Apprentis d'Auteuil

La fondation d’Auteuil (nommée les Orphelins apprentis d'Auteuil jusqu’en 2009[1] puis les Apprentis d’Auteuil[2] depuis 2010 et également connue sous le sigle OAA), créée en 1866 par l'abbé Louis Roussel, est une œuvre sociale qui se consacre à l'accueil, la formation et l'aide à l'insertion des jeunes en difficulté sociale. Depuis le milieu des années 2000, Apprentis d'Auteuil accompagne également les familles dans le cadre d'une démarche préventive. C'est une fondation catholique sous tutelle du ministère de l'Intérieur, de l'archevêché de Paris et de la congrégation du Saint-Esprit (Spiritains).

En 2019, la fondation gère plus de 240 établissements[3] qui accueillent plus de 36 000 jeunes et familles[3] en France. Hors de France, la fondation accompagne avec ses partenaires locaux 15 000 jeunes et familles dans plus de 59 pays.

Historique

La fondation d'Auteuil a été fondée en 1866 par l’abbé Louis Roussel (1825-1897) et le père Daniel Brottier (1876-1936) qui se plaçaient sous la protection de Thérèse de Lisieux et entendaient « créer, agir et innover pour le service des enfants les plus pauvres et les plus démunis ». Dédiée à l'origine aux orphelins auxquels elle voulait donner une bonne éducation, ainsi qu'un métier leur permettant de gagner leur vie, la fondation d'Auteuil entend s'adapter aux nouvelles problématiques sociales liées à la protection de l'enfance et se consacre aux jeunes en difficulté.

1866 - 1895 : l’abbé Roussel fonde les Orphelins apprentis d’Auteuil

Préoccupé par le sort des orphelins à Paris, l’abbé Roussel fonde le l’Œuvre de la Première Communion avec ses six premiers enfants des rues. Il s’installe le jour même dans une maison abandonnée au 40 rue Jean-de-La-Fontaine, dans le quartier d'Auteuil à Paris, qu’il achète avec les 2 000 francs donnés par l’archevêque de Paris, Mgr Darboy. Il souhaite que chaque enfant soit accueilli, soigné, apprenne à lire et à écrire, reçoive une formation chrétienne et un métier. Le nombre des orphelins augmente rapidement. Dix ans après la création de l'Œuvre, ce sont 200 enfants qui sont instruits chaque année. La guerre de 1870 triple le nombre d'orphelins ; à Paris, la situation économique est dure et il est difficile de placer les jeunes d’Auteuil en apprentissage. En , Louis Roussel décide d'ouvrir ses propres ateliers pour former les orphelins et leur apprendre un métier. Les Orphelins apprentis d’Auteuil sont nés. Ils s'illustreront particulièrement dans le métier de l'imprimerie avec un journal hebdomadaire, La France illustrée[4].

En , l'orphelinat connaît de graves problèmes de trésorerie. Il est alors sauvé grâce à une souscription organisée par Saint-Genest, journaliste au Figaro[5].

L’abbé Roussel se retire en et meurt le .

1895-1901 : les années de l'abbé Fontaine

Vers 1890, la fondation rencontre à nouveau de gros problèmes financiers. Le , l'abbé Daniel Fontaine arrive à Auteuil et succède à l'abbé Roussel. Il réussit à résoudre les problèmes financiers et trouve des solutions pour rentabiliser l'école professionnelle. Sous son impulsion, l’œuvre accueille de très jeunes enfants de 2 à 6 ans, les « Petits Jésus ». L'abbé Fontaine fut directeur des revues La France Illustrée et L'Ami des Enfants imprimées et publiées par l'imprimerie des orphelins-apprentis. Il quittera la fondation en 1901 et sera remplacé par l'abbé François-Edouard Blétit.

La Première Guerre mondiale et les années suivantes ont été surmontées avec difficulté par l'institution. En 1923, très endettée, elle ne compte plus que 170 orphelins.

1923 – 1936 : le père Brottier

Statue de Daniel Brottier à La Ferté-Saint-Cyr (Loir-et-Cher).

Le père Brottier reprend l’institution qui rencontre alors dans de grandes difficultés. Il réussit à redresser la barre en déployant un plan de collecte plus important. Il entreprend la construction de la chapelle Sainte-Thérèse sur le site. Elle est inaugurée en 1925. Il reçoit le prix Niobé de l'Académie française et obtient la reconnaissance « d'utilité publique » pour l'Œuvre en 1929. En 1931, les premières annexes voient le jour en périphérie de Paris puis en province. Au décès du père Brottier en 1936, l’œuvre d’Auteuil accueille 1 400 enfants et compte 14 annexes.

1939 – 1973 : la Seconde Guerre mondiale et les Trente Glorieuses

Malgré la période difficile de la guerre et de l’occupation allemande, l'Œuvre continue tant bien que mal à vivre et à se développer : en 1940, lorsque les Allemands entrent dans Paris, elle compte 2 150 orphelins. Sous l’impulsion du père Marc Duval, à la tête de l‘œuvre à partir de 1942, les Orphelins apprentis d’Auteuil connaissent une période d’expansion importante due en partie aux nombreux orphelins à accueillir après la fin des combats.

En 1949, l’œuvre ouvre un orphelinat à la Martinique. À partir de 1954, les écoles professionnelles deviennent des écoles techniques. La fondation intègre le système de l’éducation nationale. En 1962, on compte 3 500 jeunes. Le père Duval est contraint de quitter ses fonctions pour raison de santé, il est remplacé par le père Bœgly. Sa priorité est d’apporter aux jeunes une formation professionnelle. Il s’attache à l’agrandissement des maisons existantes pour leur permettre d'accroître leur capacité d’accueil et de diversifier les métiers enseignés. Il quitte l’institution en 1972. Le père Le Gall lui succède, mais ne reste que huit mois à la tête de l’œuvre qu’il quitte malade, très ébranlé par une campagne de presse qui accusait la Fondation de faire des tests de médicaments sur certains jeunes.

1973 - 2000

En 1973, Jean Gosselin devient le premier directeur général laïque. La direction générale devient tripartite (deux laïcs et un spiritain). Il s’attache à perpétuer les missions de l’Œuvre tout en les ancrant dans l’air du temps. En 1975, le premier centre à la Réunion voit le jour, il accueille 71 garçons. Les orphelinats deviennent des maisons de vie plus adaptées aux mutations sociales des années 1970. Les contrats avec l’Éducation nationale et les services sociaux se développent. L'institution s'ouvre aux fillettes en 1978 puis aux jeunes filles en 1986. En 1979, la fondation accueille 3 000 jeunes, compte 22 maisons et forme à 25 métiers. En 1980, elle élargit son champ d’accueil avec la création d’un CAT (centre d’aide par le travail) pour les personnes handicapées mentales, l’ouverture de classes adaptées aux trisomiques et un service d’aide de jour pour les sans-abris. À cette époque également, elle accueille de nombreux enfants étrangers issus des boat-people vietnamiens. En 1985, la fondation actualise son projet éducatif. Le chômage qui s’intensifie conduit à se pencher davantage sur la question de l’insertion. En 1988 est créée Aide et formation des jeunes du monde (AFJM), qui propose assistance pédagogique, technique et logistique et échanges culturels avec les pays en voie de développement. En 1991, Jean Gosselin quitte la direction générale de la fondation ; il est remplacé par Hugues Renaudin, assisté du père Jean Savoie et d’Albert Chilou. En 1993, la fondation propose la création d’entreprises d’insertion et l’objectif « garantie du premier emploi ». Le père Savoie prend la direction de la fondation. En 1994, l’ONG Auteuil International est créée, elle permet une collaboration et des initiatives pédagogiques avec les pays du Sud. En 1997, François Content, diplômé de l'École des hautes études commerciales de Paris (HEC), ancien cadre du Crédit commercial de France, puis directeur d'un centre caritatif présent dans 35 pays est nommé directeur général. La fondation compte 4 400 jeunes. En 1999, l'Inspection générale des affaires sociales (IGAS) diligente une enquête. En 2000, la fondation accueille une nouvelle catégorie de jeunes, les mineurs isolés étrangers (MIE) venus principalement d'Afrique, d'Europe de l’Est et d'Asie.[réf. nécessaire]

Depuis 2001

En 2001, l'observatoire des violences, accidents et infractions graves est mis en place à la suite de l'affaire Daheron[6].

En 2002, la fondation des Orphelins apprentis d'Auteuil devient la fondation d'Auteuil. En 2003, elle fait l'objet d'un contrôle de la cour des comptes sur les dons de 1998 à 2002. En 2004, la fondation met en place un premier centre maternel, destiné à l’accueil des mineures enceintes. En 2008, lors de la visite de Benoît XVI en France, les élèves de la fondation d'Auteuil réalisent la décoration florale et le mobilier pour la cérémonie qui se déroulait aux Invalides (Paris). En 2010, la fondation d'Auteuil devient les Apprentis d'Auteuil. En , les Apprentis d'Auteuil publient le Plaidoyer pour la jeunesse en difficulté. Le , Nicolas Truelle est nommé directeur général de la fondation. Il succède à François Content parti à la retraite. Ancien élève de l'École polytechnique et diplômé de l'École nationale supérieure des mines de Paris, il a fait une grande partie de sa carrière dans l'industrie pharmaceutique.[réf. nécessaire]

Aux côtés d'associations de la jeunesse et du groupe Bayard, les Apprentis d'Auteuil sont à l'origine de la création du think tank « Vers le haut », consacré aux jeunes et à l'éducation[7].

Le , les Apprentis d'Auteuil fêtent leurs 150 ans[8]. Le , ils publient leur manifeste [9], proposant 20 mesures fortes et concrètes, pour soutenir les jeunes et les familles en difficulté. Ce manifeste est l'occasion d'interpeller tous les candidats de l'élection présidentielle et de les questionner sur leur programme pour la jeunesse et les familles. Cet appel est relayé dans de nombreux magazines dont le Huffington Post[10].

Le , Jean-Marc Sauvé est nommé président du conseil d'administration ; il remplace Bernard Prévost arrivé à la fin de son mandat.[réf. nécessaire]

Dates clés

En 1990, l'Institut de France sur proposition de l’Académie française décerne le prix Dupuis à la fondation pour l'ensemble de son œuvre.

En 2005, la fondation accueillait 7 700 jeunes.

En 2007, la fondation d'Auteuil accueillait – sans considération d’origine ou de religion9 300 garçons et filles : 74 % confiés par leur famille, et 26 % par l'aide sociale à l'enfance (ASE) ou un juge des enfants[11].

La grande majorité des jeunes sont des adolescents (73 % ont entre 12 et 17 ans et 18 % entre 18 et 20 ans). Les autres sont généralement plus jeunes (7 % entre 6 et 12 ans et moins de 0,5 % ont moins de 5 ans), et plus rarement plus âgés (1,4 % ont plus de 21 ans)[11].

En 2011, la fondation obtient le Label IDEAS qui atteste de la qualité de sa gouvernance, de sa gestion financière et du suivi de l'efficacité de son action. [12].

En 2012, la fondation accueille 13 000 jeunes dans 220 établissements.

En 2013, la fondation accueille plus de 14 000 jeunes : 75 % confiés par leur famille, 25 % par l'aide sociale à l'enfance (ASE)[3] 68 % de garçons, 32 % de filles[3]. Elle accompagne également plus de 2 500 familles en difficulté[3].

En 2014, la fondation accueille plus de 23 000 jeunes, confiés par leur famille ou l'aide sociale à l'enfance (ASE), et 4 000 familles avec 2/3 de garçons et 1/3 de filles. La fondation propose 80 formations dans 19 grandes filières[13].

En 2015, les Apprentis d'Auteuil ont accompagné 31 000 jeunes et familles en France[14]. Ils proposent 72 formations du CAP au BTS. Jusqu'à fin 2015, la fondation a adhéré au Comité de la Charte afin de rassurer le public donateur sur la destination des dons. Début 2016, elle fait le choix de ne conserver que le label IDEAS [15],[12].

En 2017, la fondation accompagne plus de 27 000 jeunes en difficulté scolaire, sociale ou familiale, ainsi que 5 800 familles.

En 2019, la fondation obtient pour la troisième fois le renouvellement du Label IDEAS [16].

Établissements

En 2017, les Apprentis d'Auteuil comptaient plus de 230 établissements en France et Outre-Mer. Ils se répartissent sur tout le territoire selon 6 grandes régions : Île-de-France, Nord-Ouest, Nord-Est, Sud-Ouest, Sud-Est et Outre-Mer.

L'ensemble des établissements est proposé ici. On compte 26 types d'établissements, de la crèche au centre de formation continue en passant par la maison d'enfance à caractère social. Voici quelques exemples d'établissements :

Ardennes (08)

  • Maison d'enfants à caractère social et service d'accueil des familles Don-Bosco, Monthermé

Bouches-du-Rhône (13)

  • Ensemble scolaire Vitagliano, Marseille
  • Maison d'enfants à caractère social Saint-François-de-Sales, Marseille
  • Centre de formation continue ASPROCEP, Marseille
  • Foyer de jeunes travailleurs Saint-Mitre, Marseille
  • Résidence sociale Élisabeth-Reinaud, Marseille
  • Accueil de loisirs Saint Pierre, Marseille
  • Patronage Saint-Laurent, Allauch
  • Centre de formation continue ARES, Aix-en-Provence
  • Maison des familles Les Buissonnets, Marseille

Côtes-d'Armor (22)

  • Maison d'enfants à caractère social Ker-Anna, Rostrenen

Eure-et-Loir (28)

Isère (38)

  • Maison d'enfants à caractère social, lycée professionnel, foyer de jeunes travailleurs, école de production à La Côte Saint André (38) dans l'établissement Jean-Marie-Vianney
  • Maisons des familles à Grenoble

Loire-Atlantique (44)

  • École, collège et internat éducatif et scolaire Notre-Dame-du-Bon-Accueil, à Angreviers-Gorges
  • Lycée professionnel hôtelier Daniel-Brottier, Bouguenais
  • Lycée professionnel agricole Daniel-Brottier, Bouaye
  • Internat éducatif et scolaire Daniel-Brottier, Bouguenais
  • Maison d'enfants à caractère social Daniel-Brottier, Bouguenais

Morbihan (56)

  • Maison d'enfants à caractère social, internat éducatif et scolaire, collège, lycée professionnel Saint-Michel, Priziac

Pyrénées-Atlantiques (64)

  • Les établissements scolaires et éducatifs mixtes Sainte-Bernadette, Audaux

Alsace (67)

Paris (75)

  • Centre de formation continue Saint-Philippe
  • Résidence sociale Convention
  • Lycée, internat et maison d'enfants à caractère social au 40, rue Jean-de-La-Fontaine, Paris 75016, siège social de la fondation
  • Service d'accueil de jour éducatif Janusz-Korczak

Yvelines (78)

Somme (80)

Vendée (85)

  • Maison d'enfants à caractère social Charles-de-Foucauld, Challans
  • Maison d'enfants à caractère social Les Lauriers, La Roche-sur-Yon

Essonne (91)

L'orphelinat de Meudon, fin XIXe siècle ou début XXe.

Hauts-de-Seine (92)

Seine-Saint-Denis (93)

  • Maison d'enfants à caractère social Martin-Luther-King, Saint-Denis

Val-de-Marne (94)

  • Maison d'enfants à caractère social Saint-Esprit, Orly
  • Maison d'enfants à caractère social Sacré-Coeur, Thiais
  • École primaire, collège, internat éducatif et scolaire, ensemble scolaire et professionnel et unité de formation par apprentissage Poullard des Places, Thiais

Anciens élèves

Affaires judiciaires liées à des abus sexuels

  • En , l'éducateur Philippe Guillemin, 36 ans, a été condamné à quinze années de réclusion criminelle par la cour d'assises du Val-de-Marne pour viol et agressions sexuelles auprès de Lotfi Yacoubi (9 ans à l'époque des faits) dans la maison du Saint-Esprit d'Orly pendant 1 an. En 2005, Lotfi Yacoubi assigne au civil la directrice de l'établissement de l'époque, sœur Alice Kerglonou, ainsi que l'association des Orphelins apprentis d'Auteuil, propriétaire de l'établissement pour ne pas avoir tenu compte de ses plaintes et ne pas avoir alerté la justice ni la famille de la victime[17]. Le Tribunal de Grande Instance de Paris rejette toutes les demandes de Lofti Yacoubi.
  • Le , le prêtre Jacques Daheron, salarié de l'établissement, est incarcéré, soupçonné d'« agression sexuelle sur mineur par personne ayant autorité » sur 3 enfants[6],[18]. La fondation prend l’initiative de révéler l’affaire et se porte partie civile[19]. Lors de son procès, l'accusé reconnaît les faits : attouchements, demande de fellation, viols et ce pendant plusieurs années[20]. Il est condamné en 2003 aux Assises à six ans de prison pour viols et agressions sexuelles sur trois mineurs. Une des victimes et sa mère ayant décidé de se pourvoir en appel, dans un arrêt rendu le , la 17e chambre correctionnelle de la cour d'appel a estimé que la cour d'assises de Paris avait « à tort écarté la responsabilité (au civil) de la Fondation », une institution plus que centenaire pour des jeunes en difficulté. Outre que la Cour a estimé « très insuffisantes les indemnités allouées par les premiers juges », elle a également jugé que « M. Daheron a trouvé dans ses fonctions l'occasion et les moyens de sa faute ». Les magistrats ont ainsi décidé, entre autres, de condamner conjointement le père Jacques Daheron et l'institution à verser 7 500 euros à la mère de la victime en réparation de son préjudice moral ainsi qu'une indemnité de 3 000 euros. Elle a également ordonné une expertise médicale de la victime.

Liens externes

Notes et références

  1. Arrêté ministériel du 17 avril 2009 approuvant l’intitulé « Fondation d'Auteuil »
  2. La marque « Fondation d'Auteuil » et le logo ont été enregistrés à l'Institut national de la propriété industrielle
  3. Rapport d'activité 2019, édité en juin 2020, « Chiffres clés », p. 5.
  4. Mathias Gardet et Alain Vilbrod, Les Orphelins - Apprentis d'Auteuil, édition Belin, 2000.
  5. Émile Guers, Une grande œuvre à Paris : l'orphelinat d'Auteuil et l'abbé Roussel, Paris, 1891, p. 173-200.
  6. « Pédophilie: un prêtre mis en examen », Libération, (lire en ligne).
  7. « Interview de Marc Vannesson - Apprentis d'Auteuil », sur www.apprentis-auteuil.org (consulté le )
  8. Prendre le parti des jeunes
  9. Revue de la fondation, A l'écoute, octobre-novembre 2007, page 9
  10. « IDEAS », sur Apprentis d'Auteuil (consulté le ).
  11. Rapport d'activité 2013, publié en juin 2014
  12. Rapport d'activité 2015 (publié en juin 2016)
  13. « La Fondation de France et les Apprentis d’Auteuil quittent le comité de la Charte », La Croix, (ISSN 0242-6056, lire en ligne, consulté le )
  14. « Apprentis d’Auteuil obtient pour la 3ème fois le Label IDEAS | via @Carenews », sur www.carenews.com (consulté le ).
  15. « Les oprhelins d'Auteuil nient toute faute », Le Parisien, (lire en ligne).
  16. Journal Le nouvel Obs
  17. « Emois chez les oprhelins apprentis d'Auteuil », Le Parisien, (lire en ligne).
  18. Journal 20 Minutes
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