Casteljaloux
Casteljaloux est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de Lot-et-Garonne, en région Nouvelle-Aquitaine.
Casteljaloux | |||||
La mairie (avril 2013). | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Lot-et-Garonne | ||||
Arrondissement | Nérac | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes des Coteaux et Landes de Gascogne | ||||
Maire Mandat |
Julie Castillo 2020-2026 |
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Code postal | 47700 | ||||
Code commune | 47052 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Casteljalousains | ||||
Population municipale |
4 533 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 148 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 18′ 55″ nord, 0° 05′ 20″ est | ||||
Altitude | 69 m Min. 55 m Max. 168 m |
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Superficie | 30,59 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Unité urbaine | Casteljaloux (ville isolée) |
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Aire d'attraction | Casteljaloux (commune-centre) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton des Forêts de Gascogne (bureau centralisateur) |
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Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Géolocalisation sur la carte : Lot-et-Garonne
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | http://www.casteljaloux.fr/ | ||||
Géographie
Casteljaloux est située dans le Queyran et le Pays d'Albret sur l'Avance.
La ville est partagée entre les Landes de Gascogne (Albret landais) et ses forêts de pins au sud, et les coteaux cultivés (maïs, blé, tournesol) du Queyran au nord. Casteljaloux est traversée par les routes départementales D 933 et D 665, ancienne route nationale 655.
Géologie, paléoenvironnement
Le substrat géologique situé au sud de Casteljaloux correspond à la limite nord-est de l'« épandage des sables des Landes, formation continentale éolienne quaternaire qui a recouvert (vers - 30 000 ans) les formations continentales terrigènes, marines et lacustres tertiaires (dont des bancs calcaires karstifiés) »[1]. Ce phénomène d'ensablement a modifié fortement la morphologie des paysages mais aussi leur écologie, dont en bouleversant l'hydrographie régionale[1].
La commune abrite un exemple de cryptokarst (sur la rive gauche de la Garonne à une altitude comprise entre 150 et 70 m) ; Cette curiosité géologique résulte des effets des apports sableux sur l'ancienne hydrographie karstique de sub-surface et sur l'hydrographie de surface. Lors des dernières périodes glaciaires et interglaciaires, et notamment durant le Wurm (dernière glaciation), les cours d'eau ont creusé les vallées en formant localement (comme à Casteljaloux) des karsts qui se sont ensuite retrouvés totalement asséchés[1]. Les couches calcaires sont peu épaisses, à faible pendages et séparées par des lits de molasses continentales ou de marnes marines, forçant les réseaux karstiques à se constituer horizontalement. La limite d'âge minimum de ce karst serait d'environ - 40 000 ans selon Jean-Christophe Pellegrin[1]. L'évolution karstique s'est arrêtée, laissant ces petits karsts comme témoins paléoenvironnementaux, hormis pour quelques réseaux encore alimentés par les nappes phréatiques. La masse de sable landeux a également modifié l'hydrochimie des exutoires de ces réseaux[1].
Communes limitrophes
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Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[5]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Martin-Curto », sur la commune de Saint-Martin-Curton, mise en service en 1974[9]et qui se trouve à 6 km à vol d'oiseau[10],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,2 °C et la hauteur de précipitations de 843 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Agen-La Garenne », sur la commune d'Estillac, mise en service en 1941 et à 42 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 13,1 °C pour la période 1971-2000[13], à 13,4 °C pour 1981-2010[14], puis à 13,8 °C pour 1991-2020[15].
Urbanisme
Typologie
Casteljaloux est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[16],[17],[18]. Elle appartient à l'unité urbaine de Casteljaloux, une unité urbaine monocommunale[19] de 4 533 habitants en 2018, constituant une ville isolée[20],[21].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Casteljaloux, dont elle est la commune-centre[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 14 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[22],[23].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (43,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (44,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (38,1 %), zones agricoles hétérogènes (16,4 %), terres arables (13,7 %), prairies (11,1 %), zones urbanisées (9,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (5,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,2 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (2,1 %), eaux continentales[Note 6] (1,1 %)[24].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
Au IXe siècle, la cité se nomme Castellum Vandalorum, « château des Vandales »[source insuffisante].
Une légende raconte que le nom de Casteljaloux serait dû à la jalousie d’un seigneur des environs[25] à moins qu'il ne s'agisse d'une déformation du terme Vandalorum en Jaloux (phonétiquement difficile !).
En gascon, le nom de la commune est Castèth-Gelós.
Histoire
À la fin du XIe siècle, église et moulin, poissons du lac et terres appartiennent à l'abbaye de La Sauve-Majeure située à 30 km à l'est de Bordeaux.
Entre les XIe et XVIe siècles, Casteljaloux et ses environs sont la propriété des seigneurs d'Albret. Ils y possèdent un château dont le futur Henri IV fit un rendez-vous de chasse. Agrippa d'Aubigné y fut notamment blessé.
Les Albret font de la ville la place forte du protestantisme, confrontée aux guerres de religion.
En 1685, l’édit de Fontainebleau de Louis XIV révoquant l'édit de Nantes de 1598 qui avait reconnu la liberté de culte des protestants, contraint beaucoup de ceux-ci à l’exil. La ville est l’une des premières à en souffrir[25].
Histoire moderne
Casteljaloux fut chef-lieu de district de 1790 à 1795.
Au XIXe siècle, les eaux sulfureuses et ferrugineuses de Casteljaloux acquièrent un renom tel qu'il vaut à la ville l’appellation de Casteljaloux-les-Bains. Abandonnée pendant longtemps, la vocation thermale de la ville renaît au cours du XXe siècle. Un centre accueille des curistes souffrant de problèmes articulaires[25].
La ville a également une tradition industrielle, avec ses papeteries et ses moulins sur la rivière Avance, ses fonderies et ses fabriques de bougies et cires.
Histoire contemporaine
La ligne Casteljaloux-Marmande fut ouverte en 1891. La SNCF ouvrit ensuite en 1893 la ligne Casteljaloux-Roquefort (Landes).
La ligne Marmande-Mont-de-Marsan fut fermée aux voyageurs en 1938. Les transports de marchandises stoppèrent en 1971 sur la ligne Roquefort-Casteljaloux. Cette ligne fut démontée peu après. La ligne Marmande-Casteljaloux fut fermée aux marchandises en 2005. Un projet de train touristique entre Marmande et Casteljaloux est envisagé. La ligne se termine aujourd'hui à 2 km de l'ancienne gare de Casteljaloux. La gare a été détruite en 2011 pour être remplacée par un hypermarché.
Politique et administration
Liste des maires
Le , Jean-Claude Guénin élu maire depuis 1994 démissionne par surprise lors d'une réunion associative[31],[32]
Une information judiciaire est ouverte et l'ancien maire UMP sera reconnu coupable de soustraction, détournement et destruction de biens publics par le Tribunal Correctionnel de Agen (47) le et condamné à 10 mois de prison avec sursis et 5 ans d’inéligibilité[33],[34].
À la suite de cette démission, Julie Castillo (LR) sa colistière est élue Maire par le Conseil Municipal en place[35].
Politique environnementale
Dans son palmarès 2020, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué deux fleurs à la commune[36].
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[38].
En 2018, la commune comptait 4 533 habitants[Note 7], en diminution de 2,41 % par rapport à 2013 (Lot-et-Garonne : −0,36 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Enseignement
- Institution La Salle Sainte Marie (école maternelle, élémentaire et collège privés sous contrat d'association avec l'état) ;
- École maternelle Jean-de-La-Fontaine ;
- École primaire Samazeuilh ;
- Collège Jean-Rostand.
Manifestations culturelles et festivités
- Dans sa tradition taurine, Casteljaloux accueille chaque année des courses landaises.
- Les Pro'Jacteurs : compagnie professionnelle de théâtre créée par Romuald Borys en 1997.
Sports
- Club de rugby à XV USC (Union Sportive Casteljaloux)
- Champion de France de Fédérale 3 lors de la saison 2005-2006
- Champion de France promotion honneur 2010-2011 (saison de reprise du club seul après 3 saisons de fusion avec Marmande)
- Club de Handball HBCC (HandBall Club Casteljaloux)
- Club de football FCC (Football Club Casteljaloux)
Économie
, machines à bois, machines de sertissage, manches à balais), fonderie,
- Schott AG: ampoules médicales en verre.
- Knauf, barquettes en polystyrène alimentaire.
- Castelmaïs, transformation de maïs, six salariés.
- Tradition de la chasse aux palombes
- Tourisme : Base de loisirs de Clarens avec lac de Clarens (15 hectares dont une partie est destinée à la baignade et aux loisirs aquatiques), avec à proximité un golf 18 trous, un site de Grimpe d'arbres, et une résidence de tourisme et chalets en bois ainsi qu'un casino construit en partie sur pilotis sur le lac. La création de ce lac a été décidée par la commune fin 1969 par Joseph Turroques (maire de Casteljaloux) et son conseil municipal qui en ont confié la conception à la au service du génie rural des eaux et forêts de la DDA (direction départementale de l’agriculture)[41]. Une partie du site de Clarens est pour l’occasion achetée à la commune voisine de Pindères. Le creusement et un premier aménagement ont commencé en 1974 et terminés en 1976 (année de canicule et de sécheresse) pour une inauguration en 1977. Il est alimenté en eau par le ruisseau du Baraton, issu des ruisseaux de Bretagne, Tren et Mayrac, mais aussi par le ruisseau Rieucourt, venant du Papetier, par des sources locales et doté d'un exutoire qui rejoint l'Avance[41] ;
- Thermalisme : Centre thermal « Eurothermes » et sa résidence. Spécialisation de rhumatologie, bains thermoludiques. Capacité : 2 000 curistes/an.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Église Notre-Dame-de-l'Assomption : originellement bâtie au XVe siècle et devenue collégiale, elle a été détruite par les Protestants en 1568, puis reconstruite de 1682 à 1711 avec des pierres provenant de la démolition des fortifications accordées par Louis XIII. Une inscription se lit, sur le fronton de la façade néo-classique, la devise de la République « Liberté, Égalité, Fraternité », apposée en raison de la participation financière de l'État républicain aux travaux de restauration en 1899 ; l'église a été inscrite au titre des monuments historiques en 1998[42].
- Couvent des Cordeliers (XVe et XVIIe siècles) : les sires d'Albret ont favorisé l'établissement à Casteljaloux de Franciscains (les Cordeliers). Cet ordre prêchait la charité et la pauvreté ce qui explique la simplicité de la chapelle et l'austérité du cloître qu'aucune sculpture ne vient agrémenter. Ce cloître entièrement restauré a longtemps servit d'hôpital et de maison de retraite. Depuis la construction d'un nouvel EPHAD en 2017, le cloître est abandonné et en vente. L'ensemble a été inscrit au titre des monuments historiques en 1998[43]. Ce monument n'est pas visitable.
- Maison du Roy (XVIe siècle) : Demeure nommée à la suite des séjours supposés de Louis XIII et de Louis XIV. La maison du Roy abrite aujourd'hui l'office de tourisme de Casteljaloux et ses expositions régulières accueillent le public dans une salle où se trouve une superbe cheminée ; elle a été inscrite au titre des monuments historiques en 1983[44]. Ce monument n'est pas visitable.
- Parc municipal et son château : ils ont accueilli Jeanne d'Albret et Henri de Navarre futur Henri IV. En 1636, le château fut en partie démoli et le donjon fut démantelé en 1653. Ce site est désormais soumis aux mains des jardiniers de la ville. Ce monument n'est pas visitable.
- Les remparts : ces fortifications du XIVe siècle furent plusieurs fois abaissées pendant les Guerres de Religion, la Fronde et en 1622, par ordre de Louis XIII ; en 1635, elles furent relevées à 4,33 mètres ; en 1808, le conseil municipal décide que « les murs de la ville, inutiles depuis des siècles, seront démolis et vendus » ; aujourd'hui, on peut encore voir quelques vestiges de ces fortifications sur le boulevard Victor-Hugo (la petite Avancette et les restes des murs d'enceinte).
- Place de la République (la Mairie) : l'hôtel de ville a été construit dès 1859 ; il a subi bien d'autres transformations jusqu'à la réfection complète effectuée en 1988, date à laquelle la halle fut fermée par des vitrages.
- Le vieux Casteljaloux (rue Posterne, rue Maquebœuf et rue de Veyries) : une dizaine de Maisons à colombages et encorbellement, datant des XVe et XVIe siècles, subsistent dans le périmètre de la vieille ville. Certaines ont conservé leur aspect original, mais d'autres ont été crépies au mortier.
- L'une d'elles, située au 65 de la Grand'rue, a été inscrite au titre des monuments historiques en 1963[45].
- L'église Notre-Dame, vue nord ().
- L'église Notre-Dame, vue ouest ().
- La chapelle du couvent des Cordeliers ().
- La maison du Roy, vue nord ().
- La maison du Roy ().
- Le monument aux morts ().
- Maisons à colombages
- Maison inscrite MH, 65 Grand'rue (sept. 2014).
- Maison à colombages, rue de l'Hôpital ().
- Maison à colombages, Grand'rue ().
- Maisons à colombages, rue de Veyries ().
- Maison à colombages, rue du Milieu ().
- Maisons à colombages, rue Posterne ().
- Maisons à colombages, rue Posterne ().
Personnalités liées à la commune
- Caporal La Bigorne de son vrai nom Jean Onésime Filet
- Agrippa d'Aubigné
- Catherine Bouroche, née à Casteljaloux en 1942, sculpteur
- Gérard Duprat, né à Saint-Pierre-de-Mons, Gironde, 1912-1980, député communiste de 1946 à 1951 puis de 1956 à 1958
- Louis Matha, né à Casteljaloux, (1861-1930), anarchiste
- Robert Lacoste, né à Xaintrailles, Lot-et-Garonne, syndicaliste, membre du PCF, conseiller général
- Laurent Laffargue, né à Casteljaloux en 1969, metteur en scène, réalisateur et comédien. Il a écrit et interprété un seul en scène intitulé "Casteljaloux" en 2011, dans lequel il raconte son adolescence casteljalousaine. En , il tourne un film "Les Rois du Monde" à Casteljaloux et ses environs, adapté de ce même spectacle, avec Eric Cantona, Sergi Lopez, Céline Sallette, Romane Bohringer, Guillaume Gouix et Victorien Cacioppo.
- Alphonse Lamarque, né à Plaisance, Gers, 1813-1865
- Romuald Borys, metteur en scène, auteur et comédien. Il a créé une compagnie de théâtre professionnelle à Casteljaloux « Les Pro'Jacteurs » en 1997. Il a notamment travaillé avec Pierre Richard, Pierre Palmade et Muriel Robin.
- Patricia Ounzari, Championne du monde cyclo-cross Master 1998, 19 titres nationaux.
- Joseph-César Cantérac d'Andiran d'Ornézan (1786-1835), est un général espagnol connu en Espagne sous le nom de José de Canterac, né à Casteljaloux le , mort à Madrid le [46].
Héraldique
Blason | Tranché d'or et de sable au château de deux tours couvert et girouetté d'argent brochant sur le tout.
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Détails | Armes parlantes. Officiel, présenté sur le site internet de la commune. |
Voir aussi
Bibliographie
- Jean-François Samazeuilh, Monographie de la ville de Casteljaloux, imprimerie J. Bouchet, Nérac, 1860 (lire en ligne)
- Pellegrin, Jean-Christophe (1997) Un exemple de cryptokarst en région tempérée : le karst de Casteljaloux (Lot-et-Garonne). Thèse en Paléogéographie, Université de Bordeaux 3 (Notice bibliographique)
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- Pellegrin Jean-Christophe, Un exemple de cryptokarst en région tempérée : le karst de Casteljaloux (Lot-et-Garonne). Thèse en Paléogéographie, Université de Bordeaux 3, 1997 (Notice bibliographique)
- Carte IGN sous Géoportail
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
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- « Station météorologique d'Agen-La Garenne - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Casteljaloux », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
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- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Casteljaloux sur le site « Visites en Aquitaine - Région Aquitaine » (CC-BY-SA), consulté le 25 septembre 2014.
- Nom des habitants de la commune sur habitants.fr, consulté le 7 juin 2013
- « Démission du maire de Casteljaloux (47) et accusations de détournement de fonds », sur sudouest.fr, (consulté le ).
- Commune de Casteljaloux sur le site de l'AMF, Association des Maires de France, consulté le 7 juin 2013.
- Michelyne Cailleau, « Julie Castillo a été réélue », Sud Ouest édition Dordogne/Lot-et-Garonne, , p. 22.
- « lerepublicain.net/politique-ju… »(Archive • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?).
- « Casteljaloux. Démission surprise de J.-C. Guénin », sur ladepeche.fr (consulté le ).
- « Démission du maire de Casteljaloux (47) et accusations de détournement de fonds », sur SudOuest.fr (consulté le ).
- « Lot-et-Garonne : Jean-Claude Guénin condamné à 10 mois de prison avec sursis et 5 ans d’inéligibilité », sur SudOuest.fr (consulté le ).
- « Lot-et-Garonne : l’ancien maire de Casteljaloux Jean-Claude Guénin renvoyé en justice », sur SudOuest.fr (consulté le ).
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- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- Il était une fois le Lac de Clarens Le Lac de Clarens fête cette année ses 40 ans article publié le 18 juin 2017 par le journal Nouvelle Aquitaine, consulté 19 aout 2018
- « Inscription MH de l'église Notre-Dame-de-l'Assomption », notice no PA47000036, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Inscription MH du couvent des Cordeliers », notice no PA47000035, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Inscription MH de la Maison du Roy », notice no PA00084088, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Inscription MH de la maison à pans de bois du 65 Grand'rue », notice no PA00084089, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Commandant Labouche, Un Agenais, général en chef des armées espagnoles (1817-1824), p. 444-452, Revue de l'Agenais, 1924, tome 60 ( lire en ligne )
- Armorial de France
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