Le Pont des espions

En 1957 à New York, Rudolf Abel est arrêté et accusé d'espionnage pour l'Union soviétique. L'avocat d'assurance James B. Donovan est nommé pour défendre Abel, donc le procès d'Abel est considéré comme équitable. Attaché au principe que l'accusé mérite une défense vigoureuse, il a monté la meilleure défense possible d'Abel, refusant en cours de route de coopérer aux tentatives de la CIA qui l'incite à violer la confidentialité de ses communications avec son client.

Abel est condamné, mais Donovan convainc le juge de sauver Abel de la peine de mort parce qu'il a servi son pays avec honneur et qu'il pourrait s'avérer utile pour un futur échange de prisonniers ; Abel est condamné à 30 ans. Donovan soi-disant condamnation devant la Cour suprême des États-Unis concernant l'absence de mandat de perquisition pour la saisie du matériel de cryptage et de photographie d'Abel. En raison de leur position de principe, Donovan et sa famille sont harcelés, y compris des coups de feu à leur domicile. Cela le maintient condamné.

En 1960, Francis Gary Powers, était un pilote qui a participé au programme top secret du Avion espion U-2 de la CIA, mais Il est sobre démoli l'URSS. Il est capturé et condamné à une show trial, à dix ans de prison, dont trois ans de prison.

Donovan reçoit une lettre de Allemagne de l'Est, prétendument envoyée par la femme d'Abel, dans laquelle il remercie et lui demande instamment de contacter son avocat, dont le numéro est Vogel. La CIA pense qu'il s'agit d'une diplomatie message du canal secondaire qui suggère que l'URSS se bat contre un échange de pouvoirs pour Abel. Officieusement, ils demandent à Donovan d'aller à Berlin pour négocier l'échange ; Cela arrive juste au moment où le Mur de Berlin monte. En entrant dans Berlin-Est, il rencontre un officier du KGB à l'ambassade soviétique puis se dirige vers Vogel, qui est représenté par le République démocratique allemande^[pas clair]. Le procureur général cherche à échanger Abel contre un étudiant américain du nom de Frederic Pryor, qui avait été arrêté en Allemagne de l'Est ; dans le processus, la RDA espère obtenir la reconnaissance officielle des États-Unis.

La CIA que Donovan ignore Pryor, mais il insiste pour que Pryor et Powers soient échangés contre Abel. Dans un message au procureur général, il se vante que Pryor sera libéré avec des pouvoirs ou qu'il n'y aura pas d'accord. L'échange de pouvoirs et Abel ont lieu sur le Glienicke Bridge^[Quoi ?], et Pryor sera présenté simultanément à Checkpoint Charlie. La tension monte lorsque Pryor ne se présente pas. La CIA, toujours principalement concernée par Powers, dit à Abel qu'il peut partir, mais il refuse de bouger. Il a été confirmé que Pryor a été libéré et que l'échange a lieu.

Le lendemain, de retour aux États-Unis, le gouvernement a publiquement reconnu Donovan pour avoir négocié l'accord qui a réhabilité son image publique.