon et maire de la commune de 1881 à 1892, est l'inventeur d'un procédé pour guérir les vignes[57].
- Jean-Pierre de Marguerittes (1882-1958), commandant du 74e régiment d'artillerie, résistant en Dordogne puis en région parisienne, curé de Grand-Brassac en 1955[58].
- Maurice Brianchon (1899-1979), peintre.
Voir aussi
Articles connexes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Démissionnaire.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- « Le Colombier » sur Géoportail (consulté le 31 août 2011)..
- « Altitude 211 » sur Géoportail (consulté le 31 août 2011)..
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France La Tour Blanche - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Grand-Brassac et La Tour-Blanche-Cercles », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France La Tour Blanche - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Grand-Brassac et Bergerac », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
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- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
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- Chantal Tanet et Tristan Hordé, Dictionnaire des noms de lieux du Périgord, p. 169, éditions Fanlac, 2000, (ISBN 2-86577-215-2).
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- (en) Susanne Schwenzer, Sol 3056-3057: Perched on top…, NASA Science, Mars Exploration Program, , consulté le .
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- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- Dossier complet - Commune de Grand-Brassac (24200) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 24 novembre 2018.
- « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
- Dossier complet - Commune de Grand-Brassac (24200) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 24 novembre 2018.
- « Gisement préhistorique de Rochereil ou Rochereuil », notice no PA00082569, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 13 janvier 2012.
- Alain Roussot, Jacques Delsol, « Un galet gravé de Rochereil commune de Grand Brassac (Dordogne) », dans Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, 1970; tome 97, 3e livraison, p. 174-185 (lire en ligne)
- « Château du Bouchillon », notice no IA24000445, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 31 août 2011.
- « Château fort de Marouate », notice no IA24000442, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 13 janvier 2012.
- « Château de Montardy », notice no PA24000032, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 31 août 2011.
- M. de Fayolle - Église de Grand-Brassac - pp.363-375, dans Congrès archéologique de France. 90e session. Périgueux. 1927 - Société Française d'Archéologie - Paris - 1928
- « Église Saint-Pierre-et-Saint-Paul », notice no PA00082568, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 31 août 2011.
- « Couvent de sœurs de la congrégation de Saint-Joseph, actuellement maison », notice no IA24000465, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 31 août 2011.
- [PDF] - Vallée de la Dronne de Brantôme à sa confluence avec l'Isle sur le site de l'INPN, consulté le 14 février 2015.
- [PDF] FR7200670 - Coteaux de la Dronne sur le site de l'INPN, consulté le 14 février 2015.
- [PDF] Rochers de Rocherel sur le site de la DREAL Aquitaine, consulté le 14 février 2015.
- [PDF] Vallée de la Dronne de l'Isle à Brantôme, sur le site de l'INPN, consulté le 14 février 2015.
- Carte de la ZNIEFF 720012853 sur le site de la DREAL Aquitaine, consulté le 14 février 2015.
- [PDF] Zone bocagère de l'embouchure à Épeluche, sur le site de l'INPN, consulté le 14 février 2015.
- Carte de la ZNIEFF 720012852 sur le site de la DREAL Aquitaine, consulté le 14 février 2015.
- Guy Penaud, Dictionnaire biographique du Périgord, éditions Fanlac, 1999, (ISBN 2-86577-214-4), p. 81.
- Guy Penaud, Dictionnaire biographique du Périgord, éditions Fanlac, 1999, (ISBN 2-86577-214-4), p. 642-643.
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