Saint-Julien-Chapteuil

Saint-Julien-Chapteuil (Sant Julian e Chaptuelh en occitan[1]) est une commune française située dans le département de la Haute-Loire en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Pour les articles homonymes, voir Saint-Julien.

Saint-Julien-Chapteuil

Blason
Administration
Pays France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Haute-Loire
Arrondissement Le Puy-en-Velay
Intercommunalité Communauté de communes Mézenc-Loire-Meygal
(siège)
Maire
Mandat
André Ferret
2020-2026
Code postal 43260
Code commune 43200
Démographie
Gentilé Capitolien
Population
municipale
1 959 hab. (2018 )
Densité 69 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 02′ 09″ nord, 4° 03′ 42″ est
Altitude Min. 771 m
Max. 1 408 m
Superficie 28,26 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Le Puy-en-Velay
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Emblavez-et-Meygal
(bureau centralisateur)
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Saint-Julien-Chapteuil
Géolocalisation sur la carte : Haute-Loire
Saint-Julien-Chapteuil
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Julien-Chapteuil
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Julien-Chapteuil

    Elle est le lieu de naissance de Jules Romains.

    Géographie

    Les sucs du Meygal à Saint-Julien-Chapteuil.
    Rue principale du bourg de Saint-Julien, avec le suc de Monac à l'arrière-plan.

    La commune, traversée par le 45e parallèle nord, est de ce fait située à égale distance du pôle Nord et de l'équateur terrestre (environ 5 000 km).

    C’est une commune de moyenne montagne (840 m d'altitude moyenne), sur le territoire de laquelle se dressent plusieurs sucs dépassant les 1000 mètres et faisant partie du massif du Meygal :

    - au nord : le mont Chanis (alt. 1 231 m), le mont Rouge (1 159 m), le Peyre de Bard (1 200 m), le suc de la Faye (1 106 m) ;
    - à l’est : le Mounier (1 407 m, point culminant de la commune), dont les flancs nord, ouest et sud appartiennent à la commune ;
    - au sud : la Tortue (1 327 m) et le Montcharret (1 199 m), dont les flancs nord se situent dans la commune ;
    - au centre, à km environ du bourg de Saint-Julien, s’élève le suc de Chapteuil (1 031 m), remarquable par ses orgues basaltiques, et porteur d’une tour ruinée.

    Le suc de Monac, même s’il semble indissociablement lié, visuellement et picturalement, au bourg de Saint-Julien, est sis en réalité dans la commune voisine de Saint-Pierre-Eynac.

    La commune bénéficie d'un climat tempéré, chaud.

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Julien-Chapteuil est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[2],[3],[4].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction du Puy-en-Velay, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 59 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[5],[6].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (56,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (57,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (41,8 %), forêts (39,4 %), zones agricoles hétérogènes (14,7 %), zones urbanisées (3,6 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (0,5 %)[7].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[8].

    Habitat et logement

    En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 1 342, alors qu'il était de 1 277 en 2013 et de 1 226 en 2008[I 1].

    Parmi ces logements, 65,8 % étaient des résidences principales, 20,2 % des résidences secondaires et 13,9 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 83,7 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 16,1 % des appartements[I 2].

    Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Saint-Julien-Chapteuil en 2018 en comparaison avec celle de la Haute-Loire et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (20,2 %) supérieure à celle du département (16,1 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 68,8 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (67,7 % en 2013), contre 70 % pour la Haute-Loire et 57,5 pour la France entière[I 3].

    Le logement à Saint-Julien-Chapteuil en 2018.
    Typologie Saint-Julien-Chapteuil[I 1] Haute-Loire[I 4] France entière[I 5]
    Résidences principales (en %) 65,8 71,5 82,1
    Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 20,2 16,1 9,7
    Logements vacants (en %) 13,9 12,4 8,2

    Histoire

    Préhistoire et Antiquité

    Si aucune trace d'occupation préhistorique n'a été trouvée sur le territoire de l'actuelle commune, Chapteuil semble avoir été dans l’antiquité la capitale d'une tribu Ligure ayant migré pour s'établir là. Trois éléments portent à le supposer : Chapteuil est dérivé de Capitolium, mot par lequel les Ligures désignaient leurs sièges administratifs et religieux; les seigneurs de Chapteuil portaient le titre de comtor du Velay (mais il est difficile de faire un lien entre une désignation médiévale et des faits remontant à la plus haute antiquité); des ateliers monétaires étaient autrefois établis au lieu-dit Monedeyres (dans l’actuelle commune de Queyrières), c’est-à-dire à peu de distance du Capitole ligure.

    La tribu Celte Vellaune qui s'impose ensuite fixe sa capitale à Ruessio (Saint-Paulien)[9].

    Du Moyen Âge à la Révolution française

    La localité de Saint-Julien se développe autour d’un prieuré fondé à la fin du XIe siècle par des moines bénédictins, que les seigneurs de Chapteuil avaient fait venir de la Chaise-Dieu.

    En 950, le Velay (Pagus vellaicus) est divisé en dix vigueries (chacune administrée par un viguier, lieutenant du comte, chargé de la levée de l'impôt), dont celle de Chapteuil (Vicaria Capitolio ou Vicaria Castro Capitoliensis[10]), à laquelle sont rattachées en 1016 Les Engouyoux (commune de Laussonne), Neyzac (commune de Saint-Julien-Chapteuil), Le Ponteil, (commune de Saint-Pierre-Eynac)[11].

    L'église Saint-Julien, bâtie au XIIe siècle, appartenait à l'archiprêtre de Monistrol, lui-même soumis au diocèse du Puy. Le château des seigneurs de Chapteuil est peut-être bâti à la même époque, sur un neck. Il n'en reste aujourd'hui que quelques ruines.

    Il existe une interrogation sur l'origine du nom de Pons de Chapteuil, troubadour auvergnat et seigneur de Vertaizon (Floruit 1190-1237), laissant supposer un lien avec Chapteuil, ancien nom de la municipalité actuelle.

    Du point de vue judiciaire, le bailliage du Velay, institué vers l'année 1278 et dont Saint-Julien fait partie, ressortit au sénéchal de Beaucaire.

    En 1733, Jean Pierre de Surrel (1686-1756) fait l'acquisition du fief, qui reste en possession de la famille de Surrel de Saint-Julien jusqu'à la Révolution[12].

    De la Révolution française à aujourd'hui

    La commune est créée en 1790 par la fusion des bourgs de Saint-Julien[13] et Chapteuil[14], et porte quelque temps le nom de Mont-Mégal.

    L'Assemblée nationale, lors de sa séance du , décrète la constitution du département du Velay, (auquel une autre délibération législative le donne le nom de département de la Haute-Loire), divisé en trois districts et trente-deux cantons, dont dans le district du Puy le canton de Saint-Julien-Chapteuil avec 6 municipalités : Lantriac, Montusclat, Saint-Étienne- Lardeyrol, Saint-Hostien,Saint-Julien-Chapteuil, Saint-Pierre-Eynac. Deux communes sont ajoutées ultérieurement : Queyrières et Le Pertuis.

    Des prêtres réfractaires sont cachés dans la grotte de Chaumard bas (alias Coirat)[15].

    Le naît sur la commune l'écrivain et philosophe Jules Romains.

    Cent-deux enfants de la municipalité sont tombés aux champs-d'honneur lors de la Première Guerre mondiale, et trois lors de la seconde.

    Le club de football "Olympic Saint-Julien-Chapteuil" est fondé en 1938.

    Politique et administration

    Liste des maires

    La mairie
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1935 1944 Jean Barriol    
    1944 1947 Gabriel Layes    
    1947 1959 Louis Boyer    
    1959 1971 Auguste Rouzier    
    1971 1989 Paul Reynaud    
    1994 2008 André Raveyre DVG Conseiller général (1998-2011)
    2008 En cours
    (au 26 mai 2020)
    André Ferret[16] DVG  

    La commune englobe, outre le gros bourg de Saint-Julien, les villages et hameaux suivants : Rocherols et Montchanis (tous deux situés au pied du mont Chanis), le Villaret, la Faye, Bourgeneuf, Bard, les Ardennes, Chaumard, Neyzac (Bas et Haut), les Couderts, Chapteuil (au pied du suc de Chapteuil, du latin capitolium), Bacelles, Peyrebrune, la Chapuze, Sumène, Auteyrac, Jalazou, le Betz, Chanalez, le Fraisse, les Chiers, Bellerut, les Vignettes, Saint-Marsal, les Gonnets et la Chapelette.

    Population et société

    Évolution démographique

    En 2008, Saint-Julien-Chapteuil comptait 1 870 habitants (soit une augmentation de 4 % par rapport à 1999). La commune occupait le 5 344e rang au niveau national, alors qu'elle était au 5 071e en 1999, et le 30e au niveau départemental sur 260 communes. Chausse


    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[17]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[18].

    En 2018, la commune comptait 1 959 habitants[Note 3], en augmentation de 4,15 % par rapport à 2013 (Haute-Loire : +0,6 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    2 2052 1512 4672 4402 7212 5483 1152 6202 641
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 6462 8782 8023 1443 3053 2193 2983 1683 316
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    3 3843 4212 9202 6352 3842 2962 2872 1051 820
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    1 7621 6461 4991 5691 6641 8041 8861 8671 889
    2018 - - - - - - - -
    1 959--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[13] puis Insee à partir de 2006[19].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement âgée. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (28 %) est en effet supérieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (25,8 %). À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (52 %) est du même ordre de grandeur que le taux national (51,6 %).

    La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :

    • 48 % d’hommes (0 à 14 ans = 17,4 %, 15 à 29 ans = 13,4 %, 30 à 44 ans = 20,2 %, 45 à 59 ans = 23,4 %, plus de 60 ans = 25,6 %) ;
    • 52 % de femmes (0 à 14 ans = 18,2 %, 15 à 29 ans = 13,8 %, 30 à 44 ans = 17,7 %, 45 à 59 ans = 20 %, plus de 60 ans = 30,2 %).
    Pyramide des âges à Saint-Julien-Chapteuil en 2007 en pourcentage[20]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,7 
    90  ans ou +
    1,5 
    10,6 
    75 à 89 ans
    14,4 
    14,3 
    60 à 74 ans
    14,3 
    23,4 
    45 à 59 ans
    20,0 
    20,2 
    30 à 44 ans
    17,7 
    13,4 
    15 à 29 ans
    13,8 
    17,4 
    0 à 14 ans
    18,2 
    Pyramide des âges du département de la Haute-Loire en 2007 en pourcentage[21]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,4 
    90  ans ou +
    1,4 
    7,4 
    75 à 89 ans
    11,8 
    14,9 
    60 à 74 ans
    15,6 
    21,9 
    45 à 59 ans
    20,3 
    20,8 
    30 à 44 ans
    19,4 
    16,1 
    15 à 29 ans
    14,4 
    18,5 
    0 à 14 ans
    17,1 

    Culture locale et patrimoine

    Église Saint-Julien

    L'église Saint-Julien.

    L'église Saint-Julien est située un peu en hauteur par rapport au bourg. Les débuts de la construction remontent au XIIe siècle. Elle est classée au titre des monuments historiques depuis 1907[22].

    Chapelle du hameau de la Chapelette

    Chapelle de la Chapelette

    Le hameau de la Chapelette, dans l’extrême sud de la commune, possède une chapelle dédiée à saint Barthélémy, dont la nef et l’abside actuelles semblent d’origine romane (XIe et XIIe siècles), mais dont la façade ouest et le clocher sont des reconstructions datant du XVIIe siècle. Bien qu’elle ait été mentionnée pour la première fois en 1210, des sarcophages mérovingiens trouvés à proximité suggèrent cependant qu’il s’agit d’un lieu de culte plus ancien encore. À l’intérieur, on note une statue naïve de saint Barthélémy portant, après avoir été écorché vif, sa propre dépouille. (Inscrite MH 1982[23] ; propriété privée).

    Musée Jules Romains

    Musée Jules Romains

    L'office de tourisme abrite, au premier étage, un musée Jules Romains où sont exposés des bureaux et des documents de l'écrivain.

    Personnalités liées à la commune

    • Jules Romains, de son vrai nom Louis Henri Jean Farigoule ( à Saint-Julien-Chapteuil - à Paris), écrivain français.

    Héraldique

    Les armes de Saint-Julien-Chapteuil se blasonnent ainsi :

    D'azur au lion d'argent, armé et lampassé de gueules.

    Voir aussi

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Site de l'Insee

    Autres sources

    1. Jean Roux, L'auvergnat de poche, Chennevières-sur-Marne (Val-de-Marne), Assimil, coll. « Assimil évasion », , 246 p. (ISBN 978-2-7005-0319-7 et 2700503198).
    2. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    3. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    4. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    6. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    7. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    8. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    9. Livre "La Haute-Loire insolite", pages 9 et 10, de Roger Briand, juillet 2016.
    10. Page Wikipedia de la municipalité de Saint-Pierre-Eynac.
    11. Augustin Chassaing Dictionnaire topographique du département de la Haute-Loire comprenant les noms de lieu anciens et modernes  complété et publ. par M. Antoine Jacotin ; publ. par ordre du ministre de l'Instruction publique ; sous la dir. du Comité des travaux historiques. 1907. Éd.E. Leroux (Paris)  lire sur Gallica ark:/12148/bpt6k392965  
    12. Site internet www.saintjulienchapteuil.fr __"Saint-Julien-Chapteuil - Histoire".
    13. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    14. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Chapteuil », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
    15. Livre "Le monde souterrain de Haute-Loire", de Jean-Paul Béal, année 2018, page 209.
    16. Liste des maires de la Haute-Loire sur le site de la préfecture (consulté le 28 août 2014).
    17. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    18. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    19. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    20. « Évolution et structure de la population à Saint-Julien-Chapteuil en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    21. « Résultats du recensement de la population de la Haute-Loire en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    22. « Église Saint-Julien », notice no PA00092858, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    23. Notice no PA00092857, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    • Portail des communes de France
    • Portail du Massif central
    • Portail de la Haute-Loire
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.