Helfaut

Helfaut est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.

Helfaut

Mairie et écoles

Blason
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Saint-Omer
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Pays de Saint-Omer
Maire
Mandat
Francis Marquant
2020-2026
Code postal 62570
Code commune 62423
Démographie
Gentilé Helfalois
Population
municipale
1 714 hab. (2018 )
Densité 192 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 41′ 54″ nord, 2° 14′ 38″ est
Altitude Min. 23 m
Max. 95 m
Superficie 8,92 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Saint-Omer
(banlieue)
Aire d'attraction Saint-Omer
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Longuenesse
Législatives Huitième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Helfaut
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Helfaut
Géolocalisation sur la carte : France
Helfaut
Géolocalisation sur la carte : France
Helfaut
Liens
Site web commune-helfaut.fr

    Géographie

    L'ancien village et le centre-ville actuel sont situés sur une formation géologique particulière dite Plateau d'Helfaut, qui isole le bassin versant de la vallée de l'Aa au nord de vallée de la Lys (au sud). La commune abrite un patrimoine géologique exceptionnel, qui explique un paysage inhabituel pour la région. Les flancs des anciennes carrières périphériques au Plateau d'Helfaut laissent encore apercevoir de nombreuses strates géologiques, notamment à Helfaut et Wizernes (ceux des carrières d'Heuringhem et Blendecques se sont effondrés sous l'effet des poches de solifluxion.

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes d’Helfaut
    Wizernes Blendecques
    Hallines Heuringhem
    Pihem Inghem Ecques

    Urbanisme

    Typologie

    Helfaut est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[1],[2],[3]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Omer, une agglomération inter-départementale regroupant 23 communes[4] et 74 682 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[5],[6].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Omer dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 79 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[7],[8].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (74 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (78,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (69,3 %), zones urbanisées (13,7 %), forêts (12,4 %), prairies (4,7 %)[9].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[10].

    Environnement

    La commune bénéficie d'un patrimoine environnemental et géologique exceptionnel (elle a donné son nom au Dilluvium d'Helfaut, formation particulière d'argile à silex qu'on ne trouve que très rarement en France et en Europe). la commune abritait et abrite encore de nombreuses espèces rares et protégées, ainsi qu'un paysage de Lande acide à bruyère, très rare dans le Nord de la France, qui a justifié la création de la réserve naturelle des Landes d'Helfaut.

    Pour ces raisons elle est concernée par plusieurs périmètres d'inventaires ou de protection ;

    • ZNIEFF de type II (N° : 024) dite La Moyenne Vallee de l'Aa et ses versants entre Remilly- Wirquin et Wizernes
    • ZNIEFF de type I (N° : 024-01) dite : « Plateau siliceux d'Helfaut a Racquinghem »
    • ZNIEFF de type I (N° : 024-08) dite « Coteau de Wizernes »
    • Arrêté préfectoral de protection de biotope (N° : 62APB6, du 05/04/1995) dit du « Plateau d'Helfaut (Blendecques, Heuringhem) »
    • Parc naturel régional des Caps et Marais d'Opale (N° : 62PNR3 - 24/03/2000)
    • Réserve Naturelle Volontaire de venue Réserve naturelle régionale (N° : 62RNV08 05/08/1996 et N° : 62RNV10 du 05/08/1997) dite réserve naturelle du Plateau d'Helfaut
    • Zone Natura 2000 14 (pSIC et n° : FR3100487) pour ses pelouses, bois acides à neutro-calcicoles, landes nord-atlantiques du plateau d'Helfaut et système alluvial de la moyenne vallée de l'Aa (SPN no 487).
    • Zone Sensible au regard de la pollution des eaux par les nitrates (classement du 12/01/2006) (N° : ZS AP)
    • Zone Vulnérable (pollution eau par nitrate), depuis le 20/12/2002

    Agriculture

    Selon le recensement agricole 2000[11], la commune abritait encore cette année-là 16 exploitations (agricoles dont 10 professionnelles), contre 30 en 1988. Seize chefs d'exploitation et co-exploitants y travaillaient, avec 31 "actifs familiaux", soit 21 actifs sur exploitations au total (en UTA, équivalent temps plein).
    La superficie agricole utilisée était de 703 hectares, dont 623 en terres labourable et 79 ha en superficie toujours en herbe. 156 vaches étaient déclarées.

    Toponymie

    Helveld en flamand[12].

    Histoire

    Une première église aurait été bâtie à Helfaut au IIIe siècle par des missionnaires envoyés par Rome : saints Victoric d'Amiens, Saint Fuscien, envoyés par Rome, avec Saint Quentin, Crépin et Crépinien, Piat de Seclin, le premier nom historique d'Helfaut étant Helleveld[13].

    Le village était le centre de l'ancien doyenné d'Helfaut, décrit par le chanoine Georges Goolen[14] et qui comprenait selon deux pouillés du XIVe publiés par Auguste Longnon, outre la paroisse d'Helfaut, celles de Thiembronne, Ecques, Bilques, Herbelles, Wavrans, Nielles-les-Bléquin, Wismes, Rumilly, Dohem, Lumbres Pihem Bléquin Merck Wandonne Radinghem Coyecques Quiestède[15].

    En 1253, Isabelle, épouse de Philippe de Hellefaut donne à l'abbaye de Watten des redevances annuelles sur une terre dite Helle, située à Buscheure (Buysscheure)[16]. En 1255, un Philippe de Hellefaut est dit, par maître Jean de Laon, official du diocèse de Thérouanne, clerc, donc homme d'église, (le même que le précédent? un fils? un parent?), et devant à la même abbaye une redevance annuelle d'avoine et de froment[17].

    La famille d'Averhoult possède la seigneurie d'Helfaut cumulée avec celle d'Avroult depuis au moins le XIIIe siècle. La famille avait pour armes «  D'or à trois fasces de sable, au franc-canton d'hermines; à la bordure engrêlée de gueules », armes qui ont été reprises par la commune d'Avroult. La famille d'Averhoult garde les deux seigneuries jusqu'au XVIIIe siècle[18]. Helfaut passa à la fin du XVIIe siècle aux Rubempré par la mariage de l'héritière des d'Avroult avec Philippe Charles (ou Charles Philippe) de Rubempré, comte de Vertain.

    En 1415, Guillaume d'Averhoult, seigneur d'Helfaut, combat et trouve la mort à la bataille d'Azincourt[19].

    En 1544, François d'Avroult ou de Helfaut, devient abbé de l'abbaye de Saint-Winoc de Bergues.

    Le village de Bilques, autrefois une seigneurie et commune indépendante à la Révolution, fusionna avec Helfaut en 1819.

    La commune abrite un monument classé, dit « colonne d'Helfaut ». Cette sorte d'obélisque a été érigé en 1842 en mémoire du duc d'Orléans qui a constitué sur cette commune le bataillon qui est à l'origine des chasseurs alpins. Il a été disloqué par les bombardements proches, et entouré de trous d'extraction de sable, puis restauré, le sol ayant été rehaussé à son ancien niveau dans les années 1990 par apport des déblais du nouveau centre hospitalier construit à proximité.

    La commune a été fortement touchée par les bombes lancées lors de la Seconde Guerre mondiale sur la coupole d'Helfaut.

    Politique et administration

    Helfaut dans son canton et dans l'arrondissement de Saint-Omer.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1935 1940
    (déchu de son mandat)[20]
    Eloi Delattre PCF Cultivateur
    1944 1945 Eloi Delattre PCF Cultivateur
    1972[21] 1995 Arthur Decloitre    
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 mars 2008 Éric Rolin    
    mars 2008 2014[22],[23] Brigitte Leblond DVD Infirmière
    2014[24],[21] En cours
    (au 18 janvier 2015)
    Francis Marquant DVG Directeur général des services
    de la ville de Blendecques retraité

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[26].

    En 2018, la commune comptait 1 714 habitants[Note 3], en augmentation de 7,33 % par rapport à 2013 (Pas-de-Calais : +0,1 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    370347406597621671704739727
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 223775799778812844862892856
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    8158968997967758561 3006891 131
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    1 0001 1391 2481 4261 6711 6931 7441 7501 596
    2017 2018 - - - - - - -
    1 6971 714-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[28].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement âgée. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (28,5 %) est en effet supérieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (19,8 %). À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (52,5 %) est du même ordre de grandeur que le taux national (51,6%).

    La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :

    • 47,5 % d’hommes (0 à 14 ans = 17,4 %, 15 à 29 ans = 16,7 %, 30 à 44 ans = 19,7 %, 45 à 59 ans = 21,6 %, plus de 60 ans = 24,6 %) ;
    • 52,5 % de femmes (0 à 14 ans = 14,1 %, 15 à 29 ans = 14,3 %, 30 à 44 ans = 17,6 %, 45 à 59 ans = 22 %, plus de 60 ans = 32,1 %).
    Pyramide des âges à Helfaut en 2007 en pourcentage[29]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    1,0 
    90 ans ou +
    2,2 
    9,3 
    75 à 89 ans
    15,6 
    14,3 
    60 à 74 ans
    14,3 
    21,6 
    45 à 59 ans
    22,0 
    19,7 
    30 à 44 ans
    17,6 
    16,7 
    15 à 29 ans
    14,3 
    17,4 
    0 à 14 ans
    14,1 
    Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2007 en pourcentage[30]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,2 
    90 ans ou +
    0,8 
    5,1 
    75 à 89 ans
    9,1 
    11,1 
    60 à 74 ans
    12,9 
    21,0 
    45 à 59 ans
    20,1 
    20,9 
    30 à 44 ans
    19,6 
    20,4 
    15 à 29 ans
    18,5 
    21,3 
    0 à 14 ans
    18,9 

    Culture locale et patrimoine

    Patrimoine religieux

    • L'Église Saints-Fuscien-et-Victoric d'Helfaut des XVIe et XVIIe siècles, avec un nef datant du XIIe[31].
    • L'Église Saint-Denis de Bilques des XVIIe et XVIIIe siècles[32].
    • Le calvaire d'Helfaut à la limite de la commune sur la D 198 vers Inghem
    • La chapelle Notre-dame-de-Lourdes de Bilques

    Patrimoine civil

    • La mairie d'Helfaut avec les écoles.
    • Le sanatorium d'Helfaut, actuellement le nouvel hôpital audomarois. L'ancien sanatorium départemental, devenu le Centre hospitalier de la région de Saint-Omer sous la direction d'André Serrurier dans les années 1980. Le site est entouré d'un boisement artificiel de pins formant la forêt d'Helfaut.
      Le sanatorium départemental d’Helfaut comptait en 1931 500 lits de malades et 140 lits de service[33]. C'est aujourd'hui l'un des rares exemples de conversion réussie d'un sanatorium en un établissement hospitalier moderne et polyvalent : le vieil hôpital du centre-ville de Saint-Omer a depuis rejoint le nouvel hôpital d'Helfaut sur son site pour former le Centre hospitalier de la région de Saint-Omer.
    Le dôme de la coupole.
    • La coupole d'Helfaut est un ancien bunker pour partie souterrain, abrité sous une énorme coupole de béton construite par l'armée de l'Allemagne nazie entre 1943 et 1944. À l'origine ce bunker devait servir de base de lancement aux fusées V2 ; mais, de nombreuses fois bombardé par les Alliés, il n'est jamais entré en service. Aujourd'hui la coupole a été transformée en musée.

    Patrimoine commémoratif

    • La colonne d'Helfaut, monument dédié au prince et duc d'Orléans. Cet obélisque et le tertre qui l'entoure (cad. AB 15) sont inscrits au registre des monuments historiques par arrêté du [34].
    • Le monument de l'abbé Palfart (1628-1691) curé de la paroisse.
    • Le monument aux morts d'Helfaut-Bilques.
    • Les tombes de guerre de la Commonwealth War Graves Commission au cimetière d'Helfaut.

    Héraldique

    Les armes de la ville se blasonnent ainsi :

    d’azur parti : au 1) d’azur à la colonne d’argent au 2) de gueules aux trois pommes de pin renversées d’or.

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    2. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    3. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Unité urbaine 2020 de Saint-Omer », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    5. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    6. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    7. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Saint-Omer », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    8. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    9. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    10. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    11. Agreste ; recensement agricole 2000
    12. roepstem.net - vlaanderen
    13. Charles Delaroière, « Chronique de Bergues-Saint-Winoc », dans Mémoire de la société dunkerquoise pour l'encouragement des sciences, des lettres et des arts, Années 1860-1861, p. 363, lire en ligne.
    14. Georges Goolen (chanoine), Le Doyenné d'Helfaut au XVIIe siècle : notes sur le temporel et le spirituel de quelques paroisses du diocèse de Saint-Omer, imprimé chez L. Loïez à St Omer, 79 pages
    15. www.lumbres.net[PDF].
    16. Alphonse Wauters,Table chronologique des chartes et diplômes imprimés concernant l'histoire de la Belgique, 10 volumes en 11 tomes, Bruxelles, 1866 à 1904. Tome V, Année 1253.
    17. A. Wauters, option citée, Tome V, Année 1255.
    18. « L'Armorial », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
    19. « Azincourt 1415 : d'où venaient les chevaliers français morts à la bataille ? ».
    20. « Le Temps », sur Gallica, (consulté le ).
    21. David Monnery, « Les nouveaux maires : à Helfaut, Francis Marquant est devenu maire de la commune pour laquelle il a travaillé : Après deux tentatives infructueuses, Francis Marquant est devenu le premier magistrat de la commune où il a travaillé durant vingt-six ans comme secrétaire de mairie. Son élection a coïncidé presque jour pour jour avec sa retraite, une transition toute naturelle vers sa nouvelle vie. », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
    22. David Monnery, « Bilan des maires à Helfaut : Brigitte Leblond « contente de son premier mandat » : Nouvelle mairie, médiathèque, vestiaires pour le foot... Brigitte Leblond est fière de son premier mandat en tant que maire. Elle est d’ores et déjà candidate à sa succession, en mars prochain. », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
    23. « Municipales : Helfaut change de maire », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
    24. « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
    25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    29. « Évolution et structure de la population à Helfaut en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    30. « Résultats du recensement de la population du Pas-de-Calais en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    31. Église Saints-Fuscien-et-Victoric d'Helfaut sur www.patrimoine-religieux.fr
    32. Église Saint-Denis de Bilques www.patrimoine-religieux.fr
    33. Éphémérides du Journal l’Indépendant du 20 oct 2006 (p 18), se rapportant à la semaine du 16 au 22 octobre 1931
    34. Bases de données Ministère de la culture
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