Saint-Martial (Charente)
Saint-Martial est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).
Pour l’article homonyme, voir Saint-Martial, ancienne commune de la Charente aujourd'hui intégrée à Rouffiac.
Pour les articles homonymes, voir Saint-Martial.
Saint-Martial | |||||
Saint-Martial vue du sud-est. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Charente | ||||
Arrondissement | Angoulême | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Lavalette Tude Dronne | ||||
Maire Mandat |
Alain Miklaszewski 2020-2026 |
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Code postal | 16190 | ||||
Code commune | 16334 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
128 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 14 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 22′ 22″ nord, 0° 03′ 27″ est | ||||
Altitude | Min. 72 m Max. 181 m |
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Superficie | 9,31 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Tude-et-Lavalette | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Géolocalisation sur la carte : Charente
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Géographie
Localisation et accès
Saint-Martial est une commune du Sud Charente, située à 7 km au sud-ouest de Montmoreau, dont elle fait partie du canton, et 32 km au sud d'Angoulême.
Le bourg de Saint-Martial est aussi situé à 9 km au nord-est de Brossac, 11 km au nord de Chalais et 20 km au sud-est de Barbezieux[1].
La commune est desservie par des routes secondaires. Elle est en bordure de la D 674, route d'Angoulême à Libourne qui passe à Peudry, 3,5 km à l'est du bourg. Sur la limite nord il faut aussi signaler la D 24, puis D 21 à l'ouest, route de Montmoreau à Barbezieux.
Les autres routes départementales, moins fréquentées, sont la D 70, la D 21 (qui relie le bourg à Peudry) et la D 142[2].
La gare la plus proche est celle de Montmoreau, desservie par des TER à destination d'Angoulême et de Bordeaux.
Hameaux et lieux-dits
La commune, allongée vers le sud-est, contient aussi le minuscule village de Peudry, ancien bourg avec son église devenue chapelle.
Elle compte par ailleurs de nombreux petits hameaux et fermes : Villeneuve, Chez Pinaud, Chez Sureau, Chez Geoffroy après Peudry, etc.[2]
Communes limitrophes
Géologie et relief
Le paysage est vallonné et Saint-Martial est dans les coteaux du Montmorélien, paysage calcaire du Crétacé supérieur datant plus particulièrement du Campanien, calcaire crayeux.
La bordure nord est recouverte de dépôts du Tertiaire (Lutétien) composés de galets, sables et argiles, altérés lors des glaciations du Quaternaire[3],[4],[5].
La commune est un peu boisée, surtout au nord où passe la ligne de partage des eaux entre la Charente et la Gironde. Sur ces hauteurs, où se trouve le point culminant de la commune à 181 m d'altitude, la géologie différente entretient une végétation calcifuge comme les châtaigniers et les pins maritimes. Le point le plus bas est à 72 m, situé à l'extrémité sud-est. Le bourg est à 115 m d'altitude[2].
Hydrographie
La commune contient une tête de vallée tournée vers l'est, celle de la Gaveronne, petit affluent de la Tude, dans le bassin versant de la Gironde, et qui prend sa source Chez Boucherie. Le ruisseau s'appelle la Planche dans sa partie communale[2].
Climat
Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.
Natura 2000
Arrosé par la Planche, un petit affluent de la Tude, le territoire communal est concerné par le site Vallée de la Tude, identifié dans le réseau Natura 2000 comme important pour la conservation d'espèces animales européennes menacées[6],[7].
Seize espèces animales inscrites à l'annexe II de la directive 92/43/CEE de l'Union européenne y ont été répertoriées[6].
- un amphibien : le Sonneur à ventre jaune (Bombina variegata) ;
- un crustacé, l'Écrevisse à pattes blanches (Austropotamobius pallipes) ;
- six insectes : l'Agrion de Mercure (Coenagrion mercuriale), le Cerf-volant (mâle) ou la Grande biche (femelle) (Lucanus cervus), la Cordulie à corps fin (Oxygastra curtisii), le Cuivré des marais (Lycaena dispar), le Damier de la succise (Euphydryas aurinia) et le Gomphe de Graslin (Gomphus graslinii) ;
- cinq mammifères : la Loutre d'Europe (Lutra lutra) et le Vison d'Europe (Mustela lutreola), et trois chauves-souris : la Barbastelle d'Europe (Barbastella barbastellus), le Murin à oreilles échancrées (Myotis emarginatus) et le Petit rhinolophe (Rhinolophus hipposideros) ;
- deux poissons : le Chabot fluviatile (Cottus perifretum) et la Lamproie de Planer (Lampetra planeri) ;
- un reptile : la Cistude (Emys orbicularis).
Vingt-six autres espèces animales importantes y ont été recensées dont quatorze sont concernées par l'annexe IV de la directive habitats.
ZNIEFF
À Saint-Martial, sur un périmètre quasi identique à celui du site Natura 2000 ci-dessus, la vallée de la Planche fait partie de la ZNIEFF de type II nommée « Vallées de la Nizonne, de la Tude et de la Dronne en Poitou-Charentes »[8],[9].
Vingt-deux espèces déterminantes d'animaux y ont été répertoriées[8] :
- un amphibien : la Rainette verte (Hyla arborea) ;
- un crustacé, l'Écrevisse à pattes blanches (Austropotamobius pallipes) ;
- cinq insectes dont trois lépidoptères : l'Azuré de la sanguisorbe (Phengaris teleius), le Cuivré des marais (Lycaena dispar) et le Fadet des laîches (Coenonympha oedippus) et deux odonates : l'Agrion de Mercure (Coenagrion mercuriale) et la Cordulie à corps fin (Oxygastra curtisii) ;
- sept mammifères : la Loutre d'Europe (Lutra lutra) et le Vison d'Europe (Mustela lutreola), ainsi que cinq chauves-souris : le Murin à moustaches (Myotis mystacinus), l'Oreillard roux (Plecotus auritus), la Pipistrelle de Kuhl (Pipistrellus kuhlii), le Petit rhinolophe (Rhinolophus hipposideros) et la Sérotine commune (Eptesicus serotinus) ;
- quatre oiseaux : l'Alouette lulu (Lullula arborea), le Martin-pêcheur d'Europe (Alcedo atthis), le Milan noir (Milvus migrans) et le Tarier des prés (Saxicola rubetra) ;
- trois poissons : le Chabot commun (Cottus gobio), la Lamproie de Planer (Lampetra planeri) et le Toxostome (Parachondrostoma toxostoma) ;
- un reptile : la Cistude (Emys orbicularis).
Vingt-neuf autres espèces animales (quatre mammifères et vingt-cinq oiseaux) y ont été recensées[8].
Urbanisme
Typologie
Saint-Martial est une commune rurale[Note 1],[10]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[11],[12]. La commune est en outre hors attraction des villes[13],[14].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (79,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (79,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (52,1 %), zones agricoles hétérogènes (27,3 %), forêts (17,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3 %), prairies (0,1 %)[15].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
Les formes anciennes sont Beatus Martialis prope Montem Maurelli, Villareconiata (non datées, du Moyen Âge)[16]. La première forme latine signifie « Martial le bienheureux près de Montmoreau ».
Saint Martial était le premier évêque de Limoges, apôtre de l'Aquitaine. Il a donné son nom a une vingtaine de communes du sud de la France, en particulier autour du Limousin[17].
Vila recognada signifie villa reconnue en ancien occitan ou bas latin, la langue du département au Moyen Âge. Jean Talbert évoque pour villareconiata « ville renfoncée? », et que l'altitude du bourg est relativement plus faible que celle de ses environs[18],[Note 2].
Pendant la Révolution, la commune s'est appelée provisoirement Villerecougnade, qui était l'ancien nom de la paroisse[19].
Au XVIIIe siècle, la paroisse de Peudry est orthographiée Peudrie sur la carte de Cassini[2].
Saint-Martial est aussi parfois appelée informellement Saint-Martial-de-Montmoreau, entre le XIXe siècle et maintenant[20],[21].
Histoire
Le lieu-dit La motte de Peudry était un ancien fief[22].
En 1523, François Ier échange les terres de Peudry contre d'autres en Sologne avec François Green de Saint-Marsault[23].
Peudry était une ancienne paroisse, dont l'église remonte au Xe siècle. D'abord annexée à Saint-Laurent-de-Belzagot, elle fut rétablie vers 1680 avant de disparaître en 1761. C'était le siège d'un prieuré dont on ne connaît ni l'origine, ni le patronnage[24]. La commune de Peudry fut quand même créée en 1790, et a été réunie à Saint-Martial en 1845[25].
Au tout début du XXe siècle, l'industrie dans la commune était encore représentée par quelques tuileries[24].
Administration
Démographie
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[27].
En 2018, la commune comptait 128 habitants[Note 3], en diminution de 7,25 % par rapport à 2013 (Charente : −0,48 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Pyramide des âges
Remarques
Saint-Martial a absorbé Peudry en 1845[25].
Économie
Agriculture
La commune fait partie de l'aire d'origine contrôlée du Cognac « Bons Bois »[31] et de l'AOP Noix du Périgord[32].
Équipements, services et vie locale
Enseignement
L'école est un RPI entre Montboyer et Saint-Martial, qui accueillent chacune une école élémentaire, avec une classe chacune. Le secteur du collège est Montmoreau[33].
Lieux et monuments
Patrimoine religieux
- L'église Saint-Nicolas située au lieu-dit Peudry date du début du XIe siècle, a été remaniée au XIIIe siècle et rénovée en 2005. Elle est classée monument historique depuis 1987[34].
- L'église paroissiale Saint-Martial est située au bourg. Bien restaurée, elle a un joli portail gothique, un clocher carré assez massif, et une statue de saint Martial en surplombe l'entrée.
Patrimoine civil
Le château de Saint-Martial a été construit au XVe siècle. Le logis est flanqué d'une tour ronde ruinée et la tourelle d'escalier hexagonale a disparu[35].
Patrimoine environnemental
Il est important de citer l'environnement extérieur de la commune, marqué par une nature abondante plus particulièrement près de la vallée où coule la Planche sur les rives de laquelle on trouve de nombreuses espèces de fleurs ainsi que des chênes centenaires.
Personnalités liées à la commune
- Pierre Ganivet Desgraviers, né à Montboyer en 1773, mort en 1838 à Saint-Laurent-de-Belzagot. Soldat de la Révolution en 1792 et colonel d'Empire en 1813, il servit de 1792 à 1815, notamment sous les ordres de Jourdan, Moreau, Bonaparte, Masséna et Reynier. Il est enterré auprès de l'église de Peudry. Une plaque commémorative orne sa tombe depuis le .
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Avant les repeuplements du XVe siècle à la suite des ravages de la guerre de Cent Ans en Aquitaine, Angoumois et Saintonge étaient en langue d'oc et la toponymie dans les Charentes en garde de nombreuses traces.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
- Carte IGN sous Géoportail
- Visualisateur Infoterre, site du BRGM
- Carte du BRGM sous Géoportail
- [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Montmoreau », sur Infoterre, (consulté le )
- [PDF] - FR5400419 - Vallée de la Tude, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
- Carte du site « Vallée de la Tude », INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
- [PDF] - Vallées de la Nizonne, de la Tude et de la Dronne en Poitou-Charentes, Jean Terrisse (LPO), INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
- Carte de la ZNIEFF 540120099, INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
- « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Jean Nanglard, Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. III, Angoulême, imprimerie Despujols, , 582 p., p. 413
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 614.
- Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
- Jacques Baudet et Jacques Chauveaud, Bulletins et mémoires, Société archéologique et historique de la Charente, , « Toponymie révolutionnaire en Charente », p. 272-278 [lire sur le site d'André J.Balout (page consultée le 19 juillet 2012)] [PDF]
- Paul-François-Étienne Cholet (préf. L.Clouzot), Cartulaire de l'abbaye de Saint-Étienne de Baigne, Niort, L.Clouzot, , 382 p. (lire en ligne), p. 369
- « Saint-Martial », Charente libre, (lire en ligne, consulté le )
- André Debord, La société laïque dans les pays de la Charente Xe-XIIe s., Picard, , 585 p. (ISBN 2-7084-0112-2, présentation en ligne), p. 478
- Jean-Paul Gaillard, Châteaux, logis et demeures anciennes de la Charente, Paris, librairie Bruno Sepulchre, (réimpr. 2005), 893 p. (OCLC 908251975, présentation en ligne), p. 812
- Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 338
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- « Evolution et structure de la population à Saint-Martial en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le )
- « Résultats du recensement de la population de la Charente en 2007 » [archive du ], sur le site de l'Insee (consulté le )
- « Décret n° 2009-1146 relatif à l'AOC Cognac », sur legifrance, (consulté le )
- « Délimitation géographique de l'AOP Noix du Périgord », sur www.noixduperigord.com, (consulté le )
- Site de l'inspection académique de la Charente, « Annuaire des écoles » (consulté le )
- « Église de Peudry », notice no PA00104505, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Association Promotion Patrimoine, Philippe Floris (dir.) et Pascal Talon (dir.), Châteaux, manoirs et logis : La Charente, Éditions Patrimoines & Médias, , 499 p. (ISBN 978-2-910137-05-2 et 2-910137-05-8, présentation en ligne), p. 322
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Liste des possesseurs de Peudry par la Société archéologique et historique de la Charente
- Catillus Carol, « Saint-Martial », (consulté le )
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