Auvers-Saint-Georges

Auvers-Saint-Georges[1] (prononcé [ovɛʁ sɛ̃ ʒɔʁʒ] ) est une commune française située à 42 kilomètres au sud-ouest de Paris dans le département de l'Essonne en région Île-de-France.

Pour les articles homonymes, voir Saint-Georges.

Auvers-Saint-Georges

L’hôtel de ville.

Logo
Administration
Pays France
Région Île-de-France
Département Essonne
Arrondissement Étampes
Intercommunalité Communauté de communes Entre Juine et Renarde
Maire
Mandat
Denis Meunier
2020-2026
Code postal 91580
Code commune 91038
Démographie
Gentilé Auversois
Population
municipale
1 272 hab. (2018 )
Densité 98 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 29′ 33″ nord, 2° 13′ 07″ est
Altitude Min. 63 m
Max. 156 m
Superficie 12,99 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Étréchy
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Étampes
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
Auvers-Saint-Georges
Géolocalisation sur la carte : Essonne
Auvers-Saint-Georges
Géolocalisation sur la carte : France
Auvers-Saint-Georges
Géolocalisation sur la carte : France
Auvers-Saint-Georges
Liens
Site web www.auvers-saint-georges.fr

    Ses habitants sont appelés les Auversois[2].

    Géographie

    Situation

    Position d’Auvers-Saint-Georges en Essonne.
    Occupation des sols.
    Type d’occupation Pourcentage Superficie
    (en hectares)
    Espace urbain construit 4,9 % 62,83
    Espace urbain non construit 3,4 % 42,77
    Espace rural 91,7 % 1 163,91
    Source : Iaurif[3]

    Auvers-Saint-Georges est située à quarante-deux kilomètres au sud-ouest de Paris-Notre-Dame[4], point zéro des routes de France, vingt-trois kilomètres au sud-ouest d'Évry[5], huit kilomètres au nord-est d'Étampes[6], dix kilomètres à l'ouest de La Ferté-Alais[7], onze kilomètres au sud-ouest d'Arpajon[8], seize kilomètres au sud-est de Dourdan[9], dix-sept kilomètres au sud-ouest de Montlhéry[10], vingt et un kilomètres au nord-ouest de Milly-la-Forêt[11], vingt-trois kilomètres au sud-ouest de Corbeil-Essonnes[12], vingt-cinq kilomètres au sud de Palaiseau[13].

    Hydrographie

    La commune est traversée par la rivière la Juine.

    Relief et géologie

    Le point le plus bas de la commune est situé à soixante-trois mètres d'altitude et le point culminant à cent cinquante-six mètres[14]. La commune comporte un des sites de la réserve naturelle des sites géologiques de l'Essonne.

    Communes limitrophes

    Climat

    Auvers-Saint-Georges, située en Île-de-France, bénéficie d'un climat océanique dégradé aux hivers frais et aux étés doux, et est régulièrement arrosée sur l'année. En moyenne annuelle, la température s'établit à 10,8 °C, avec une maximale de 15,2 °C et une minimale à 6,4 °C. Les températures réelles relevées sont de 24,5 °C en juillet au maximum et 0,7 °C en janvier au minimum, mais les records enregistrés sont de 38,2 °C le et −19,6 °C le . Du fait de la moindre densité urbaine de la banlieue par rapport à Paris, une différence négative de un à deux degrés Celsius se fait sentir. L'ensoleillement est comparable à la moyenne des régions du nord de la Loire avec 1 798 heures par an, toutefois un peu inférieur au nord du département par la présence plus fréquente de brume à proximité des cours d'eau et des champs. Les précipitations sont réparties également sur l'année, avec un total de 598,3 millimètres de pluie et une moyenne approximative de cinquante millimètres par mois.

    Données climatiques à Auvers-Saint-Georges.
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 0,7 1 2,8 4,8 8,3 11,1 13 12,8 10,4 7,2 3,5 1,7 6,4
    Température moyenne (°C) 3,4 4,3 7,1 9,7 13,4 16,4 18,8 18,5 15,6 11,5 6,7 4,3 10,8
    Température maximale moyenne (°C) 6,1 7,6 11,4 14,6 18,6 21,8 24,5 24,2 20,8 15,8 9,9 6,8 15,2
    Ensoleillement (h) 59 89 134 176 203 221 240 228 183 133 79 53 1 798
    Précipitations (mm) 47,6 42,5 44,4 45,6 53,7 51 52,2 48,5 55,6 51,6 54,1 51,5 598,3
    Source : Climatologie mensuelle à la station départementale de Brétigny-sur-Orge de 1948 à 2002[15],[16].

    Voies de communication et transports

    La ligne C du RER dessert la gare de la commune voisine d'Étréchy.

    La commune est desservie par deux lignes de bus, la ligue 68-16 et 913-50 du Réseau Ormont Transport.

    Lieux-dits, écarts et quartiers

    Chagrenon, Saint Fiacre.

    Urbanisme

    Typologie

    Auvers-Saint-Georges est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[17],[18],[19]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Étréchy, une agglomération intra-départementale regroupant 6 communes[20] et 18 643 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[21],[22].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[23],[24].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Alberia puis Alveris en 1082, Auversiaco en 1132, Auversio et Alversio en 1195[25]. La commune fut créée en 1793 sous le nom d'Auvers, la mention de « Saint-Georges » relative à l'église paroissiale fut ajoutée en 1801 dans le Bulletin des lois[26].

    Auvers correspond à un type toponymique que l'on rencontre dans la Sarthe, la Haute-Loire et la Manche[27].

    Les toponymistes envisagent différentes interprétations dont aucune ne fait l'unanimité.
    Il peut s'agir d'un surnom gaulois ethnique Arvernus, d'après l'ethnonyme Arvernes[28],[29]. Moins probablement, cette dénomination peut avoir un caractère topographique are « devant » et vern- « aulne » (cf. verne)[30]. Cette dernière explication a longtemps été utilisée également pour expliquer l'ethnonyme, mais elle est aujourd'hui rejetée par des spécialistes du gaulois qui considère ver- comme le radical signifiant « au-dessus »[31].

    Note : l'évolution du radical Arvern- > Alvern- > Alver- > Auver- est tout à fait conforme aux règles phonétiques de la langue française.

    Histoire

    Le territoire d'Auvers-Saint-Georges fut disputé au VIIe siècle entre deux royaumes francs, celui de Neustrie commandé par Childebert et celui d'Austrasie. Il est également un lieu de bataille durant la guerre de Cent Ans[32].

    Lors de la seconde guerre, au début du mois d'aout 1944, j'étais avec mon grand-père dans une maison qu'on nous avait louée ou prêtée ? afin de s'éloigner d'Étréchy et d'Étampes où il y avait des bombardements. Un jour (j' étais très jeune..6ans) j'ai vu les Allemands venir et nous obliger à les loger, l'un était âgé et a discuté gentiment avec mon grand-père, ils avaient le même âge et le même métier, ébéniste, et il m'a même donné une tablette de chocolat mais l'autre qui devait avoir 20 ans, était très grand et il a été très méchant avec nous car en passant la porte il avait cassé ses lunettes de soleil. Le vieux a fait signe a mon grand-père de faire attention. On les a eu quelques jours, puis ils sont partis soit sur des vélos soit dans des charrettes avec des chevaux...ils se sauvaient. Et nous nous sommes repartis à Étréchy ou plutôt à Pierre-Brou, un hameau où nous avions une maison de vacances, c'était un ancien poste de diligence. Les bombes étaient tombées dans le jardin. (Josette Poulard-Steinmann, souvenirs de mon enfance)

    Lors de la Seconde Guerre mondiale, la commune a été libérée le 22 août 1944[33].

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[35].

    En 2018, la commune comptait 1 272 habitants[Note 3], en diminution de 2,45 % par rapport à 2013 (Essonne : +3,41 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    8758839779079429309301 020990
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    9329611 011947901910938417451
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    436436431392434446400495506
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    5365746398429921 0591 1511 1651 179
    2013 2018 - - - - - - -
    1 3041 272-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[36].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    Pyramide des âges à Auvers-Saint-Georges en 2009 en pourcentages[37].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,3 
    90 ans ou +
    0,3 
    2,6 
    75 à 89 ans
    6,3 
    11,7 
    60 à 74 ans
    10,8 
    23,4 
    45 à 59 ans
    27,4 
    21,5 
    30 à 44 ans
    22,5 
    16,8 
    15 à 29 ans
    12,6 
    23,6 
    0 à 14 ans
    20,1 
    Pyramide des âges en Essonne en 2009 en pourcentages[38].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,3 
    90 ans ou +
    0,8 
    4,4 
    75 à 89 ans
    6,7 
    11,3 
    60 à 74 ans
    11,9 
    19,9 
    45 à 59 ans
    20,0 
    21,9 
    30 à 44 ans
    21,4 
    20,6 
    15 à 29 ans
    19,2 
    21,7 
    0 à 14 ans
    20,0 

    Politique et administration

    Politique locale

    La commune d'Auvers-Saint-Georges est rattachée au canton d'Étampes, représenté par les conseillers départementaux Marie-Claire Chambaret (DVD) et Guy Crosnier (UMP), à l'arrondissement d’Étampes et à la troisième circonscription de l'Essonne, représentée par le député Michel Pouzol (PS).

    L'Insee attribue à la commune le code 91 1 09 038[39]. La commune de est enregistrée au répertoire des entreprises sous le code SIREN 219 100 385. Son activité est enregistrée sous le code APE 8411Z[40].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[41].
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    2001 En cours Denis Meunier UMP Fonctionnaire[42]

    Tendances et résultats politiques

    Élections présidentielles, résultats des deuxièmes tours :

    Élections législatives, résultats des deuxièmes tours :

    Élections européennes, résultats des deux meilleurs scores :

    Élections régionales, résultats des deux meilleurs scores :

    Élections cantonales, résultats des deuxièmes tours :

    Élections municipales, résultats des deuxièmes tours :

    Référendums :

    Enseignement

    Les établissements scolaires d'Auvers-Saint-Georges dépendent de l'académie de Versailles. Elle dispose sur son territoire d'une école élémentaire publique[58].

    Jumelages

    La commune n'a développé aucune association de jumelage.

    Vie quotidienne à Auvers-Saint-Georges

    Lieux de culte

    L'église Saint-Georges.

    La paroisse catholique d'Auvers-Saint-Georges est rattachée au secteur pastoral de la Vallée de la Juine-Étréchy et du diocèse d'Évry-Corbeil-Essonnes. Elle dispose de l'église Saint-Georges[59].

    Médias

    L'hebdomadaire Le Républicain relate les informations locales. La commune est en outre dans le bassin d'émission des chaînes de télévision France 3 Paris Île-de-France Centre, IDF1 et Téléssonne intégré à Télif.

    Économie

    Emplois, revenus et niveau de vie

    En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 46 309 , ce qui plaçait Auvers-Saint-Georges au 658e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole[60].

    Répartition des emplois par catégories socioprofessionnelles en 2006.
      Agriculteurs Artisans, commerçants,
    chefs d’entreprise
    Cadres et professions
    intellectuelles supérieures
    Professions
    intermédiaires
    Employés Ouvriers
    Auvers-Saint-Georges - - - - - -
    Zone d'emploi de Dourdan 0,7 % 6,0 % 18,9 % 28,5 % 26,3 % 19,6 %
    Moyenne nationale 2,2 % 6,0 % 15,4 % 24,6 % 28,7 % 23,2 %
    Répartition des emplois par secteurs d’activités en 2006.
      Agriculture Industrie Construction Commerce Services aux
    entreprises
    Services aux
    particuliers
    Auvers-Saint-Georges - - - - - -
    Zone d'emploi de Dourdan 1,7 % 10,4 % 7,5 % 11,8 % 21,6 % 6,9 %
    Moyenne nationale 3,5 % 15,2 % 6,4 % 13,3 % 13,3 % 7,6 %
    Sources : Insee[61],[62],[63]

    Culture locale et patrimoine

    Patrimoine environnemental

    Les berges de la Juine et les espaces boisés entourant le bourg ont été recensés au titre des espaces naturels sensibles par le conseil général de l'Essonne[64].

    La « Réserve Naturelle des Sites Géologiques de l'Essonne » protège six sites d'affleurement, de type stratotype du stampien, dont la « Carrière des Sablons ». Cette réserve a été mise en place par le décret no 89-499 du 17 juillet 1989.

    Patrimoine architectural

    L'église Saint-Georges a été inscrite aux monuments historiques le [65].

    Le pont de pierre du chemin de Vaux, XVIIe au XVIIIe siècle, permet de franchir la rivière la Juine à hauteur du moulin de Vaux[66].

    Deux moulins, de Vaux et du Chagrenon, hors activité de meunerie, subsistent encore sur le territoire de la commune[67].

    Héraldique et logotype

    Blason
    De sinople à saint Georges à cheval terrassant le dragon, le tout contourné d'argent et soutenu de deux coquilles d'escargot du même[68].
    Détails
    Officiel
    Alias
    Alias du blason de Auvers-Saint-Georges
    Elle a aussi un logotype.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Le patrimoine des communes de l'Essonne - tome 1, Paris, Editions Flohic, , 1053 p. (ISBN 2-84234-126-0), « Auvers-Saint-Georges », p. 335–338
    • Collectif d'auteurs, Les Fossiles Du Falun d'Auvers-Saint-Georges : Stampien, Essonne, C.D.D.P. de l'Essonne, , 86 p. (ISBN 978-2-903785-05-5)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Fiche d'Auvers-Saint-Georges dans le Code officiel géographique sur le site de l'Insee. Consulté le 31/07/2012.
    2. Gentilé sur le site habitants.fr Consulté le 30/03/2009.
    3. Fiche d'occupation des sols en 2008 sur le site de l'Iaurif. Consulté le 07/11/2010.
    4. Orthodromie entre Auvers-Saint-Georges et Paris sur le site lion1906.com Consulté le 30/08/2012.
    5. Orthodromie entre Auvers-Saint-Georges et Évry sur le site lion1906.com Consulté le 30/08/2012.
    6. Orthodromie entre Auvers-Saint-Georges et Étampes sur le site lion1906.com Consulté le 30/08/2012.
    7. Orthodromie entre Auvers-Saint-Georges et La Ferté-Alais sur le site lion1906.com Consulté le 30/08/2012.
    8. Orthodromie entre Auvers-Saint-Georges et Arpajon sur le site lion1906.com Consulté le 30/08/2012.
    9. Orthodromie entre Auvers-Saint-Georges et Dourdan sur le site lion1906.com Consulté le 30/08/2012.
    10. Orthodromie entre Auvers-Saint-Georges et Montlhéry sur le site lion1906.com Consulté le 30/08/2012.
    11. Orthodromie entre Auvers-Saint-Georges et Milly-la-Forêt sur le site lion1906.com Consulté le 30/08/2012.
    12. Orthodromie entre Auvers-Saint-Georges et Corbeil-Essonnes sur le site lion1906.com Consulté le 30/08/2012.
    13. Orthodromie entre Auvers-Saint-Georges et Palaiseau sur le site lion1906.com Consulté le 30/08/2012.
    14. « Données géographiques » sur Géoportail (consulté le 19/02/2013.)..
    15. « Climatologie mensuelle à Brétigny-sur-Orge », sur le site de lameteo.org (consulté le ).
    16. « Climatologie mensuelle à Brétigny-sur-Orge », sur infoclimat.fr (consulté le ).
    17. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    19. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    20. « Unité urbaine 2020 d'Étréchy », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    21. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    22. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    23. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    24. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    25. « Fiche d'Auvers-Saint-Georges sur le site du Quid. »(ArchiveWikiwixArchive.isGoogle • Que faire ?) Consulté le 01/02/2010.
    26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    27. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 40a.
    28. ibidem
    29. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Droz, Genève, t. I, 1990, p. 680, § 11485.
    30. Albert Dauzat et Charles Rostaing, op. cit.
    31. Pierre-Yves Lambert, La langue gauloise, éditions errance 1994, p. 200.
    32. Le Patrimoine des communes de l'Essonne, page 335, Edition Flohic, Paris, 2001, (ISBN 2-84234-126-0).
    33. J. Chapuy, "Sur la libération d’Auvers-Saint-Georges (note du 15 octobre 1944)", in Corpus Etampois.
    34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    37. Pyramide des âges à Auvers-Saint-Georges en 2009 sur le site de l'Insee. Consulté le 09/07/2012.
    38. Pyramide des âges de l’Essonne en 2008 sur le site de l’Insee. Consulté le 07/07/2012.
    39. Fiche communale sur le site de l'Insee. Consulté le 07/01/2010.
    40. Fiche entreprise de la commune d'Auvers-Saint-Georges sur le site verif.com Consulté le 15/03/2011.
    41. Liste des maires successifs sur la base de données mairesgenweb.org Consulté le 25/05/2009.
    42. Fiche de la commune sur le site du conseil général de l'Essonne. Consulté le 05/05/2010.
    43. Résultats de l'élection présidentielle 2002 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 16/06/2009.
    44. Résultats de l'élection présidentielle 2007 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 16/06/2009.
    45. Résultats de l'élection présidentielle 2012 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 07/05/2012.
    46. Résultats de l'élection 2002 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 16/06/2009.
    47. Résultats de l'élection législative 2007 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 16/06/2009.
    48. Résultats de l'élection législative 2012 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 20/06/2012.
    49. Résultats de l'élection européenne 2004 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 16/06/2009.
    50. Résultats de l'élection européenne 2009 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 16/06/2009.
    51. Résultats de l'élection régionale 2004 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 16/06/2009.
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