Plouigneau
Plouigneau [pluiɲo][1] (en breton : Plouigno) est une commune du département du Finistère, dans la région Bretagne, en France. Elle se situe près de Morlaix (Finistère)[2].
Plouigneau | |
Mairie de Plouigneau. | |
Héraldique |
|
Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Bretagne |
Département | Finistère |
Arrondissement | Morlaix |
Intercommunalité | Morlaix Communauté |
Maire Mandat |
Joëlle Huon 2020-2026 |
Code postal | 29610 et 29650 |
Code commune | 29199 |
Démographie | |
Gentilé | Ignaciens |
Population municipale |
5 084 hab. (2018 en augmentation de 5,19 % par rapport à 2013) |
Densité | 78 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 48° 34′ nord, 3° 42′ ouest |
Altitude | Min. 17 m Max. 201 m |
Superficie | 64,82 km2 |
Type | Commune rurale |
Unité urbaine | Plouigneau (ville isolée) |
Aire d'attraction | Morlaix (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Plouigneau (bureau centralisateur) |
Législatives | Quatrième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | Site Internet de la commune de Plouigneau |
Les habitants de la commune s'appellent les Ignaciens et Ignaciennes[3].
Géographie
Localisation
La commune se situe dans le nord-est du Finistère, non loin des côtes de la Manche dans l'arrondissement de Morlaix, dans le canton de Plouigneau dont elle est le chef-lieu, dans le Trégor. Elle est limitrophe des Côtes-d'Armor en son nord-est. Le bourg est construit sur un plateau de 160 m d’altitude borde la route nationale de Paris à Brest et se situe à environ 9 kilomètres de Morlaix.
Communes limitrophes
Villes de France (accès routiers)
Ville | Paris | Brest | Rennes | Nantes | Tours | Bordeaux | Lille | Toulouse | Lyon | Strasbourg | Marseille |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Distance | 526 km | 69 km | 179 km | 282 km | 431 km | 641 km | 694 km | 872 km | 914 km | 1 007 km | 1 223 km |
Voies de communication
Le bourg est accessible par la route nationale 12 via l'échangeur de Kerdilès, la route départementale 712 (ancienne nationale), par la route départementale 37 et la route départementale 64.
Bus
La commune est desservie par lignes Linéotim (transports de bus de Morlaix Communauté) :
Lignes régulières :
- La ligne 40 (Morlaix ↔ Botsorhel), ligne régulière [6];
- La ligne 40+ (Morlaix ↔ Plougonven ↔ Plouigneau), ligne régulière [7].
Lignes scolaires :
- La ligne 33a (Plouigneau (La Croix Rouge) ↔ Plouégat-Guérand), ligne scolaire [8].
- La ligne 40a (Plouigneau ↔ Guerlesquin), ligne scolaire [8].
- La ligne 44 (Plouigneau ↔ Guerlesquin), ligne scolaire [8].
- La ligne 46 (Plouigneau ↔ Plouégat-Guérand), ligne scolaire [8].
Train
Plouigneau possède une Gare TER en service desservie par les TER Bretagne.
Hydrographie
Le Dourduff prend sa source sur le territoire communal, qu'il délimite au nord.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[9]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[10].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[11]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
|
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[13] complétée par des études régionales[14] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Lanmeur », sur la commune de Lanmeur, mise en service en 1982[15] et qui se trouve à 9 km à vol d'oiseau[16],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 11,5 °C et la hauteur de précipitations de 984,9 mm pour la période 1981-2010[17]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Landivisiau », sur la commune de Saint-Servais, mise en service en 1966 et à 34 km[18], la température moyenne annuelle évolue de 11 °C pour la période 1971-2000[19], à 11,2 °C pour 1981-2010[20], puis à 11,5 °C pour 1991-2020[21].
Urbanisme
Typologie
Plouigneau est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[22],[23],[24]. Elle appartient à l'unité urbaine de Plouigneau, une unité urbaine monocommunale[25] de 5 083 habitants en 2017, constituant une ville isolée[26],[27].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Morlaix, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 24 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[28],[29].
Logement
En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 2 536, alors qu'il était de 2 397 en 2013[Insee 1]. Parmi ces logements, 85,9 % étaient des résidences principales, 5,7 % des résidences secondaires et 8,4 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 96,4 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 3,4 % des appartements[Insee 2].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Parochia Iunau au XIIe siècle[30], Ploeigneau vers 1330, Plouigneau en 1427[31].
Plouigneau vient de l’ancien breton ploe (paroisse) et de Saint Gwiniau (Winniavus ou Igneau)[31]. Son nom breton est Plouigno.
Histoire
Moyen Âge
Saint Ignace (ce qui se dit en breton Sant Igneau d'où Ploué-Igneau), moine de Cornouaille britannique du nom de Quiniau traversa la Manche au VIe siècle pour s’établir sur nos côtes.
Mais c’est Lannelvoez qui fut paroisse avant Plouigneau. L’ancien presbytère, le puits, la fontaine Saint-Ignace attestent l’existence de cette première fondation religieuse.
En 1463, un tiers des habitants succombèrent lors d'une épidémie à Plouigneau[32].
Époque moderne
En 1753 Plouigneau, y compris sa trève de Lannéanou, comptait 30 manoirs dont Lanidy (au seigneur du Ponthou), Le Mur (au seigneur de Kergornadeth), Kergueguen (à Jean Porzborgen), Jean Le Rouge (à Jean Le Rouge), Goëzbriand (à François de Goëzbriand), Lanleya (à Jean du Parc), Kernethallec (à Jehan de Gaspern), etc.. Au moins 21 de ces manoirs étaient sans fief ni juridiction, donc étaient de simples domaines fonciers[33].
En 1759, une ordonnance de Louis XV ordonne à la paroisse de Plovignau [Plouigneau] de fournir 70 hommes et de payer 459 livres pour « la dépense annuelle de la garde-côte de Bretagne »[34].
Le XIXe siècle
Malgré l’érection en commune indépendante, après la Révolution de 1789, de la trève de Lanneanou qui anciennement faisait partie des 8 trèves que composait la commune de Plouigneau (Saint Eloi, Luzivilly, Lanleya, la Chapelle du Mur, la Villeneuve, Lannelvoëz et Saint Didy), Plouigneau est restée une des communes les plus étendues du Finistère : 6 347 ha.
Intégrée au canton de Plougonven puis à celui du Ponthou, la commune de Plouigneau devint chef-lieu de canton en 1829.
Fin XIXe la construction de 67 écoles de hameaux a été autorisée dans le Finistère par deux décrets :
- Le décret du qui a délégué une subvention pour 18 écoles de hameaux sur l'arrondissement de Quimperlé ; toutes ont été bâties.
- Le décret du qui a délégué une subvention pour 50 écoles de hameaux sur les quatre autres arrondissements du département (Brest, Châteaulin, Morlaix, Quimper) à choisir dans les communes « dont le territoire est le plus étendu et les ressources les plus restreintes » ; 49 ont été bâties dont 2 à Plouigneau (Lanleya et Saint-Éloi)[35].
En 1877 à Plouigneau 18 hommes furent privés d'absolution, ayant commis un péché mortel selon le recteur, car ils avaient voté pour les républicains[36].
En 1896, un document indique que les sœurs de l'Immaculée Conception de Saint-Méen assistaient et soignaient gratuitement les malades de Plouigneau à domicile[37].
La Première Guerre mondiale
Le monument aux morts du cimetière de Plouigneau porte les noms de 211 soldats morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale ; parmi eux 123 au moins sont morts en Belgique (parmi eux, Nicolas Le Gall fut décoré de la Croix de guerre), dans les Balkans dans le cadre de l'expédition de Salonique (deux, Jean Berrou et Eugène Savy, en Macédoine) ; un, Jean Ourlay, en Croatie) ; un, Yves Hamon, en Italie ; un , Lucas Brigant, en Algérie ; deux, François Denis et Yves Jaouen, alors qu'ils étaient prisonniers de guerre en Allemagne. La plupart des autres sont décédés sur le sol français : parmi eux, Jean Caër, caporal au 219e régiment d'infanterie, et Yves le Rouge de Guerdavid, sous-lieutenant au 247e régiment d'infanterie, furent décorés de la Médaille militaire et de la Croix de guerre ; Yves Cotty a été décoré de la Médaille coloniale, agrafe "Afrique occidentale"[38].
La Seconde Guerre mondiale
Le monument aux morts de Plouigneau porte les noms de 38 personnes mortes pour la France pendant la Seconde Guerre mondiale ; parmi elles, des résistants comme Joseph Jourdren[39] et Constant Heiser[40]. François Bescond[41] est mort victime du torpillage du cuirassé Jean Bart le à Casablanca. Trois au moins sont des marins disparus en mer (François Berthou et Yves Paul lors de la bataille de Mers el-Kébir le , Arnaud Bouget au large d'Oran le . Hervé Folleroux, aviateur, est mort en combat aérien au-dessus de l'Allemagne le ; Eugène Jaouen est mort des suites de ses blessures le alors qu'il combattait en Allemagne ; Guillaume Morin est aussi décédé en Allemagne[42].
Une stèle commémorative située près du monument aux morts évoque la mémoire de cinq civils fusillés par les Allemands le : Joseph Jourdren, Jean-François Le Coz, Albert Perrot, Jean-Yves Ropars et un inconnu[43].
L'après Seconde Guerre mondiale
Quatre soldats originaires de Plouigneau (Jean Bourhis, Henri Gouil, Jean L'Hénaff, Jean Silliau) sont morts pour la France pendant la Guerre d'Indochine et deux (Jean Le Deunff, Marcel Lirzin) pendant la Guerre d'Algérie[42]. Henri de Trémaudan, né à Plouigneau le , est déclaré mort pour la France le .
Joseph Urien, né à Ploujean, jaciste, agriculteur à Plouigneau, créa le "Groupement des maraîchers de la baie de Morlaix" (par la suite incorporée à la SICA de Saint-Pol-de-Léon), puis le SICAMOB (Sica des marchés organisés de Bretagne). Il fut maire de Plouigneau pendant 21 ans[44].
Le XXIe siècle
Le , Plouigneau et Le Ponthou fusionnent pour créer la commune nouvelle de Plouigneau[45].
Politique et administration
Nom | Code Insee |
Intercommunalité | Superficie (km2) |
Population (dernière pop. légale) |
Densité (hab./km2) |
---|---|---|---|---|---|
Plouigneau (siège) |
29199 | Morlaix Communauté | 63,48 | 5 084 (2018) | 80 |
Le Ponthou | 29219 | Morlaix Communauté | 1,34 | 175 (2016) | 131 |
Liste des maires
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[47]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[48].
En 2018, la commune comptait 5 084 habitants[Note 6], en augmentation de 5,19 % par rapport à 2013 (Finistère : +0,86 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Évolution du rang démographique
selon la population municipale des années : | 1968[51] | 1975[51] | 1982[51] | 1990[51] | 1999[51] | 2006[52] | 2009[53] | 2013[54] |
Rang de la commune dans le département | 51 | 50 | 47 | 39 | 39 | 39 | 38 | 37 |
Nombre de communes du département | 286 | 283 | 283 | 283 | 283 | 283 | 283 | 283 |
En 2017, la commune nouvelle de Plouigneau était la 36e commune du département en population avec ses 5 083 habitants (territoire en vigueur au ), derrière Châteaulin (35e avec 5 214 habitants) et devant Locmaria-Plouzané (37e avec 5 076 habitants).
En 2017, elle était la 2 128e commune en population au niveau national, ex æquo avec Mériel (Val-d'Oise).
Santé
L'hôpital le plus proche est le Centre Hospitalier du Pays de Morlaix, situé à Morlaix.
Associations sportives
- Union Sportive Plouigneau, club de football dont l'équipe première évolue en D1 de district pour la saison 2020-2021, l'équipe B évoluant en D3.
- Plouigneau Oxygène, association de cross
- Pétanque ignacienne, club de pétanque
- Club de tennis
- Club de tennis de table
- Club de gymnastique
- Dance : Temps'dance et Extra va'dance
- Club d'équitation
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Menhir de Creac'h Edern
- Stèle de Croas ar Peulven, dite aussi borne milliaire de Quillidien
- Traces de plusieurs voies romaines
- Chapelle Saint-Nicodème de Lanleya, avec chevet à trois pans de style Beaumanoir
- Église Saint-Ignace de style néogothique, construite en 1863.
- Monument aux morts, à côté de l'église et dans le cimetière.
- Écomusée de Plouigneau
Héraldique
Blason | De sinople à la croix celtique alésée d'or. |
|
---|---|---|
Détails |
|
Voir aussi
Notes et références
Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[12].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
INSEE
Autres références
- Prononciation en français de France retranscrite selon la norme API.
- « Carte géographique », sur maps.google.fr (consulté le ).
- « Nom des habitants », sur www.habitants.fr (consulté le ).
- « Tout sur la commune », sur www.annuaire-mairie.fr (consulté le ).
- « Tout sur la commune », sur www.annuaire-mairie.fr (consulté le ).
- « Ligne 40 », sur www.lineotim.com, (consulté le ).
- « Ligne 40+ », sur www.lineotim.com, (consulté le ).
- « Lignes scolaires », sur www.lineotim.com, (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Lanmeur - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Plouigneau et Lanmeur », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Lanmeur - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Plouigneau et Saint-Servais », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Landivisiau - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Landivisiau - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Landivisiau - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Plouigneau », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- Hervé Abalain, Noms de lieux bretons, Paris, Editions Jean-paul Gisserot, coll. « Universels Gisserot » (no 22), , Universels Gisserot, p. (ISBN 978-2-87747-482-5, OCLC 2877474828, lire en ligne), p. 96.
- infobretagne.com, « Étymologie et Histoire de Plouigneau » (consulté le ).
- Jean Rohou, "Fils de ploucs", tome 1, 2005, éditions Ouest-France, (ISBN 2-7373-3452-7).
- Jean Gallet, "Seigneurs et paysans bretons du Moyen-Âge à la Révolution", éditions Ouest-France Université, 1992, (ISBN 2-7373-1023-7).
- >"Ordonnance... portant imposition pour la dépense annuelle de la garde-côte de Bretagne", 1759, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k97412315/f8.image.r=Plovan
- Marie-Paule et Bernard Kernéis, Les écoles de hameaux : deux programmes d' envergure à la fin du XIXe siècle dans le Finistère, revue "Le Lien", Centre généalogique du Finistère, n° 151, septembre 2019. Site des auteurs http://www.roch-gad.eu
- Jean Rohou, "Catholiques et Bretons toujours ? (essai sur l'histoire du christianisme en Bretagne)", éditions Dialogues, Brest, 2012, (ISBN 978-2-918135-37-1).
- La France charitable et prévoyante : tableaux des œuvres et institutions des départements. Numéro 1 : publié par les soins de l'Office central des œuvres charitables..., E. Plon, Nourrit, (lire en ligne).
- « Monument aux Morts du cimetière (Relevé n° 5850) », sur www.memorialgenweb.org (consulté le ).
- Joseph Jourdren, né le au Conquet, fait prisonnier par une colonne allemande lors d'un accrochage dans le bourg de Plouigneau, torturé et exécuté sur place le , décoré de la Légion d'honneur, de la Croix de guerre, de la Médaille de la Résistance et de la Distinguished Service Cross
- Constant Heiser, né le à Paris, tué à l'ennemi le à Plouigneau, décoré de la Légion d'honneur, de la Croix de guerre, de la Silver star américaine
- François Bescond, né le à Plouigneau, second-maître mécanicien, décoré de la Légion d'honneur et de la Médaille militaire
- « Monument commémoratif (Relevé n° 61509) », sur www.memorialgenweb.org (consulté le ).
- « Stèle commémorative 1939-1945 (Relevé n° 75314) », sur www.memorialgenweb.org (consulté le ).
- Robert Fort, Ils ont révolutionné le monde rural : l'aventure de la JAC en Bretagne (1930-1970), Brest, Editions Le Télégramme, , 284 p. (ISBN 2-909292-94-0 et 978-2-909-29294-6, OCLC 492976232).
- Recueil des actes administratifs de la préfecture du Finistère
- « Fusion. Le nouveau conseil municipal en place », Le Télégramme, (lire en ligne).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
Liens externes
- Site Internet de la commune de Plouigneau
- Site Internet du Club de Basket de Plouigneau Plourin (PPBC)
- Portail du Finistère
- Portail des communes de France