Palluaud

Palluaud est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Ne doit pas être confondu avec Palluau ou Palluau-sur-Indre.

Palluaud

L'église de Palluaud.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Angoulême
Intercommunalité Communauté de communes Lavalette Tude Dronne
Maire
Mandat
Michel Andreu
2020-2026
Code postal 16390
Code commune 16254
Démographie
Gentilé Palludéens
Population
municipale
224 hab. (2018 )
Densité 26 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 20′ 57″ nord, 0° 14′ 57″ est
Altitude Min. 57 m
Max. 191 m
Superficie 8,57 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Tude-et-Lavalette
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Palluaud
Géolocalisation sur la carte : Charente
Palluaud
Géolocalisation sur la carte : France
Palluaud
Géolocalisation sur la carte : France
Palluaud

    Géographie

    Localisation et accès

    Palluaud est une commune du Sud Charente, limitrophe du département de la Dordogne, située à 11 km au sud-est de Montmoreau et 34 km au sud d'Angoulême.

    Elle est aussi à km à l'ouest de Verteillac, 11 km au nord-est d'Aubeterre, 13 km au nord-ouest de Ribérac, 15 km au sud de Villebois-Lavalette, 18 km au nord-est de Chalais et 42 km de Périgueux[1].

    Le bourg est traversé par les routes départementales 17 (Villebois - Aubeterre) qui longe la rive gauche de la Lizonne, limite départementale, et la D 78, perpendiculaire, qui va à Montignac-le-Coq. La D 19 qui va en direction d'Angoulême au nord et Saint-Séverin et Aubeterre au sud, passe en limite de commune et longe la crête à l'ouest[2].

    La gare la plus proche est celle de Montmoreau, desservie par des TER à destination d'Angoulême et de Bordeaux.

    Hameaux et lieux-dits

    La commune compte un petit hameau, la Fresse ; au nord-ouest du bourg, et de nombreuses fermes[2].

    Communes limitrophes

    Carte de Palluaud et des communes avoisinantes.

    Palluaud est limitrophe de cinq autres communes dont deux dans le département de la Dordogne. Au sud-est, son territoire communal n'est distant que de 25 mètres de celui de Saint-Paul-Lizonne, également en Dordogne.

    Géologie et relief

    Le sol est en grande partie constitué d'un calcaire crayeux du Campanien commun à tout le Sud Charente (Crétacé supérieur).

    La vallée de la Lizonne à l'Est est occupée par des alluvions récentes du Quaternaire, limon mais aussi tourbe. Ce sont d'anciens marécages assainis par des peupleraies et canaux, et dont la terre est noire[3],[4],[5].

    Le bourg est situé à 77 m d'altitude, peu au-dessus de la Lizonne qui est à 62 m d'altitude. Le point culminant de la commune, 191 m, est à l'ouest, au château d'eau de Bel-Air, sur la crête élevée qui sépare la vallée de celle de la Tude. La commune est peu boisée, sauf sur la crête à l'ouest (bois de chênes et châtaigniers) et la vallée de la Lizonne (peupliers).

    Hydrographie

    La commune est située dans la vallée de la Lizonne, affluent de la Dronne, bassin de la Dordogne, et fait face au confluent de la Pude avec la Lizonne.

    Climat

    Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.

    ZNIEFF

    La Lizonne en amont du pont de la RD 78 à Palluaud.

    À Palluaud, la vallée de la Lizonne fait partie de la ZNIEFF de type II nommée « Vallées de la Nizonne, de la Tude et de la Dronne en Poitou-Charentes »[6],[7].

    Vingt-deux espèces déterminantes d'animaux y ont été répertoriées[6] :

    Vingt-neuf autres espèces animales (quatre mammifères et vingt-cinq oiseaux) y ont été recensées[6].

    Natura 2000

    Dans leur traversée de la commune, la Lizonne et sa vallée[8] font partie d'une zone du réseau Natura 2000 « Vallée de la Nizonne » avec vingt espèces animales inscrites à l'annexe II de la directive 92/43/CEE de l'Union européenne[9] :

    Urbanisme

    Typologie

    Palluaud est une commune rurale[Note 1],[10]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[11],[12]. La commune est en outre hors attraction des villes[13],[14].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (83,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (84,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (51,6 %), zones agricoles hétérogènes (32,1 %), forêts (16,3 %)[15].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Les formes anciennes sont Paludibus en 1110[16], Palueu en 1302, Paluello en 1363[17].

    L'origine du nom de Palluaud remonte au latin paludellum, c'est-à-dire palus qui signifie « marais » avec suffixe diminutif -ellum[18]. Le mot occitan palud dérive aussi directement du mot latin palus/udis[Note 2].

    Dialecte

    La commune est dans la partie occitane de la Charente qui en occupe le tiers oriental, et le dialecte est limousin[19]. Elle se nomme Palueu en occitan[20].

    Histoire

    Palluaud était, dès le Xe siècle, une possession de l'abbaye de Saint-Cybard. Au début du XIIe siècle, l'abbaye construisit une église et fonda un prieuré. En 1215 le comte d'Angoulême Aymar y ajouta de nouveaux domaines et le prieuré devient important.

    Le prieur était seigneur de la paroisse : il avait droit de haute, moyenne et basse justice sur tout son territoire. En 1450, les religieux de Brantôme lui ayant disputé ce droit sur certaines parties de la paroisse, il en appela au roi et obtint gain de cause. Plus tard en 1684 des lettres patentes lui confirmèrent ce droit, ainsi que de rétablir les fourches patibulaires.

    Le prieuré de Palluaud perdit la conventualité vers 1400, et le prieur cessa d'y résider. Dans la première moitié du XVIe siècle, le prieuré fut mis au régime de la commende[21].

    Au XVIe siècle, Palluaud a participé à la révolte des Pitauds contre la gabelle qui a secoué les provinces du Sud-Ouest : Saintonge, Bordelais, Angoumois[22].

    La Lizonne comportait plusieurs moulins qui ont fait partie des premières papeteries de France dès le début du XVIe siècle[23]. Le moulin de Négre-Mure (ou Negremus), moulin à drap (sans doute fait à partir de la laine des moutons), est converti en moulin à papier en 1516. Il dépendait du prieuré de Palluaud[24],[25].

    Les maisons prieurales furent détruites par les protestants lors des guerres de religion. En 1652, il n'en reste plus que quelques vestiges, dont une vieille tour, dite tour Prisonnière.

    En 1750, avec le consentement de l'abbé de Saint-Cybard, le prieuré de Palluaud fut uni au petit séminaire de Périgueux[21].

    Avant la Révolution, Philippe de Clairambeau était comte de Palluaud[26].

    Administration

    La mairie.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1970 2014 Marcel Lafaye SE Chef d'entreprise retraité
    2014 En cours Michel Andreu    

    Démographie

    Évolution démographique


    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[28].

    En 2018, la commune comptait 224 habitants[Note 3], en diminution de 6,28 % par rapport à 2013 (Charente : −0,48 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
    761560753726719662664702703
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    688699620622547530518504455
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    455427370352326328319268260
    1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015 2018
    264260273283290289247234224
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    Pyramide des âges à Palluaud en 2007 en pourcentage[31].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,7 
    90  ans ou +
    2,2 
    6,6 
    75 à 89 ans
    8,0 
    21,9 
    60 à 74 ans
    18,1 
    19,2 
    45 à 59 ans
    21,7 
    19,9 
    30 à 44 ans
    24,6 
    13,2 
    15 à 29 ans
    10,9 
    18,5 
    0 à 14 ans
    14,5 
    Pyramide des âges du département de la Charente en 2007 en pourcentage[32].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90  ans ou +
    1,6 
    8,2 
    75 à 89 ans
    11,8 
    15,2 
    60 à 74 ans
    15,8 
    22,3 
    45 à 59 ans
    21,5 
    20,0 
    30 à 44 ans
    19,2 
    16,7 
    15 à 29 ans
    14,7 
    17,1 
    0 à 14 ans
    15,4 

    Économie

    Agriculture

    La commune fait partie de l'aire d'origine contrôlée du Cognac « Bons Bois »[33] et de l'AOP Noix du Périgord[34].

    Équipements, services et vie locale

    Enseignement

    L'école est un RPI entre Montignac-le-Coq, Palluaud et Salles-Lavalette. Salles-Lavalette accueille l'école maternelle, et Montignac et Palluaud les écoles élémentaires, avec une classe unique chacune. Le secteur du collège est Montmoreau[35].

    Lieux et monuments

    • L'église paroissiale Saint-Cybard. Elle abrite une cloche en bronze datant de 1650, nommée Catherine Loys et pesant 150 kg, dont l'inscription est « HIS MARIA IEVIS A L'EGLISE DE PALLUAUD PESANT 300 LIVRES QUI A ETE BENITE ET NOMMEE CATHERINE LOYS, ETANT PRIEUR SEIGNEUR DU DIT LIEU, ILLUSTISSIME ABBE MESSIRE LOYS DE LA RIVIERE, CONFESSEUR DU ROY EN TOUS SES CONSEIL, CHANCELIER ET COMMANDEUR DE SES ORDRES ET MINISTRE D'ETART. PARRAIN MONSIEUR DELARIVIERE SON FRERE PRIEUR COMMENDATAIRE DES PIERRE DE LA REOLE ET MARRAINE DAME ESTER DE LIVESNE EPOUSE DE MONSIEUR DE MOYAT GENTILHOMME ORDINAIRE DE LA CHAMBRE DU ROY ETANT VICAIRE PERPETUEL MAITRE JEAN PRALLAT, 1650 ». Elle est classée monument historique au titre objet depuis 1944[36].

    Personnalités liées à la commune

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Voir aussi Gensac-la-Pallue dans le même département.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
    2. Carte IGN sous Géoportail
    3. Carte du BRGM sous Géoportail
    4. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
    5. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Ribérac », sur Infoterre, (ISBN 2-7159-1757-0, consulté le )
    6. [PDF] - Vallées de la Nizonne, de la Tude et de la Dronne en Poitou-Charentes, Jean Terrisse (LPO), INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
    7. Carte de la ZNIEFF 540120099, INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
    8. Carte du site FR7200663, INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
    9. [PDF] FR7200663 - Vallée de la Nizonne, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
    10. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    11. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    12. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    13. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    16. Jean Nanglard, Cartulaire de l'église d'Angoulême, t. IX, Bulletins et mémoires de la Société archéologique et historique de la Charente, imprimerie G.Chasseignac, (1re éd. 1180), 296 p. (lire en ligne), p. 125
    17. Archives historiques de la Saintonge et de l'Aunis, Cartulaire du prieuré Notre-Dame de Barbezieux (1201-1300), , 426 p. (lire en ligne)
    18. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 516.
    19. Jean-Hippolyte Michon (préf. Bruno Sépulchre), Statistique monumentale de la Charente, Paris, Derache, (réimpr. 1980), 334 p. (lire en ligne), p. 55
    20. (oc) Jean Urroz, « Les noms des communes en Charente occitane », (consulté le )
    21. Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 267
    22. Jean Combes (dir.) et Michel Luc (dir.), La Charente de la Préhistoire à nos jours (ouvrage collectif), St-Jean-d'Y, Imprimerie Bordessoules, coll. « L'histoire par les documents », , 429 p. (ISBN 2-903504-21-0, notice BnF no FRBNF34901024, présentation en ligne), p. 174
    23. Henri Alibaux, Les premières papeteries françaises, Audin, , 215 p. (lire en ligne), p. 72
    24. Pierre Dubourg-Noves (dir.), Histoire d'Angoulême et de ses alentours, Toulouse, Éditions Privat, coll. « Univers de la France et des pays francophones », , 319 p. (ISBN 2-7089-8246-X, notice BnF no FRBNF35072424, présentation en ligne), p. 127
    25. Jean Combes (dir.) et Michel Luc (dir.), La Charente de la Préhistoire à nos jours (ouvrage collectif), St-Jean-d'Y, Imprimerie Bordessoules, coll. « L'histoire par les documents », , 429 p. (ISBN 2-903504-21-0, notice BnF no FRBNF34901024, présentation en ligne), p. 196
    26. Vigier de la Pile et François Corlieu, Histoire de l'Angoumois. Suivie du recueil en forme d'histoire de ce qui se trouve par écrit de la ville et des comtes d'Angoulême., Paris, Derache (1846, Laffite reprint 2002), 1576, 1760, 160 p. (ISBN 2-86276-384-5, lire en ligne), xci
    27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    31. « Evolution et structure de la population à Palluaud en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le )
    32. « Résultats du recensement de la population de la Charente en 2007 » [archive du ], sur le site de l'Insee (consulté le )
    33. « AOC Grande Champagne, Grande Fine Champagne, Petite Champagne, Fine Champagne, Borderies, Fins Bois et Bons Bois », sur inao.gouv.fr, (consulté le )
    34. « Délimitation géographique de l'AOP Noix du Périgord », sur www.noixduperigord.com, (consulté le )
    35. Site de l'inspection académique de la Charente, « Annuaire des écoles » (consulté le )
    36. « Cloche de l'église paroissiale », notice no PM16000206, base Palissy, ministère français de la Culture

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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