Blendecques
Blendecques est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.
Blendecques | |||||
Hôtel de ville. | |||||
Blason |
|||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Pas-de-Calais | ||||
Arrondissement | Saint-Omer | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération du Pays de Saint-Omer | ||||
Maire Mandat |
Rachid Ben Amor 2020-2026 |
||||
Code postal | 62575 | ||||
Code commune | 62139 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Blendecquois | ||||
Population municipale |
4 974 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 520 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 43′ 04″ nord, 2° 16′ 38″ est | ||||
Altitude | Min. 7 m Max. 93 m |
||||
Superficie | 9,56 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Unité urbaine | Saint-Omer (banlieue) |
||||
Aire d'attraction | Saint-Omer (commune de la couronne) |
||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Longuenesse | ||||
Législatives | Huitième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
| |||||
Liens | |||||
Site web | ville-blendecques.fr | ||||
Géographie
La commune est traversée par l'Aa, fleuve côtier de 80 km de long se jetant dans la mer du Nord. Cette rivière a enregistré des records de pollution dans les années 1980-1990, mais sa qualité s'est fortement améliorée à la suite de la construction de nouvelles stations d'épuration industrielles (pour les quatre papeteries de la vallée).
À Blendecques, l'Aa est canalisé et séparé en deux bras, La Basse Meldyck et La Haute Meldyck (Meldyck vient du flamand Molendijk, digue du moulin).
- L'Aa à Blendecques avec des rejets de chapelure, 1990.
- La Basse Meldyck.
- La Haute Meldyck.
Communes limitrophes
Environnement
La commune est située sur d'anciennes zones humides où ont été au Moyen Âge installés les moulins de Blendecques (et bien d'autres, en amont et en aval), dans l'ancien lit majeur de l'Aa, ce qui fait de la commune une commune à risque en matière d'inondation.
Les limites de la commune de Blendecques incluent une partie du plateau d'Helfaut qui domine le centre-ville et qui abrite quatre anciennes réserves naturelles volontaires devenues réserves naturelles régionales. Ces réserves ont été réalisées pour protéger une biodiversité extraordinaire pour la région (en mesures compensatoires au passage d'une nouvelle route (VNVA ou « Voie nouvelle de la vallée de l'Aa », doublant l'ancien CD 77 pour éviter la traversée d'Heuringhem) au travers des Landes d'Heuringhem et de Blendecques). La Réserve naturelle des Landes de Blendecques, grâce à un substrat géologique particulier dit « diluvium d'Helfaut » et une assise d'argile à silex sur sable du Landénien, abrite notamment un grand nombre d'espèces typiques des milieux acides rares dans cette région calcaire. Le substrat argileux a permis la conservation de zones humides et de nappes dites « perchées » où ont survécu mieux qu'ailleurs de nombreuses espèces devenues rares ou qui ont disparu d'une grande partie de la région voire de tout le Nord de la France. L'Aa fait l'objet d'un SAGE et dans le cadre du nouveau SDAGE devait inclure un programme de restauration de l'anguille qui y était abondante jusque dans les années 1940-1950 (avec d'autres espèces emblématiques telles que la lamproie fluviatile ou la loutre). L'anguille européenne, autrefois très présente dans l'Audomarois, a fortement régressé en France et dans le monde depuis 30 ans et figure aujourd'hui sur liste rouge (espèce menacée).
Urbanisme
Typologie
Blendecques est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[1],[2],[3]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Omer, une agglomération inter-départementale regroupant 23 communes[4] et 74 682 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[5],[6].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Omer dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 79 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[7],[8].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (56,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (59,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (49,9 %), zones urbanisées (24 %), forêts (14,8 %), zones agricoles hétérogènes (4,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (4,3 %), prairies (2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,5 %)[9].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[10].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Blandeca (1119), Blendeka (1139), Blindeca (1194), Blendeca (1197), Blindeka (1200), Blendeke (1202), Blendecqua (1263), Blandeques (1286), Blandesque (1306-1400), Blendecque (1417), Bendecque (1793), Blandecques puis Blendecques (depuis 1801)[11],[12].
Ernest Nègre donne comme origine toponymique l'anthroponyme romain Blandus suivi du suffixe gallo-romain -acum devenu -aca « domaine (de) », donnant le « domaine de Blandus »[13]. Ici, comme pour les proches communes de Wardrecques et Éperlecques, le suffixe -(i)acum a subi une évolution phonétique de type flamand, plus tard francisé en -ecque(s).
Histoire
Le plateau d'Helfaut, le plateau de Longuenesse, et la vallée de l'Aa qu'ils encadrent ont connu une occupation préhistorique, puis gauloise.
Au Moyen Âge, la commune s'est développée sur les abords de l'axe important qui joignait Saint-Omer à Thérouanne (qui deviendra plus tard le CD 77), autour des moulins à vent et moulins à eau construits sur l'Aa et d'une abbaye cistercienne [15]. Ces abbayes étaient nombreuses dans les proches Flandres françaises à la fin du XIIe et au début du XIIIe siècle. Les archives disponibles ne permettent pas d'approcher les aspects matériels de la vie du début de ces abbayes, mais à Blendecques, et dans quelques autres cas, « le rôle de la noblesse foncière locale est dominant au contraire de celui des évêques et des comtes de Flandre ».
Vers 1435, Blendecques est une vicomté détenue par Gilles III d'Azincourt[16].
Le 23 mai 1664, des lettres de Madrid érigent en comté la terre et seigneurie de Blendecques, près de Saint-Omer, au profit de François de Lens, mayeur (maire) de Saint-Omer, seigneur de Blendecques, dont la famille descend des châtelains héréditaires de Lens et a produit plusieurs personnages remarquables, comme Baudouin de Lens, gouverneur de Lille, tué en 1364, Charles de Lens, assassiné au pont de Montereau avec le duc de Bourgogne Jean sans Peur, Robert de Lens, père dudit François, qui accepta dès le commencement de la guerre avec la France, la charge difficile de mayeur de Saint-Omer et prit une part très active dans la défense de cette ville, lorsqu'elle fut assiégée par les Français en 1638[17].
En 1698, Thérèse de Lens, fille et sœur des comtes de Blendecques, est l'épouse du seigneur de Quérénaing et Warlaing, membre de la maison de Haynin, et mère de Philippe Louis de Haynin, érigé marquis de Quérénaing et Warlaing[18].
À la révolution industrielle et au XXe siècle, les moulins ont été remplacés par des usines (papeteries-cartonneries notamment, dont deux sur le territoire de la commune) fonctionnant au charbon, puis au fioul ou au gaz et desservies par une voie ferrée plus ou moins parallèle à la rivière de Arques à Lumbres.
Le 18 décembre 1925, une famille de Blendecques, agrandie de seize enfants en seize ans, reçoit le prix Cognacq-Jay, d'encouragement aux familles nombreuses. Le père est un charretier de 42 ans, la mère a 36 ans[19].
La proche verrerie-cristallerie d'Arques jouera aussi un rôle important en tant qu'employeur direct ou indirect important (notamment des années 1970 à 1990).
Politique et administration
Liste des maires
Démographie
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[26].
En 2018, la commune comptait 4 974 habitants[Note 3], en diminution de 3,74 % par rapport à 2013 (Pas-de-Calais : +0,1 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (16,9 %) est en effet inférieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (19,8 %). À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (50,1 %) est du même ordre de grandeur que le taux national (51,6 %).
La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :
- 49,9 % d’hommes (0 à 14 ans = 20,4 %, 15 à 29 ans = 20,2 %, 30 à 44 ans = 22,2 %, 45 à 59 ans = 22,8 %, plus de 60 ans = 14,4 %) ;
- 50,1 % de femmes (0 à 14 ans = 20,2 %, 15 à 29 ans = 16,7 %, 30 à 44 ans = 21,5 %, 45 à 59 ans = 22,3 %, plus de 60 ans = 19,2 %).
Culture locale et patrimoine
Abbaye Sainte-Colombe
- Selon l’encyclopédie méthodique de géographie moderne (1782) on trouve à « Blandeque » une « abbaye de Bernardine en Artois, fondée en 1189, sur la rive droite de l'Aa, à une lieue de Saint Omer »[30].
- Les vestiges de l'ancienne abbaye sont : un bâtiment d'entrée (façades et toitures) ; un portail ouvrant sur le palais abbatial un palais abbatial (façades et toitures) et son escalier monumental ; les vestiges du mur méridional de l'église ; des restes des bâtiments de la ferme : corps de logis et grange en retour (façades et toitures) ; mur d'enceinte ; sol et sous-sol des parcelles (cad. AM 195, 196 ; AN 4, 5, 7, 8, 12, 23, 788, 790, 807, 808, 810 à 812, 814, 817, 818, 855 à 860, 863, 864) : inscription par arrêté du 27 juin 1991[31].
- L'actuelle église Sainte-Colombe a été construite de 1858 à 1870 en style néoroman. C'est l'unicon[Quoi ?] de l'architecte Charles Leroy qui a réalisé plus de soixante édifices religieux tous en style néogothique dans la région et dont le plus emblématique reste l'inachevée cathédrale Notre-Dame-de-la-Treille à Lille.
Les moulins à eau
Les vestiges de plusieurs anciens moulins à eaux sont visibles à Blendecques. En particulier, l'ancien « moulin Galamez-Joly » (rue Roger-Salengro, ancien chemin départemental 77) qui il y a plusieurs siècles a fonctionné avec une roue de chaque côté du corps de bâtiments et qui a été moulin à battre le feutre, et à battre le drap, mais aussi à battre le fer. Ces moulins sont anciens, plusieurs fois reconstruits depuis le moyen-âge comme le montrent un terrier (à la mairie), les cadastres successifs (depuis le cadastre Napoléon, et un parchemin ancien conservé à la bibliothèque de Saint-Omer qui représente une grande partie de la vallée de l'Aa avec les édifices importants (dont moulins)
Depuis le Moyen Âge, ces moulins, lieux symboliques et stratégiques, ont souvent été victimes des invasions et des guerres.
- Le « moulin Snick », maintenant restaurant et les restes de l'ancien vannage.
- 4 moulins sont visibles sur quelques centaines de mètres de cours d'eau il y a quelques siècles.
Les usines
La vallée de l'Aa à Blendecques, de par sa richesse médiévale en moulins (une dizaine sur quelques kilomètres, dont trois au centre de la commune sur la rivière autrefois divisée en quatre bras) pourrait être considérée comme la première zone industrielle de la région et l'une des premières de France[réf. nécessaire].
En particulier la commune de Blendecques abrite encore deux papeteries et les restes de nombreux barrages qui servaient à contrôler l'eau qui produisait l'énergie motrice puis électrique nécessaire à ces activités avant le développement des moteurs au fioul, au charbon, électrique et au gaz…
Four à chaux
Les restes d'anciens fours à chaux peuvent être observés dans la vallée, au pied du massif calcaire sous-jacent au plateau d'Helfaut près de la papeterie L'Hermitage.
Personnalités liées à la commune
- Alfred Machin (1877-1929), cinéaste, natif de la commune.
- Jehan de Terline (1892-1916), aviateur de la Première Guerre mondiale.
- Michel Lefait (1946-), ancien député, natif de la commune.
Héraldique
Blason | De sable à la colombe d'argent ; au chef du même chargé d'une roue de moulin de gueules[32]. |
|
---|---|---|
Détails | Armes de l'abbaye Sainte-Colombe auxquelles fut ajouté un chef chargé d'une roue de moulin symbolisant les nombreux moulins anciens sur le cours de la rivière d'Aa. Adopté le . |
Pour approfondir
Bibliographie
Articles connexes
Liens externes
- Site de la mairie
- Ressource relative à la géographie :
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
Références
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Saint-Omer », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Saint-Omer », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Auguste de Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, (lire en ligne), p. 53.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Volume 1, Librairie Droz, , p. 595.
- Centre de Recherche généalogique Flandre-Artois
- Berings G., Cinq abbayes cisterciennes en Flandre française: fondation et histoire des premières décennies (Five Cistercian Abbeys in French Flandres. Foundation and History of the First Decades) ; Revue Cîteaux commentarii cistercienses ; 1994, vol. 45, no1-2, p. 63-89; (ISSN 0009-7497).
- Étienne Patou, Seigneurs d'Azincourt, alias Agincourt, site en ligne, 2012, p. 5, lire en ligne.
- Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 328, lire en ligne.
- Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 362, lire en ligne.
- Cent ans de vie dans la région, Tome II : 1914-1939, La Voix du Nord éditions, n° hors série du 17 février 1999, p. 47
- Cent ans de vie dans la région, tome 3 : 1939-1958, La Voix du Nord éditions, hors série du 17 juin 1999, p. 47
- David Monnery, « Rachid Ben Amor devient maire de Blendecques, tout en gardant son « style » : Il sera entouré de huit adjoints, soit deux de plus qu'André Bultel, son prédécesseur. », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
- David Monnery, « Les nouveaux maires : à Blendecques, Rachid Ben Amor, l'homme aux multiples casquettes qui a pris l’écharpe de maire : S'il est un Audomarois connu comme le loup blanc, c’est Rachid Ben Amor. Depuis mars, celui que tout le monde connaît de par ses multiples activités est devenu « Monsieur le maire ». », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- https://reader.cafeyn.co/fr/1926576/21598919
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- « Évolution et structure de la population à Blendecques en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- « Résultats du recensement de la population du Pas-de-Calais en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Voir page 283 de l’encyclopédie méthodique de géographie moderne imprimée à Paris, M DCC. LXXXII (1782), Chez Plomteux, Imprimeur des états
- Renseignements issus de : Mérimée, base de données du Ministère de la culture
- « 62139 Blendecques (Pas-de-Calais) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
- Portail du Nord-Pas-de-Calais
- Portail des communes de France