Léning

Léning est une commune française située dans le département de la Moselle, en région Grand Est.

Léning

Église Saint-Barthélemy, XVIIIe siècle.

Blason
Administration
Pays France
Région Grand Est
Département Moselle
Arrondissement Sarrebourg-Château-Salins
Intercommunalité Communauté de communes du Saulnois
Maire
Mandat
Antoine Ernst
2020-2026
Code postal 57670
Code commune 57394
Démographie
Gentilé Léningeois, Léningeoises
Population
municipale
342 hab. (2018 )
Densité 53 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 57′ 28″ nord, 6° 48′ 28″ est
Altitude Min. 216 m
Max. 300 m
Superficie 6,49 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Saulnois
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Grand Est
Léning
Géolocalisation sur la carte : Moselle
Léning
Géolocalisation sur la carte : France
Léning
Géolocalisation sur la carte : France
Léning

    Géographie

    Le village de Léning est situé sur la rive droite de l'Albe près de la route de Dieuze à Saint-Avold, à 5 km au N. O. d'Albestroff et à 37 km au N. E. de Château-Salins.

    La commune fait partie de la ZNIEFF du pays des étangs[1].

    Urbanisme

    Typologie

    Léning est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[2],[3],[4]. La commune est en outre hors attraction des villes[5],[6].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (82,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (82,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (47,4 %), prairies (35,5 %), forêts (12,1 %), zones urbanisées (5,1 %)[7].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[8].

    Toponymie

    Bien que le village ait été possédé au XIIIe siècle par les comtes de Linange originaires de Leiningen en Rhenanie-Palatinat, son nom est plus ancien et n’a aucun rapport avec cette illustre famille. Une des mentions les plus anciennes et irréfutables de Léning se trouve dans une charte de l’abbaye de Wörschweiler où Léning est mentionné sous le nom de Lendingen[9] (1240). Par la suite on trouve dans les archives diverses dénominations dont Laudingen (1365), Lenningen-Altorf (1510)[10], Altorff-Leningen (1559)[10], Linningen-Aldorf (1567)[10], Leiningen (1587), Leyningen (1594)[10], Leiningen-et-Altorff (XVIe siècle)[10], Léning-les-Hingsanges (1626)[10], Lenningen (1633)[10], puis Léning qui prévaudra à partir du XVIIIe siècle (1793), jusqu’à l’annexion allemande (1871-1919) où l’ancien nom de Leiningen devient le nom officiel du village.

    En francique lorrain Léning se dit Läning [lεniŋ].

    Histoire

    Le village de Léning est situé en Lorraine allemande non loin de la frontière linguistique mosellane du XXe siècle.

    Du Moyen Âge à la fin de l'indépendance lorraine

    La plupart des auteurs contemporains admettent à la suite de Stoffel[11] que la mention « Altorf juxta Tannae villam » trouvée dans une charte de l’évêque Enguerrand de Metz[12] datant de l’an 787 fait référence à Francaltroff près de Grostenquin. Dans cette hypothèse, l’origine de Léning, dont Francaltroff n’était jusqu’au XVIIIe siècle qu’une annexe paroissiale, pourrait être antérieure à cette époque.

    Léning faisait initialement partie du comté de Marimont (Mörsberg) dont avait hérité au XIIe siècle la puissante maison des comtes de Sarrebruck puis au siècle suivant les comtes de Deux-Ponts (Zweibrücken) et de Linange (Leiningen) qui en sont issus[13].

    En 1240 Walter de Brucken fait don à l’abbaye de Wörschweiler, située près de Hombourg (Sarre), de ses dimes de « Lendingen » avec l’accord de ses suzerains Frédéric de Linange et Henri de Deux-Ponts[9]. L’abbaye conserva la jouissance de ces dimes jusqu’à sa sécularisation par les princes de Palatinat-Deux-Ponts au XVIe siècle[14].

    À la suite du mariage de Cunégonde de Linange (Kunigunde von Leiningen) avec Henri I de Blâmont, Léning échut vers 1266 aux sires de Blâmont[15] dont les armes ont inspiré l’actuel blason du village.

    Kunigunde von Leiningen (1259-1311), chapelle des Cordeliers, Nancy.

    Détachée du comté de Marimont et morcelée au gré des héritages, la seigneurie de Léning a été divisée dès le XIIIe siècle et jusqu’à la Révolution française en deux parties distinctes :

    Le duc Henri II de Lorraine réunit en 1623 ses fiefs lorrains de Francaltroff et Léning à la seigneurie de Lixheim qui fut érigée en 1629 en principauté immédiate du Saint-Empire romain germanique par Ferdinand II de Habsbourg en faveur de Louis de Guise, baron d'Ancerville et de son épouse Henriette de Lorraine, sœur du duc Charles IV de Lorraine[18]. À la suite du décès sans postérité d’Alexandre de Grimaldi, neveu par alliance du dernier époux d’Henriette de Lorraine, l’éphémère principauté de Lixheim est réintégrée au duché de Lorraine en 1707[19].

    La foire annuelle de la Saint-Barthélemy, patron de la paroisse, est une tradition très ancienne, comme le prouve une mention trouvée en 1510 dans les comptes du receveur de Dieuze[20].

    Les plaids annaux (Jahrgeding) de Léning se tenaient traditionnellement le jeudi qui suit l’Épiphanie[21],[22]. Les droits et devoirs de chacun y étaient précisés et la justice rendue. Les seigneurs d’Hingsange et le duc de Lorraine se partageaient la haute justice pour moitié. La moyenne et la basse justice appartenaient pour moitié aux seigneurs d’Hingsange et aux vassaux du duc de Lorraine.

    La guerre de Trente Ans qui dévasta la toute la Lorraine n’épargna pas le village de Léning qui fut brûlé trois fois et perdit une grande partie de ses habitants[23].

    Conformément aux dispositions du traité de Vienne (1738), le duché de Lorraine perd son indépendance et sa souveraineté en 1766 à la suite du décès du duc Stanislas Leszczyński. Le village de Léning devient alors français et est rattaché à la province de Lorraine, née de la fusion des Trois-Évêchés (dont faisait partie la seigneurie de Hingsange annexée de facto au royaume depuis 1552) et des anciens duchés nouvellement acquis.

    De la Révolution française à la Seconde Guerre mondiale

    Le cahier de doléances[24] des habitants de la commune a été rédigé le par Joseph Riquet, maire de Léning puis député du Tiers à l'assemblée du bailliage de Dieuze et enfin celle de Sarreguemines. Ces doléances témoignent de l’injustice du système féodal, de la lourdeur des taxes et des nombreux litiges entre les villageois et le comte d’Helmstatt qui semble avoir été âpre au gain et fort peu conciliant.

    Le découpage de la Lorraine en départements en 1790 fait fi aussi bien des liens historiques de ses territoires que de la frontière linguistique mosellane. Le vœu formulé par l'assemblée de réduction de Sarreguemines de créer un département lorrain de langue allemande n'a pas été retenu[25]. La commune se voit ainsi intégrée au département de la Meurthe majoritairement francophone.

    En 1871, Léning est annexé à Empire allemand en vertu du traité de Francfort. La commune reprend le nom de « Leiningen » et fait alors partie de l'arrondissement de Château-Salins au sein du district de Lorraine, l’un des trois districts administratifs du Reichsland Elsass-Lothringen. C'est une époque de prospérité économique et Léning bénéficie de la construction d'une gare de chemin de fer sur la ligne de Champigneulles à Sarralbe. En 1914, la mobilisation des soldats du Reichsland s’opéra dans l’ordre et le calme, les défections furent rares ; seuls quelques centaines de mobilisables proches de la frontière s’enfuirent en France plutôt que de se battre pour le Kaiser[26]. Huit jeunes soldats originaires de Léning laissèrent ainsi leur vie sur les champs de bataille de la Première Guerre mondiale comme le rappelle pudiquement une plaque apposée dans l'église du village car ils ne sont pas morts pour la France mais « avec Dieu pour l'Empereur et la Patrie » selon la devise prussienne.

    Conformément à l’article 27 du Traité de Versailles, Léning redevient française en 1919 et se voit rattachée au nouveau département de la Moselle qui adopte les limites administratives du district de Lorraine.

    Le village n'a pas été évacué en 1939-1940 et n'a pas subi de dégâts matériels importants lors des combats. L'adjudant-chef Joseph Grosse (1908-1940) originaire de Léning perdit la vie le dans la défense héroïque de Cappel par la 4e Armée française[27]. De à , le village est occupé par l’Allemagne et annexé de facto au troisième Reich qui l’incorpore au Gau Westmark. Le , le Gauleiter Josef Bürckel promulgua l’ordonnance instituant le service militaire obligatoire pour les Mosellans, en violation du droit international. Nombreux furent les jeunes Alsaciens-Lorrains qui refusèrent de se battre pour le troisième Reich. Quatre jeunes soldats de Léning qui avaient été incorporés dans la Wehrmacht perdirent la vie sur les champs de bataille entre 1944 et 1945. Le drame de ces Malgré-nous et de leurs familles marquera encore longtemps les esprits.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 1989 mars 2001 Joseph Steiler    
    mars 2001 En cours Antoine Ernst    
    Les données manquantes sont à compléter.
    Léning la gare

    Démographie


    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[29].

    En 2018, la commune comptait 342 habitants[Note 2], en augmentation de 14 % par rapport à 2013 (Moselle : −0,32 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    325395425476484523501468462
    1856 1861 1871 1875 1880 1885 1890 1895 1900
    468418388339352334298312326
    1905 1910 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    315292237222215210222202195
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012 2017
    196183180205210268276306339
    2018 - - - - - - - -
    342--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[31].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    L’église Saint-Barthélemy en 1908 avec son ancien clocher à flèche de charpente.
    La croix monolithe de Léning (1700).

    Édifices religieux

    • Croix monolithe érigée en 1700 à la sortie du village au lieu-dit « Am steinernen Kreuz » par Nicolas Houpert et Anne Marie Wolff[35] Elle porte l'inscription suivante en haut allemand: « ANNO 1700 IM NAMEN DES HEREN HAT NICKOLA HVPERT ANNA MARI WOLFFIN DIS CREITZ LASEN [VFRICHTEN]. (Au piédestal) O MENSCH GEDENCKE AN DE [...] »

    Personnalités liées à la commune

    Joseph Riquet, maire de Léning, député du Tiers état à l'assemblée du bailliage de Dieuze puis à celle de Sarreguemines en 1789.

    Héraldique

    Les armes de Léning se blasonnent ainsi: De gueules à l'épée d'argent garnie d'or, accostée de deux saumons adossés d'argent.

    Il s'agit des armes d'Henri I de Blâmont (de gueules accostée de deux saumons adossés d'argent) qui posséda Léning au XIIIe siècle, l'épée symbolisant le martyre de saint Barthélemy, patron de la paroisse.

    Voir aussi

    Lien externe

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Comité Z.N.I.E.F.F. Lorraine, « ZNIEFF 410010373 - Pays des étangs » [PDF], sur inpn.mnhn.fr.
    2. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    3. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    4. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    6. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    7. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    8. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    9. Andreas Neubauer : Regesten des Klosters Werschweiler, Speyer 1921
    10. Henri Lepage - Dictionnaire topographique du département de la Meurthe (1862)
    11. J. G. Stoffel : « De l’ancienneté du château de Morimont (Mörsperg), en Alsace ». Le Bibliographe alsacien : gazette littéraire, historique, artistique, 1869 (4) p. 204-207, éditions Berger-Levrault, Strasbourg, (ISSN 2015-2027).
    12. Dom Calmet : Histoire de Lorraine, preuves, tome I, col. 293, première édition
    13. Die Alten Territorien des Bezirkes Lothringen nach dem Stande vom 1. Jan. 1648. II. Theil, Straßburg 1909 p. 315-323.
    14. Jean Houpert, La Prévôté d'Insming : repeuplement et restauration d'un canton lorrain après la guerre de Trente ans, Éditions Naaman, Sherbrooke, 1975 p. 71.
    15. Die Alten Territorien des Bezirkes Lothringen nach dem Stande vom 1. Jan. 1648. I. Theil, Straßburg 1909 p. 241.
    16. Hermann Peter Barth, Die Herrschaft Hingsingen. Zeitschrift für die Geschichte der Saargegend. XII Saarbrücken 1962, p. 134-148.
    17. Die Alten Territorien des Bezirkes Lothringen nach dem Stande vom 1. Jan. 1648. I. Theil, Straßburg 1909 p. 241-243.
    18. Henri Hiegel : Le bailliage d'Allemagne de 1600 à 1632. Tome 1 : L'administration, la justice, les finances et l'organisation militaire, Sarreguemines, Éditions Pierron, 1961 p. 113-116.
    19. Die Alten Territorien des Bezirkes Lothringen nach dem Stande vom 1. Jan. 1648. II. Theil, Straßburg 1909 p. 184.
    20. Henri Lepage : Les Communes de la Meurthe: journal historique des villes, bourgs, villages, hameaux et censes de ce département, Publié par A. Lepage, 1853 p. 576-577.
    21. Weistum von Leiningen. Landesarchiv des Saarlandes, Saarbrücken Amtsbuch Nassau-Saarbrücken II 2441, 665-670.
    22. Irmtraut Eder: Die saarländischen Weistümer, Dokumente der Territorialpolitik. Minerva-Verlag Thinnes u. Nolte, Saarbrücken 1978
    23. Jean Houpert, La Prévôté d'Insming : repeuplement et restauration d'un canton lorrain après la guerre de Trente ans, Éditions Naaman, Sherbrooke, 1975 p. 69-70.
    24. Charles ETIENNE : Cahiers de doléances des bailliages des généralités de Metz et de Nancy pour les États généraux de 1789. Première série, Département de Meurthe-et-Moselle. Tome 2, Cahiers du bailliage de Dieuze, Imprimerie Berger-Levrault, Nancy 1912 p. 194-209.
    25. Jean-Louis Masson: Histoire administrative de la Lorraine. Éditions Fernand LANORE, Paris 1982, p. 139.
    26. François Roth, Alsace Lorraine histoire d’un « pays perdu » de 1870 à nos jours, Place Stanislas Éditions, 2010, (ISBN 978-2-35578-050-9).
    27. 14 juin 1940: la bataille de Cappel. Le Republicain Lorrain, édition du 19 juin 2012
    28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    32. Marcel Lutz, Maurice Toussaint La Moselle gallo-romaine Société d'Histoire et d'Archéologie de la Lorraine, section de Sarrebourg, 1991 p. 67.
    33. « Base Mérimée ».
    34. Jean Houpert, La Prévôté d'Insming : repeuplement et restauration d'un canton lorrain après la guerre de Trente ans, Éditions Naaman, Sherbrooke, 1975 p. 72.
    35. Thimothée Moser : La « croix en pierre de Léning ». Les cahiers Lorrains, Nr. 2, avril 1952, p. 26-27. ISSN 0758-6760
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