Warlaing

Warlaing est une petite commune française située dans le département du Nord, en région Hauts-de-France.

Warlaing

La mairie.

Blason
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Nord
Arrondissement Douai
Intercommunalité Communauté de communes Cœur d'Ostrevent
Maire
Mandat
Patrice Bricout
2020-2026
Code postal 59870
Code commune 59642
Démographie
Population
municipale
580 hab. (2018 )
Densité 149 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 24′ 40″ nord, 3° 19′ 34″ est
Altitude Min. 16 m
Max. 19 m
Superficie 3,89 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Lille (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Sin-le-Noble
Législatives Seizième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Warlaing
Géolocalisation sur la carte : Nord
Warlaing
Géolocalisation sur la carte : France
Warlaing
Géolocalisation sur la carte : France
Warlaing

    Géographie

    Situation

    Warlaing dans son canton et son arrondissement

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Warlaing
    Tilloy-lez-Marchiennes
    Marchiennes Hasnon
    Wandignies-Hamage

    Héraldique

    Les armes de Warlaing sont celles de la Maison de Haynin : « D'or, à la croix engrêlée de gueules »[réf. nécessaire]

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 14,5 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 687 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,1 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 9,4 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Pecquencourt », sur la commune de Pecquencourt, mise en service en 1962[7] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 10,8 °C et la hauteur de précipitations de 743,8 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], « Lille-Lesquin », sur la commune de Lesquin, mise en service en 1944 et à 25 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,8 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,3 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Warlaing est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[14],[15],[16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lille (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 201 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (84,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (85 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (80 %), forêts (8 %), zones urbanisées (7 %), terres arables (4,8 %), prairies (0,1 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Warlemium en 1046[21], Warlaing en 1123[22].

    Histoire

    En , la terre de Quérénaing, mouvante du roi à cause du comté du Hainaut, est érigée en marquisat (titre de marquis) au profit de Philippe Louis de Haynin (maison de Haynin). La terre de Quérénaing consiste en un beau château revêtu de murailles, tours, pont-levis, basse-cour, colombier, grand plantis d'arbres et terres labourables, consistant en 1100 mencaudées (une mencaudée vaut 35 à 45 ares soit au total de l'ordre de 440 hectares) de terres avec haute, moyenne et basse justice (justice seigneuriale), en y incorporant la terre et seigneurie de Warlaing ayant haute, moyenne et basse justice, grande quantité de prairies et bois, terres labourables, plusieurs mouvances , droits seigneuriaux, etc., par lettres données à Versailles et enregistrées le suivant. Philippe Louis de Haynin est écuyer, seigneur de Quérénaing, Warlaing, etc., fils du seigneur de Quérénaing et de Thérèse de Lens, fille d'honneur de la duchesse d'Orléans et fille et sœur des comtes de Blendecques, maison alliée aux plus illustres familles de Flandre, ayant été reçue aux chapitres de Nivelles (abbaye de Nivelles), Denain (abbaye de Denain) et autres. Il a épousé Marie Madeleine Charlotte Damman, fille du vicomte Damman d'Hérines, grand bailli de la ville et pays de Tournai. Il a pour armes « D'or à la croix dentelée de gueules, l'écu brisé au premier canton d'une tête de sanglier de sable »[23].

    La terre de Warlaing passa ensuite à la maison de Nédonchel par le mariage de Thérèse Louise Antoinette de Haynin, marquise de Quérénaing, avec Octave Alexandre de Nédonchel, (1697-1756), chevalier, baron de Bouvignies et de Ravensberghe (seigneurs de Ravensberghe).

    Par une ordonnance du , Alnes et Warlaing fusionnent, le chef-lieu est fixé à Alnes et la commune ainsi créée prend le nom d'Alnes[24].

    Politique et administration

    Titulaires de la fonction de maire de Warlaing
    IdentitéPériodeDuréeÉtiquette
    DébutFin
    Fidèle Dourge (d)
    (mort le )
    Alfred Dalloy (d)
    (mort le )
    Francis Griboval (d)[25],[26]
    ( - )
    années 1990
    Patrice Bricout (d)[27],[28],[29],[30],[25],[26],[31],[32]
    (né le )
    En cours24 ans divers droite
    sans étiquette

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[34].

    En 2018, la commune comptait 580 habitants[Note 7], en augmentation de 4,88 % par rapport à 2013 (Nord : +0,41 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    206214250281278521564565620
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    655672686686659654632647619
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    596579572508513489466424431
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    431359352340381461549562542
    2017 2018 - - - - - - -
    579580-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[36].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    Pyramide des âges à Warlaing en 2007 en pourcentage[37].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0 
    90 ans ou +
    0,7 
    4,8 
    75 à 89 ans
    2,2 
    8,6 
    60 à 74 ans
    10,7 
    12,8 
    45 à 59 ans
    12,5 
    30,7 
    30 à 44 ans
    30,5 
    15,2 
    15 à 29 ans
    15,4 
    27,9 
    0 à 14 ans
    27,9 
    Pyramide des âges du département du Nord en 2007 en pourcentage[38].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,2 
    90 ans ou +
    0,7 
    4,6 
    75 à 89 ans
    8,2 
    10,4 
    60 à 74 ans
    11,9 
    19,8 
    45 à 59 ans
    19,5 
    21,0 
    30 à 44 ans
    19,9 
    22,5 
    15 à 29 ans
    20,9 
    21,5 
    0 à 14 ans
    18,9 

    Lieux et monuments

    • L'église Notre-Dame-de-l'Assomption, construite vers 1852 par l'architecte lillois Charles Leroy, auteur de nombreux édifices religieux dans le Nord, notamment de la cathédrale Notre-Dame de la Treille.
    • Château de Warlaing : désormais en ruines, il a été détruit par les armées de Louis XIV.
    • La Scarpe, son écluse et le pont-bascule.
    • La chapelle Notre-Dame-de-la-Victoire.

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    7. « Station Météo-France Pecquencourt - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Warlaing et Pecquencourt », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Pecquencourt - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Warlaing et Lesquin », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lille (partie française) », sur insee.fr (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. Dans untitre de l'abbaye de Marchiennes (Miroeus).
    22. Dans le cartulaire de Marchiennes.
    23. Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 362, lire en ligne.
    24. « Ordonnance du portant réunion de communes », Bulletin des lois de la République française, , p. 99 (lire en ligne, consulté le ).
    25. J.-C. L., « Un mandat pour valoriser le patrimoine et moderniser le village », La Voix du Nord, no 24022, , p. 13 (ISSN 0999-2189 et 2491-3189, notice BnF no FRBNF34418428) :
      « Patrice Bricout, 65 ans, est ancien directeur territorial de La Poste. Il fut premier adjoint du maire Francis Griboval dès 1995. Sans étiquette, il termine ici son quatrième mandat de maire. »
    26. Marie-Caroline Debaene, « Orchésis : à un an des municipales, votre maire se représente-t-il ? », La Voix du Nord, (ISSN 0999-2189 et 2491-3189, notice BnF no FRBNF34418428) :
      « Warlaing. Patrice Bricout, 64 ans, est maire de la commune depuis 1997 (après avoir pris la succession en cours de mandat de Francis Griboval, aujourd’hui décédé). »
    27. Arnaud Déthée, « Patrice Bricout, maire de Warlaing : « Nous avons travaillé à un développement raisonné de la commune » », La Voix du Nord,  : « Maire depuis 1997, Patrice Bricourt présentera sa candidature aux Warlingeois en mars avec l’espoir de rempiler pour un quatrième mandat. »
    28. Jean-Claude Lukaszewski, « Warlaing : moderniser la commune et valoriser le patrimoine, à l’actif du bilan de Patrice Bricout », La Voix du Nord,  : « Le maire Patrice Bricout met en avant son action pour l’amélioration du cadre de vie pour sa commune. »
    29. Jean-Luc Rochat, « Téléphone, Internet, la mairie de Warlaing coupée de ses administrés et du monde depuis trois mois », La Voix du Nord,  : « Patrice Bricout, le maire, est fatigué. »
    30. Annuaire des mairies du Nord (préf. Christian Poncelet et Jean-Louis Debré), Les Éditions Céline, , 282  p. (ISBN 2-35258-159-1), p. 270 :
      « Appartenance politique : DVD »
    31. Benjamin Dubrulle, Julien Gilman et Stéphane Labdant (infographie), « Municipales : la nouvelle carte politique du Douaisis », La Voix du Nord, no 24270, , p. 10 (ISSN 0999-2189 et 2491-3189, notice BnF no FRBNF34418428) :
      « Warlaing : sans étiquette »
    32. Bruno Place, « Cœur d’Ostrevent : le président Frédéric Delannoy s’entoure de 14 vice-présidents », L'Observateur du Douaisis, (ISSN 0183-8415 et 1639-2221, lire en ligne) :
      « 5e vice-président, Patrice Bricout, maire de Warlaing, délégué à la collecte et au traitement des déchets ménagers »
    33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    35. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    37. « Évolution et structure de la population à Warlaing en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    38. « Résultats du recensement de la population du Nord en 2007 » [archive du ], sur le site de l'Insee (consulté le ).
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