Sodexo

Sodexo est une entreprise multinationale française spécialisée dans la sous-traitance de services. Elle est fondée par Pierre Bellon en 1966 et contrôlée à près de 40 % par la famille Bellon.

Ne doit pas être confondu avec Sodebo.

Sodexo

Création 1966
Fondateurs Pierre Bellon
Forme juridique Société anonyme à conseil d'administration
Action Euronext : SW
Slogan Services de qualité de vie
Siège social Issy-les-Moulineaux[1]
 France
Direction Denis Machuel (président du comité exécutif), puis Sophie Bellon (présidente du conseil d'administration)[2]
Actionnaires Famille Bellon 37,71 %
Autocontrôle 3,71 %
First Eagle Investment Management 3,70 %
International Value Advisers LLC 3,21 %
Salariés 0,99 % (au 31 août 2014)
Activité Services aux entreprises, administrations, collectivités
Produits Restauration collective, Facility Management, services à la personne, cartes et chèques
Filiales Sodexo Justice Services (en)
Effectif 425 594 personnes (2016) réparties sur 33 300 sites dans 80 pays.
TVA européenne FR40301940219[3]
Site web Sodexo

Capitalisation 15,200 milliards € (07/07/2019)
Chiffre d'affaires 20,407 milliards € (2017-2018) [4]
Résultat net 651 millions € (2017-2018) [4]

Sodexo est l'un des plus gros fournisseurs mondiaux de services de restauration collective pour toutes formes d'entreprises, métier historique qu'elle a ensuite élargi à partir de 2010 à d'autres activités connexes. En 2016, elle regroupe 425 594 salariés, et est le 18e employeur au niveau mondial[5].

Sodexo est coté à la Bourse de Paris depuis 1983.

Histoire

Sodexo a pour origine une petite entreprise fondée en 1892 par Jean-Baptiste Bellon (1865-1961), à Marseille, la maison J.-B. Bellon, pour approvisionner en vivres les bateaux de la Compagnie de navigation mixte sur la ligne Marseille-Alger[6]. Rebaptisée Maison Félix Bellon S.A. en 1955 par son fils Félix Bellon (1905-1988), elle se spécialisait depuis plus de cinquante ans dans la fourniture et restauration maritime destinées aux paquebots et aux bateaux de croisière. Son fils, Pierre Bellon, y entre en 1958 en tant qu'attaché commercial. En 1963, Pierre obtient un contrat pour la gestion de la restauration des Ateliers de la Méditerranée à Marseille, et la holding Bellon SA fonde une filiale dont il s'occupe[7],[8],[9].

De Sodexho à Sodexho Alliance (1966-2008)

En 1966, Pierre Bellon crée, à Marseille, avec un capital de 100 000 francs et l'aide de son père et de sa fratrie, la Sodexho (acronyme abrégé de SOciété D'EXploitation HÔtelière, aériennes, maritimes et terrestres) qu'il établit, en 1968, en région parisienne[9].

Entre 1971 et 1978, Sodexho s'étend en France et à l'international, d'abord en Belgique, puis en Afrique, et finalement au Moyen-Orient.

En 1981, Sodexho rachète Ticket Repas.

En 1983, après son introduction à la Bourse de Paris, Sodexho continue son expansion, de 1985 à 1993 en Amérique du Nord, Amérique du Sud, Japon, Afrique du Sud et en Russie.

En 1987, Sodexho rachète Chèque Restaurant.

Le , Sodexho entre au capital de CIWLT, propriétaire d'Eurest, à hauteur de 17,5%[10].

En 1992, le groupe s’implante en Hongrie et en République Tchèque et prend une participation dans la société finlandaise Polarkesti, spécialisée dans les restaurants pour le personnel, qui avait été créée en 1979 par Arctia (fi).

En 1995, Sodexho devient le leader mondial de la restauration collective grâce à ses alliances avec Gardner Merchant en Grande-Bretagne, Partena en Suède et Marriott Management Services aux États-Unis.

En 1997, la holding change de nom et devient Sodexho Alliance. Elle s'allie avec Universal Ogden Services, le leader américain de la gestion de Bases-Vie[11]. La même année, Sodexho crée, en France, Altys spécialisée dans les solutions de services généraux (facility management) destinées aux entreprises.

En 2001, Sodexho rachète la société française Sogeres et la société américaine Wood Dining Services Inc[12].

En 2002, Sodexho est introduite au New York Stock Exchange[13].

En 2005, Pierre Bellon quitte la direction générale du groupe[14], remplacé par Michel Landel[15].

En 2007, Sodexho rachète Tir Groupé, entreprise émettrice des Chèques Cadeaux[16].

Sodexo (holding)

Le , Sodexho devient Sodexo et retire le mot Alliance de sa raison sociale. Ce changement de raison sociale vise à faciliter la prononciation de la marque dans toutes les langues. Le siège social de Sodexo s'implante à Issy-les-Moulineaux, après 30 ans à Saint-Quentin-en-Yvelines.

En 2009, le siège de Sodexo en France s'implante à Guyancourt dans les Yvelines. Les 18 000 m² de bureaux sont conçus par l'architecte Jean-Paul Viguier. Sodexo renforce ses positions en rachetant :

  • le 4e acteur de restauration en France, Score Groupe qui comprend les sociétés Score services, Sherpas et GM ;
  • Comfort Keepers, numéro deux des services d’aide non médicale à domicile aux États-Unis ;
  • le groupe allemand Zehnacker ;
  • le groupe indien Radhakrishna Hospitality Service Group (RKHS)[17].

En 2010, Sodexo signe un accord avec United Coffee pour l'approvisionnement des espaces boissons chaudes au café issu du commerce équitable[18], et avec Numi pour la sélection de thés 100 % biologiques. La même année, Sodexo Chèques et Cartes de Service et Tir Groupé fusionnent pour devenir Sodexo Solutions de Motivation France.

En 2011, Sodexo renouvelle en partie un contrat de sept ans portant sur les services de restauration de 31 des 51 bases militaires des US Marines[19], la société américaine Superior Services remportant le marché des 20 autres bases (764 millions de dollars) que Sodexo gérait depuis 2001[20]. Sodexo décroche un nouveau contrat avec le sidérurgiste chinois Baosteel, l’hôpital thaïlandais Queen Sirikit Medical Center, et Life Insurance Corporation of India en Inde[21]. Le groupe acquiert l'entreprise brésilienne Puras do Brasil (pt).

Le , la filiale Altys (maintenance multitechnique et services) devient Sodexo Énergie et Maintenance. Le , Sophie Bellon est nommée vice-présidente du conseil d'administration de Sodexo pour succéder à son père Pierre Bellon[22] : en , elle devient présidente du groupe.

Le , Sodexo fait son retour dans l'indice CAC 40 après onze ans d'absence et sept années de permanence entre 1998 et 2005. Elle remplace ainsi Alstom. La valorisation boursière de l'entreprise atteint 14,4 milliards d'euros ; l'entreprise compte 420 000 employés, dont près de 37 000 en France[23].

En , Sodexo annonce l'acquisition du groupe américain Inspirus, spécialisé dans le développement de l'engagement des salariés[24].

Le , Sodexo annonce l’acquisition du groupe anglais Prestige Nursing+Care, prestataire de soins à domicile au Royaume-Uni[25].

Le Sodexo annonce l'acquisition de l'entreprise Centerplate, spécialisée dans les services de restauration dans des établissements sportifs et de loisirs, pour 572 millions d'euros[26].

En 2018, Sodexo annonce l'acquisition de FoodChéri[27]. En , Sodexo annonce acquérir Prestige Nursing + Care, entreprise britannique spécialisée dans les services pour les personnes agées[28].

En , avec trois autres entreprises du secteur, Sodexo est condamnée par l'Autorité de la concurrence française à une amende de 126 millions d'euros, à cause d'un fonctionnement de cartel, comprenant l'échange d'informations confidentielles et un verrouillage du marché du titre restaurant[29],[30].

En , Sodexo obtient une 1ʳᵉ étoile pour le restaurant Le Jules Verne de Frédéric Anton. Au total, Sodexo comptabilise deux restaurants étoilés avec également le Pré Catelan et ses trois étoiles au Guide Michelin[31].

Début , en pleine épidémie de Coronavirus, la direction de Sodexo annonce des mesures de solidarité afin d'endiguer la crise qui frappe son groupe[32]. Denis Machuel, le directeur général, renonce à 50 % de son salaire fixe au cours des six prochains mois ainsi qu'à sa rémunération variable sur l'ensemble de l'exercice comptable 2019-2020[33]. La présidente du conseil d'administration, Sophie Bellon, baisse également de 50 % sa rémunération pour les six prochains mois tandis que les membres du comité exécutif s'assoient sur 10 % de leur rémunération ainsi que sur leur variable de l'année[34]. Les 200 dirigeants présents sur le territoire renoncent aussi à leur rémunération variable[35]. Ces mesures visent à financer un plan d'économie de 30 millions d'euros destiné à sauver les emplois les plus précaires et les plus exposés du groupe[36].

À partir du , Sodexo ne fait plus partie du CAC 40, remplacée par Téléperformance[37].

En septembre 2021, Sodexo annonce l'acquisition d'une participation majoritaire dans Wedoogift, spécialisée dans les chèques cadeaux et restaurants dématérialisés, pour un montant non dévoilé[38].

Activité

Depuis 2010, Sodexo offre des services de solutions globales pour ses clients au-delà de la restauration collective[39].[C'est-à-dire ?]

Services sur site

  • Entreprises et administrations : aménagement des espaces, espaces de remise en forme, création et entretien des espaces verts, restauration, services de réception et de sécurité…
  • Santé : services de restauration, services de maintenance du matériel médical, services de transport des patients et du matériel…
  • Éducation : services de restauration scolaire, conception de lieux d’apprentissage (écoles ou campus) ergonomiques
  • Défense : accompagnement à la reconversion, programmes nutritionnels, gestion des approvisionnements, centres de décompression, entretien des terrains d’entraînement et gestion des équipements sportifs…
  • Bases vie : gestion des approvisionnements et des services sur des sites industriels situés dans des lieux isolés (plateformes pétrolières en mer, sites miniers dans le désert…).
  • Établissements pénitentiaires : programmes de responsabilisation, programmes de réinsertion, aménagement des établissements, conception des systèmes de sécurité…
  • Maisons de retraite : formation du personnel, programmes nutritionnels, programmes de stimulation, entretien et maintenance…

Les services aux particuliers et à domicile

  • La conciergerie d’entreprise, à travers la filiale Circles qui met à disposition des concierges dans les entreprises. Ce service permet par exemple d’organiser un dîner, d’obtenir un visa en urgence, de déposer sa voiture chez le garagiste, de trouver un plombier.
  • L’aide à domicile, en particulier avec des services d’assistance pour subvenir aux besoins des personnes âgées dans leur quotidien (se nourrir, se laver, se déplacer, faire le ménage), dans leur vie sociale et relationnelle ou dans leurs déplacements en dehors du domicile (faire les courses, se rendre sur son lieu de travail, consulter un médecin) via la filiale Amelis.
  • La garde d’enfant, avec la détention de la filiale Crèche attitude.

Principaux actionnaires

Au [40] :

Bellon (famille) 42,2%
Artisan Partners 4,28%
First Eagle Investment Management 3,97%
Ostrum Asset Management 3,41%
BNP Paribas Asset Management France 1,86%
Amundi Asset Management (Investment Management) 1,49%
Norges Bank Investment Management 1,44%
Henderson Global Investors 1,38%
International Value Advisers 1,33%
American Century Investment Management 1,28%

Chiffres du groupe

Exercice 2016-2017

Chiffre d'affaires 2016-2017 : 20,7 milliards € pour un résultat net part du groupe de 723 millions € et un dividende par action de 2,75 €.

  • Entreprises et administrations : 51 % du CA
  • Santé et Seniors : 24 %
  • Education : 20 %
  • Services Avantages et récompenses : 905 millions €

Répartition des effectifs : 427 268 collaborateurs sur 80 pays

  • Employés : 377 359 dont 209 716 femmes et 167 643 hommes
  • Management : 49 909 dont 21 238 femmes et 28 671 hommes[41]

Organisation

Filiales

  • Altys (2013) qui prendra le nom de Energie et Maintenance
  • Société des bateaux parisiens (1987)
  • Batobus (1989)
  • Compagnie Financière Aurore International
  • Eat Club
  • Mentor Technical Group Corporation
  • Kalyx Limited
  • Lenôtre (2011)
  • Ouest Catering
  • Score (2008)
  • SEGSMHI (Le Lido de Paris...)
  • Sherpas (2008)
  • Sofinsod
  • Sogeres (2001)
  • Sotech services

Conseil d'administration

Depuis sa fondation, la société est contrôlée par une holding familiale, Bellon SA, qui détient 40,4 % du capital et 55,8 % des droits de vote exerçables. Des accords empêchent les membres de la holding de vendre leurs actions Bellon SA à des tiers pour une durée de 50 ans. Les descendants ne peuvent donc pas disposer librement de leurs actions[42].

Le conseil d'administration au de Sodexo est composé de 13 membres[43] :

  • Pierre Bellon, président du conseil d'administration de Sodexo entré en fonction le 14/11/1974.
  • Robert Baconnier, vice-président du conseil d’administration
  • Patricia Bellinger, executive director, executive education Harvard Business School
  • Astrid Bellon, membre du directoire de Bellon SA
  • Bernard Bellon, Membre du conseil de surveillance de Bellon SA
  • François-Xavier Bellon, directeur général de Bright Yellow Group Plc
  • Françoise Brougher, business lead, Square
  • Sophie Bellon, présidente du directoire de Bellon SA, vice-présidente du conseil d'administration de Sodexo
  • Paul Jeanbart, directeur général de Rolaco
  • Michel Landel, directeur général de Sodexo
  • Alain Marcheteau, administrateur de sociétés
  • Nathalie Szabo, membre du directoire de Bellon SA
  • Peter Thomson, administrateur de sociétés

Le , Sophie Bellon devient présidente du conseil d'administration de Sodexo[44].

Le , Denis Machuel devient Directeur Général à la place de Michel Landel [45] [réf. nécessaire]. Lors de l'assemblée générale de ce même jour, Phitrust, une société de gestion française qui œuvre pour de meilleures pratiques ESG (environnemental, sociétal, gouvernance), a pointé des problèmes de gouvernance remettant en cause les pratiques du groupe[46].

Siège

En 2008 le siège international de Sodexo après 30 ans à Saint-Quentin-en-Yvelines, déménage à Issy-les-Moulineaux, et l'année suivante en 2009, le siège de Sodexo en France s'implante à Guyancourt dans les Yvelines.

Identité visuelle

Activité de lobbying

Auprès de l'Assemblée nationale

Sodexo est inscrit comme représentant d'intérêts auprès de l'Assemblée nationale française. L'entreprise déclare à ce titre qu'en 2014, les coûts annuels liés aux activités directes de représentation d'intérêts auprès du Parlement sont compris entre 40 000 et 50 000 euros[47].

Auprès des institutions de l'Union européenne

Sodexo est inscrit depuis 2012 au registre de transparence des représentants d'intérêts auprès de la Commission européenne. Il déclare en 2015 pour cette activité 2 collaborateurs à temps plein et des dépenses d'un montant compris entre 200 000 et 300 000 euros[48].

Controverses

L'OING Human Rights Watch affirme dans un rapport du [49] que Sodexo, dans le cadre de ses activités aux États-Unis, empêche ses employés de s'organiser et de négocier, en violation des normes internationales, voire souvent du droit du travail américain. On reproche à Sodexo, particulièrement aux États-Unis et en Colombie, d'avoir soumis des salariés qui avaient tenté de monter un syndicat à des menaces, à des entretiens s'apparentant à des interrogatoires, ainsi qu'à des licenciements[50]. L'OING estime que ce comportement « suscite de sérieux doutes quant à la valeur des engagements volontaires en faveur des droits humains » alors que Sodexo se prononce au moins partiellement en faveur des normes fondamentales relatives au travail de l'OIT, des principes directeurs sur les relations professionnelles de l'OCDE, de la liberté d'association telle que définie par la Déclaration universelle des droits de l'homme, ainsi que du Pacte mondial des Nations unies. Ainsi, en 2011, un communiqué de la CGT (France) rapporte que le secrétaire général du syndicat marocain ODT a été licencié par Sodexo[51]. Les accusations du syndicat SEIU à l'encontre de Sodexo apparaissent aujourd'hui sujettes à question[52]. Le National Labor Relations Board (NLRB), agence fédérale indépendante garantissant les droits des employés, accuse le syndicat de pratiques antisyndicales, et les agences de notations sociales ont renouvelé leur confiance à Sodexo pour ses investissements socialement responsables (ISR) durant l'année 2010 et 2011. En , SEIU et Sodexo parviennent à un accord qui met fin aux poursuites mutuelles que les deux parties avaient engagées l'une contre l'autre[53].

Un certain nombre de scandales alimentaires impliquant directement ou indirectement la firme ont été rapportés par certains médias. En 2009, des élèves d'une école nîmoise sont victimes d'une intoxication au staphylocoque doré. Elle serait due à « un défaut de contrôle à la réception des matières premières »[54]. En , près de 10 000 écoliers allemands sont victimes de gastro-entérite à la suite de la consommation de fraises en provenance de Chine. Le groupe s'en est excusé[55].

En , Sodexo Justice Services, qui gère plusieurs prisons au Royaume-Uni — qui a privatisé ses services pénitenciers —, est accusé par la presse locale d'avoir laissé une détenue trois jours sans suivi médical ni assistance, à la suite d'une fausse couche, dans la prison de Peterborough[56]. Le porte-parole de Sodexo a précisé qu'il ne reconnaissait pas « la version des événements telle qu'elle a été rapportée »[57].

Notes et références

  1. "Issy-les-Moulineaux." Sodexo. Consulté le 9 janvier 2015. "Groupe Sodexo S.A. (siège) 255, Quai Bataille de Stalingrad, 92130 Issy-les-Moulineaux FRANCE" Plan
  2. J.F.A., « Portrait Sophie Bellon, présidente de Sodexo », Challenges, no 461, , p. 56 à 59 (ISSN 0751-4417)
  3. « https://amadeus.bvdinfo.com/version-2019829/ » (consulté le )
  4. « SODEXO : les résultats de l'exercice 2017/2018 en ligne avec les objectifs révisés », sur capital.fr, (consulté le ).
  5. «Global 500», classement du magazine Fortune pour 2016, en ligne.
  6. Bellon le boulimique par Sabine Delanglade, L'Express, du 9 avril 1998.
  7. Biographie de Pierre Bellon, Annuaire LSA, en ligne.
  8. « Introduction », In: Bernard Bellon et Émily Borgeaud, Je me suis bien amusé. Sodexho raconte..., Paris, Éditions d'organisation, 2006 (ISBN 978-2708134522).
  9. Les Bellon par Mariane Payot, L'Express du 27 juin 2002.
  10. Pierre Bellon : Je me suis bien amusé; Sodexho raconte...
  11. SODEXO BASES-VIE
  12. (en) Communiqué sur sodexousa.com.
  13. (en-US) « Sodexo History Milestones - Move Your Money Project », Move Your Money Project, (lire en ligne, consulté le )
  14. « Le Ravi », sur www.leravi.org (consulté le )
  15. « Sodexo : Pierre Bellon «fier» de sa «succession exemplaire» », Boursorama, (lire en ligne, consulté le )
  16. « Sodexho renforce son activité chèque cadeau avec le rachat de Tir Groupé », La Tribune, (lire en ligne, consulté le )
  17. Sodexo à ses actionnaires : Avis de convocation à l'assemblée générale du 25 janvier 2010, page 18[Où ?]
  18. Partenariats dans le commerce durable, sur Daily-Bourse.
  19. Sodexo rempile avec l'Armée américaine sur Boursier.com.
  20. Sodexo : contrat des Marines divisé par deux, Le Figaro du 24 février 2011.
  21. Life Insurance Corporation of India est la plus importante compagnie publique d'assurance-vie en Inde
  22. Les Échos, du 3 décembre 2013.
  23. « Sodexo fait son retour dans le CAC 40 », Challenges du 21 mars 2016.
  24. « Sodexo annonce l'acquisition de l'américain Inspirus », Capital, septembre 2016.
  25. Sodexo prend de l'ampleur avec Prestige Nursing, sur Fusacq.com.
  26. « Sodexo rachète le groupe américain de restauration Centerplate pour 572 millions d'euros », Challenges du 15 novembre 2017.
  27. (en) Steve O'Hear, « Sodexo acquires majority stake in French online restaurant FoodChéri », TechCrunch, (lire en ligne, consulté le )
  28. Gill Plimmer, « Sodexo plans to expand UK elderly home care business », sur Financial Times,
  29. Mathilde Visseyrias, « Des sanctions lourdes à digérer pour le cartel des titres-restaurant », sur Le Figaro.fr, (consulté le )
  30. BFM BUSINESS, « Cartel des titres restaurant: 414 millions d'euros d'amendes dont 157 millions pour Edenred », sur BFM BUSINESS (consulté le )
  31. « Sélection du Guide Michelin : Le Jules Verne et Le Pré Catelan récompensés », sur Boursier.com (consulté le )
  32. Neo Restauration, « Mobilisation générale chez Sodexo », Neo Restauration, (lire en ligne, consulté le )
  33. « Sodexo : les dirigeants divisent par deux leur rémunération », sur Les Echos, (consulté le )
  34. « Sodexo: les dirigeants réduisent leur salaire pour aider les employés face à la crise », sur Investir (consulté le )
  35. « Coronavirus : À Sodexo, "on réaffecte les salariés des sites en sous-activité vers ceux en tension" », sur Europe 1 (consulté le )
  36. Le Figaro avec Reuters, « Coronavirus: les dirigeants de Sodexo renoncent à une partie de leurs rémunérations », sur Le Figaro.fr, (consulté le )
  37. « Sodexo cède sa place à Teleperformance dans le CAC 40 », sur https://www.lesechos.fr, (consulté le )
  38. Thomas Pontiroli, « Chèques-cadeaux : Sodexo prend le contrôle de Wedoogift », sur Les Echos,
  39. http://www.lefigaro.fr/societes/2011/04/21/04015-20110421ARTFIG00710-sodexo-veut-s-emanciper-de-la-restauration-collective.php. Sodexo veut s'émanciper de la restauration collective], Le Figaro, 21 avril 2011.
  40. Zone Bourse, « SODEXO : Actionnaires », sur www.zonebourse.com (consulté le )
  41. « Document de référence », sur https://www.sodexo.com/fr/home/finance.html,
  42. Nathalie Devillier, « La nouvelle gouvernance de Sodexo, l’internationalisation et le numérique », La Tribune, (lire en ligne, consulté le )
  43. (fr) [PDF] http://www.sodexo.com/fr/Images/Document-Reference-2012-2013-Sodexo_interactif343-749506.pdf, p. 279
  44. Communiqué officiel, Sodexo.com Worldwide, le 22 novembre 2011.
  45. « Communiqué »,
  46. « Sodexo peine à respecter les règles de bonne gouvernance - Actualités Gouvernance », L'AGEFI, (lire en ligne, consulté le )
  47. « Tableau des représentants d'intérêts », sur www.assemblee-nationale.fr (consulté le )
  48. « Registre de transparence », sur europa.eu (consulté le )
  49. le rapport de HRW
  50. « Non à la criminalisation syndicale chez Sodexo (CGT) », L'Humanité, du 21 avril 2011.
  51. Les revers du syndicat SEIU face à Sedexo, Miroir social, du 28 mars 2011.
  52. LaTribune.fr, article du 19 septembre 2011.
  53. Les marchés, le média de l'alimentaire [Où ?]
  54. Le Parisien du 5 octobre 2012.
  55. Dans une prison privatisée, une femme obligée de « nettoyer son propre sang », Basta Mag, du 16 décembre 2013.
  56. (en) The Independant du 13 décembre 2013.

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