Saint-Servais (Finistère)
Saint-Servais [sɛ̃sɛʁvɛ] (en breton : Sant Servez) est une commune du département du Finistère, dans la région Bretagne, en France.
Pour les articles homonymes, voir Saint-Servais.
Saint-Servais | |
Enclos paroissial. | |
Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Bretagne |
Département | Finistère |
Arrondissement | Morlaix |
Intercommunalité | Communauté de communes du Pays de Landivisiau |
Maire Mandat |
Bernard Michel 2020-2026 |
Code postal | 29400 |
Code commune | 29264 |
Démographie | |
Gentilé | Saint-Servaisiens |
Population municipale |
781 hab. (2018 en diminution de 6,47 % par rapport à 2013) |
Densité | 76 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 48° 31′ nord, 4° 09′ ouest |
Altitude | Min. 23 m Max. 116 m |
Superficie | 10,29 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Brest (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Landivisiau |
Législatives | Cinquième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | http://www.saint-servais-29.fr/ |
Géographie
Site et situation
Saint-Servais est une commune du Léon située à l'ouest de Landivisiau et à l'est de Landerneau. Le finage communal (qui dessine approximativement un rectangle étiré dans le sens nord-sud) est formé pour l'essentiel d'un morceau du plateau du Léon dont l'altitude est aux environs de 100 mètres (le point culminant est à 116 mètres dans le nord du territoire communal, à l'intérieur du périmètre de la Base d'aéronautique navale de Landivisiau qui est pour partie située dans la commune), le bourg étant vers 80 mètres d'altitude ; plusieurs vallées encaissées limitent la commune, principalement celle de l'Élorn au sud (ce fleuve côtier coule vers 25 mètres d'altitude et sépare Saint-Servais de Pont-Christ, qui fait partie de la commune de La Roche-Maurice), mais aussi celle d'un de ses affluents de rive droite : le ruisseau de Brézal à l'ouest (qui sert de limite avec Plounéventer) ; les versants encaissés des deux vallées précitées sont restés boisés. Le petit fleuve côtier la Flèche a sa source à la limite nord de la commune, séparant Saint-Servais de Plougar.
Transports et habitat
La commune est traversée à sa limite sud par l'ancienne route royale de Paris à Brest, devenue ensuite Route nationale 12, et désormais simple route départementale 712 depuis la construction de la voie express RN 12 qui traverse désormais la partie centrale de la commune, la coupant littéralement en deux sans que la commune ne soit directement desservie (si l'aire de repos dite de Saint-Servais est sur le territoire communal, les deux échangeurs permettant d'accéder à cette voie expresse sont l'un, à l'est, celui de la Croix des Maltotiers (Landivisiau-Ouest) et l'autre, à l'ouest, celui de Prat Lédan, est situé sur la commune de Plounéventer. Le bourg de Saint-Servais est desservi par la route départementale 32 allant de Landivisiau à Lesneven.
La partie nord du territoire communal est coupée en deux par l'emprise de la Base d'aéronautique navale de Landivisiau : plusieurs hameaux et fermes isolées (Coz Feunteun, Keroualar, Spern ar Bic, Kervilien, ..) dépendant de Saint-Servais ne sont reliés au bourg qu'en contournant la dite base, soit par l'ouest (en passant par le territoire des communes de Saint-Derrien et Plounéventer), soit par l'est (en passant par Bodilis).
La commune est restée essentiellement rurale, avec un paysage de boacage et un habitat dispersé en hameaux et fermes isolées ; des lotissements se sont toutefois créés ces dernières décennies au sud du bourg traditionnel (quartiers du Ménez et de Roc'h Glaz).
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1966 permet de connaître l'évolution des indicateurs météorologiques. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après. La température moyenne annuelle évolue de 11 °C pour la période 1971-2000[7], à 11,2 °C pour 1981-2010[8], puis à 11,5 °C pour 1991-2020[9].
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Température minimale moyenne (°C) | 4,1 | 3,7 | 5,1 | 5,7 | 8,6 | 10,9 | 12,9 | 12,9 | 11,3 | 9,3 | 6,5 | 4,5 | 8 |
Température moyenne (°C) | 6,6 | 6,5 | 8,2 | 9,4 | 12,3 | 14,7 | 16,7 | 16,8 | 15,1 | 12,4 | 9,2 | 7,1 | 11,3 |
Température maximale moyenne (°C) | 9,1 | 9,3 | 11,3 | 13 | 16 | 18,5 | 20,5 | 20,6 | 18,9 | 15,6 | 12 | 9,7 | 14,6 |
Record de froid (°C) date du record |
−9,1 13.01.1987 |
−6,9 28.02.18 |
−5,7 07.03.1971 |
−1,8 05.04.1975 |
−1 07.05.1979 |
3 04.06.1975 |
5,8 12.07.1972 |
6,3 01.08.1977 |
3,5 23.09.1979 |
−2,5 29.10.1997 |
−7,6 07.11.1980 |
−8,3 28.12.1970 |
−9,1 1987 |
Record de chaleur (°C) date du record |
16,8 24.01.16 |
21,3 27.02.19 |
23,8 19.03.05 |
27 21.04.18 |
29,6 26.05.17 |
33 30.06.15 |
34,5 18.07.06 |
35,3 09.08.03 |
31,3 14.09.20 |
28,3 02.10.11 |
21,5 02.11.1982 |
19 02.12.1985 |
35,3 2003 |
Ensoleillement (h) | 604 | 738 | 1 104 | 1 429 | 1 705 | 1 831 | 1 685 | 1 651 | 1 543 | 105 | 682 | 617 | 14 638 |
Précipitations (mm) | 144,6 | 108,8 | 92,7 | 87 | 78,9 | 58,1 | 64,4 | 60,3 | 78,8 | 118,5 | 127,2 | 145,8 | 1 165,1 |
Urbanisme
Typologie
Saint-Servais est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[10],[11],[12].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Brest, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 68 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[13],[14].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (69,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (72,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (40,1 %), terres arables (29,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (16 %), zones urbanisées (7,3 %), forêts (6 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1 %)[15].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[16].
Toponymie
Saint Servais (Sainst Servaix en 1609, Saint Serves en 1640), en breton Sant Servez Kallag, doit son toponyme au saint éponyme Servais de Tongres[17], honoré également à Saint-Servais (Côtes-d'Armor) et, entre autres, à Maastricht.
Histoire
Moyen Âge
Selon Arthur de la Borderie, les Occismiens auraient été battus sur la lande de Lan ar Boanniou par des "païens", peut-être par des Normands vers 919-921.
Saint-Servais fut érigée en trève de Plounéventer en 1587, et faisait partie de l'archidiaconé de Kemenet-Ily relevant de l'évêché de Léon.
Révolution française
En 1792, en réponse à une enquête, la municipalité de Saint-Servais répond que le nombre de personnes « qui ont besoin d'assistance » est de 116 (sur 726 habitants)[18].
En mars 1793, Kernilis fit partie, avec Guissény, Plounéventer, Ploudaniel, Plouguerneau et Kerlouan, des communes condamnées à payer en tout 40 600 livres de dédommagement pour s'être rebellée contre le gouvernement républicain[19] (Saint-Servais eut à payer 250 livres[20]).
En 1799, il n'y a plus que 46 marchands de toiles à Saint-Thégonnec (mais c'est encore la commune où ils sont les plus nombreux), 26 à Guiclan, 23 à Plouvorn, 16 à Bodilis, 10 à Landivisiau, 4 à Saint-Servais, etc.[18].
Le XIXe siècle
A. Marteville et P. Varin, continuateurs d'Ogée, décrivent ainsi Saint-Servais en 1853 :
« Saint-Servais ; commune formée de l'anc. trève de Plounéventer ; aujourd'hui succursale. — […] Princip. vill. : Ꝃvisien, Ꝃoualar, Mezcouez, le Guern, Lezlem, Penhoat, Ꝃivin. — Superf. tot. : 1 029 hect., dont […] ter. lab. 526, prés et pât. 89, bois 48, landes et incultes 264, sup. des prop. bât. 7 ; cont. non imp 45. Const. div. 130 ; moulins : 5 (de Penvern, de Ꝃivin, de Lezlem, à eau). ☞ La route de Brest à Paris traverse cette commune de l'est à l'ouest. — Le pont de Ꝃivin, station connue de nivellement, est à 55 m. 28 c. au-dessus du niveau de la mer. — Géologie : çà et là granite amphibolique. — On parle le breton[21]. »
L'ossuaire de Saint-Servais servit un temps d'école vers le milieu du XIXe siècle[18]. En 1887 la commune de Saint-Servais fut dans l'obligation de construire une école publique de filles afin de respecter la loi du sur les constructions d'office qui oblige les communes dépourvues d'école publique à en construire une[22].
Le pourcentage de conscrits illettrés à Saint-Servais entre 1858 et 1867 est de 41 %[23].
La Belle Époque
Le dernier décollement de chef connu en Bretagne fut celui du peintre Yan' Dargent réalisé selon sa volonté dans le cimetière de Saint-Servais en 1907 :
« La tombe fut ouverte, le cercueil descellé et, sur le vœu du fils du défunt, M. le recteur de la paroisse prit avec respect la tête du mort, la sépara sans grande difficulté du tronc, et la remit dans une petite châsse en zinc près du chef de sa mère. C'était le matin. Dans l'après-midi, toute la paroisse, fière de son peintre, assista à la funèbre cérémonie. Les écoles eurent congé, les autorités portèrent les glorieux restes jusqu'à la chapelle[24]. »
La Première Guerre mondiale
Le monument aux morts de Saint-Servais porte les noms de 30 soldats morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale ; parmi eux deux au moins (Yves Diverrez et Isidore Rolland) sont morts à Thessalonique (Grèce) en 1916 dans le cadre de l'expédition de Salonique ; un au moins (Jean Couloigner) est mort en Belgique en 1917 ; la plupart des autres sont décédés sur le sol français[25].
La tombe du sergent Yves Morry[Note 5], mort au combat en 1915 dans la Somme a été retrouvée en 2019 par sa petite-fille au cimetière anglais de Thiepval[26].
La Seconde Guerre mondiale
Le monument aux morts de Saint-Servais porte les noms de sept personnes mortes pour la France pendant la Seconde Guerre mondiale ; parmi elles Jean Abgrall[Note 6], mort au Liban, alors mandat français[25].
Le barde autonomiste Auguste Bocher, originaire de Saint-Servais, aurait aussi été assassiné, ainsi que son frère, à Duault par des résistants du maquis de Callac[27], mais ce fait est nié par certains, qui accusent de faux résistants d'être les auteurs de ce meurtre[Note 7].
Politique et administration
Liste des maires
Monuments
La commune abrite deux monuments historiques :
- l'église Saint-Servais et son enclos, construits dans la deuxième moitié du XVIIe siècle. L'ensemble a été classé par arrêté du [29] ;
- L'enclos paroissial de Saint-Servais (Finistère).
- La façade et le clocher de l'église de Saint-Servais (Finistère).
- la stèle antique à rainures et croix de Kroaz Téo, datant de la période antique et classée par arrêté du [30].
Musée
- Le musée Yan' Dargent[31].
Personnalités liées à la commune
Naissances
- Yan' Dargent, peintre et illustrateur, né le , mort à Paris le , et enterré à Saint-Servais.
- Jean-Marie Combot, dit Chamar, né le à Saint-Servais, part en 1905 en Indochine comme frère des écoles chrétiennes ; il se reconvertit sur place en planteur ; en 1925 il possède 2 500 hectares de rizière à Phon-Tang en Cochinchine et devient par la suite membre du Conseil colonial de Saïgon ; lors d'un séjour en Bretagne, il offrit une bannière à l'église de Saint-Derrien ; il décède le à Phon-Tang.
Démographie
Voir aussi
Articles connexes
Notes et références
Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Yves Morry, né le à Saint-Servais (Finistère)
- Jean Pierre Abgrall, né le à Saint-Servais, soldat au 24e régiment mixte colonial, tué le à Beyrouth
- Auguste Bocher aurait été assassiné par des « résistants » de la dernière heure, qui auraient profité de la guerre pour assouvir une vengeance personnelle à l'encontre du régisseur du marquis de Kerouartz à Saint-Servais, à la suite d'une histoire de braconnage. Le jour de l'enterrement, ces personnages étaient ivres et ont sommairement assassiné le frère du barde, allant même jusqu'à danser sur son cadavre
- Jean Boderiou, né le à Saint-Servais, mort le à Saint-Servais
- Nicolas Abhervé Guéguen, né le à Leslem Bras en Saint-Servais, mort le à Leslem Bras
- Yves Le Bras, né le à Bodilis, mort le à Keranguéven en Saint-Servais
- Jean Kerdilès, né le 12 messidor an VIII à Plougourvest, mort le à Keranguéven en Saint-Servais
- Jean Marie Boderiou, né le [12 fructidor an V] à Saint-Servais, mort le à Saint-Servais
- François Marie Abhervé Guéguen, né le à Leslem Bras, mort le à Leslem Bras
- Yves Marie Kerdoncuff, né le à Kerantraon en Lanneuffret, mort le à Gamer Bras en Saint-Servais
- Alain Boderiou, né le à Leslem Bian en Saint-Servais, mort le à Saint-Servais
- Jacques Kerdoncuff, né le à Kerantraon en Lanneufret, mort le à Saint-Servais
- Ollivier Kerdilès, né le à Saint-Servais, mort le à Keranguéven en Saint-Servais
- Jean Louis Kerdoncuff, né le à Kerantraon en Lanneufret, décédé le à Gamer Bras en Saint-Servais.
- Olivier Le Gall, né le à Plounéventer, décédé le à Méchou en Landivisiau.
- Jean Louis Kerdilès, né le à Saint-Servais, mort le à Keranguéven en Saint-Servais
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
- « Station météorologique de Landivisiau - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Bernard Tanguy, Dictionnaire des noms de communes, trêves et paroisses du Finistère, Chasse Marée-Ar Men, 1990, p. 205.
- Jean Rohou, Fils de ploucs, t. 1, Rennes, éditions Ouest-France, , 537 p. (ISBN 2-7373-3452-7).
- Charles-Laurent Marie, "Histoire de la Bretagne républicaine depuis 1789 jusqu'à nos jours", 1875, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k57656266/f151.image.r=Ploun%C3%A9venter.langFR
- Prosper Levot, "Histoire de la ville et du port de Brest pendant la Terreur", consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k96132324/f88.image.r=guiss%C3%A9ny?rk=3326196;4
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- Jean Rohou, Fils de ploucs : Ar yez, ar skol. La langue, l'école, t. 2, Rennes, éditions Ouest-France, , 603 p. (ISBN 978-2-7373-3908-0).
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- http://www.memorialgenweb.org/memorial3/html/fr/resultcommune.php?idsource=22878
- Journal Le Télégramme de Brest et de l'Ouest, numéro du 2 juillet 2019.
- http://francoisemorvan.com/travaux/miliciens-contre-maquisards-ou-la-resistance-trahie/complements/
- http://www.archives-finistere.fr/sites/default/files/maires_saint-servais.pdf
- Notice no PA00090438, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no PA00090439, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- http://yan.dargent.free.fr Musée Yan' Dargent
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
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