Famille de Kersauson

La famille de Kersauson (ou de Kersauzon) est une famille subsistante de la noblesse française, d'ancienne extraction, originaire de Bretagne[1]. Elle fut maintenue noble en 1669 devant le Parlement de Bretagne, à Rennes.

Famille de Kersauson

Armes

Blasonnement De gueules au fermail d'argent, l'ardillon posé en fasce
Branches nombreuses branches
Période XVe siècle - XXIe siècle
Pays ou province d’origine Finistère (Bretagne)
Fonctions militaires Capitaine des Vaisseaux du Roi
Preuves de noblesse
Réformation de la noblesse 1669 à Rennes

Cette famille a produit plusieurs officiers de la Marine royale.

Origine

La seigneurie de Kersauson se trouve en Guiclan, évêché de Léon, dans le Finistère[2].

Jean de Kersauson, chevalier, vivant en 1350, issu de la première famille de Kersauson, laissa une fille unique, Suzette de Kersauson, qui épousa vers 1400 Salomon Le Ny. Leur fils Hervé, seigneur de Kersauson, adopta le nom et les armes de la famille de sa mère et initia la seconde famille de Kersauson[3]. C'est de lui que descendent tous les membres actuels de la famille de Kersauson.

Plusieurs Kersauson ont été maintenus lors des montres de la noblesse en Léon, de 1427 à 1574.

Généalogie

La généalogie de la famille de Kersauson est établie de façon certaine à partir d'Hervé Ier de Kersauson[4] :

  • Hervé Ier de Kersauson ( -1443) épouse Marguerite du Carpont en 1418 puis Alliette de Lanros en 1427.
    • Jean, seigneur de Kersauson ( -1476) épouse Jeanne de Kerimel.
      • Jean de Kersauson épouse Jeanne de Kerenguil. Il est à l'origine de la branche de Kervelec (voir ci-dessous)
      • Hervé II de Kersauson ( -1495), cité à la montre de Lesneven en 1481[5], épouse Ysabeau de Pontplancoët.
      • Paul de Kersauson ( -1502) épouse Sibille de Saint-Georges. Il est à l'origine de la branche du Vieux-Chastel (voir ci-dessous).
      • Hervé de Kersauson épouse Marguerite Guillemot vers 1446. Il est à l'origine de la branche de Kerven (voir ci-dessous).
      • Guillaume de Kersauson épouse Gillonne du Chastel. Il est à l'origine de la branche du Chastel (voir ci-dessous).

Branche de Brézal

Le château de Brézal se trouvait dans la commune de Plounéventer[6]. Il a été remplacé au XIXe siècle par l'actuel château de Brézal[7].

  • Guillaume de Kersauson, fils d'Hervé II de Kersauson, lors de la montre de Lesneven le est qualifié de « premier noble de la paroisse de Guiclan » et comparut « en équipage d'hommes d'armes, avec deux archers, coustilleur[8] et page ». Il épouse en 1492 Catherine de Bouteville, fille de Jean de Bouteville, baron du Faouët.
    • Rolland de Kersauson épouse Louise de Launay le .
      • Tanguy de Kersauson ( -avant 1590) épouse Barbe Le Sénéchal en 1551 puis Claude Le Ny le .
        • François de Kersauson ( -avant 1610) épouse Françoise de Plœuc, puis Suzanne du Guermadeuc.
        • Louis de Kersauson épouse Claude Kergorlay ( - à Lanhouarneau) le .
          • Prigent de Kersauson, mort en 1675, marié le à Plougonven avec Françoise Le Cozic.
            • Jacques-Gilles de Kersauson, né le à Lanhouarneau et mort le à Paris. Il épouse Jeanne Huchet le puis, le , Marie Angélique Bonaventure Julienne de Brézal, née le à Pont-Christ et morte le à Landerneau, héritière de la seigneurie et du château de Brézal en Plounéventer[9]. Ils organisèrent dans leur château de Brézal les « veillées de Brézal », réunions littéraires et mondaines alors connues dans toute la région[10].
              • Jean-Jacques-Claude de Kersauson, marquis, né le à Plougonven et mort le . Le à Plounéventer, il épouse Marie René de Saisy de Kerampuil, née le à Saint-Quijeau et morte en 1796[11].
                • Marie-Yvonne-Guillemette-Xavière de Kersauson, née le à Plougonven et morte le à Paris. Le , elle épouse Hyacinthe-Joseph-Jacques de Tinténiac, né le à Quimper, paroisse de Saint-Julien (mais la famille est originaire du château de Quimerc'h en Bannalec) et mort le à Paris. Émigré pendant la Révolution française.
              • Louis-François-Gilles de Kersauson (frère de Jean-Jacques-Claude de Kersauson), né le à Rennes et mort en 1767. Le , il épouse tardivement Suzanne-Augustine de Coatanscours, née au château de Kerjean le et dont elle était l'héritière, ainsi que de la seigneurie de Coatanscour (en Plourin-lès-Morlaix). Dernière châtelaine de Kerjean (aucun des deux enfants du couple ne survécut longtemps), elle fut arrêtée dans son château, condamnée à mort et guillotinée à Brest le 9 messidor an II ()[12].

Sous-branche de Rosarnou

Vitrail Vierge à l'Enfant entourée de sainte Marie-Madeleine, de saint Paterne et du donateur Raoul de Kersauson qui se trouvait dans l'ancienne chapelle Saint-Exupère de Dinéault (exposé désormais au Musée départemental breton de Quimper)

Le manoir de Rosarnou se trouvait dans la commune de Dinéault dans le Finistère. Ce manoir a totalement disparu de nos jours.

L'auteur de cette branche est Jean de Kersauson (fils de Tanguy de Kersauson et de Claude Le Ny), seigneur de Rosarnou, qui épouse Marie Touronce le à Plouzané. Raoul de Kersauson fit don d'un vitrail à la chapelle Saint-Exupère de Dinéault en 1635.

Branche de Guénan

Le manoir de Guénan se trouvait dans la paroisse du Minihy du Léon[13] qui regroupait les communes actuelles de Saint-Pol-de-Léon, Roscoff et Santec et désormais dans la commune de Saint-Pol-de-Léon. De l'ancien manoir de Guenan (XVe – XVIe siècle), il ne subsiste qu'une fontaine. Ce manoir fut la propriété de la famille de Kersauson, sieurs de Rosarnou (en 1505 et en 1661), puis de la famille de Kersauzon-Goasmelquin.

Jean de Kersauson (fils cadet d'Hervé II de Kersauson et de Ysabeau de Pontplancoët), seigneur de Rosarnou, marié avec Catherine du Quinquis, est à l'origine de cette branche.

Sous-branche de Kervelec

Le manoir de Keramprat à Saint-Pol-de-Léon

Le manoir de Kervelec se trouvait à Plouzané (Finistère). Ce manoir a totalement disparu de nos jours.

  • Jean de Kersauson épouse Jeanne de Kerenguil.
    • André de Kersauson épouse Marie du Bois.
      • François de Kersauson épouse Louise Le Jacobin, dame de Keramprat.
        • André de Kersauson épouse Anne Le Garo, dame de Kervelec en Plouzané.
          • Prigent de Kersauson ( -1648), seigneur de Kervelec épouse Marguerite Gourio.
            • Guillaume de Kersauson, seigneur de Kervelec, épouse Jacquette Le Gac puis Louise de Châteauneuf.
              • Charles de Kersauson, né le à Landerneau et mort le à Plounéventer, seigneur de Kervelec et Creac'hpiquet, épouse Louise-Marguerite Prigent, dame du Cosquer.
                • Hervé-Louis de Kersauson, né le et mort le à Brest, épouse Marie-Françoise de Goudelin (1672-1747), fille de François de Goudelin, sieur de Goasmelquin[14] en Plouégat-Guérand, le à Morlaix.
                  • Jean François Marie de Kersauson, né le à Brest et mort le à Morlaix, seigneur de Goasmelquin, promoteur auprès des États de Bretagne des projets de canaux de la Loire à Rennes et au Blavet. Il épouse d'abord Joséphine Jeanne Thérèse de Kerouartz, puis Françoise-Suzanne Mol de Kerjean ( -1775), fille d'Olivier Mol, seigneur de Kerjean-Mol[15] en Trébabu.
                    • Marie Jeanne Josèphe de Kersauson du Vijac, née le (?)[16] à Guipavas et morte le à Saint-Pol-de-Léon. Elle épouse Charles François de Villiers de l'Isle-Adam (1745-1769)[17] le à Kerjean-Mol en Trébabu, puis Michel Marie Jegou du Laz, comte du Laz, sous-préfet de Quimperlé, le à Morlaix.
                    • Jean Marie de Kersauson, né le à Trébabu et mort le à Pamplemousses (Île Maurice), épouse Rosalie Marie Marthe Tribard du Drecey le à Moka (Île Maurice).
                    • Jean Marc Charles de Kersauson, né le à Trébabu et mort le à Morlaix, seigneur du Vijac (Vizac)[18] en Guipavas, épouse Marie Anne Perrine de Chassarel de Saint-Paul le à Morlaix.
                      • Pierre Marie Marc de Kersauson, né le à Trébabu et mort le à Plounévez-Moëdec, épouse Marie Félicité Julie Urvoy de Portzamparc le à Brest.
                    • Maurice-Pierre-Joseph de Kersauson-Kerjean, né le à Brest, lieutenant des vaisseaux du Roi, chevalier de l'Ordre de Saint-Louis, épouse Antoinette Agathe Julie Maillard du Mesle le . Il émigre pendant la Révolution française (mais il meurt en 1795) et le château de Goasmelquin devient bien national[19].
                      • René Armand Constant de Kersauson-Kerjean, né le à Trébabu et mort le à Trébabu, épouse Marie Louise Reine du Dresnay de Montrelaix le à Saint-Pol-de-Léon. Il fut maire de Trébabu entre 1807 et 1822 et entre 1834 et 1861. Plusieurs de ses descendants ont aussi été maires de Trébabu dans le courant du XXe siècle.
                        • René Cado Robert Marie Joseph de Kersauson, né le au château de Kerjean-Mol en Trébabu et mort le au même endroit, épouse Marie Alexandrine Bahezre de Lanlay.

Branche de Penhoat

Le manoir de Penhoat[20] se trouvait à Saint-Frégant (Finistère). Le nom de Penhoat ("la lisière du bois" en français) est très fréquent en Bretagne : il ne faut par exemple pas confondre de manoir de Penhoat avec le château de Penhoët, situé dans la commune voisine de Saint-Thégonnec et qui était le fief de la famille de Penhoët. Mais l'homonymie laisse supposer que le manoir de Penhoat était peut-être une dépendance du château de Penhoët.

  • Guillaume de Kersauson, fils d'Hervé I de Kersauson, est à l'origine de la branche des Kersauson de Penhoat, épouse vers 1447 Gilonne du Chastel, fille d'Olivier du Chastel et de Jeanne de Malestroit. C'est lui qui achète en 1440 le manoir de Penhoat[21],[22] en Saint-Frégant, manoir que ses descendants habiteront jusqu'en 1563. Mort après 1483. il fut sénéchal de Landerneau en 1472.
    • Guénolé de Kersauson, sieur de Penhoat, marié avec Anne-Catherine de Langoueznou, originaire de Plouvien. Il représente son père aux montres de 1481 et 1483.
      • Guillaume II de Kersauson, sieur de Penhoat, épouse le Catherine de Lescoët.
        • Guillaume III de Kersauson, sieur de Penhoat, épouse le Claude de Cornouaille, du manoir de Lossulien, paroisse de Guipavas (commune du Relecq-Kerhuon désormais).
          • François de Kersauson, sieur de Penhoat, époux de Marie de Kergadiou, mort le au manoir de Penhoët en Saint-Frégant.
            • Vincent-Gabriel de Kersauson, sieur de Penhoat, époux de Marie du Drenec, mais tous leurs enfants moururent en bas âge.
            • Anne de Kersauson, mariée le avec Olivier II de Coëtlosquet.
            • Guillaume IV de Kersauson (voir ci-dessous), frère des précédents.

Sous-branche de Pennendreff

Le manoir de Pennendreff se trouve à Plourin, près de Ploudalmézeau.

Sous-sous-branche de Coathuel

Le manoir de Coathuel se trouvait à Châteauneuf-du-Faou. Ce manoir a totalement disparu de nos jours.
François de Kersauson, fils cadet de Guillaume IV de Kersauson et de Marie de Kerangarz, est l'auteur de ce rameau.

Branche du Vieux-Châtel

L'origine de cette branche remonte à Paul de Kersauson ( -1502) marié à Sibille de Saint-Georges.

  • Yves de Kersauson, marié avec Jeanne Tanguy.
    • Jean de Kersauson épouse Jeanne Le Prince.
      • Paul de Kersauson épouse Mademoiselle de Penhoët, puis Marie du Mescam (ou Mesguen).
        • Hervé de Kersauson, né le à Plouescat, épouse Catherine du Faou (ou Fouern).
          • François de Kersauson, né le à Plouescat et mort en 1632, épouse Marie de Kerouartz.
            • François de Kersauson, né le à Plouescat, épouse en 1633 Catherine de Kerguvelen.
              • Tanguy de Kersauson, né le à Plouescat et mort le à Plouescat, épouse Anne de Coëtnempren, puis Brigitte Huon le à Landerneau.
                • Hamon Nicodème de Kersauson, né le à Cléder et mort le à Plouescat, épouse Anne Agnès Le Levier de Rumadry le à Morlaix.
                  • François-Joseph Hamon de Kersauson du Vieuxchastel, né le à Plouescat, épouse Françoise Rose de Lantivy de la Ferrière le à Rennes, paroisse de Saint-Sauveur.
                    • Honorat François Joseph Louis de Kersauson du Vieuxchastel, né le à Morlaix, épouse Gillette Anne Françoise de Penmarc'h le à Saint-Frégant, mort le à Saint-Frégant.
                      • François Joseph Denis de Kersauson du Vieuxchastel, né le à Buléon (Morbihan) et mort le à Morlaix, épouse Cécile Marie Perrine Drillet de Lannigou.
                        • Louis Guillaume de Kersauson du Vieuxchastel, né le à Morlaix et mort le à Plouezoc'h (Finistère), épouse Olympe Françoise Louise de Bahuno de Kerolain le à Hennebont.
                          • Ludovic Marie François de Kersauson du Vieux-Châtel, né le à Hennebont, conseiller général et mort le à Plouezoc'h[30] épouse Marie Françoise Louise du Dresnay le à Plouigneau.
                            • Louis de Kersauson-Vieux-Châtel, né le à Morlaix et mort le à Paris. Grand propriétaire foncier. Conseiller général du Finistère. Officier de mobiles pendant la guerre de 1870. Il fut élu député du Finistère au scrutin de liste (d'opinion monarchiste, il fut le premier élu de la liste conservatrice) et siégea entre le et le , membre de l'Union des droites. Il fut battu en 1889 dans le cadre d'un scrutin par circonscription dans celle de Morlaix et abandonna alors la vie politique[31].

Sous-branche de la Ferrière

Honorat François Joseph Louis de Kersauson du Vieuxchastel, né le à Morlaix (voir plus haut), s'est en fait marié quatre fois. De sa quatrième épouse, Laurence Thérèse Jacquemine Girard de La Haye est né entre autres :

Branche de Kervern

Hervé II de Kersauson, sixième enfant d'Hervé I de Kersauson et d'Alliette de Lanros, qui épousa Marguerite Guillemot (Guillamot), dame de Kerven et du Plessis, vers 1446 est à l'origine de la branche des Kersauson de Kervern (le château et la seigneurie de Kerven se trouvaient en Plonéis)[32].

Armoiries

  • Armes : De gueules au fermail d'argent, l'ardillon posé en fasce
  • Devise : Pred eo, pred a vo (Il est temps, il sera temps) [33]

Situation contemporaine

La famille de Kersauson a adhéré à l'ANF en 1961.

Notes et références

  1. Régis Valette, Catalogue de la noblesse française au XXIe siècle, Paris, 2007
  2. Guy Le Borgne, Armorial breton, 1667
  3. Henri Jougla de Morenas, Grand armorial de France, p. 380
  4. Jean-Claude Bourgeois, « Famille de Kersauson », GeneaNet
  5. « Guiclan : Histoire, Patrimoine, Noblesse (commune du canton de Taul�) », sur www.infobretagne.com
  6. « Le château de Brezal », sur andre.croguennec.pagesperso-orange.fr
  7. « Accueil - Inventaire Général du Patrimoine Culturel », sur patrimoine.region-bretagne.fr
  8. Combattant armé d'une épée et d'une longue dague, auxiliaire de l'homme d'armes à cheval
  9. André Croguennec, "Généalogie plus détaillée du nom de Brézal", consultable http://andre.croguennec.pagesperso-orange.fr/ge2-brezal.htm et aussi http://gw2.geneanet.org/jcbo?m=NG&lang=fr&n=de+brezal&t=N&x=16&y=1
  10. Daniel Bernard, "Les veillées de Brézal", consultable http://www.hermine.org/simclient/integration/hermine/stream.asp?instance=incipio&BASEEID=INCIPIO_HERMINE&EIDMPA=COBB_A_1956_010_040_1
  11. Comtesse du Laz, Généalogie de la maison de Saisy de Kerampuil, suivie de pièces justificatives et complémentaires, 1896, [lire en ligne]
  12. http://www.cgf-forum.fr/phpBB2/viewtopic.php?t=10920&postdays=0&postorder=asc&start=30&sid=8fe39c571d4d793c12ecc22687b04a2f
  13. « La vie quotidienne � Roscoff - Histoire - Minihy du L�on - St Pol - Roscoff - Santec », sur www.roscoff-quotidien.eu
  14. « Accueil - Inventaire Général du Patrimoine Culturel », sur patrimoine.region-bretagne.fr
  15. « Accueil - Inventaire Général du Patrimoine Culturel », sur patrimoine.region-bretagne.fr
  16. Elle est indiquée comme née le sur le registre paroissial de Guipavas, mais cela est impossible puisque son frère Jean Marie est né le 2 juillet 1747 à Trébabu, d'où la modification de date effectuée.
  17. Ce sont les arrière-grands-parents de l'écrivain Auguste de Villiers de l'Isle-Adam
  18. http://fr.topic-topos.com/manoir-du-vizac-guipavas
  19. États détaillés des liquidations faites par la commission d'indemnité à l'époque du 31 décembre 1827, 1re partie, 1828, [lire en ligne]
  20. provincehistorique.over-blog.com, « Les Seigneurs de Penhoët ou Penhoat », sur blog.com, Photos et Histoire.over-blog.com, (consulté le ).
  21. Les restes de ce manoir ont été rasés en 1980.
  22. Jean-Yves Le Goff, Châteaux et manoirs du Léon, Saint-Cyr-sur-Loire, Éditions Alan Sutton, , 128 p. (ISBN 978-2-8138-0230-9 et 2-8138-0230-1, présentation en ligne)
  23. Le château de Pennendreff se trouvait en Plourin, mais à la limite de la paroisse de Lanrivoaré
  24. Bernard Lugan, Robert de Kersauson : le dernier commando boer, éd. du Rocher, 1989
  25. « Robert Henri de Kersauson de Pennendreff - Les Français Libres », sur www.francaislibres.net
  26. Généalogie de Paul Edouard Joseph Marie de Kersauson sur geneanet.org
  27. « fralo.info », sur ww38.fralo.info
  28. « Route du Rhum. Polémique autour de Florent de Kersauson, candidat RN dans le Morbihan », sur Ouest-France,
  29. « Armand, Casimir, Victor de Kersauzon de Pennendreff - Base de données des députés français depuis 1789 - Assemblée nationale », sur www2.assemblee-nationale.fr
  30. Journal des débats politiques et littéraires n° du 5 juin 1877, [lire en ligne].
  31. « Louis de Kersauson-Vieux-Chatel - Base de données des députés français depuis 1789 - Assemblée nationale », sur www2.assemblee-nationale.fr
  32. Joseph-Marie de Kersauson de Pennandreff, "Histoire généalogique de la maison de Kersauson", 1886, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k55649073/f446.image.r=Plon%C3%A9is?rk=2231770;4
  33. Potier de Courcy, Nobiliaire et armorial de Bretagne, t.2, p. 129

Voir aussi

Articles connexes

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