Lycée François-Ier (Fontainebleau)

Le lycée François-Ier, en forme longue lycée international François-Ier, est un établissement d'enseignement secondaire et supérieur public à Fontainebleau, en France.

Pour les articles homonymes, voir Lycée François-Ier.

Lycée François-Ier

Le lycée François-1er depuis le portail d'entrée.

Logotype du lycée représentant une salamandre, emblème du roi François Ier
Devise Varis Verbis Vox Una[réf. nécessaire]
Généralités
Création 1882
Pays France
Campus Campus international de Fontainebleau
Coordonnées 48° 24′ 33″ nord, 2° 41′ 43″ est
Adresse 11, rue Victor-Hugo[1]
77300 Fontainebleau
Site internet lyceefrancois1.net
Cadre éducatif
Appellation Lycée international François-Ier
Type Lycée public
Pouvoir organisateur Académie de Créteil
Proviseur Christophe Carton
Matricule 0770927P[2]
Niveau Bac+2
Formation Lycée général
CPGE scientifiques

Le lycée accueille les élèves de la classe de seconde jusqu'aux classes préparatoires aux grandes écoles. Il est notamment réputé pour ses sections internationales anglophone[3] et germanophone qui permettent l'obtention de l'option internationale du baccalauréat (OIB).

Plus largement, il fait partie du campus international de Fontainebleau, inauguré par Valérie Pécresse le , qui réunit complémentairement l’école élémentaire internationale Léonard-de-Vinci et le Collège international[4], tous compris dans le même îlot urbain.

Situation et accès

L'établissement est situé au nord de la ville de Fontainebleau, elle-même au sud-ouest du département de Seine-et-Marne. À proximité de la lisière de la forêt de Fontainebleau, qui a depuis reculée, il est encadré par les rues Guérin, Victor-Hugo et de la Paroisse ; le côté septentrional de sa surface est attenant à celui du Collège international qui lui est pratiquement mitoyen[n 1].

Historiquement, son point d'accès principal — celui de la cour d'Honneur, devenu occasionnel — était situé au no 11 de la rue Victor-Hugo. De nos jours, l'accès principal est situé au niveau de la rue Guérin.

Origine du nom

Anciennement Collège municipal, collège Carnot en 1888, puis lycée de garçons en 1948, ce n'est qu'en 1960 que le lycée prend son nom actuel[A 1].

L'appelation d'antan « collège Carnot » fait référence à Lazare Carnot, mathématicien, physicien, officier et homme d'État français, né en 1753 et mort en 1823. Actuellement, le lycée tient son nom de François Ier, roi de France, né en 1494 et mort en 1547, ayant fréquemment séjourné au château de Fontainebleau et l'ayant notablement amélioré.

Histoire

Collège communal

Entrée nord du collège Carnot vers 1905. Aujourd'hui, à l'emplacement du Collège international.
Bâtiment F vu depuis la cour principale en juin 2020.

Prémices

Le , le président de la République, Patrice de Mac Mahon, et le ministre de l'Instruction publique, des Cultes et des Beaux-arts, Arthur de Cumont, promulgent le décret portant création d'un collège communal à Fontainebleau[5].

« Art. 1er. La ville de Fontainebleau est autorisée à créer, en vue de l'enseignement secondaire classique et secondaire spécial, un collège communal, aux clauses et conditions énoncées dans la délibération du conseil municipal susvisée. »

 Décret portant création d'un collège communal à Fontainebleau

En 1877, un concours est organisé par la ville de Fontainebleau et présidé par Joseph-Louis Duc, architecte du palais de justice de Paris. L'objectif est la construction d'un collège pour les fils d'officiers[6].

Fondation

En 1880, des plans pour le collège municipal de Fontainebleau sont confiés à Henri Proust. Il conçoit un édifice scolaire moderne s'ouvrant sur son quatrième côté, s'affranchissant ainsi des cours carrées renfermées sur elles-mêmes[A 2]. Le projet est mandaté par le maire et le conseil municipal acceptant ces plans ambitieux et onéreux. Ceux-ci sont alors persuadés que le collège se verra décerner la promotion pour le titre de « lycée » : cela permettrait à la mairie d'incomber la charge de l'entretien à l'autorité de Paris.

L'établissement est prévu sur l'emplacement de la maison construite en 1840 et dite « Le Clos de Bel-Air »[7], alors propriété Vallot[8]. Le ministre de l'Instruction publique, Jules Ferry, accorde une somme de 342 000 francs pour la construction du collège en [AF 1], qui sera initiée par la Ville de Fontainebleau en 1882.

Collège Carnot

Cour principale et forêt vues depuis le bâtiment central au début du XXe siècle

Le , le conseil municipal de Fontainebleau décide que l'établissement soit nommé « collège Carnot ». Bien que certains conseillers proposaient « collège Lazare-Carnot », la majorité a opté pour le nom court[AF 2],[9]. Le nom est officialisé le par le décret portant dénomination du collège de Fontainebleau, signé par président de la République, Sadi Carnot, et le ministre de l'Instruction publique, des Cultes et des Beaux-arts, Édouard Lockroy[10].

« Art. 1er. Le collège communal de Fontainebleau prendra désormais le nom de « collège Carnot ». »

 Décret portant création d'un collège communal à Fontainebleau

Dans l'après-midi du , le président de la République, Sadi Carnot, en déplacement à Fontainebleau, effectue une visite de l'établissement. Reçu par le principal, Bordereau, par les professeurs et les membres du conseil d'administration, il examine longuement les bâtiments en détail et exprime son souhait que l'établissement attire de nombreux élèves[AF 3] ,[B 1].

Sadi Carnot, président de la République, est assassiné le , à Lyon. Le , le principal, les professeurs et les élèves du collège lui rendent hommage en souscrivant 500 francs afin d'envoyer une couronne funéraire pour les obsèques qui se tiennent le [11],[12],[13].

Aux débuts des années 1910, sur la demande du nouveau principal, M. Boinet, des travaux d'appropriation sont executés avec le concours de la Ville et de l'État : divers services d'internat y sont installés, notamment un réfectoire, des dortoirs et une infirmerie[AF 4].

Après la Grande Guerre, une plaque commémorative en l'honneur des élèves morts pour la France est inaugurée le [AF 5], en présence de l'inspecteur de l'Académie, Berteloot, du sous-préfet, Fragnaud, du maire de Fontainebleau, Narcisse Bonnet, des députés de Seine-et-Marne, Albert Ouvré et Jacques-Louis Dumesnil, du principal du collège, Crébessac, ainsi que du corps des professeurs et des élèves avec leurs familles[B 2]. Cette plaque est apposée dans le hall central du rez-de-chaussée du bâtiment F.

À la suite de l'entrée de la France dans le second conflit mondial, le , les locaux de l'internat sont réquisitionnés. La mobilisation entraîne l'absence du principal, M. Bitry, laissant provisoirement la direction administrative à M. Bongard, professeur d'anglais et membre du bureau d'administration[AF 6]. Une fois la France sous l'Occupation, l'institution, inopérante un certain temps, est transférée au 193 rue Grande, ancienne maison Sauvager, et rouvre le sous la direction de M. Albric ; elle ne reçoit que des élèves externes[AF 7]. Les locaux du collège deviennent occupés par un hôpital de campagne établi par les Allemands[14].

Éducation

Élèves

Évolution de l'effectif des élèves
1891 1892 1893 2015 2016 2017 2018 2019
1342062211 3361 3081 3761 3771 390
Année correspond à la rentrée de septembre de l'année scolaire.
(Sources : Roseline Grimaldi-Hierholtz, Collège Carnot, Lycée François Ier, Ministère de l'Éducation nationale[15], article dans l'Abeille de Fontainebleau[AF 8])

Classes préparatoires

La première classe préparatoire, une prépa « véto », ouvre en 1948[16]. D'autres filières ouvriront par la suite, de tel sorte que aujourd'hui le Lycée François-Ier possède 7 classes de CPGE scientifique : une 1re année de BCBST, une MPSI et une PCSI ainsi que des classes de PC, MP, PSI et une deuxième année de BCPST. Environ 260 élèves sont inscrits en classes préparatoires et obtiennent à la fin de leur cycle préparatoire des écoles sur l'ensemble des concours[17].

Les classes préparatoires possèdent un internat de 91 places ouvert le week-end[18].

Section anglophone

Logotype de la section anglophone

À la suite d'un accord entre le ministère de l'Éducation nationale et le Grand Quartier général des puissances alliées en Europe (SHAPE), siège des opérations du commandement allié de l'OTAN, l'École internationale de Fontainebleau est créée en 1959. Elle est installée dans l'annexe nouvellement construite du lycée. Environ 1000 élèves, de 5 à 18 ans, enfants des officiers de l'OTAN basés à Fontainebleau, fréquentent l'école qui accueille une dizaine de sections linguistiques.

Le , la section anglophone de Fontainebleau est créée avec la signature d'un accord entre l'Inspecteur d'académie, représentant de l'Éducation nationale, le directeur de l'école primaire et le comité de parents, l'Association des parents d'élèves anglophones du Collège international. Cette création a été approuvée par le ministre de l'Éducation nationale, Alain Savary et le sénateur de Seine-et-Marne, Paul Séramy. Elle ouvre ses portes avec deux professeurs à temps partiel, Avril Bateman et Mary McNally et une trentaine d'élèves anglophones, principalement dans les classes primaires. L'arrêté officiel relatif à la création des sections internationales anglophones, au primaire et au collège, sera publié au Journal officiel le . Le , sur décision de l'Inspecteur d'académie, et afin de rectifier la situation administrative du collège international de Fontainebleau qui gérait également les classes primaires, une école primaire indépendante est créée[19].

Direction

Principaux du collège

Liste des principaux du collège Carnot de-1874 à 1948[A 3].

No  Nom Début de fonction Fin de fonction
1 M. Péquignat[n 2] [21] 1883
2 M. Bordereau 1883 1891
3 Auguste Brepsant[22],[n 3] 1891 1896
4 M. Gateau 1896 1911
5 M. Boinet
(? – [24])
1911
6 M. Crébessac 1920 1925
7 M. Laurent 1925 1931
8 Clément Touzé[n 4] 1931 1937
9 Georges Bitry[26] 1937 1945
10 Camille Bruneteau 1945 1948

Proviseurs du lycée

Liste des proviseurs du lycée international François-Ier de 1948 à nos jours[A 3],[27].

No  Nom Début de fonction Fin de fonction
1 Camille Bruneteau
()
À la suite du décès de M. Bruneteau, l'intérim est assuré par Mme Solon.
2 Paul Raulic
()
3 Roger Houdret
( ?)
4 Pierre Bour
( ?)
5 Jean Tandé
( ?)
6 Jean Marche
( ?)
7 Monique Ferretti
( ?)
8 Jean Ardillon 2002
9 François Distinguin 2002 2009
10 Jean-Michel Domenech 2009 2016
11 Patrick Berthelot 2016 2020
12 Christophe Carton 2020 En cours

Structure

Le lycée comporte les bâtiments suivants[28] :

Plan des bâtiments du lycée

  • Bâtiment A
  • Bâtiment B
  • Bâtiment C
  • Bâtiment D
  • Bâtiment E
  • Bâtiment F
    (Construit en 1886)
  • Bâtiment G

Les bâtiments, actuellement nommés C et D et F, constituent le premier ensemble. Dans cet ensemble, est aussi compris un prolongement axial du bâtiment F, au niveau des actuels bâtiments B et G. Deux autres bâtiments à l'ouest et à l'est sont construits dans les années 1930. Enfin, les bâtiments de l'internat sont construits dans les années 2000[n 5].

Partenaires internationaux

Partenaires internationaux du lycée François-Ier
VillePays
Charter School of Wilmington (en)[29]États-Unis
Franska Skolan Ecole Française (en)[29]Suède
lycée Adam-Mickiewicz de Cracovie (d)[29]Pologne
North London Collegiate School[29]Royaume-Uni
St Philip's College (en)[29]Australie
école Alexander-von-Humboldt (en)[29]Allemagne

Personnalités notables

Élèves notables

On compte parmi les anciens membres de François-1er, plusieurs personnes célèbres qui ont donné, par éponymie, leur nom à plusieurs salles[30].

Professeurs notables

Références culturelles

Cinéma

Publicité

  • 2019 : Magazine Rétroviseur de , p. 16-17. Illustration sur une double-page faisant apparaître deux personnes et une voiture dans la cour principale.

Notes et références

Notes

  1. D'après les ressources du Géoportail de l'IGN, sur geoportail.gouv.fr/carte.
  2. Officier d'Académie[20]
  3. Officier de l'Instruction publique[23]
  4. Nom de naissance : Pierre-Marie-Clément Touzé[25]
  5. À partir des orthophotographies disponibles sur remonterletemps.ign.fr.

Références

  • Roseline Grimaldi-Hierholtz, Collège Carnot, Lycée François Ier, Fontainebleau, Maury, , 158 p. (ISBN 2-9509815-1-8)
  1. p. 3.
  2. p. 8.
  3. p. 24.
  • Georges Bitry, L'enseignement secondaire à Fontainebleau : histoire d'un collège, Imprimerie Cuenot-Bourges, (lire en ligne)
  1. p. 61
  2. p. 72
  1. « Chronique locale : Collège de Fontainebleau », L'Abeille de Fontainebleau, no 34 de la 42e année, , p. 2 (lire en ligne) :
    « M. le ministre de l'instruction publique vient d'accorder une somme de 342,000 fr. destinée à la construction d'un collège dans la ville de Fontainebleau. »
  2. « Chronique locale », L'Abeille de Fontainebleau, no 33 de la 54e année, , p. 1 (lire en ligne) :
    « Le conseil municipal de Fontainebleau s'est réuni mardi soir. Entre autres décisions prises nous pouvons citer celle qui change le nom de notre collège qui s'appellera désormais : « Collège Carnot ». D'aucuns voulaient « Lazare Carnot » mais après discussions « Carnot » tout court a prévalu. »
  3. « Autour de la présidence », L'Abeille de Fontainebleau, no 36 de la 54e année, , p. 1 (lire en ligne) :
    « De là, le Président s'est rendu à son collège maintenant orné de la plaque de marbre qui porte : Collège Carnot. Il a été reçu par le principal, les professeurs et les membres du conseil d'administration. M. Carnot a visité l'établissement en détail et fait des vœux pour que sa situation exceptionnelle et sa parfaite installation attirent au collège Carnot un grand nombre d'élèves. »
  4. « Collège Carnot à Fontainebleau », L'Abeille de Fontainebleau, no 35 de la 79e année, , p. 1 (lire en ligne) :
    « L'installation de divers services d'internat : réfectoire, dortoirs, infirmeries, y est en outre tout à fait irréprochable grâce aux travaux d'appropriation qui ont été exécutés avec le concours de la Ville et de l'État, sur la demande du nouveau Principal, M. Boinet. »
  5. « Chronique locale », L'Abeille de Fontainebleau, no 42 de la 88e année, , p. 1 (lire en ligne) :
    « Aujourd'hui, il a été procédé au Collège Carnot à l'inauguration de la Plaque Commémorative en l'honneur de ses anciens élèves morts pour la France. »
  6. « Chronique locale : Au Collège Carnot », L'Abeille de Fontainebleau, no 39 de la 104e année, , p. 1 (lire en ligne) :
    « Direction : Par suite de la mobilisation de M. Bitry, principal du Collège, la direction administrative de l'établissement est assuré provisoirement par M. Bongard, professeur d'anglais, membre du bureau d'administration.
    Internat : En raison de la réquisition des locaux de l'internat, le collège ne peut recevoir ni internes ni demi-pensionnaires. Seules les classes de l'externat continueront à fonctionner.
    Externat : Les familles doivent être avisées que suivant les nécessités de l'emploi du temps, les cours pourront avoir lieu de 8 h. à midi et de 13 h. à 18 h.
    La rentrée scolaire aura lieu, en octobre, à des dates qui seront indiquées par la suite. »
  7. « La vie reprend : écoles », L'Abeille de Fontainebleau, no 23 de la 105e année, , p. 2 (lire en ligne , consulté le ) :
    « Le collège Carnot, tranféré 193, rue Grande, ancienne maison Sauvager, à rouvert ses portes le 8 juillet, sous la direction de M. Albric. Il ne reçoit que des élèves externes. »
  8. « Collège Carnot. », L'Abeille de Fontainebleau, no 35 de la 60e année, , p. 4 (lire en ligne) :
    « Le collège Carnot, qui comptait 134 élèves en 1891, a vu sa population scolaire s'élever à 221 élèves pendant la dernière année. »
  • Autres :
  1. http://www.lyceefrancois1.net/
  2. « Lycée international François 1er », sur Ministère de l’Éducation nationale, de la Jeunesse et des Sports (consulté le )
  3. (en) « Anglophone Section Fontainebleau », sur The Good Schools Guide (consulté le ).
  4. « Inauguration du campus international », sur leparisien.fr, Le Parisien,
  5. Bulletin administratif du ministère de l'instruction publique, des cultes et des beaux-arts : Nouvelle série, t. XVII : Année 1874. — no  326 à 352, 41 rue Jean-Jacques-Rousseau (Paris), Paris, Imprimerie Paul Dupont et Cie (no 326-352), (lire en ligne), p. 457-458
  6. Jean-Luc Flohic, Le Patrimoine des communes de la Seine et Marne, t. 1, Paris, Éditions Flohic, , 1500 p. (ISBN 2-84234-100-7), Fontainebleau, « Lycée Carnot (façade) », p. 578
  7. Félix Herbet, Eugène Thoison et Maurice Bourges, Les Enseignes de Fontainebleau, 32 rue de l'Arbre-Sec, Fontainebleau, Maurice Bourges, , 159 p. (lire en ligne ), Les Enseignes de Fontainebleau au XIXe siècle, « Le Clos de Bel-Air. », p. 20-21
  8. Patrick Daguenet, Fontainebleau, et ses villages d'art (1850-1950): le tout-Paris dans la forêt, Les Presses du Village, (ISBN 978-2-914700-08-5, lire en ligne), p. 161
  9. « À Fontainebleau », La Justice, , p. 3 (lire en ligne) :
    « Selon la décision prise mardi par le conseil municipal, le collège de Fontainebleau s'appellera « collège Carnot ». Plusieurs membres voulaient l'appeler « collège Lazare-Carnot » mais la majorité a opiné pour Carnot tout court. »
  10. Bulletin administratif du ministère de l'instruction publique, des cultes et des beaux-arts, t. XLIV : Année 1888. — no  810 à 835, Imprimerie nationale (no 827), (lire en ligne), « Enseignement secondaire », p. 610
  11. « La mort de M. Carnot », La Liberté, no 11013, , p. 1 (lire en ligne) :
    « Fontainebleau, le 27 juin — Le principal, les professeurs et les élèvess du collège Carnot, à Fontainebleau, ont souscrit une somme de cinq cents francs pour l'envoi d'une couronne. »
  12. Louis Plauchut, « Hommage à M. Carnot », La Petite Presse, no 10186, , p. 1 (lire en ligne) :
    « Le principal, les professeurs et les élèves du collège Carnot, à Fontainebleau, ont souscrit une somme de cinq cents francs pour l'envoi d'une couronne. »
  13. « Les funéraille de M. Carnot - À Paris », Le Rappel, no 8876, , p. 2 (lire en ligne) :
    « Le principal, les professeurs et les élèves du collège Carnot, à Fontainebleau, ont souscrit une somme de 500 fr. pour l'envoi d'une couronne. »
  14. René-Charles Plancke, La Seine-et-Marne, 1939-1945: L'Été de la liberté. La libération 23-31 août 1944, Éditions Amatteis, (ISBN 978-2-86849-041-4, lire en ligne), p. 69
  15. Ministère de l'Éducation nationale, « Effectifs d'élèves des établissements du second degré public et privé sous tutelle du ministère en charge de l'éducation nationale », sur data.education.gouv.fr (consulté le )
  16. http://193.252.190.42/Site/chrono_upload/File/Administration/Historique.pdf
  17. « Résultats », sur www.lyceefrancois1.net (consulté le )
  18. « Hébergement -Lycée International François 1er », sur www.lyceefrancois1.net (consulté le )
  19. (en-US) « Our history | The Anglophone Section of Fontainebleau »
  20. Frères Delalain, Annuaire de l'instruction publique et des beaux-arts pour l'année 1878, (lire en ligne), Académie de Paris - Département de Seine-et-Marne, « Enseignements secondaires - Collèges communaux » :
    « Fontainebleau. Principal : M. Péquignat (A. ) »
  21. Ministère de l'Éducation nationale, Bulletin officiel, vol. 17, Imprimerie Nationale (no 340), (lire en ligne), Partie officielle, « Du 6 août. », p. 598 :
    « Collége de Fontainebleau. — M. Péquignat, Principal du collége de Montargis, est nommé Principal du collège de Fontainebleau (emploi nouveau). »
  22. Association amicale des anciens élèves du Collège de Fontainebleau, « Assemblée générale du  : Mairie de Fontainebleau (salle des Mariages) », Bulletin de l'Association amicale des anciens élèves du Collège de Fontainebleau (actuellement Collège Carnot), , p. 12 (lire en ligne ) :
    « Auguste BREPSANT, Ancien Principal du Collège et Membre perpétuel qui s'était retiré dans son pays aux environs de Laon »
  23. Frères Delalain, Annuaire de l'instruction publique et des beaux-arts : Année 1895., 56 rue des Écoles, Paris, Typographie de Delalain frères, , 322 p. (lire en ligne), « Collège communal « Carnot » à Fontainebleau », p. 148 :
    « Principal : M. Brepsant (I. ). »
  24. « Chronique locale », L'Abeille de Fontainebleau, no 26 de la 86e année, , p. 1/4 (lire en ligne , consulté le )
  25. « Grade de chevalier », Journal officiel de la République française, , p. 3324 (lire en ligne , consulté le ) :
    « 570 Touzé (Pierre-Marie-Clément), principal au collège de Fontainebleau (Seine-et-Marne) »
  26. J. Guerrapin, « Entre nous - Nécrologie », Bulletin d'informations du Syndicat du personnel de l'enseignement secondaire SPES, no 8, , p. 135-136 (lire en ligne) :
    « le nouveau principal du Collège de Fontainebleau, M. Bitry »
  27. Tableau de l'association amicale Anciens élèves et maîtres près du secrétariat du lycée
  28. Plan à l'entrée du lycée.
  29. Alain Guyot, « Nos partenaires à l'étranger », (consulté le )
  30. Plaques des Anciens élèves sur la façade du bâtiment C devant les salles.
  31. « Edgar FAURE », sur www.economie.gouv.fr (consulté le )
  32. Collège international de Fontainebleau, « Présentation historique - Comment l’histoire du Collège International est étroitement liée à celle du Lycée François 1er », sur https://college-international-fontainebleau.org/, (consulté le )
  33. « Les souvenirs du bahut d'Antoine de Maximy », La République de Seine-et-Marne, (lire en ligne)
  34. Emmanuelle Dasque, « L'aventure sur un plateau. Antoine de Maximy présente « les Nouveaux Mondes » sur France 2. Le look globe-trotteur comme caution d'image », sur http://www.liberation.fr/, Libération, (consulté le )
  35. Yoann Vallier, « Quand le papa du Petit Nicolas faisait des bêtises au Collège International », La République de Seine-et-Marne, (lire en ligne)
  36. Sylvain Deleuze, « Fontainebleau : le réalisateur Laurent Tirard de retour dans son bahut », sur leparisien.fr, Le Parisien, (consulté le )
  37. « Pleymo, le néométal de Fontainebleau - https://www.leparisien.fr/ » (consulté le )
  38. « Pleymo, le néométal de Fontainebleau Pleymo, le néométal de Fontainebleau », sur leparisien.fr, Le Parisien, (consulté le ) : mention d'un « lycée Henri-IV de Fontainebleau » mais inexistant en réalité, très probablement une erreur renvoyant vers le lycée François-Ier.
  39. url=https://www.ntav.fr/pratiquer-le-th%C3%A9%C3%A2tre/english-section/
  40. Rédaction Melun, « À 15 ans, Paul Ji impressionne la France en remportant l'émission Prodiges », sur actu.fr, La République de Seine-et-Marne, (consulté le )
  41. Alfred Georges Regner, Alfred-Georges Regner: peintre-graveur, 1902-1987 : catalogue raisonné, AAAGR, (ISBN 978-2-85056-578-6, lire en ligne), p. 21, 215, 231
  42. Charles W. Scheel, La Forge de Zobel, Scitep, (ISBN 979-10-93143-37-8, lire en ligne), « Appendice »
  43. « Anciens sénateurs Vème République : SERAMY Paul », sur www.senat.fr (consulté le )

Annexes

Articles connexes

Liens externes

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