Vaux-Lavalette

Vaux-Lavalette (Vau en occitan) est une commune du Sud-Ouest de la France située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Pour les articles homonymes, voir Vaux.

Vaux-Lavalette

Mairie de Vaux-Lavalette.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Angoulême
Intercommunalité Communauté de communes Lavalette Tude Dronne
Maire
Mandat
Francis Blanchardie
2020-2026
Code postal 16320
Code commune 16394
Démographie
Population
municipale
88 hab. (2018 )
Densité 13 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 25′ 18″ nord, 0° 14′ 04″ est
Altitude Min. 72 m
Max. 188 m
Superficie 6,78 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Tude-et-Lavalette
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Vaux-Lavalette
Géolocalisation sur la carte : Charente
Vaux-Lavalette
Géolocalisation sur la carte : France
Vaux-Lavalette
Géolocalisation sur la carte : France
Vaux-Lavalette

    Géographie

    Localisation et accès

    Vue des collines vers le sud-ouest, près de la D 143, direction Gurat.

    Vaux-Lavalette est une commune du Sud Charente, du pays de Lavalette, limitrophe du département de la Dordogne, située à km au sud-ouest de Villebois-Lavalette et 26 km au sud d'Angoulême.

    Le bourg de Vaux-Lavalette est aussi à km au nord-est de Montmoreau, 13 km au nord-ouest de Verteillac en Dordogne, 18 km au nord d'Aubeterre, et 21 km de Ribérac[1].

    La commune est traversée par la D 17 et la D 19, routes nord-sud qui passent sur les côtés de la commune, la D 17 dans la vallée de la Lizonne à l'est et la D 19 sur la crête séparant la Lizonne de la Tude à l'ouest. Le bourg est desservi par une route transversale, la D 143[2].

    Communes limitrophes

    Vaux-Lavalette est limitrophe de quatre autres communes, dont une dans le département de la Dordogne.

    Communes limitrophes de Vaux-Lavalette
    Gurat
    Montmoreau Vendoire
    (Dordogne)
    Salles-Lavalette

    Géologie et relief

    Géologiquement, la commune est située dans les coteaux calcaires du Bassin aquitain datant du Crétacé supérieur. On trouve le Campanien, calcaire crayeux, sur toute la surface communale. La crête à l'extrême ouest de la commune est recouverte de dépôts du Tertiaire (Lutétien et Cuisien) composés de galets, sables et argiles, propice aux bois de châtaigniers.

    La vallée de la Lizonne, à l'est, est occupée par des alluvions récentes du Quaternaire composées de sable et tourbe[3],[4],[5].

    Le relief est assez prononcé entre le bas de la commune situé à l'est dans la vallée de la Lizonne (72 m), et le sommet situé sur la crête à l'ouest, 188 m, occupé par un point géodésique IGN et un réservoir d'eau. Le bourg est situé sur une crête secondaire reliant la vallée de la Lizonne à la crête principale à l'ouest.

    Hydrographie

    La commune de Vaux-Lavalette est située sur la rive droite de la Lizonne; elle est de forme allongée d'ouest en est, assez petite en surface et entourant une petite vallée affluent de la Lizonne de sa source à son confluent: le Rivallis, qui se jette face aux tourbières de Vendoire.

    Le bassin hydrographique est celui de la Dordogne ou Gironde.

    Climat

    Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.

    ZNIEFF

    Selon l'Inventaire national du patrimoine naturel (INPN), le site « Marais alcalins de la vallée de la Nizonne »[6] concerne la commune de Vaux-Lavalette. Dans les faits, les communes du département de la Charente mentionnées par la fiche ne font que tangenter cette zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF), intégralement comprise dans le département de la Dordogne, comme le montre la carte du site[7]. Ces communes de Charente, dont Vaux-Lavalette, sont traitées dans une autre ZNIEFF décrite ci-dessous.

    À Vaux-Lavalette, la vallée de la Nizonne fait partie de la ZNIEFF de type II nommée « Vallées de la Nizonne, de la Tude et de la Dronne en Poitou-Charentes »[8],[9].

    Vingt-deux espèces déterminantes d'animaux y ont été répertoriées[8] :

    Vingt-neuf autres espèces animales (quatre mammifères et vingt-cinq oiseaux) y ont été recensées[8].

    Inclus dans la ZNIEFF ci-dessus, le site « Tourbières de Vendoire » est une ZNIEFF de type I[10],[11] qui s'étend sur 148,62 hectares, dont un peu moins d'un tiers sur le territoire de Vaux-Lavalette, le long du cours de la Lizonne et du canal des Moulins. Les communes de Gurat et Salles-Lavalette sont également concernées.

    Onze espèces déterminantes d'animaux ont été répertoriées sur cette ZNIEFF[10] :

    Cinquante-trois autres espèces animales y ont été recensées[10] : dix-huit mammifères et trente-cinq oiseaux.

    Six espèces déterminantes de plantes ont été recensées sur la ZNIEFF[10] : la Gentiane des marais (Gentiana pneumonanthe), la Léersie faux-riz (Leersia oryzoides), l'Orchis des marais (Anacamptis palustris), le Potamot coloré (Potamogeton coloratus), le Souchet jaunâtre (Cyperus flavescens) et l'Utriculaire citrine (Utricularia australis), ainsi que 102 autres espèces végétales.

    Natura 2000

    Dans leur traversée de la commune, la Lizonne et sa vallée[12] font partie d'une zone du réseau Natura 2000 « Vallée de la Nizonne » avec vingt espèces animales inscrites à l'annexe II de la directive 92/43/CEE de l'Union européenne[13] :

    Urbanisme

    Typologie

    Vaux-Lavalette est une commune rurale[Note 1],[14]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[15],[16]. La commune est en outre hors attraction des villes[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (81,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (81,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (69,1 %), forêts (18,5 %), prairies (7,3 %), cultures permanentes (3,9 %), zones agricoles hétérogènes (1,2 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Hameaux et lieux-dits

    L'habitat est très dispersé en fermes. Le bourg n'est qu'un hameau.

    Toponymie

    Le nom est attesté par la forme ancienne latinisée de Vallibus vers 1300[20],[Note 2].

    Le nom de Vaux a pour origine valles, mot latin féminin signifiant « les vallons »[Note 3]. Le masculin est plus tardif[21].

    La paroisse puis commune est orthographiée Vaux sur les cartes de Cassini (XVIIIe siècle) et d'État-Major (XIXe siècle)[2].

    Créée Vaux en 1793 à partir du nom de la paroisse, la commune s'est appelée Vaux-Lavalette vers la fin du XIXe siècle, probablement pour la distinguer de Vaux près de Rouillac.

    Le nom Lavalette provient de Villebois-Lavalette, chef-lieu de son canton, c'est-à-dire du duché de La Valette datant de 1622, du nom de Jean-Louis Nogaret de La Valette, duc d'Épernon, gouverneur de l'Angoumois et seigneur de Villebois[Note 4].

    Limite dialectale

    La commune est dans la partie occitane de la Charente qui en occupe le tiers oriental, et le dialecte est proche du limousin. Elle marque la limite avec la langue d'oïl à l'ouest[22]. Elle se nomme Vau en occitan[23].

    Histoire

    Au Moyen Âge, l'église était rattachée au diocèse de Périgueux. La paroisse était à la limite de l'Angoumois et du Périgord, et même de la Saintonge en 1650[24],[Note 5].

    Au tout début du XXe siècle, l'industrie était représentée par une petite centrale électrique à la Barde[25].

    Administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
             
    2001 mai 2020 Gilbert Parnaudeau SE Retraité
    mai 2020 En cours Francis Blanchardie    

    Démographie

    Évolution démographique


    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[27].

    En 2018, la commune comptait 88 habitants[Note 6], en diminution de 10,2 % par rapport à 2013 (Charente : −0,48 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
    322466289313333296298272287
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    280260253255256216201215200
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    211207220192171174164152151
    1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014 2018
    131961011069090999988
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :

    • 51,5 % d’hommes (0 à 14 ans = 7,8 %, 15 à 29 ans = 19,6 %, 30 à 44 ans = 17,6 %, 45 à 59 ans = 25,5 %, plus de 60 ans = 29,4 %) ;
    • 48,5 % de femmes (0 à 14 ans = 10,4 %, 15 à 29 ans = 16,7 %, 30 à 44 ans = 8,3 %, 45 à 59 ans = 31,2 %, plus de 60 ans = 33,3 %).

    La population de la commune est relativement âgée. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (31,3 %) est en effet supérieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (26,6 %). Contrairement aux répartitions nationale et départementale, la population masculine de la commune est supérieure à la population féminine (51,5 % contre 48,4 % au niveau national et 48,5 % au niveau départemental).

    Pyramide des âges à Vaux-Lavalette en 2007 en pourcentage[30]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0 
    90 ans ou +
    0,0 
    5,9 
    75 à 89 ans
    10,4 
    23,5 
    60 à 74 ans
    22,9 
    25,5 
    45 à 59 ans
    31,2 
    17,6 
    30 à 44 ans
    8,3 
    19,6 
    15 à 29 ans
    16,7 
    7,8 
    0 à 14 ans
    10,4 
    Pyramide des âges du département de la Charente en 2007 en pourcentage[31]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90 ans ou +
    1,6 
    8,2 
    75 à 89 ans
    11,8 
    15,2 
    60 à 74 ans
    15,8 
    22,3 
    45 à 59 ans
    21,5 
    20,0 
    30 à 44 ans
    19,2 
    16,7 
    15 à 29 ans
    14,7 
    17,1 
    0 à 14 ans
    15,4 

    Économie

    Agriculture

    La viticulture occupe une petite partie de l'activité agricole. La commune est classée dans les Fins Bois, dans la zone d'appellation d'origine contrôlée du cognac[32].

    La commune fait aussi partie de l'AOP Noix du Périgord[33].

    Lieux et monuments

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Vaux-Rouillac a la même forme ancienne dans le livre des fiefs.
    3. Dont dérive valls, en occitan valls.
    4. Voir aussi Magnac-Lavalette-Villars et Salles-Lavalette.
    5. Montmoreau et Aubeterre étaient en Saintonge en 1650.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
    2. Carte IGN sous Géoportail
    3. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
    4. Carte du BRGM sous Géoportail
    5. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Montmoreau », sur Infoterre, (consulté le )
    6. [PDF] 720020064 - Marais alcalins de la vallée de la Nizonne, GEREA, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
    7. Carte de la ZNIEFF 720008181, INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
    8. [PDF] - Vallées de la Nizonne, de la Tude et de la Dronne en Poitou-Charentes, Jean Terrisse (LPO), INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
    9. Carte de la ZNIEFF 540120099, INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
    10. [PDF] 540003487 - Tourbières de Vendoire, Jean Terrisse, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
    11. Carte de la ZNIEFF 540003487, INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
    12. Carte du site FR7200663, INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
    13. [PDF] FR7200663 - Vallée de la Nizonne, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
    14. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. Jean Nanglard, Livre des fiefs de Guillaume de Blaye, évêque d'Angoulême [« Liber feodorum »], t. 5, Société archéologique et historique de la Charente, (1re éd. 1273), 404 p. (lire en ligne), p. 201
    21. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 694.
    22. Jean-Hippolyte Michon (préf. Bruno Sépulchre), Statistique monumentale de la Charente, Paris, Derache, (réimpr. 1980), 334 p. (lire en ligne), p. 55
    23. (oc) Jean Urroz, « Les noms des communes en Charente occitane », (consulté le )
    24. Carte de la Guyenne, Angoumois, Saintonge, Limousin... en 1650
    25. Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 395
    26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    30. « Évolution et structure de la population à Vaux-Lavalette en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le )
    31. « Résultats du recensement de la population de la Charente en 2007 » [archive du ], sur le site de l'Insee (consulté le )
    32. « Décret n° 2009-1146 relatif à l'AOC Cognac », sur legifrance, (consulté le )
    33. « Délimitation géographique de l'AOP Noix du Périgord », sur www.noixduperigord.com, (consulté le )

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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