Tilloy-lez-Marchiennes

Tilloy-lez-Marchiennes est une commune française située dans le département du Nord, en région Hauts-de-France.

Tilloy-lez-Marchiennes

La mairie.

Héraldique
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Nord
Arrondissement Douai
Intercommunalité Communauté de communes Cœur d'Ostrevent
Maire
Mandat
Marie Cau
2020-2026
Code postal 59870
Code commune 59596
Démographie
Population
municipale
516 hab. (2018 )
Densité 94 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 25′ 43″ nord, 3° 19′ 10″ est
Altitude Min. 15 m
Max. 20 m
Superficie 5,5 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Saint-Amand-les-Eaux
(banlieue)
Aire d'attraction Lille (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Sin-le-Noble
Législatives Seizième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Tilloy-lez-Marchiennes
Géolocalisation sur la carte : Nord
Tilloy-lez-Marchiennes
Géolocalisation sur la carte : France
Tilloy-lez-Marchiennes
Géolocalisation sur la carte : France
Tilloy-lez-Marchiennes

    Histoire

    Le , deux mois après les élections municipales françaises de 2020 retardé par la pandémie de Covid-19 en France, le conseil municipal élit à l'unanimité moins une (14 votes en faveur et 1 nul) Marie Cau comme maire, ce qui en fait la première maire transgenre de France[1].

    La commune était une enclave dans le parc naturel régional Scarpe-Escaut depuis 2012 et le réintègrera en 2021 ou 2022[2].

    Géographie

    Tilloy-lez-Marchiennes dans son canton et son arrondissement

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Tilloy-lez-Marchiennes
    Beuvry-la-Forêt Sars-et-Rosières Brillon
    Bousignies
    Marchiennes Warlaing Hasnon

    Héraldique

    Les armes de la commune de Tilloy-lez-Marchiennes se blasonnent ainsi :
    D'or à l'escarboucle de sable, chargée en cœur d'un rubis de gueules. [3]

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[5].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[6]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[4]

    • Moyenne annuelle de température : 10,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 14,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 704 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,8 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 9,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[8] complétée par des études régionales[9] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Pecquencourt », sur la commune de Pecquencourt, mise en service en 1962[10] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[11],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 10,8 °C et la hauteur de précipitations de 743,8 mm pour la période 1981-2010[12]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], « Lille-Lesquin », sur la commune de Lesquin, mise en service en 1944 et à 23 km[13], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[14] à 10,8 °C pour 1981-2010[15], puis à 11,3 °C pour 1991-2020[16].

    Urbanisme

    Typologie

    Tilloy-lez-Marchiennes est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[17],[18],[19]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Amand-les-Eaux, une agglomération intra-départementale regroupant 15 communes[20] et 35 632 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[21],[22].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lille (partie française) dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 201 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[23],[24].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (70,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (80,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (34,3 %), terres arables (27,1 %), forêts (19,8 %), prairies (9,5 %), zones urbanisées (9,3 %)[25].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[26].

    Politique et administration

    Tendances politiques et résultats

    Lors du premier tour des élections municipales le , on dénombre 455 inscrits, dont 309 votants et 301 suffrages exprimés. Le maire sortant Jean-Luc Bot ne se représentait pas[27]. Le confinement lié à la pandémie de Covid-19 retarde d'environ deux mois l'élection des maires par les nouveaux conseils municipaux[28]. Marie Cau est élue maire du village[29] le avec quatorze voix et un vote nul[30]. En France, il s'agirait de la première fois qu'une personne transgenre est élue maire[30].

    Liste des maires

    Marie Cau, Maire de Tilloy-Lez-Marchiennes, lors de la séance d'investiture de la Communauté de communes Coeur d'Ostrevent en la salle Coquelet d'Auberchicourt le 10 juillet 2020
    Titulaires de la fonction de maire de Tilloy-lez-Marchiennes
    IdentitéPériodeDuréeÉtiquette
    DébutFin
    Jean-Baptiste Hacart (d)2 ans
    Par intérim :
    Charles Joseph Havez (d)
    moins d’un an
    Pierre Joseph Lecœuvre (d)1 an
    Par intérim :
    Jean-Baptiste Joseph Houdart (d)
    1 an
    Jean Augustin Lecœuvre (d)1 an
    Pierre-François Leleu (d)moins d’un an
    Pierre Joseph Lecœuvre (d)1 mois
    Jean Augustin Lecœuvre (d)1 an
    Jean-Baptiste Roger (d)2 ans
    Pierre Joseph Lecœuvre (d)1 an
    Jean-Baptiste Roger (d)2 ans et 1 mois
    Louis Platel (d)4 ans
    Jean-Baptiste Lecœuvre (d)25 ans
    Constant Joseph Debrabant (d)
    (années 1770 - )

    (mort en cours de mandat (en))
    17 ans
    Liliane Deparis (d)[31]années 1990
    (démission)
    Jean-Luc Bot (d)[32],[33],[34],[31]
    (né le )
    21 ans
    Marie Cau[35],[36],[37]
    (née le )
    En cours1 an, 3 mois et 23 jours sans étiquette

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[39].

    En 2018, la commune comptait 516 habitants[Note 7], en diminution de 9,15 % par rapport à 2013 (Nord : +0,41 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    300339463480502514520510496
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    530538523494466414392368336
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    316322279253240233237212224
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    218199197226283405510561527
    2018 - - - - - - - -
    516--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[40] puis Insee à partir de 2006[41].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    Pyramide des âges à Tilloy-lez-Marchiennes en 2007 en pourcentage[42].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0 
    90 ans ou +
    0,0 
    3,0 
    75 à 89 ans
    3,3 
    7,8 
    60 à 74 ans
    7,1 
    17,1 
    45 à 59 ans
    15,1 
    29,0 
    30 à 44 ans
    33,1 
    13,0 
    15 à 29 ans
    14,2 
    30,1 
    0 à 14 ans
    27,2 
    Pyramide des âges du département du Nord en 2007 en pourcentage[43].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,2 
    90 ans ou +
    0,7 
    4,6 
    75 à 89 ans
    8,2 
    10,4 
    60 à 74 ans
    11,9 
    19,8 
    45 à 59 ans
    19,5 
    21,0 
    30 à 44 ans
    19,9 
    22,5 
    15 à 29 ans
    20,9 
    21,5 
    0 à 14 ans
    18,9 

    Lieux et monuments

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[7].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « VIDÉO. Tilloy-lez-Marchiennes élit une maire transgenre, la première en France », sur france3-regions.francetvinfo.fr, (consulté le ).
    2. Tilloy-lez-Marchiennes: la commune réintègre le Parc naturel régional Scarpe-Escaut , La Voix du Nord, Jean-Claude Lukaszewski, 3 juillet 2021
    3. http://www.labanquedublason2.com/lecture_fiche_commune.php3?page=f59597
    4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    5. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    6. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    7. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    8. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    9. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    10. « Station Météo-France Pecquencourt - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    11. « Orthodromie entre Tilloy-lez-Marchiennes et Pecquencourt », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station Météo-France Pecquencourt - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    13. « Orthodromie entre Tilloy-lez-Marchiennes et Lesquin », sur fr.distance.to (consulté le ).
    14. « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    17. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    19. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    20. « Unité urbaine 2020 de Saint-Amand-les-Eaux », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    21. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    22. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    23. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lille (partie française) », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    24. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    25. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    26. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    27. « Élections municipales 2020 - 1er tour, Tilloy-lez-Marchiennes », L'Observateur du Douaisis, no 897, , p. 10.
    28. « Cinquante-quatre maires du Douaisis installés entre le 23 et le 28 mai », sur lavoixdunord.fr, La Voix du Nord, .
    29. « Marie Cau devient la première maire transgenre », L'Observateur du Douaisis, no 907, , p. 18.
    30. « Nord : Marie Cau, première personne transgenre élue maire en France », sur leparisien.fr, (consulté le ).
    31. J.-C. Lukaszewski, « La rue d'Herbomez, principal chantier du dernier mandat de Jean-Luc Bot », La Voix du Nord, no 24030, , p. 15 (ISSN 0999-2189 et 2491-3189, notice BnF no FRBNF34418428) :
      « Jean-Luc Bot, 64 ans, retraité de l'industrie automobile, est maire sans étiquette de Tilloy-lez-Marchiennes. [...] Six ans plus tard, il est premier adjoint et, en 1999, il devient maire suite à la démission de Liliane Deparis. »
    32. « À Tilloy-lez-Marchiennes, un cinquième mandat de maire pour Jean-Luc Bot », La Voix du Nord,  : « À l’issue du vote, Jean-Luc Bot a été confirmé, sans surprise, au poste de maire qu’il occupe depuis quinze ans. »
    33. Fabien Bidaud, « Ces « petits » maires du Douaisis qui se battent pour moderniser leur commune », La Voix du Nord,  : « Jean-Luc Bot en est le maire depuis 2000. »
    34. Marie-Caroline Debaene, « Orchésis : à un an des municipales, votre maire se représente-t-il ? », La Voix du Nord, (ISSN 0999-2189 et 2491-3189, notice BnF no FRBNF34418428) :
      « Tilloy-lez-Marchiennes. Après trois mandats de maire, Jean-Luc Bot, 64 ans, ne rempilera pas. Il parle d’un ras-le-bol et d’une lassitude. « Les temps sont difficiles. Être maire, c’est presqu’un métier pour ainsi dire. Nous n’avons pas beaucoup de ressources dans une petite commune et les gens sont toujours plus exigeants. »
    35. Arnaud Déthée, « Tilloy-lez-Marchiennes (600 hab.) s’apprête à élire le premier maire transgenre des Hauts-de-France », La Voix du Nord, (ISSN 0999-2189 et 2491-3189, notice BnF no FRBNF34418428, lire en ligne) :
      « Installée à Tilloy depuis vingt ans, Marie Cau devrait succéder ce samedi à Jean-Luc Bot, qui a présidé aux destinées tillotines pendant deux décennies. »
    36. « Nord : Marie Cau, première femme transgenre à être élue maire en France », BFM TV, (notice BnF no FRBNF17019491, lire en ligne) :
      « Agée de 55 ans, Marie Cau a été élue par le conseil municipal de Tilloy-lez-Marchiennes avec 14 voix et un vote nul. »
    37. Benjamin Dubrulle, Julien Gilman et Stéphane Labdant (infographie), « Municipales : la nouvelle carte politique du Douaisis », La Voix du Nord, no 24270, , p. 10 (ISSN 0999-2189 et 2491-3189, notice BnF no FRBNF34418428) :
      « Tilloy-lez-Marchiennes : sans étiquette »
    38. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    39. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    40. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    41. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    42. « Évolution et structure de la population à Tilloy-lez-Marchiennes en 2007 », sur recensement.insee.fr (consulté le ).
    43. « Résultats du recensement de la population du Nord en 2007 », sur recensement-2007.insee.fr (consulté le ).

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

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