Saint-Germain-Laprade
Saint-Germain-Laprade est une commune française située dans le département de la Haute-Loire en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Pour les articles homonymes, voir Saint-Germain.
Saint-Germain-Laprade | |||||
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Administration | |||||
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Pays | ![]() |
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Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Haute-Loire | ||||
Arrondissement | Le Puy-en-Velay | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération du Puy-en-Velay | ||||
Maire Mandat |
Guy Chapelle 2020-2026 |
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Code postal | 43700 | ||||
Code commune | 43190 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
3 653 hab. (2018 ![]() |
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Densité | 130 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 02′ 20″ nord, 3° 58′ 12″ est | ||||
Altitude | Min. 601 m Max. 920 m |
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Superficie | 28,09 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Le Puy-en-Velay (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton du Puy-en-Velay-3 | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Géolocalisation sur la carte : Haute-Loire
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Géographie
La commune de Saint Germain Laprade s'étend sur 2 811 hectares du pied du Meygal aux portes du Puy-en-Velay. Par rapport aux autres villes, elle se situe, à 9 km du Puy-en-Velay, 75 km de Saint-Étienne et 132 km de Clermont-Ferrand. Son altitude moyenne avoisine les 677 mètres (altitude minimale 601 mètres - altitude maximale 920 mètres).
Hameau de Fay-la-Triouleyre
Fay-la-Triouleyre est un village situé sur la commune de Saint-Germain-Laprade. Le village de Fay-la-Triouleyre est situé en bordure de la RN 88 à 3,5 km du centre du bourg de Saint-Germain-Laprade et à 5 km du Puy-en-Velay. Le village est entouré à l'ouest par le plateau de la Chaud, au nord par la vallée de la Sumène et au sud par le mont Brunelet.
La première référence à ce village est faite par les moines de l'abbaye de Doue en 1216 sous le nom de « Faet »[1].
Scipion-Sidoine-Apollinaire-Gaspard-Armand XX, marquis de Polignac et de Chalencon (1660-1739) cède ses droits seigneuriaux sur son fief de Fay-la-Triouleyre à la Chartreuse de Brives par un acte du 24 févr. 1693[2].
Date | Population de Fay-la-Triouleyre[3] | Population commune de Saint-Germain-Laprade | Part de la population de Fay-la-Triouleyre dans la population de la commune (%) |
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1806 | 346 | 1924 | 18,0 |
1820 | 321 | 1785 | 18,0 |
1846 | 364 | 2610 | 13,9 |
1851 | 340 | 2450 | 13,9 |
1856 | 326 | 2464 | 13,2 |
1861 | 317 | 2604 | 12,2 |
1866 | 324 | 2607 | 12,4 |
1872 | 326 | 2620 | 12,4 |
1876 | 339 | 2679 | 12,7 |
1881 | 329 | 2611 | 12,6 |
1886 | 333 | 2663 | 12,5 |
1901 | 325 | 1792 | 18,1 |
1911 | 302 | 1760 | 17,2 |
1921 | 252 | 1601 | 15,7 |
1926 | 232 | 1570 | 14,8 |
1931 | 227 | 1514 | 15,0 |
1936 | 201 | 1403 | 14,3 |
Urbanisme
Typologie
Saint-Germain-Laprade est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[4],[5],[6].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction du Puy-en-Velay, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 59 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[7],[8].
Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (66,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (70 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (41,6 %), zones agricoles hétérogènes (25,2 %), forêts (23,6 %), zones urbanisées (6,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,8 %)[9].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[10].
Habitat et logement
En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 1 626, alors qu'il était de 1 511 en 2013 et de 1 405 en 2008[I 1].
Parmi ces logements, 90,3 % étaient des résidences principales, 3 % des résidences secondaires et 6,7 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 94,2 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 5,6 % des appartements[I 2].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Saint-Germain-Laprade en 2018 en comparaison avec celle de la Haute-Loire et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (3 %) inférieure à celle du département (16,1 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 80,1 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (80,5 % en 2013), contre 70 % pour la Haute-Loire et 57,5 pour la France entière[I 3].
Typologie | Saint-Germain-Laprade[I 1] | Haute-Loire[I 4] | France entière[I 5] |
---|---|---|---|
Résidences principales (en %) | 90,3 | 71,5 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 3 | 16,1 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 6,7 | 12,4 | 8,2 |
Histoire
Préhistoire et Antiquité
Si furent trouvées des traces d'occupation magdaléniennes dans la Grotte rouge du mont Brunelet, aujourd'hui sur la commune de Brives-Charensac, rien n'indique une quelconque présence préhistorique sur le territoire de Saint-Germain-Laprade, ni même une implantation Gauloise.
De l'époque gallo-romaine furent trouvés certains éléments qui laissent présumer la création du village : le tracé de la voie romaine Anicium - Valentia ou Acunum; de nombreux fragments de poteries; des monnaies; une stèle; le soubassement du clocher de l'église constitué d’éléments d’un temple antique.
Moyen-âge
Le village tire son nom d’un des deux saints, Germain d'Auxerre (384-448) ou Germain de Paris (496-575). Laprade désigne une étendue de prés.
La première mention de l'église apparaît en 1164, mais sa construction a dû commencer vers 976[11], et s’est faite ensuite en plusieurs étapes : à la structure primitive romane fut ajouté à la fin du XIVe siècle deux chapelles latérales gothiques, puis au début du XVIe siècle deux chapelles au Nord. Eurent lieu encore de nombreuses et importantes transformations : en 1755, en 1772, au XIXe siècle, et encore au XXe siècle.
En 976, sous l’épiscopat de Guy d'Anjou et dans le cadre du mouvement spirituel et social de la Paix de Dieu, se tint dans une prairie aux abords de Laprade un "Plaid" (assemblée de justice), qui imposa la paix à des seigneurs toujours en guerre[12].
En 1138 est fondée l' abbaye de Doue. Occupée par l’ordre des Prémontrés, elle connut plusieurs siècles de prospérité, mais est pillée lors de la guerre de Cent Ans par le "routier" Seguin de Badefol. Lors des guerres de Religion elle est sommairement fortifiée et subit des combats entre partisans de la Ligue catholique et soutiens du roi Henri IV, en [13]. Elle est de nouveau pillée à la Révolution[réf. nécessaire]. Diverses restaurations ont permis de la sauver de la ruine.
Une baronnie fut créé au XIIe siècle, et diverses familles furent seigneurs du lieu : les de Turenne, de Poinsac, de Morgues, de Clérico.
En 1217, l'évêque du Puy Robert de Mehun est assassiné par Bertrand de Cayres près du village. Son corps est inhumé dans l'église abbatiale de Doue.
Un château est bâti au XVe siècle à l'écart du bourg, l'imposant du Villard[14]. Est aussi bâtie à la même époque une maison-forte dans le village. Tous deux seront plusieurs fois restaurés ou remaniés.
Les Hospitaliers
En 1159, Guichard de Saint-Germain fit don de sa dépendance de Pébellit aux Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem de la commanderie Saint-Jean du Puy, celle-ci appartenant auparavant aux Lépreux de Brives[15],[16]. Ce fut toujours une annexe qu'on retrouve ensuite parmi les possessions de la commanderie de Devesset[17].
De la Renaissance à aujourd'hui
Comme déjà vu dans le chapitre précédent, le village connut les tourments des guerres de Religion, surtout lors de la huitième (1585-1598), la ville du Puy ayant été un des bastions de la Sainte Ligue, soutenant une lutte acharnée qui eu des répercussions dans tout le Velay.
Le château du Villard fut le théâtre de combats en 1590, sa garnison dirigée par Gabriel de Morgues étant passée au fil de l'épée.
Saint-Germain-la-Prade (ce nom lui est donné en 1801[18]. Avant cela, c'est un peu flou, entre "La Prade", "Laprade", "Saint-Germain".) devient commune en 1790, et fait partie du département nouvellement créé de Haute-Loire. Plusieurs villages sont intégrés à la municipalité : Fay-la-Triouleyre, Marnhac, Noustoulet, Servissac, le Pin, les Pandraux. L'un d'eux, Blavozy, quitte cette union à la fin du XIXe siècle pour s’ériger en commune indépendante.
Depuis 1906 y est produit la Maurin Quina (en), alcool emblématique de Haute-Loire avec la Verveine du Velay 55 Pagès.
Soixante-six enfants de la municipalité sont tombés au champ d'honneur lors de la Première Guerre mondiale, sept lors de la seconde. Deux monuments aux morts rappellent ce lourd bilan. Un troisième, au lieu-dit Peyrard, témoigne que le trois résistants furent abattus là par la Wehrmacht.


Politique et administration
Liste des maires
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[19]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[20].
En 2018, la commune comptait 3 653 habitants[Note 3], en augmentation de 3,96 % par rapport à 2013 (Haute-Loire : +0,6 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Économie
Longtemps largement rurale, la commune connait un renouveau économique à partir des années 1970. En effet, il est décidé de concert avec la commune voisine de Blavozy l'installation d'une zone industrielle qui deviendra la ZI Laprade et voit l'arrivée de l'entreprise Michelin. À cet endroit, se trouve aussi la distillerie de la Verveine du Velay. Actuellement, la zone compte une soixantaine d'entreprises, dont le spécialiste des céréales en agriculture biologique Celnat, ou l'entreprise pharmaceutique Fareva (ex-C.C.M.S.D.) (200 p.)[23].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Liste des sites inscrits ou classés à Saint-Germain-Laprade :
- Château du Bourg : portail d'entrée, façades et toitures, cuisine avec sa cheminée au sous-sol, grand salon avec son décor, salle à manger avec son décor de toiles au premier étage.
- Vestiges de l'église de l'ancienne abbaye de Doue y compris la dalle d'enfeu portant sur une épitaphe et encastrée dans l'abside, et la chapelle Sainte-Catherine, ainsi que le sol de l'ancienne emprise de l'abbaye.
- Ancienne abbaye de Doue : parties suivantes des bâtiments conventuels : aile est, y compris la salle capitulaire et la pièce aux lambris peints ; aile sud, y compris le grand salon lambrissé et la chambre à alcôve dite de l'abbé.
- Église Saint-Germain.
- Château du Villard, façades et toitures de l'ensemble des bâtiments (à l'exclusion de la façade du XIXe siècle) ainsi que le mur de clôture avec son portail.
- Chemin de Saint-Régis.
- Mairie de Saint-Germain-Laprade.
- Centre Culturel de Saint-Germain-Laprade.
- Complexe sportif de Saint-Germain-Laprade.
Culte
- Église Évangélique Bonne Nouvelle[24].
Personnalités liées à la commune
- Guy d'Anjou (- décédé en 996), l'un des principaux inventeurs de la paix de Dieu. Il embrasse la carrière monastique. Devenu évêque du Puy, il dirige les plaids de Laprade (vers 975-980) et de Saint-Paulien dit « du Puy » (vers 993/994).
- Jean-François Régis (né 1597 - décédé 1640), jésuite missionnaire des campagnes et en particulier de l'Ardèche. Canonisé en 1737, il est fêté le . Saint Jean-François Régis est le patron des Jésuites de la province de France. Le deuxième cimetière de Saint-Germain-Laprade porte son nom en son hommage, il fut terminé en 1997.
- Le Dr Claude Auguste Reynaud (1804-1878) a acheté le château du Villard vers 1860. Il y accueillera Émile Reynaud (voir ci-dessous), fils de son cousin germain, et sa mère devenue veuve.
- Émile Reynaud, (né 1844 - décédé 1918) - photographe, dessinateur et enseignant français, inventeur du praxinoscope, du théâtre optique, du dessin animé non-cinématographique et précurseur du cinéma. Il étudia dans la bibliothèque du château du Villard, village de la commune. La salle amphithéâtre du Centre culturel municipal de Saint-Germain-Laprade porte son nom en son honneur, elle a été inaugurée en présence de ses descendants en .
- Victor Constant (né 1869 - décédé 1965), homme politique français devenu conseiller municipal du Puy-en-Velay et conseiller d'arrondissement en 1904. Il s'investit pleinement dans la vie politique et sociale, devenant 'vice-président du Syndicat départemental des liquides, administrateur du journal L'Avenir de la Haute-Loire; il était aussi chef du Parti républicain libéral du Puy-en-Velay' et président de l'œuvre des conférences populaires. Il devient maire de Saint-Germain-Laprade en 1908 jusqu'en 1929.
Voir aussi
Articles connexes
Bibliographie
- Pierre Cubizolles, Le diocèse du Puy-en-Velay des origines à nos jours, , 525 p. (ISBN 978-2-8481-9030-3, présentation en ligne)
- Adrien Lascombe, Deux documents sur le château de Servissas (Servissac) : in Tablettes historiques du Velay 1871-1872, Le Puy-en-Velay, Tablettes historiques du Velay, (lire en ligne)
- Bernard Rémy, Le trésor de Saint-Germain-Laprade (Haute-Loire) : in Cahiers de la Haute-Loire 1986, Le Puy-en-Velay, Cahiers de la Haute-Loire, [25]
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
Site de l'Insee
- « Chiffres clés - Logement en 2018 à Saint-Germain-Laprade » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Saint-Germain-Laprade - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Saint-Germain-Laprade - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
Autres sources
- Augustin Chassaing, Dictionnaire topographique du département de la Haute-Loire, Paris, IMPRIMERIE NATIONALE, , p. 119.
- Le nobiliaire du Velay et de l'ancien diocèse du Puy sur Gallica.
- « Recensements de population Saint-Germain-Laprade », sur www.archives43.fr/.
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Site internet www.catholique-lepuy.fr __"Église de Saint-Germain-Laprade".
- Son millénaire a été célébré en 1987 par un spectacle historié non loin du lieu d’origine. Plusieurs centaines de villageois y ont participé devant près de 2000 spectateurs.
- Site internet zogotounga.free.fr __"Chronologie Vellave".
- Site internet https://monumentum.com __"Château du Villard à Saint-Germain-Laprade". Le site internet stgermainlaprade.free.fr avance de nombreuses informations historiques qui semblent fausses au vu d'autres données compulsées ici où là. Ainsi, sur ce site il est écrit que le château date du XIIe siècle, mais cette information ne paraît nulle part ailleurs.
- Cubizolles 2005, p. 181.
- Augustin Chassaing, Cartulaire des Hospitaliers (ordre de Saint-Jean de Jérusalem) du Velay, (lire en ligne), p. XXVIII-XXIX.
- Chassaing 1888, p. VIII.
- Site internet www.annuaire-mairie.fr __"Ville de Saint-Germain-Laprade".
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- https://france3-regions.francetvinfo.fr/auvergne-rhone-alpes/haute-loire/puy-velay/comment-une-usine-de-haute-loire-produit-des-principes-actifs-pour-des-medicaments-destines-aux-etats-unis-2048449.html
- « Eglise Evangélique de Haute-Loire »
- Trésor découvert sous la Restauration et conservé dans le médailler du Musée Crozatier au Puy-en-Velay
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