Saint-Joseph (Loire)

Saint-Joseph est une commune française, de la région Auvergne-Rhône-Alpes. Située au sud-est du département de la Loire, elle fait partie du canton de Rive-de-Gier et est limitrophe du Rhône. Sa superficie est de 805 ha. Les 1 915 habitants se répartissent sur le bourg principal et plusieurs hameaux et quartiers.

Pour les articles homonymes, voir Saint-Joseph.

Saint-Joseph

Vue générale du bourg.
Administration
Pays France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Loire
Arrondissement Saint-Étienne
Intercommunalité Saint-Etienne Métropole
Maire
Mandat
Fabrice DUCRET
2020-2026
Code postal 42800
Code commune 42242
Démographie
Population
municipale
1 915 hab. (2018 )
Densité 238 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 33′ 28″ nord, 4° 37′ 07″ est
Altitude Min. 219 m
Max. 497 m
Superficie 8,05 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Saint-Étienne
(banlieue)
Aire d'attraction Lyon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Rive-de-Gier
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Saint-Joseph
Géolocalisation sur la carte : Loire
Saint-Joseph
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Joseph
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Joseph

    Le bourg principal est situé sur un plateau qui domine la vallée du Gier, à quatre kilomètres au nord de la ville de Rive-de-Gier.

    Créée en 1867, la commune a un territoire constitué de hameaux qui ont été détachés administrativement de sa voisine Saint-Martin-la-Plaine. Le village a longtemps affirmé un caractère rural qui contrastait avec la ville industrielle proche de Rive-de-Gier. Aujourd'hui, il est gagné par la rurbanisation et certains quartiers se confondent avec la commune voisine.

    Géographie

    Situation

    La commune de Saint-Joseph est située à l’extrémité nord-est de la Vallée du Gier, sur les premiers contreforts des monts du Lyonnais à environ 28 km de Saint-Étienne[1] et de 40 km de Lyon[2]. Elle est limitrophe de :

    Saint-Joseph possède deux bourgs. Le premier jouxte Rive-de-Gier et est situé dans la vallée du Gier en bordure de l'A47. Le deuxième est le « cœur » du village avec un aspect plus rural, légèrement en surplomb de la vallée.

    Superficie et relief

    La superficie de la commune est de 8,05 km2 ; son altitude varie de 219 à 497 mètres[3].

    Le climat

    Comme dans l'ensemble de la région lyonnaise, le climat y est de type océanique dégradé (selon les critères de la classification de Köppen). Il présente cependant un caractère continental assez marqué avec des hivers parfois rigoureux (gelées fortes et chutes de neiges épisodiques) et des influences méditerranéennes avec des périodes de sécheresse estivale qui alternent avec des épisodes orageux. Le territoire de la commune, situé en bordure orientale des monts du Lyonnais, profite d'une position d' abri par rapport aux vents dominants l'ouest. Il est par contre exposé à l'affrontement des masses d'air continentales et méditerranéennes canalisées par l'encaissement des vallées de la Saône et du Rhône. Il en résulte une grande variabilité du temps qui ne permet pas aux moyennes climatiques de rendre compte de la réalité des intempéries qui s'y succèdent : orages violents et sécheresse de l'été, épisodes neigeux ou gelées succédant à un printemps précoce...

    Relevé météorologique de Rive-de-Gier
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 0 1 4 6 10 14 16 16 12 9 4 2 7,9
    Température moyenne (°C) 3 4,5 8,5 12,5 15 19 21,5 21,5 17 13 7 4,5 12,25
    Température maximale moyenne (°C) 6 8 13 15 20 24 27 27 22 17 10 7 16,3
    Précipitations (mm) 38,2 34,3 33,1 59,7 59,5 50,8 45,3 50,3 65,2 82,9 67,8 43,3 6 304
    Source : Relevé météo de Rive-de-Gier[4]
    Diagramme climatique
    JFMAMJJASOND
     
     
     
    6
    0
    38,2
     
     
     
    8
    1
    34,3
     
     
     
    13
    4
    33,1
     
     
     
    15
    6
    59,7
     
     
     
    20
    10
    59,5
     
     
     
    24
    14
    50,8
     
     
     
    27
    16
    45,3
     
     
     
    27
    16
    50,3
     
     
     
    22
    12
    65,2
     
     
     
    17
    9
    82,9
     
     
     
    10
    4
    67,8
     
     
     
    7
    2
    43,3
    Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm
    VilleEnsoleillementPluieNeigeOrageBrouillard
    Paris1 797 h/an642 mm/an15 j/an19 j/an13 j/an
    Nice2 694 h/an767 mm/an1 j/an31 j/an1 j/an
    Strasbourg1 637 h/an610 mm/an30 j/an29 j/an65 j/an
    Saint-Joseph... h/an... mm/an... j/an... j/an... j/an
    Moyenne nationale1 973 h/an770 mm/an14 j/an22 j/an40 j/an
    Place Jean-Bourge.

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Joseph est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[5],[6],[7]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Étienne, une agglomération inter-départementale regroupant 32 communes[8] et 373 927 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[9],[10].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lyon dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 398 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[11],[12].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (73,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (76,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (32,9 %), prairies (32,6 %), forêts (13,3 %), zones urbanisées (13 %), terres arables (7,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,3 %)[13].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[14].

    Histoire

    La commune de Saint-Joseph est devenue indépendante de sa voisine Saint-Martin-la-Plaine le .

    De la paroisse à la commune : 1855-1867

    En 1853, la décision de construire une église destinée à la desserte d'une nouvelle paroisse Saint-Joseph sous Saint-Martin-la-Plaine a marqué la première étape de l'autonomie. Le legs d'un habitant, Etienne Féchet, né en 1773 à la Jubilère et décédé à Paris en 1855, permit la construction d'une école dotée d'une rente annuelle de 1 000 francs. Les tensions qui opposèrent les hameaux de la nouvelle paroisse à la municipalité aboutirent par décision du préfet de la Loire à la création d'une nouvelle commune en 1867.

    Politique et administration

    Situation administrative

    Saint-Joseph est l'une des 10 communes du canton de Rive-de-Gier qui totalisait 26521 habitants en 1999[Passage à actualiser]. Le canton fait partie de la Troisième circonscription de la Loire et de l'arrondissement de Saint-Étienne.

    Saint-Joseph fait partie de la juridiction d’instance de Rive-de-Gier et de grande instance ainsi que de commerce de Saint-Étienne.

    Intercommunalités

    • La commune de Saint-Joseph adhère à Saint-Étienne Métropole dont le maire est 21e vice-président. Saint-Étienne Métropole est un EPCI. Son organisation se rapproche de celle d'une commune. Chaque collectivité adhérente dispose d'un nombre de sièges proportionnel au nombre des habitants. Ses compétences concernent le développement économique, l'aménagement du territoire, l'enseignement et l'éducation, les équipements sportifs et culturels, l'environnement et le cadre de vie, les transports.
    • Saint-Joseph relève aussi du Syndicat intercommunal du pays du Gier[15], qui est l'héritier de la « Conférence Intercommunale » organisée par les communes de la Vallée du Gier au cours des années 80. De 13 adhérents en 1986, la « Conférence » se transforme en Syndicat Intercommunal regroupant 23 communes en 1995. Ses missions concernent la promotion du territoire, la vie sociale et culturelle, l'agriculture, le tourisme, l'environnement…

    Les maires de Saint-Joseph

    Liste des maires successifs[16]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1896 1904 Jean-Marie Deflassieux    
    janvier 1904 mai 1904 Jean-Claude Fillon    
    1904 1908 Jean-Antoine Jullien    
    1908 1929 Joseph Bethenod    
    1929 1944 Antoine Bonnand    
    1944 1945 Adrien Moutet    
    mars 1959 1977 Jean Bonjour    
    mars 1945 1959 Antoine Jullien    
    mars 1977 1983 Charles Hémain    
    mars 1983 1995 Marguerite Couchoud    
    mars 1995 mars 2014 Maurice Bonnand   Vice-président de Saint-Étienne Métropole
    mars 2014 2020 Marc Rosier[17]    
    juin 2020 En cours Fabrice Ducret    

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1872. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[18]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[19].

    En 2018, la commune comptait 1 915 habitants[Note 3], en augmentation de 0,26 % par rapport à 2013 (Loire : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911
    614645756784706735747748749
    1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
    7847778037707108211 0591 1471 144
    1982 1990 1999 2004 2009 2014 2018 - -
    1 2001 4141 6231 7461 8461 9001 915--
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[21].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Avant 1867, se reporter aux données démographiques concernant Saint-Martin-la-Plaine

    Pyramide des âges à Saint-Joseph (Loire) en 1999[22] en pourcentage.
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0 
    Avant 1904
    0,1 
    6,6 
    1905-1924
    6,2 
    13,2 
    1925–1939
    14,7 
    20,7 
    1940-1954
    20,0 
    21,3 
    1955-1969
    23,7 
    17,6 
    1970-1984
    15,9 
    20,5 
    1985-1999
    19,5 

    Enseignement

    La commune relève de l'académie de Lyon. Les écoles sont gérées par l'inspection départementale de l’Éducation nationale de la Loire à Saint-Étienne.

    L'enseignement primaire est assuré dans une école publique située au bourg.

    Comme il n'y a pas d'établissement d'enseignement secondaire, les élèves se rendent dans les collèges ou lycées de Rive-de-Gier.

    Économie

    Culture locale et patrimoine

    L'aqueduc du Gier

    Après la traversée de Saint-Martin-la-Plaine, l'aqueduc arrive sur la commune au lieu-dit le Rieu, où l'on a découvert une pierre identique à celle de Chagnon pour rejoindre Saint-Didier-sous-Riverie près du pont du Bozançon.

    La pierre du Rieu (moulage).
    Réf. AE 1999, 01053.
    L'or

    C'est au début du XVIIe siècle que des sources écrites (Pierre Matthieu, historiographe du roi Henri IV) firent état de la découverte près du hameau de Bissieux, d'un caillou tout broché d'or[23]. La tradition rapporte qu'une coupe tirée de l'or de Saint-Martin-la-Plaine aurait été offerte à Marie de Médicis à l'occasion de son mariage avec Henri IV à Lyon, le . En 1625, deux actes d'un registre paroissial de Saint-Martin-la-Plaine citent un travailleur en la mine d'or et un sous prévôt de la mine d'or. S'agissant d'un gisement d'or natif superficiel, le filon fut très rapidement épuisé compte tenu du contexte géologique et des moyens techniques de l'époque. Le site probablement abandonné vers 1630 a suscité des tentatives de reprise ultérieures vouées à l'échec. Les recherches archéologiques menées ces dernières années ont permis de repérer des galeries creusées à la pointerolle selon des techniques employées aux XVIIe et XVIIIe siècles[24].

    La mine d'antimoine

    C'est en effectuant des sondages pour retrouver des traces de l'ancienne mine d'or que les géologues de la fin du XIXe siècle ont découvert sur le secteur de Bissieux des filons de Stibine ou sulfure d'antimoine. En 1911, l'ingénieur Henri Fonteilles, un des fondateurs de la Compagnie Minière lyonnaise, avait préparé un projet de reprise de l'exploitation du site de Bissieux à Saint-Joseph et de sondage à Saint-Didier-sous-Riverie, afin d'exploiter l'or et l'antimoine à l'époque de la construction de la ligne de Chemin de fer de Mornant à Rive-de-Gier. Entre 1911 et 1914, la galerie de la Combe a été creusée mais le déclenchement de la Première Guerre mondiale mit fin à la construction de la voie ferrée et à toute tentative d'exploitation commerciale du minerai malgré des tentatives de reprises jusqu'en 1920.

    Les mines de charbon

    Plusieurs concessions minières du Bassin houiller de la Loire dont faisait partie celui de Rive-de-Gier étaient situées sur le territoire de la commune :

    • la concession de Montbressieux[25] :
    • Combeplaine[26]

    L'église de Saint-Joseph

    Elle a été construite entre 1853 et 1854 afin de desservir la nouvelle paroisse détachée de Saint-Martin-la-Plaine.

    La chapelle de Chagneux

    Propriété d'une association depuis 1986, la chapelle qui s'élève depuis 1890 sur le Crêt de Chagneux a été construite à la suite d'une souscription auprès des habitants de la paroisse. À l'origine les habitants souhaitaient édifier une statue de la Vierge. Les sommes récoltées ont permis de construire un bâtiment en pierre de taille.

    Lieux de mémoire

    Stèle Jean Bourge.

    Vie culturelle et associative

    La vie de la commune est animée par 16 associations qui œuvrent dans les domaines du sport, de la culture et des loisirs, de la vie sociale.

    Les infrastructures

    Les associations de la commune de Saint-Joseph disposent pour leurs activités de plusieurs sites à vocation culturelle ou sportive.

    • Les stades de football sont l'équipement le plus important. Compte tenu de l'importance de cette discipline sur le plan local, la commune dispose de deux sites dédiés aux compétitions et aux entraînements : le stade Robert-et-Henri-Jullien situé au bourg et le stade de Montbressieux.
    Le stade du F. C.
    • La salle de La Faravelle est un espace d'entraînement multisport.
    • Les associations peuvent utiliser la Salle du Cercle pour organiser activités et manifestations.
    • La piscine intercommunale se trouve à 3 kilomètres du bourg, à Gravenand sur le territoire de la commune voisine de Genilac.

    La vie associative

    Les associations de Saint-Joseph présentent de multiples centres d'intérêt[Lesquels ?].

    Le sport et activités de plein-air
    • Le Football club de Saint-Joseph a acquis une notoriété importante sur le plan régional et national avec l'organisation depuis 1980 en partenariat avec la FIFA du Tournoi de Pâques. C' est un évènement sportif au-delà la Vallée du Gier car il permet de découvrir les espoirs du « ballon rond » venus de différents pays.
    • D'autres clubs proposent des activités diverses telles le Badminton, le basket, le tennis, la randonnée, la chasse.
    La vie culturelle et les loisirs

    est animée par le Cercle culturel,

    Médias

    Il n'existe pas de média local traitant uniquement de Saint-Joseph, excepté le bulletin municipal édité par la mairie : Saint-Jo info

    Le principal journal régional est le quotidien Le Progrès[28] qui paraît dans le département de la Loire sous le titre La Tribune-Le Progrès ; l'édition Gier-Pilat traite régulièrement de Saint-Joseph dans les pages locales. Deux hebdomadaires régionaux La Gazette de la Loire et L'Essor[29] traitent ponctuellement de l'actualité de la commune. L'actualité de la commune est également couverte par le quotidien en ligne Zoom 42[30]. Située face à l'émetteur du Pilat situé au sommet du Crêt de l'Œillon, la commune capte les décrochages régionaux de France 3 Rhône Alpes Auvergne mais ne reçoit pas les émissions de la chaîne locale TL7 Télévision Loire 7[31].

    Cultes

    Les pratiquants du culte catholique disposent de deux lieux de culte : l'église paroissiale et la chapelle de Chagneux. Saint-Joseph relève de la paroisse catholique de Sainte-Marie-Madeleine en Gier qui est une subdivision du diocèse de Saint-Étienne, lequel relève de la Province ecclésiastique de Lyon.

    La mosquée la plus proche se trouve à Rive-de-Gier.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Bibliographie

    • Burdy Jean, Guide des Aqueducs Romains de Lyon, Éditions lyonnaises d'art et d'histoire, 1999, (ISBN 2 84147-063-6)
    • Combe Jean, Histoire d'un village du Jarez, Saint Martin la Plaine, Éditions Dumas, 1960
    • Dechandon Sylvette, Saint Martin La Plaine rues, places, lieux-dits & monuments, Mairie de Saint Martin la Plaine, 2000
    • Gardes, Gilbert (sous la direction de), Grande Encyclopédie du Forez et des communes de la Loire : la vallée du Gier - le Pilat, Éditions Horvarth, 1986, (ISBN 2-7171-0333-3)
    • Jean-Pierre Houssel (dir.), Françoise Bayard, André Pelletier et Michel Rubellin, Les monts du Lyonnais, Châtillon-sur-Chalaronne, Éd. La Taillanderie, (réimpr. 2009), 240 p., 1 vol., ill. noir et coul., 29 cm (ISBN 2-87629-314-5)
    • Lacombe Robert, Recherches historiques II sur la Ville de Rive de Gier, F. Paillart (Editeur-imprimeur), Abbeville, 1985
    • Lacombe Robert, Souvenirs sur Rive de Gier, Société d'ethnographie, 1994
    • Martin Jean-Baptiste, Dictionnaire du français régional du Pilat, Éditions Bonneton, 1989, (ISBN 2-86253-094-8)
    • Latreille André (sous la direction de), Histoire de Lyon et du Lyonnais, Éditions Privat, 1988, (ISBN 2-7089-4751-6)
    • Plessy Bernard, La vie quotidienne en Forez avant 1914, Hachette, (ISBN 2-01-005672-8)
    • Plessy Bernard, Le Pays du Gier, Éditions lyonnaises d'art et d'histoire, 1996, (ISBN 2 84147 028 8)
    • Poncet Michel, Atlas des paysages de la Loire, Conseil général de la Loire, 2002, (ISBN 2-912026-00-8)

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. © les contributeurs d’OpenStreetMap, « Distance par la route entre Saint-Joseph et Saint-Étienne », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
    2. © les contributeurs d’OpenStreetMap, « Distance par la route entre Saint-Joseph et Lyon », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
    3. Institut national de l'information géographique et forestière, Répertoire géographique des communes, [lire en ligne].
    4. « Relevé météo de Rive-de-Gier », MSN Météo.
    5. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    7. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Unité urbaine 2020 de Saint-Étienne », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    9. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    10. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    14. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    15. Syndicat intercommunal du Pays du gier, site officiel
    16. Archives municipales de
    17. Saint-Joseph sur le site de l'association des maires de France, consulté le 30 juin 2015.
    18. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    19. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    20. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    21. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    22. « Pyramide des âges, Recensement 1999 »(ArchiveWikiwixArchive.isGoogle • Que faire ?) sur le site de l'INSEE
    23. Matthieu Pierre, Histoire de France et des choses mémorables advenues aux provinces estrangères durant sept années de règne de Henry IV, roy de France et de Navarre, 1609
    24. http://laminedebissieux.site.voila.fr/entree/mine/cadre_general.htm
    25. Gérard Chaperon, Le Bassin minier de la vallée du Gier, Actes graphiques, , p. 185-189.
    26. Gérard Chaperon, Le Bassin minier de la vallée du Gier, Actes graphiques, , p. 175-179.
    27. Mémorial de la Résistance Loire
    28. Site du quotidien Le Progrès
    29. Site de l'hebdomadaire L'Essor
    30. Site de la chaîne TL7
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