Allemans (Dordogne)
Allemans est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.
Allemans | |||||
L'église d'Allemans. | |||||
Blason |
|||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Dordogne | ||||
Arrondissement | Périgueux | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Périgord Ribéracois | ||||
Maire Mandat |
Allain Tricoire 2020-2026 |
||||
Code postal | 24600 | ||||
Code commune | 24007 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Allemansois | ||||
Population municipale |
507 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 27 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 17′ 18″ nord, 0° 18′ 37″ est | ||||
Altitude | Min. 47 m Max. 167 m |
||||
Superficie | 18,75 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Ribérac (commune de la couronne) |
||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Ribérac | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
| |||||
Liens | |||||
Site web | allemans.fr | ||||
Géographie
Communes limitrophes
La commune est limitrophe de huit autres communes, dont une en Charente. À l'ouest, son territoire est distant de moins de 400 mètres de celui de Petit-Bersac.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
|
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Martin Rib. », sur la commune de Saint-Martin-de-Ribérac, mise en service en 1993[7] et qui se trouve à 7 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,3 °C et la hauteur de précipitations de 914,3 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988 et à 50 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[11], à 13,1 °C pour 1981-2010[12], puis à 13,3 °C pour 1991-2020[13].
Milieux naturels et biodiversité
Dans leur traversée de la commune, la Lizonne et sa vallée[14] font partie d'une zone du réseau Natura 2000 « Vallée de la Nizonne » avec vingt espèces animales inscrites à l'annexe II de la directive 92/43/CEE de l'Union européenne[15] :
- sept insectes : l'Agrion de Mercure (Coenagrion mercuriale), l'Azuré de la sanguisorbe (Phengaris teleius), la Cordulie à corps fin (Oxygastra curtisii), le Cuivré des marais (Lycaena dispar), le Damier de la succise (Euphydryas aurinia), le Fadet des laîches (Coenonympha oedippus) et le Gomphe de Graslin (Gomphus graslinii) ;
- dix mammifères : la Loutre d'Europe (Lutra lutra), le Vison d'Europe (Mustela lutreola), et huit chauves-souris : la Barbastelle d'Europe (Barbastella barbastellus), le Grand murin (Myotis myotis), le Grand rhinolophe (Rhinolophus ferrumequinum), le Minioptère de Schreibers (Miniopterus schreibersii), le Murin à oreilles échancrées (Myotis emarginatus), le Murin de Bechstein (Myotis bechsteinii), le Petit murin (Myotis blythii) et le Petit rhinolophe (Rhinolophus hipposideros) ;
- deux poissons : le Chabot fluviatile (Cottus perifretum) et la Lamproie de Planer (Lampetra planeri) ;
- un reptile : la Cistude (Emys orbicularis).
Urbanisme
Typologie
Allemans est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[16],[17],[18].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Ribérac, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 24 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[19],[20].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (88,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (41,5 %), terres arables (32,1 %), prairies (14,7 %), forêts (11,7 %)[21].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Villages, hameaux et lieux-dits
Outre le bourg d'Allemans proprement dit, le territoire se compose d'autres villages ou hameaux, ainsi que de lieux-dits[22] :
- le Bazat
- Bellevue
- Chez Bidou
- le Bonneval
- les Bordes
- Chez Bosviel
- la Boucherie
- les Bûches
- Chez Buret
- Chaufour
- Cheytout
- le Clapier
- le Claud
- les Combes
- la Cotte
- la Coutencie
- la Croix Blanche
- Croix de chez Chaloupy
- la Croix de la Chapelle
- Croix de Sainte-Valérie
- la Crousie
- le Durbet
- les Épinets
- la Font du Moulin
- le Galet
- la Ganne
- le Gélibert
- la Grande Borie
- les Jaures
- les Jouberties
- Larmalie
- Chez Lambrelin
- Lémérégie
- Leytérie
- la Lunerie
- le Maine du Bost
- le Mas
- Meynard
- le Meynieux
- les Michelies
- la Montagne
- Moulin du Pontet
- le Moutat
- Chez Naudy
- la Paquie
- le Péragu
- le Pigou
- les Plantes
- Plantivel
- le Poirier
- le Pontet
- le Porboutou les Brandes
- le Porboutou la Gabarre
- Chez le Prieur
- Puy de Beaumont
- Puycheyrou
- le Puylotte
- Chez Raynaud
- Chez Redon
- la Reyssie
- Chez Richard
- la Rigaudie
- la Rivière
- Rodesol
- le Roulet
- Chez Rouchou
- Chez Rouzou
- Savignac
- le Siette
- Chez Vignaud
- les Vigneries.
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous sa forme occitane Alamans en 1350[23] et en 1382[24], Allemani en 1360.
Le nom d'Allemans se réfère au peuple germanique des Alamans[25].
Histoire
Le territoire communal a été occupé au Paléolithique[25].
La première mention écrite connue du lieu apparait au XIIIe siècle sous la forme, Allamans, suivie au siècle suivant de la forme latine Allemani, puis d'Alamans[25].
Le , des soldats allemands de la division Brehmer arrêtent à Ribérac un luthier, le conduisent à Allemans, au lieu-dit la Boucherie, chez un couple de métayers qui exploitent une ferme dont il est le propriétaire[27]. Celle-ci ayant abrité des réfractaires au STO, les Allemands la fouillent de fond en comble avant de fusiller dans la cave le propriétaire et son métayer, puis d'incendier la ferme, laissant en vie la femme du métayer[27].
Le , une météorite tombe en partie sur la commune. On en retrouvera huit fragments pour un total de 271 kg, répartis entre Villetoureix et Saint-Séverin, dont cinq à Allemans, près de Chaufour (57,6 kg), le Porboutou-la Gabarre (45 kg), les Plantes (27,2 kg), le Durbet (19,9 kg) et Leytérie (2,7 kg)[28].
Politique et administration
Administration municipale
La population de la commune étant comprise entre 500 et 1 499 habitants au recensement de 2017, quinze conseillers municipaux ont été élus en 2020[29],[30].
Liste des maires
Juridictions
Dans le domaine judiciaire, Allemans relève[34] :
- du tribunal judiciaire, du tribunal pour enfants, du conseil de prud'hommes, du tribunal de commerce et du tribunal paritaire des baux ruraux de Périgueux ;
- de la cour d'appel de Bordeaux.
Jumelages
La commune d'Allemans est jumelée avec la commune italienne de Fontanetto Po depuis 1988, de même que l'ensemble des communes de l'ancien canton de Verteillac[35].
Depuis 1998, l'équipe de football d'Allemans est jumelée avec celle du Victoria Tus de Rietberg en Allemagne[36].
Démographie
Les habitants d'Allemans se nomment les Allemansois[37].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[39].
En 2018, la commune comptait 507 habitants[Note 7], en diminution de 11,98 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,84 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Économie
Emploi
En 2015[42], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 226 personnes, soit 41,8 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (vingt-six) a augmenté par rapport à 2010 (vingt-quatre) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 11,4 %.
Établissements
Au , la commune compte cinquante-huit établissements[43], dont vingt-trois au niveau des commerces, transports ou services, seize dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, huit dans la construction, six relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, et cinq dans l'industrie[44].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Château du Meynard, XIXe siècle
- Château de la Rigaudie, XIXe siècle
- Panorama de la croix de la Chapelle (calvaire indiquant l'emplacement de l'ancienne chapelle Saint-Roch)
- L'église Saint-Pierre-aux-Liens, avec son clocher caractéristique style Paul Abadie, architecte des cathédrales de Périgueux et d'Angoulême, date des XIIe et XVe siècles. Elle est inscrite monument historique depuis 1926[45]
- Le manoir du Lau, dit le Presbytère, est situé au bourg au pied de l'église. Il a été érigé au XVIe siècle par la famille du Lau d'Allemans et possède une tour octogonale[46]. Après avoir servi de presbytère, il devient propriété de la commune en 1905 et sert successivement de logement pour l'institutrice, de cantine scolaire, puis est transformé en logements sociaux jusqu'en 2002[47],[48]. Créée en 2015, une association pour sa sauvegarde en prévoit la restauration, aidée par la Fondation du patrimoine[47],[48]. Lors de la Seconde Guerre mondiale, il a été réquisitionné par les Allemands pour leur servir de cantonnement[47],[48].
L'église Saint-Pierre-aux-Liens et son clocher-porche. Le manoir du Lau. Le château du Meynard : tour-logis.
Personnalités liées à la commune
- Maxence Bibié (1891-1950), homme politique, né à Allemans.
- Élie Dupeyrat (1840-1930), né le à Savignac d'Allemans. « Musicien, professeur, compositeur, vendeur et réparateur d'instruments de musique », « il ouvre en 1873 […] sa propre maison d'édition de musique » et devient, « autour des années 1900, l'un des plus importants éditeurs de musique populaire en France »[49],[50].
- Joseph Morand (1757-1813), général de la Révolution et du Ier Empire, né à Allemans, mort au champ d'honneur à Boizenburg.
Voir aussi
Articles connexes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Décédé en fonctions.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Saint-Martin Rib. - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Allemans et Saint-Martin-de-Ribérac », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Saint-Martin Rib. - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Allemans et Bergerac », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- Carte du site FR7200663, INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
- [PDF] FR7200663 - Vallée de la Nizonne, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- « Allemans » sur Géoportail (consulté le 30 janvier 2021)..
- Signalé par l'abbé Lespine
- Ernest Nègre - Toponymie générale de la France - Volume 2 - Page 735 - (ISBN 2600001336).
- Chantal Tanet et Tristan Hordé, Dictionnaire des noms de lieux du Périgord, éditions Fanlac, 2000, (ISBN 2-86577-215-2), p. 28.
- Le nom occitan des communes du Périgord sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le 30 janvier 2014.
- Guy Penaud, Les crimes de la Division « Brehmer », éditions la Lauze, mars 2004, (ISBN 2-912032-65-2), p. 116.
- [PDF] Jean Orcel, Benjamin David, François Kraut, Daniel Nordemann, Jacques Tobailem, Météorite de Saint-Séverin, t. 264, Comptes-rendus de l'Académie des sciences de Paris, (lire en ligne), p. 1556-1560.
- Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 27 août 2020.
- Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 22 octobre 2020.
- né le 8 juin 1844 (archives départementales de la Dordogne, naissances à Allemans en 1844, p. 5, acte no 17),
décédé le 2 octobre 1894 (archives départementales de la Dordogne, décès à Allemans en 1894, p. 6, acte no 21). - « L’ancien boulanger a fêté ses 100 ans », Sud Ouest, 10 juin 2013.
- Voici vos 557 maires, supplément à Sud Ouest édition Dordogne du 3 avril 2008, p. 19.
- « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
- Jean-Louis Savignac, « Les 30 bougies du jumelage franco-italien », Sud Ouest édition Périgueux, 27 avril 2018, p. 21.
- Bernard Gillibert, « Le jumelage footballistique a 20 ans », Sud Ouest édition Périgueux, 16 mai 2018, p. 20.
- Nom des habitants des communes françaises sur le site habitants.fr, consulté le 4 décembre 2016.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- Dossier complet - Commune d’Allemans (24007) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 4 août 2018.
- « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
- Dossier complet - Commune d’Allemans (24007) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 4 août 2018.
- « Église Saint-Pierre-aux-Liens », notice no PA00082318, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Manoir du Lau », notice no IA24000655, base Mérimée, ministère français de la Culture, Inventaire général du patrimoine culturel, consulté le 24 février 2016.
- manoir du Lau à Allemans sur le site de la Fondation du patrimoine, consulté le 24 février 2016.
- Bernard Gillibert, « Pour la sauvegarde du manoir », Sud Ouest édition Périgueux, 23 février 2016, p. 18.
- Bernard Gillibert, « Un musicien à l'honneur », Sud Ouest édition Périgueux, 3 février 2016, p. 20.
- Guy Penaud, Dictionnaire biographique du Périgord, Éditions Fanlac, 1999, (ISBN 2-86577-214-4), p. 340.
- Site officiel de la commune d'Allemans et Armorial de France
- Portail de la Dordogne
- Portail des communes de France