Montérégie

La Montérégie est une région administrative du Québec délimitée à l'ouest par la région de Montréal et à l'est par les régions de l'Estrie et du Centre-du-Québec. Elle s'étend du fleuve Saint-Laurent jusqu'à la frontière avec les États-Unis. Son nom vient des collines montérégiennes, presque toutes situées sur son territoire. La Montérégie se compose de 15 municipalités régionales de comté (MRC), de 177 municipalités locales et 2 réserves indiennes.

Montérégie
Administration
Pays Canada
Province Québec
Statut Région administrative
MRC et TE Acton
Longueuil
Beauharnois-Salaberry
Le Haut-Richelieu
Le Haut-Saint-Laurent
Les Jardins-de-Napierville
Marguerite-D'Youville
Les Maskoutains
Pierre-De Saurel
Roussillon
Rouville
La Vallée-du-Richelieu
Vaudreuil-Soulanges
Nombre de municipalités 148
Ministre responsable Simon Jolin-Barrette
Fuseau horaire Heure de l'Est
Indicatif téléphonique +1 450
+1 579
Code géographique 16
Démographie
Gentilé Montérégien,
Montérégienne
Population 1 507 070 hab. ()
Densité 136 hab./km2
Variation 2014-2019 5,2 %
Géographie
Altitude Min. 1 m
Max. 962 m
Superficie 11 112 km2
incluant eau 11 852 km2
Économie
PIB régional 59 124,1 M CAD (2017)
Taux d'activité 65,6 % (2019)
Taux de chômage 4,1 % (2019)
Sources
Institut de la statistique du Québec, 2020

    Toponymie

    Le toponyme Montérégie, comme le terme montérégien pour désigner l'ensemble des collines de la région, provient de la forme latinisée du mont Royal, soit mons regius. Le mont Royal sur l'île de Montréal, bien qu'à l'extérieur de la région de la Montérégie, est l'une des collines montérégiennes. Ce terme pour nommer cet ensemble de collines dans la plaine du Saint-Laurent a été créé initialement en 1903 en anglais par le géologue Frank Dawson Adams pour désigner une nouvelle province pétrographique[1]. Outre le mont Royal, deux autres collines montérégiennes ne sont pas situées en Montérégie : le mont Mégantic en Estrie et les collines d'Oka dans les Basses-Laurentides.

    Géographie

    Sont répartis sur son territoire, en ordre d'importance : les terres agricoles (53,5 %), les forêts (27,4 %), les surfaces artificielles (9 %), les eaux (6,1 %) et finalement les milieux humides (4 %)[2].

    Situation

    La Montérégie est située immédiatement au sud de la région de Montréal, à mi-chemin vers les États-Unis. Sa superficie s'étend sur 11 852 km2, dont 11 112 km2 qui sont terrestres[2], soit moins de 1 % du territoire québécois. Région administrative la plus populeuse après Montréal, la Montérégie est également reconnue pour être le « grenier du Québec », avec ses terres fertiles et plus de la moitié de son territoire consacré à l'agriculture[3].

    Elle est bordée à l'ouest par la province canadienne de l'Ontario, au sud par les états américains de New York et du Vermont, au nord par les régions administratives de Montréal, des Laurentides et de Lanaudière, puis à l'est par les régions administratives de l'Estrie et du Centre-du-Québec.

    Relief

    La topographie de la Montérégie est caractéristique des basses-terres du Saint-Laurent. Son altitude moyenne est plus basse que la majorité des autres régions du Québec, ce qui en fait un territoire très fertile. Le long du fleuve Saint-Laurent et de la vallée de la rivière Richelieu, l'altitude ne dépasse jamais les 50 mètres. La monotonie de son paysage très plat est toutefois rompue par la présence remarquée des collines Montérégiennes, une série d'inselbergs alignés d'est en ouest. Les environs du mont Brome et du mont Shefford forment un piémont des Appalaches, une zone de transition vers l'Estrie[4]. L'extrême sud et le sud-est sont les secteurs les plus élevés de la région, à la lisière des Adirondacks et des montagnes Vertes.

    L'altitude minimale est de m au lac Saint-Pierre et s'élève jusqu'à 962 m au sommet Rond (monts Sutton)[5].

    Hydrographie

    La rivière Richelieu traverse la Montérégie dans son intégralité, du nord au sud. La région était jadis recouverte par la mer de Champlain. Le Richelieu en est l'héritier, en reliant toujours le lac Champlain au fleuve Saint-Laurent. Son bassin versant est délimité par les deux autres principaux cours d'eau de la Montérégie : la rivière Yamaska (à l'est) et la rivière Châteauguay (à l'ouest). Au nord, le fleuve Saint-Laurent constitue sa principale frontière, sans oublier la rivière des Outaouais pour la portion touchant la municipalité régionale de comté de Vaudreuil-Soulanges.

    À l'exception notable du lac Champlain et de sa baie Missisquoi, la région ne comporte aucun plan d'eau d'importance. On en retrouve toutefois quelques-uns dans les secteurs de la Haute-Yamaska et de Brome-Missisquoi, dont le plus vaste est le lac Brome (15 km²).

    Histoire

    Préhistoire et premiers habitants

    Reconstitution du village iroquoien de Droulers-Tsiionhiakwatha.

    La région immerge après la disparition de l'inlandsis laurentidien et le retrait de la mer de Champlain, à la suite de la dernière période glaciaire, il y a 11 000 ans.

    Les premières traces d'occupation humaine remontent à 6500 av. J.-C., à la tête du lac Saint-François, à une époque où des Paléoaméricains atteignent la Montérégie dans leur chasse du caribou. À mesure que la région se réchauffe, la végétation passera de la toundra à une forêt dominée par les feuillus, et ce depuis environ 5 000 ans[6].

    Le site de Pointe-du-Buisson est fréquenté par les Amérindiens durant plusieurs siècles. Vers l'an 500, la pêche occupe de plus en plus de place par rapport à la chasse. Vers l'an 1000, la croissance de la population et la baisse du gibier fait entrer la région dans le Sylvicole supérieur, ouvrant la voie à la sédentarisation et l'agriculture.

    Les Iroquoiens du Saint-Laurent établissent des hameaux et des villages à l'intérieur des terres, comme Droulers-Tsiionhiakwatha, vers 1450, où ils cultivent le maïs, les courges et les haricots[7].

    Colonisation européenne

    Le fort Chambly, érigé au milieu du XVIIe siècle pour défendre la colonie des attaques iroquoises.

    Début XVIIe siècle, les Français débutent la colonisation de la vallée du fleuve Saint-Laurent et s'allient politiquement et économiquement avec les Wabanakis (Confédération Wabanaki) qui y résident. Ces derniers sont en relatif conflit avec les Mohawks de la Confédération iroquoise, établie plus au sud, alliée pour sa part aux Britanniques.

    L'actuelle région de la Montérégie, à la frontière entre ces deux groupes, devient une zone d'affrontement. Plusieurs forts (Chambly, Richelieu, Saint-Jean) seront construits pour protéger la colonie française. Les guerres franco-iroquoises débutent par la bataille du lac Champlain en 1609, s'intensifient dans les années 1660 avec la mobilisation du régiment de Carignan-Salières, et se terminent uniquement en 1701 avec le traité de la Grande Paix de Montréal.

    Malgré le fort potentiel de la région, ces troubles ont nui à la colonisation et la population vit essentiellement dans les seigneuries concédées près du fleuve, face à Montréal : Longueuil (1657), Boucherville et La Prairie (1667). À la Conquête britannique, la Montérégie compte environ 9 000 habitants, soit 13% de la colonie[8].

    La coupe commerciale de la forêt débute dans les années 1720 et on retrouve au moins 13 scieries dans la région avant 1760. Néanmoins, c'est l'agriculture qui est et qui restera la principale activité économique : la surface défrichée passe km2 en 1681 à près de 100 km2 en 1739, puis environ 5 000 km2 en 1850. À la fin des années 1760, des centaines de familles acadiennes exilées plus tôt en Nouvelle-Angleterre, rejoignent la Montérégie et s'établissent dans « La Cadie ». Toutefois, c'est principalement aux colons loyalistes britanniques qu'on réserve toutes les terres non défrichées de la région, qui sont désormais divisées en cantons plutôt qu'en seigneuries. La forte fécondité des Canadiens de souche permet toutefois de conserver une hégémonie francophone en Montérégie, comparativement aux Cantons-de-l'Est[9].

    Conflits et développement

    Protestations contre l'autorité britannique à Saint-Charles-sur-Richelieu, lors de l'Assemblée des six-comtés en 1837.
    Granby en 1883.
    Longueuil en 1923, peinture de Maurice Cullen.

    Durant l'invasion américaine du Québec en 1775, les États-Unis s'emparent brièvement des forts Saint-Jean et Chambly. À leur deuxième tentative, en 1813, les Américains sont de nouveau arrêtés en Montérégie grâce aux troupes des Voltigeurs canadiens lors de la bataille de la Châteauguay. Bien que la Montérégie soit géographiquement frontalière des États-Unis, c'est surtout grâce à la rivière Richelieu, une voie navigable jusqu'au lac Champlain, qu'elle peut en tirer un avantage. Au début du XIXe siècle, de petits paquebots assurent une liaison entre la colonie et le voisin américain. L'ouverture des canaux Champlain (1823) puis Érié (1825), du côté américain, va toutefois orienter une grande partie du commerce vers les Grands Lacs. Du côté montérégien, la construction du canal de Chambly permet le développement du sud de la région en lui donnant accès au Saint-Laurent[10],[11].

    Au sein du Bas-Canada, la Montérégie est divisée en sept comtés : York, Huntingdon, Kent, Surrey, Richelieu, Bedford et William-Henry. Le poids démographique de la région lui confère le quart de la députation de la Chambre d'assemblée du Bas-Canada. Elle fait élire plusieurs des membres du Parti canadien, lequel revendique plus de pouvoir aux élus et moins au gouverneur, lequel favorise toujours les ambitions et intérêts britanniques avant ceux de la population canadienne française. Plusieurs assemblées de protestation se déroulent dans la région, dont l'Assemblée des six-comtés à Saint-Charles-sur-Richelieu. La Montérégie sera le principal théâtre de la Rébellion des Patriotes.

    L'accroissement naturel important permet à la Montérégie de devenir la région la plus peuplée du Québec en 1850. Cette forte natalité rurale pose problème dans la nouvelle dynamique de la Révolution industrielle. Un quart de million de Montérégiens partent vers les villes industrielles de la Nouvelle-Angleterre pour y former une importante diaspora. La Politique nationale permet de renverser cet exil en développant le secteur manufacturier dans les domaines du textile, du tabac et du caoutchouc. Des villes comme Salaberry-de-Valleyfield, Saint-Jean-sur-Richelieu, Granby et Saint-Hyacinthe en profitent[12]. À partir de 1945, la démocratisation de l'automobile transforme le nord de la Montérégie en banlieue résidentielle du Grand Montréal.

    Histoire récente

    En 1988, la Montérégie est divisée en 15 municipalités régionales de comté. Lors du référendum québécois de 1995, les Montérégiens votent majoritairement en faveur de l'indépendance du Québec.

    En 1998, la crise du verglas affecte particulièrement la Montérégie, située dans le « triangle noir ».

    En 2001, le processus québécois de réorganisation municipale fait naître l'agglomération de Longueuil, la troisième agglomération du Québec.

    En 2004 le Conseil régional de développement de la Montérégie est remplacé par trois conférences régionales des élus : la Montérégie-Est, la Vallée-du-Haut-Saint-Laurent et l'agglomération de Longueuil, lesquelles sont dissoutes en 2015.

    En 2011, la région est l'objet d'importantes inondations le long de la rivière Richelieu.

    En 2021, les MRC de Brome-Missisquoi et de la Haute-Yamaska sont détachées de la Montérégie et incluses dans la région de l'Estrie[13]. Historiquement, le territoire correspondant à ces MRC a été associé à la région de Montréal (de laquelle a été détachée la Montérégie en 1987) depuis le découpage initial du Québec en régions administratives, en 1966[14].

    Démographie

    Principales villes

    Dix villes les plus populeuses de la Montérégie (2016)
    Longueuil
    Saint-Jean-sur-Richelieu
    Granby
    Ville Municipalité régionale de comté Population
    Saint-Hyacinthe
    Châteauguay
    Mont-Saint-Hilaire
    1LongueuilAgglomération de Longueuil252 226
    2Saint-Jean-sur-RichelieuLe Haut-Richelieu98 036
    3BrossardAgglomération de Longueuil90 161
    4Saint-HyacintheLes Maskoutains56 886
    5ChâteauguayRoussillon50 626
    6Salaberry-de-ValleyfieldBeauharnois-Salaberry42 957
    7BouchervilleAgglomération de Longueuil42 730
    8Vaudreuil-DorionVaudreuil-Soulanges41 019
    9Sorel-TracyPierre-De Saurel34 933
    10ChamblyLa Vallée-du-Richelieu31 397

    Population

    Évolution démographique
    1713 1760 1791 1831 1851 1861 1871 1881 1891
    2 4169 00033 000160 000253 683283 543264 187271 914265 647
    1901 1911 1921 1931 1941 1951 1961 1971 1981
    256 321261 710272 265292 829330 341446 169631 885832 7301 058 617
    1986 1991 1996 2001 2006 2011 2016 - -
    1 089 4221 198 1871 255 9201 276 4121 357 7201 442 4331 507 070--

    En 2014, la Montérégie compte une population de 1 508 127 habitants. La densité de population est de 135,7 habitants par kilomètre carré[15].

    Superficie en terre ferme (2013) 11 111 km²
    Densité de population (2014) 135,7 hab./km²
    Population totale (2014) 1 508 127 hab.
     0-14 ans 246 546 hab.
     15-24 ans 182 914 hab.
     25-44 ans 386 116 hab.
    45-64 ans 442 134 hab.
    65 ans et plus 250 417 hab.
    Solde migratoire interrégional (2013-2014) 4 928 hab.
    Perspectives démographiques

    (variation de la population 2036/2011)

    21,1 %
    Emplois (novembre 2015)¹ 786,8 k
    Taux d'activité (novembre 2015)¹ 66,9 %
    Taux d'emploi (novembre 2015)¹ 62,8 %
    Taux de chômage (novembre 2015)¹ 6,2 %
    Taux de faible revenu des familles (2012) 6,8 %
    Revenu disponible par habitant (2013) 28 115 $
    PIB aux prix de base par habitant (2014) 34 419 $
    Secteur manufacturier

    (variation des revenus découlant des biens fabriqués 2012/2011)

    1,9 %

    Source : Institut de la statistique du Québec

    Administration

    Carte des municipalités régionales de comté de la Montérégie

    La région de la Montérégie est composée de 177 municipalités locales réparties dans 12 municipalités régionales de comté (MRC) et un territoire équivalent. Elle comporte également 2 réserves amérindiennes (Akwesasne et Kahnawake).

    Municipalités régionales de comté (* terriroire équivalent)
    Nom Chef-lieu Population
    (2016[16])
    Superficie terrestre
    (km2)
    Densité
    (hab./km2)
    Acton Acton Vale 15 594 579,80 26,9
    Beauharnois-Salaberry Beauharnois 64 320 471,26 136,49
    La Vallée-du-Richelieu McMasterville 124 420 588,60 205,48
    Le Haut-Richelieu Saint-Jean-sur-Richelieu 119 590 936,02 119,63
    Le Haut-Saint-Laurent Huntingdon 22 454 19,1 18,08
    Les Jardins-de-Napierville Saint-Michel 24 404 34,7 30,39
    Les Maskoutains Saint-Hyacinthe 88 182 1 302,90 67,11
    Agglomération de Longueuil* Longueuil 415 347 282,21 1 471,77
    Marguerite-D'Youville Sainte-Julie 70 655 346,04 174,07
    Pierre-De Saurel Sorel-Tracy 51 077 597,55 79,93
    Roussillon Saint-Constant 188 171 423,82 466,23
    Rouville Marieville 37 224 483,12 75,95
    Vaudreuil-Soulanges Vaudreuil-Dorion 149 349 855,56 146,46
    Région 1 507 070 11 132,34 127,15

    Politique

    Ministre responsable

    Simon Jolin-Barrette est le ministre responsable de la Montérégie depuis le .
    Liste des ministres responsables de la Montérégie
    Années Député Parti
         2003 - 2008 Jean-Marc Fournier Parti libéral du Québec
         2008 - 2012 Nicole Ménard
         2012 - 2014 Marie Malavoy Parti québécois
         2014 - 2016 Pierre Moreau Parti libéral du Québec
         2016 - 2018 Lucie Charlebois
         2018 - 2020 Christian Dubé Coalition avenir Québec
         2020 - en cours Simon Jolin-Barrette

    Circonscriptions électorales provinciales

    La Montérégie représente la deuxième entité politique qui envoie le plus de députés à l'Assemblée nationale du Québec après la région de Montréal. Elle est composée de 23 circonscriptions provinciales :

    Circonscriptions électorales fédérales

    La Montérégie représente la deuxième région du Québec qui envoie le plus de députés à la Chambre des communes du Canada après la région de Montréal. Elle est composée de 15 circonscriptions fédérales :

    Économie

    Surnommée le « garde-manger du Québec » la région de la Montérégie occupe une place stratégique dans la production et la transformation des aliments, notamment en raison de ses sols et de ses climats favorables à la culture[17]. En tout, les secteurs de la production de biens, des services et le tourisme occupent aussi une importante part du marché et des emplois de la région[18]é.

    • PIB total (2014) 51 908,6 M$[19] (2 de 17)
    • Revenu disponible moyen par habitant[20] (2013) - 26 112 $

    Santé

    La région de la Montérégie est découpée en trois centres intégrés de santé et de services sociaux (CISSS).

    Références

    1. Commission de la toponymie du Québec, fiche 227462 : Montérégie, consulté le 4 décembre 2012.
    2. Institut de la statistique du Québec - Le Québec chiffres en main 2018
    3. Portrait agroalimentaire de la Montérégie
    4. « Les collines montérégiennes au Crétacé », sur www2.ggl.ulaval.ca (consulté le )
    5. « La conservation dans les monts Sutton », sur Ministère du Développement durable, de l’Environnement et des Parcs (consulté le )
    6. Fortin 2009, p. 26
    7. Fortin 2009, p. 33-34
    8. Fortin 2009, p. 48
    9. Fortin 2009, p. 62-63
    10. Lieu historique national du Canal-de-Chambly
    11. Commerce et navigation sur le canal Chambly: aperçu historique
    12. Fortin 2009, p. 107-108
    13. « Les MRC Brome-Missisquoi et de La Haute-Yamaska désormais en Estrie », sur www.quebec.ca (consulté le )
    14. Ministère de l'Industrie et du Commerce, Bureau de recherches économiques, « Division du Québec en dix régions et vingt-cinq sous-régions administratives », sur Bibliothèque et Archives nationales du Québec, (consulté le ), p. 47
    15. « Profils statistiques par région et MRC », sur www.stat.gouv.qc.ca (consulté le )
    16. Statistique Canada
    17. « Montérégie - Gouvernement du Québec »
    18. « Statistique secteurs d'activités - Montérégie »
    19. « Produit intérieur brut (PIB) aux prix de base, Montérégie et ensemble du Québec, 2010-2014 », sur www.stat.gouv.qc.ca (consulté le )
    20. « Revenus disponibles par habitant, Montérégie et ensemble du Québec 2009-2013. »

    Annexes

    Bibliographie

    • Québec, Le Québec chiffres en main : Édition 2013, Québec, Institut de la statistique du Québec, , 71 p. (ISBN 978-2-550-67323-1, lire en ligne)
    • Jean-Charles Fortin, La Montérégie, Québec, Presses de l'Université Laval, coll. « Les régions du Québec... histoire en bref », , 184 p. (ISBN 978-2-7637-8909-5)

    Liens externes

    • Portail de la Montérégie
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