Raymond Souplex
Raymond Guillermain, dit Raymond Souplex, est un acteur, dialoguiste, scénariste et chansonnier français né le à Paris, ville où il est mort le .
Pour les articles homonymes, voir Guillermain et Souplex.
Nom de naissance | Raymond Guillermain |
---|---|
Naissance |
Paris, France |
Nationalité | Française |
Décès |
Paris, France |
Profession |
Acteur Dialoguiste Scénariste Chansonnier |
Films notables |
Si Versailles m'était conté... Manon |
Séries notables | Les Cinq Dernières Minutes |
Biographie
Né le au no 13 place du Panthéon dans le 5e arrondissement de Paris[1], fils de Léon Adrien, chef de service du bureau de bienfaisance du 5e arrondissement et de Zélie Ernestine Pesloux (anagramme de Souplex), il est le cadet d'une famille de quatre enfants. Adulte, il tente d'entrer au Conservatoire en 1920, mais il échoue.
Le chansonnier
À ses débuts, il est clerc d'huissier, la journée, et chansonnier le soir[2]. Il tourne dans des cabarets et cafés-théâtres parisiens, dont le Caveau de la République, le théâtre du Coucou et le théâtre des Deux Ânes. C'est durant cette période qu'il rencontre Jane Sourza qui devient sa complice pendant de nombreuses années et non sa compagne comme on a pu le croire longtemps. Dès 1935, il participe aux émissions radiophoniques de Radio Cité avec Noël-Noël, Saint-Granier et Jane Sourza. Avec cette dernière, il interprète le rôle d'un clochard, nommé La Hurlette, philosophe dans l'émission humoristique Sur le banc. Pour créer son personnage, il s'inspire d'un clochard qu'il a connu enfant s'appelant Adalbert Biart de Chéradine[2]. De cette émission sera tiré en 1955 le film du même nom de Robert Vernay où il tient le rôle principal du clochard. Ça n'est qu'en 1933, sur les instances la Chambre des huissiers, qu'il renonce à son métier de clerc d'huissier.
Durant la Seconde Guerre mondiale, Raymond Souplex continue à se produire, par exemple au théâtre de Dix-Heures, au théâtre des Deux Ânes, ou sur Radio Paris. Il participe aussi, avec d’autres artistes comme Fréhel, Lys Gauty, Jane Sourza, à une tournée dans les usines du Troisième Reich où travaillent de nombreux Français du STO. À Berlin en , il accompagne quelques artistes français dont Loulou Gasté, Édith Piaf, Albert Préjean, Viviane Romance, et pose avec eux devant la Porte de Brandebourg, à l'occasion d'un voyage censé promouvoir la chanson française, ce qui lui vaudra un blâme à la Libération. Il écrit une opérette Clochemerle, d’après le roman de Gabriel Chevallier, musique de Fernand Warms, crée le au Théâtre Moncey[3]. Après la guerre, il reprend son émission Sur le banc sur l'antenne de Radio Luxembourg de 1949 à 1963.
L'acteur
Sa carrière cinématographique démarre en 1939, avec le film Sur le plancher des vaches de Pierre-Jean Ducis avec Noël-Noël, alors que Raymond Souplex a déjà une certaine popularité. En 1940, dans Les Surprises de la radio de Marcel Aboulker, il joue son propre rôle au milieu d'autres grandes vedettes de l'époque. Il faut attendre la Libération pour revoir Souplex sur les écrans. En 1948, Henri-Georges Clouzot l'engage dans Manon aux côtés de Cécile Aubry, Serge Reggiani et Michel Bouquet et en 1950, Henri Jeanson le choisit pour incarner un chanteur de charme vieillissant dans Lady Paname aux côtés de Louis Jouvet et de Suzy Delair. En 1951, il incarne Gen Paul, l'artiste peintre plutôt ringard, mais sympa, ami, et confident de Garou-Garou, incarné par Bourvil, dans le film Garou-Garou, le passe-muraille. Ce rôle le rendra assez populaire. Des années 1950 aux débuts des années 1970, le public verra à la télévision à de nombreuses reprises Raymond Souplex, surtout dans des émissions de variétés de l'ORTF, comme l'émission de Jean Nohain, 36 Chandelles.
Le personnage de Bourrel
En 1957, Claude Loursais le choisit pour devenir l'acteur principal de la série télévisée policière française Les Cinq Dernières Minutes, où il incarne l'inspecteur (puis commissaire en 1965) Antoine Bourrel. Ce rôle a été inspiré par le tournage du film Identité judiciaire dans lequel il incarne le commissaire Basquier, personnage en tous points comparable à celui du commissaire Bourrel.
L'acteur et son personnage sont restés fameux en raison de l'exclamation : « Bon Dieu ! Mais c'est bien sûr ! »[4], (et non "Bon sang ! Mais c'est bien sûr") à la fin de chaque épisode lorsque la résolution de l'énigme s'impose à l'enquêteur et que celui-ci s'adresse directement au téléspectateur pour l'inviter à le suivre dans ses raisonnements. Il compose personnellement son personnage : la coupe à la brosse et la moustache, la gabardine, le nœud papillon, le chapeau rond. La collaboration avec Claude Loursais dure 56 épisodes de 1958 à 1972.
Bourrel est secondé dans la série par Jean Daurand, dans le rôle de l'inspecteur Dupuy. À noter que le tandem formé par les deux comédiens est si familier du public français qu'ils apparaissent ensemble dans deux films où Souplex joue à nouveau un policier, et Daurand son adjoint : L'assassin viendra ce soir et La Malédiction de Belphégor.
Raymond Souplex jouera durant cette fameuse série avec bon nombre d'acteurs célèbres ou devenus célèbres : Françoise Fabian, Ginette Leclerc, Serge Gainsbourg, Pierre Brasseur, Henri Virlogeux, Bernard Fresson, Henri Crémieux, Jacques Monod, Yves Rénier, Henri Tisot, Gérard Hernandez, Marcel Bozzuffi, François Perrot, Michel Bouquet, Danièle Évenou, Marthe Mercadier, Raymond Gérôme, Jean-Pierre Cassel...
En 1960, il apparaît dans le court-métrage Le Rondon d'André Berthomieu.
Raymond Souplex meurt au le au 7 rue Cauchois dans le 18e arrondissement de Paris[5] des suites d'un cancer du poumon à l'âge de 71 ans, avant l'achèvement du tournage du cinquante-sixième épisode : Un gros pépin dans le chasselas. Cet épisode n'étant pas achevé, Claude Loursais et Claude-Jean Bonnardot décident d'introduire un juge d'instruction flanqué d'un greffier et d'user d'un artifice scénaristique pour compléter le tournage. Le juge est joué par Jacques Bouvier. Cet épisode sera diffusé le [6].
Raymond Souplex est inhumé au cimetière de Gentilly. Son épouse, Lucienne Arduini, est décédée en 1993. Il vivait à Paris 18e arrondissement, rue Cauchois, dans une maison avec jardin[2]. Un square du 18e arrondissement de Paris, au coin des rues Montcalm et Marcadet, porte son nom. Perrette Souplex, fille de Raymond Souplex, actrice elle-même, a joué le rôle de « Perrette Bourrel » dans l'épisode Le Dernier Cri en 1996, un des derniers de la série.
Filmographie
Au cinéma
- 1939 : Sur le plancher des vaches de Pierre-Jean Ducis : un chansonnier
- 1970 : Les Surprises de la radio de Marcel Aboulker : lui-même (également coscénariste)
- 1942 : Sirius symphonies de Jean Devaivre - court métrage -
- 1945 : Dans le mouvement de Louis Devaivre - court métrage -
- 1945 : La Pythonisse de Jean Devaivre - court métrage -
- 1946 : Les Deux Camille de Jean Devaivre - court métrage -
- 1946 : Symphonies de Louis Devaivre - court métrage -
- 1946 : Jamais deux sans trois de Boris Zatouroff - court métrage -
- 1946 : Je cherche un petit appartement de Louis Devaivre - court métrage -
- 1946 : Je te serais fidèle de Louis Devaivre - court métrage -
- 1946 : Quand allons-bous nous marier? de Louis Devaivre - court métrage -
- 1946 : Rêver de Louis Devaivre - court métrage -
- 1947 : Le Moulin de La Galette de Jean Devaivre - court métrage -
- 1948 : Les Drames du Bois de Boulogne de Jacques Loew - court métrage -
- 1948 : Manon d'Henri-Georges Clouzot : M. Paul
- 1948 : Bonjour le monde de Jean-Jacques Mehu - court métrage -
- 1948 : Les Dupont sont en vacances d'André Pellenc - court métrage -
- 1949 : Branquignol de Robert Dhéry : le convive au sang-froid
- 1950 : Lady Paname d'Henri Jeanson : Arsène Marval, chanteur célèbre et cabotin
- 1950 : Trente-troisième chambre d'Henri Verneuil - court métrage -
- 1950 : Garou-Garou, le passe-muraille de Jean Boyer : Gen Paul, l'artiste peintre
- 1950 : Meurtres de Richard Pottier : Blaise Annequin
- 1950 : Le Clochard milliardaire de Léopold Gomez : Sosthène
- 1950 : Caroline chérie de Richard Pottier : M. Belhomme
- 1951 : Identité judiciaire d'Hervé Bromberger : le commissaire Basquier
- 1951 : Au fil des ondes de Pierre Gautherin : participation
- 1951 : Paris chante toujours de Pierre Montazel : lui-même
- 1951 : Le Vrai Coupable de Pierre Thévenard : l'inspecteur Querneau
- 1952 : Opération Magali de Laslo V.Kish avec André Le Gall, Philippe Nicaud et Georges Flamant : le commissaire Paoli
- 1952 : Poil de carotte de Paul Mesnier
- 1954 : Si Versailles m'était conté... de Sacha Guitry : le commissaire-priseur
- 1955 : Sur le Banc de Robert Vernay : La Hurlette
- 1955 : Nagana d'Hervé Bromberger : Charlier
- 1955 : Les Pépées au service secret de Raoul André : M. Bonneval
- 1955 : Coup dur chez les mous de Jean Loubignac, sorti en 1956 : Totor
- 1956 : Les carottes sont cuites de Robert Vernay : Raymond Boyer, le père du virtuose
- 1956 : Bébés à gogo de Paul Mesnier : Stéphane Petitbourgeois
- 1956 : Les Aventures de Till l'espiègle de Gérard Philipe et Joris Ivens : Grippesous
- 1957 : La Fille de feu d'Alfred Rode : le professeur Théodore Heldt
- 1958 : Les Amants de demain de Marcel Blistène : Charles
- 1959 : Chaque minute compte de Robert Bibal : le commissaire Muller
- 1960 : Le Mouton de Pierre Chevalier : le gardien-chef
- 1960 : Alibi pour un meurtre de Robert Bibal : le commissaire Muller
- 1962 : L'assassin viendra ce soir de Jean Maley : le commissaire Serval
- 1964 : Dernier Tiercé de Richard Pottier : l'inspecteur Masurel
- 1966 : La Sentinelle endormie de Jean Dréville : Villeroy
- 1966 : La Malédiction de Belphégor de Georges Combret et Jean Maley : Legris
- 1970 : Clodo (ou Clodo et les Vicieuses) de Georges Clair : le curé
À la télévision
- 1952 : Le bourgeois gentilhomme mise en scène de Pierre Valde, réalisation par René Lucot : Monsieur Jourdain
- 1956 : Prenez garde à la peinture de Réné Fauchois, réalisation François Gir : Gadarin
- 1957 : En votre âme et conscience / L'affaire Gouffé de Claude Barma
- 1958 : En votre âme et conscience / L'Affaire Schwartzbard de Claude Barma : la défense
- 1958 : Orphée aux Enfers de Jean Paul Carrère : Jupiter
- 1958 : On ne sait jamais de André Leroux : M. Achille, brocanteur à Montmartre
- 1959 : Ciboulette de Francis de Croisset; réalisation Guy Lessertisseur : Antonin
- 1963 : Un coup dans l'aile de Claude Barma : le concierge
- 1964 : Filous et Gogos / Hôtel de la gare de Paul Robin
- 1964 : Un jour à Enghien de Jacques Gérard : Barville
- 1964 : Pierrot des Alouettes, comédie musicale de Henri Spade : inspecteur Bourrel
- 1965 : Le 3ème témoin de Dominique Nohain, mise en scène de l'auteur, réalisation Georges Folgoas : l'inspecteur Lambert
- 1968 : Les Enquêtes du commissaire Maigret / Le chien jaune de Claude Barma : le présentateur
- 1971 : Des yeux, par milliers, braqués sur nous d'Alain Boudet : Raymond
Au théâtre ce soir
- 1967 : Bon Appétit Monsieur de Gilbert Laporte, mise en scène Fred Pasquali, réalisation Pierre Sabbagh, théâtre Marigny : Étienne
- 1969 : Le Deuxième Coup de feu de Robert Thomas, mise en scène de l'auteur, réalisation Pierre Sabbagh, théâtre Marigny : Édouard
- 1969 : La Perruche et le Poulet de Robert Thomas d'après Jack Popplewell, mise en scène Robert Thomas, , réalisation Pierre Sabbagh, théâtre Marigny : l'inspecteur Grandin
Les Cinq Dernières Minutes
Entre 1958 et 1973, il participe au tournage de 56 épisodes de cette célèbre série policière en incarnant le rôle de l'inspecteur principal, puis commissaire, Antoine Bourrel.
- La Clé de l'énigme de Claude Loursais (première diffusion : 01/01/58)
- D'une pierre deux coups de Claude Loursais (première diffusion : 09/03/58)
- Les Cheveux en quatre de Claude Loursais (première diffusion : 07/04/58)
- Réactions en chaîne de Claude Loursais (première diffusion : 06/05/58)
- L'habit fait le moine de Claude Loursais (première diffusion : 06/06/58)
- Le Théâtre du crime de Claude Loursais (première diffusion : 05/08/58)
- Le Tableau de chasse de Claude Loursais (première diffusion : 07/10/58)
- Un sang d'encre de Claude Loursais (première diffusion : 09/12/58)
- Un grain de sable de Claude Loursais (première diffusion : 27/01/59)
- On a tué le mort de Claude Loursais (première diffusion : 10/03/59)
- Sans en avoir l'air de Claude Loursais (première diffusion : 14/08/59)
- Dans le pétrin de Claude Loursais (première diffusion : 18/09/59)
- Poisson d'eau douce de Claude Loursais (première diffusion : 03/11/59)
- Au fil de l'histoire de Claude Loursais (première diffusion : 01/03/60)
- Un poing final de Claude Loursais (première diffusion : 26/04/60)
- Dernier Cri de Claude Loursais et Jean-Marie Comeau (première diffusion : 21/06/60)
- Le Dessus des cartes de Claude Loursais (première diffusion : 06/09/60)
- Qui trop embrasse de Claude Loursais (première diffusion : 22/11/60)
- Sur la piste de Claude Loursais (première diffusion : 31/01/61)
- Cherchez la femme de Claude Loursais (première diffusion : 04/04/61)
- Épreuves à l'appui de Claude Loursais (première diffusion : 06/06/61)
- L'Avoine et l'Oseille de Claude Loursais (première diffusion : 26/09/61)
- L'Épingle du jeu de Claude Loursais (première diffusion : 06/01/62)
- Le Tzigane et la Dactylo de Pierre Nivelet (première diffusion : 17/04/62)
- C'était écrit de Claude Loursais (première diffusion : 05/06/62)
- Mort d'un casseur de Guy Lessertisseur (première diffusion : 05/06/62)
- Un mort à la une de Pierre Nivelet (première diffusion : 27/11/62)
- L'Eau qui dort de Claude Loursais (première diffusion : 12/03/63)
- Une affaire de famille de Jean-Pierre Marchand (première diffusion : 06/07/63)
- Fenêtre sur jardin de Claude Loursais (première diffusion : 18/02/64)
- 45 tours et puis s'en vont de Bernard Hecht (première diffusion : 23/04/64)
- Quand le vin est tiré de Claude Loursais (première diffusion : 11/07/64)
- Sans fleurs ni couronnes de Claude Loursais (première diffusion : 28/11/64)
- Napoléon est mort à Saint-Mandé de Claude Loursais (première diffusion : 24/04/65)
- Bonheur à tout prix de Claude Loursais (première diffusion : 03/07/65)
- Des fleurs pour l'inspecteur de Claude Loursais (première diffusion : 25/09/65)
- La Chasse aux grenouilles de Claude Loursais (première diffusion : 27/11/65)
- Pigeon vole de Claude Loursais (première diffusion : 29/01/66)
- La Rose de fer de Jean-Pierre Marchand (première diffusion : 04/06/66)
- Histoire pas naturelle de Guy Lessertisseur (première diffusion : 22/10/66)
- La Mort masquée de Guy Lessertisseur (première diffusion : 14/01/67)
- Finir en beauté de Claude Loursais (première diffusion : 25/03/67)
- Un mort sur le carreau de Roland-Bernard (première diffusion : 16/09/67)
- Voies de fait de Jean-Pierre Decourt (première diffusion : 11/11/67)
- Les Enfants du faubourg de Claude Loursais (première diffusion : 27/01/68)
- Tarif de nuit de Guy Séligmann (première diffusion : 06/04/68)
- Le commissaire est sur la piste de Claude Loursais (première diffusion : 23/03/69)
- Traitement de choc de Claude Loursais (première diffusion : 23/11/69)
- Une balle de trop de Raymond Pontarlier (première diffusion : 01/01/70)
- Les Mailles du filet de Claude Loursais (première diffusion : 06/06/70)
- Les Yeux de la tête de Claude Loursais (première diffusion : 01/11/71)
- Chassé croisé de Claude Loursais (première diffusion : 03/02/72)
- Meurtre par la bande de Claude Loursais (première diffusion : 04/05/72)
- Le diable l'emporte de Claude Loursais (première diffusion : 10/11/72)
- Meurtre par intérim de Claude Loursais (première diffusion : 07/02/73)
- Un gros pépin dans le chasselas de Jean-Claude Bonnardot (première diffusion : 07/11/73)
Théâtre
- 1952 : La Tête des autres de Marcel Aymé, mise en scène André Barsacq, théâtre de l'Atelier : Alessandrovici
- 1952 : Le Cocotier de Jean Guitton, mise en scène Paule Rolle, théâtre du Gymnase : Achille Perrochon
- 1952 : Feu Monsieur de Marcy de Raymond Vincy et Max Regnier, mise en scène Georges Douking, théâtre de la Porte Saint Martin
- 1953 : Ces messieurs de la Santé de Paul Armont et Léopold Marchand, théâtre de Paris
- 1954 : Le Capitaine Smith de Jean Blanchon, mise en scène André Clavé, théâtre Montparnasse
- 1957 : L'École des cocottes de Paul Armont & Marcel Gerbidon, mise en scène Jacques Charon, théâtre Hébertot
- 1960 : Crime parfait de Frederick Knott, mise en scène Jean Meyer, théâtre du Palais-Royal
- 1961 : Le Mariage forcé et L'École des maris de Molière, mise en scène Jean Meyer, théâtre du Palais Royal
- 1962 : Bichon de Jean de Létraz, mise en scène Jean Meyer, théâtre Édouard VII
- 1962 : Piège pour un homme seul de Robert Thomas, mise en scène Jacques Charon, théâtre de l'Ambigu
- 1963 : Piège pour un homme seul de Robert Thomas, mise en scène Jacques Charon, Théâtre des Bouffes-Parisiens
- 1963 : Bonsoir Madame Pinson d'Arthur Lovegrove, adaptation André Gillois et Max Régnier, mise en scène Jean-Paul Cisife, théâtre de la Porte-Saint-Martin
- 1965 : Le 3e Témoin de Dominique Nohain, mise en scène de l'auteur, théâtre de l'Ambigu
- 1966 : La Perruche et le Poulet de Robert Thomas, Théâtre du Vaudeville : Henri Grandin
- 1968 : La Perruche et le Poulet de Robert Thomas, mise en scène de l'auteur, théâtre des Nouveautés : Henri Grandin
- 1969 : L'Ascenseur électrique de Julien Vartet, mise en scène Roland Piétri, théâtre de la Renaissance : Monsieur Benoît
- ??? : Le Troisième Témoin de Dominique Nohain, théâtre de l'Ambigu
Discographie
- Carmen, La Hurlette et cie par Jane Sourza et Raymond Souplex, CD paru en 2006 chez Marianne Mélodie.
- Chansons à boire par Raymond Souplex, CD paru en 2006 chez ULM.
Hommages
Il existe un square Raymond-Souplex dans le 18e arrondissement de Paris. Il est aussi évoqué dans le 349e des 480 souvenirs cités par Georges Perec dans Je me souviens.
Notes et références
- Archives de Paris 5e, acte de naissance no 1551, année 1901 (page 19/28) (avec mention marginale de décès)
- L'almanach de la télévision, de Télé 7 Jours, année 1963 : "Raymond Souplex : le policier malgré lui"
- Recueil "Clochemerle" de Raymond Souplex lire en ligne sur Gallica
- Voir cet extrait sur Youtube.
- Archives de Paris 18e, acte de décès no 2693, année 1972 (vue 10/31)
- En fait son dernier tournage fut le cinquante-quatrième épisode (dans l'ordre des diffusions), Le diable l'emporte, dont des raccords en studio ont été tournés jusqu'au alors que les intérieurs de Un gros pépin dans le chasselas ne l'avaient pas encore été.
Liens externes
- (fr) « Raymond Souplex interprète Le raccommodeur de faïence, accompagné par l'orchestre de Raymond Lefevre »(Archive • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?)
- (fr) « Texte de la chanson de Raymond Souplex, Mon cousin au music-hall »(Archive • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?)
- Ressources relatives à l'audiovisuel :
- Allociné
- Unifrance
- (en) AllMovie
- (en) Internet Movie Database
- (fr) Sa fiche sur CinEmotions
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