Plouégat-Guérand

Plouégat-Guérand [pluegat gerɑ̃] (en breton : Plegad-Gwerann) est une commune du département du Finistère, dans la région Bretagne, en France.

Plouégat-Guérand

Mairie de Plouégat-Guérand.
Administration
Pays France
Région Bretagne
Département Finistère
Arrondissement Morlaix
Intercommunalité Morlaix Communauté
Maire
Mandat
Renaud de Clermont-Tonnerre
2020-2026
Code postal 29620
Code commune 29182
Démographie
Gentilé Plouégatais
Population
municipale
1 064 hab. (2018 en diminution de 4,14 % par rapport à 2013)
Densité 62 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 37′ nord, 3° 40′ ouest
Altitude Min. 2 m
Max. 151 m
Superficie 17,29 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Morlaix
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Plouigneau
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Bretagne
Plouégat-Guérand
Géolocalisation sur la carte : Finistère
Plouégat-Guérand
Géolocalisation sur la carte : France
Plouégat-Guérand
Géolocalisation sur la carte : France
Plouégat-Guérand

    Géographie

    Localisation

    Plouégat-Guérand se situe dans le nord-est du Finistère, en Trégor, et est limitrophe du département des Côtes-d'Armor. Elle fait partie de l'arrondissement de Morlaix et du canton de Plouigneau,et se trouve sur le territoire communautaire de Morlaix Communauté.

    Communes limitrophes

    Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de communes :

    Communes limitrophes de Plouégat-Guérand
    Lanmeur Guimaëc Plestin-les-Grèves (Côtes-d'Armor)
    Plouigneau Trémel (Côtes-d'Armor)

    Hydrographie

    La commune est délimitée de Plouigneau au sud-ouest par le Dourduff et des communes voisines costarmoricaines de Plestin-les-Grèves et Trémel par le Douron.

    Voies de communications

    La route nationale 12 passe dans la commune voisine de Plouigneau, où se trouve l'échangeur de Kerdilès, d'où la commune est facilement joignable via la route départementale 64, qui passe à proximité du bourg avant de rejoindre Lanmeur. Le nord de la commune est également desservi par l'axe Morlaix-Lannion (D786).

    Bus

    La commune est desservie par trois lignes scolaires Linéotim (transports de bus de Morlaix Communauté) :

    Train

    La gare TER la plus proche est celle de Plouigneau et la gare TGV la plus proche est celle de Morlaix.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 11,4 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 0,7 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 0,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 10,1 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 947 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 15 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Lanmeur », sur la commune de Lanmeur, mise en service en 1982[7] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 11,5 °C et la hauteur de précipitations de 984,9 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Landivisiau », sur la commune de Saint-Servais, mise en service en 1966 et à 37 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 11 °C pour la période 1971-2000[11], à 11,2 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,5 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Plouégat-Guérand est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[14],[15],[16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Morlaix, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 24 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (80,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (82,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (40,8 %), terres arables (39,4 %), forêts (15,2 %), zones urbanisées (3,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,5 %), prairies (0,2 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Ploegat Gallon en 1473,

    Ploegat, du breton plou et le nom du saint breton Egat[21], assimilé à saint Agapet[22] ; il pourrait aussi s'agir de saint Ergat[23].

    Guérand, du nom d'une seigneurie; Vallon, Gazvallon en 1330, Gouezrant en 1543[22].

    Plegad-Gwerann en breton.

    Histoire

    La seigneurie de Guerrand

    Guerrand fut le siège d'une seigneurie importante dont l'existence est attestée en 1351 : Yves Charruel, qui participa au combat des Trente, était seigneur de Guerlesquin et de Guerrand. La seigneurie appartint ensuite successivement aux familles Penhoet, Boiséon et du Parc. En 1592, le célèbre brigand Guy Éder de La Fontenelle s'empare du château de Guerrand. En 1637, le roi Louis XIII érige la seigneurie en marquisat au profit de Vincent du Parc de Locmaria, capitaine de mousquetaires[24].

    Lorsque débute la Révolution française, la seigneurie est aux mains de Charles Quemper de Lanascol, qui émigre en Angleterre. Vendu comme bien national à un marchand de Morlaix, le château tombe en ruine et est rasé en 1840[25].

    Un nouveau château de Guerrand fut construit en 1902, mais incendié en 1940. Le nom a été repris par une simple ferme faisant chambre d'hôtes[26].

    Époque moderne

    Cette commune est connue pour des faits liés à la Révolte des Bonnets rouges en 1675.[réf. nécessaire]

    Le marquis de Guerrand aurait été, selon la légende, « une sorte de dom Juan impérieux, débauché, sanguinaire, faisant l'amour l'épée au poing et la menace à la bouche. Sa rencontre était redoutée à l'égal de celle d'une bête fauve ». Guillaume Lejean a narré en 1846 dans sa "Notice sur Plouégat-Guerrand" quelques-uns des tristes exploits attribués au marquis qui habitait l'imposant château de Guerrand à une date indéterminée. De nombreuses gwerz ont chanté ses "exploits" ; l'une (gwerz du marquis de Guerrand) a été traduite en français et retranscrite par Émile Souvestre en 1836[27]. Selon Théodore Hersart de La Villemarqué, le marquis concerné serait Louis-François du Parc[28], marquis de Locmaria et fils de Vincent du Parc et de Claude de Névet, mais Louis Le Guennec pense plutôt qu'il s'agissait de Vincent du Parc[29] lui-même[30].

    En 1759, une ordonnance de Louis XV ordonne à la paroisse de Ploagat-Goirand [Plouégat-Guérand] de fournir 25 hommes et de payer 164 livres pour « la dépense annuelle de la garde-côte de Bretagne »[31].

    La Révolution française

    Au cours de la Révolution française, la commune porta provisoirement le nom de Plouégat-Gallon[32].

    Le XIXe siècle

    L'épidémie de choléra survenue dans le Finistère en 1832-1833 fit 95 morts à Plouégat-Guérand[33].

    Selon une inscription dans l'église paroissiale de Guimiliau, saint Laurent attirait dans sa chapelle de Saint-Laurent-du-Pouldour[34] des foules de rhumatisants ; ils faisaient le tour du cimetière à genoux, rampaient sous l'autel dans une sorte de four, se frottaient le visage et les mains contre sa statue, puis procédaient à des ablutions, vêtus d'un pagne ou d'une chemise, sous la cascade jaillissant de la fontaine surélevée (toujours en place) ; les hommes se trempaient à certaines heures, les femmes à d'autres, ainsi qu'en témoignent des photos, mais le clergé, lassé par certaines scènes scabreuses, fit démolir la chapelle à la fin du XIXe siècle ; outre la fontaine, une croix celtique a subsisté[35].

    L'Entre-deux-guerres

    La Résistance : les deux maquis de Saint-Laurent

    Deux maquis s'organisèrent près du village de Saint-Laurent en Plouégat-Guérand dans le site boisé et encaissé de la vallée du Douron : l'un, créé en , sur le versant est de la vallée, fut un maquis FTP, organisé par Pierre Lagadou[36], dit capitaine Jules et André Le Men, dit Victor autour initialement de la ferme de Coat Chanus[37]. Les résistants recrutent des réfractaires du STO, organisèrent des parachutages et menèrent des actions de guérilla[38].

    L'autre groupe de maquisards FFI, membre du réseau Libé-Nord, dirigé par le docteur Léon Le Janne[39], alias Commandant Noël, coopérant avec François Tanguy-Prigent, alias Jacques Le Ru, maire révoqué de Saint-Jean-du-Doigt, ayant sa base à Kerabars, en Plouégat-Guérand, se replia sur le versant ouest de la même vallée en [40] dans le bois de Saint-Laurent, surnommé Coat Janus[41]. Sept lycéens du lycée de Morlaix, âgés de 17 ou 18 ans, formèrent un groupe de résistants au printemps 1943, organisé par Émile Guéguen et Gildas Lebeurier[42] dit "Gil" ; parmi ses membres Louis Gourvil et Émile Le Jeune[43]. Ce "groupe Gil" participa à diverses actions de résistance au Cloître-Saint-Thégonnec et à Plourin-les-Morlaix. Ses membres rejoignirent le maquis FFI de Saint-Laurent en Plouégat-Guérand, incorporant le "bataillon d'Ornano", dirigé par Édouard Lebeurier (1892-1986)[44], et participèrent à la libération de Morlaix le .

    Quatre membres (Marcel Le Berre, René Morvan, Hervé Ollivier et Jacques Ollivier) de ce "bataillon d'Ornano", ainsi que l'agriculteur (François Trévien) et son employé (André Corvez) qui les cachaient à Pénarvern en Sainte-Sève furent, en raison d'une dénonciation, arrêtés par la Feldgendarmerie qui cerna la ferme, condamnés à mort par un tribunal allemand comme francs-tireurs le et fusillés le même jour en un lieu inconnu, probablement dans les Côtes-du-Nord. Leurs corps n'ont jamais été retrouvés[45].

    Une stèle implantée à Kerabars commémore le souvenir des maquisards disparus[46]. Même si ces maquis ne durèrent que quelques mois, ils réunirent près de 500 résistants et réfractaires du STO[47]. Une trentaine de ses membres poursuivirent le combat en participant à la libération de la poche de Lorient en .

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1959 1965 Jean Bourel    
    1965 1971 Francois Bourhis CNIP  
    1971 1989 Eugène Le Roy PSU  
    1989 2001 Yves Pellé PS  
    2001 2020 Christian Le Manach[48] PS  
    2020 En cours Renaud de Clermont-Tonnerre[49] DVG Petit-fils de Charles Roger, maire de 1919 à 1925
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[50]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[51].

    En 2018, la commune comptait 1 064 habitants[Note 6], en diminution de 4,14 % par rapport à 2013 (Finistère : +0,86 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 5611 5691 5631 7531 8461 9862 0542 0382 046
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 8461 8431 8591 8601 8301 6961 6921 5691 505
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 5981 6241 6311 4281 4201 2601 2211 024909
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    8728157307849259361 0121 0891 067
    2018 - - - - - - - -
    1 064--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[52] puis Insee à partir de 2006[53].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Évolution du rang démographique

    Évolution du rang de la commune
    selon la population municipale des années : 1968[54] 1975[54] 1982[54] 1990[54] 1999[54] 2006[55] 2009[56] 2013[57]
    Rang de la commune dans le département 203 209 219 179 179 177 176 174
    Nombre de communes du département 286 283 283 283 283 283 283 283

    En 2016, Plouégat-Guérand était la 175e commune du département en population avec ses 1 067 habitants (territoire en vigueur au ), derrière Saint-Ségal (174e avec 1 070 habitants) et devant Garlan (176e avec 1 056 habitants).

    Manifestations culturelles et festivités

    La fête des cerises a lieu tous les ans le premier dimanche de juillet.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Vue septentrionale de l'église Saint-Agapit.
    • L'église paroissiale Saint-Agapit, construite au XVIe siècle (1526), de style gothique, elle abrite un étrange bénitier de très petite taille, sculpté de nombreux symboles chrétiens. Le sculpteur serait, selon la signature de l'œuvre, "S. de Rousval" ou "S de Rouseval". L'édifice est classé depuis 2010[58]. Elle possède un maître-autel datant du XVIIe siècle, période du marquisat. En rénovation depuis 4 ans, le chantier de plus de 2 millions d'euros doit prendre fin pour l'été 2021[59].
    • Le château de Guerrand.

    Personnalités liées à la commune

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Lanmeur - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Plouégat-Guérand et Lanmeur », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Lanmeur - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Plouégat-Guérand et Saint-Servais », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Landivisiau - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Landivisiau - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Landivisiau - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. Ernest Nègre -Toponymie générale de la France - Volume 2 - Page 1046
    22. Hervé Abalain, « Noms de lieux bretons - Page 94, Editions Jean-paul Gisserot » (ISBN 2877474828, consulté en ).
    23. http://www.pouldergat.fr/index.php?page=histoire
    24. Capitaine de la garde des mousquetaires de Richelieu
    25. http://www.infobretagne.com/plouegat-guerrand.htm
    26. http://www.leguerrand.com/index_fr.html
    27. Émile Souvestre, "Le Finistère en 1836", Brest, 1838.
    28. Louis-François du Parc, né le à Plouégat-Guerrand, décédé le à Plouégat-Guerrand.
    29. Vincent du Parc, né en 1610, marquis de Locmaria et du Guerrand, qui fut gouverneur de la ville et du château de Concarneau, décédé le à Plouégat-Guerrand.
    30. Louis Le Guennec, La légende du marquis de Guerrand, "Mélanges bretons et celtiques offerts à M. J. Loth, membre de l'Institut, professeur au Collège de France", 1927, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k1153314/f151.image.r=Lanmeur
    31. >"Ordonnance... portant imposition pour la dépense annuelle de la garde-côte de Bretagne", 1759, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k97412315/f8.image.r=Plovan
    32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Plouégat-Guérand », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
    33. Henri Monod, "Le Choléra (histoire d'une épidémie, Finistère 1885-1886)", 1892, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k61500477/f23.image.r=Plougasnou.langFR
    34. https://www.patrimoine-religieux.fr/eglises_edifices/29-Finistere/29183-Plouegat-Moysan/125183-AnciennechapelleenruinesdeSaint-LaurentduPouldour
    35. Edmond Rebillé et Albert Pennec, "Quand les Saints guérissaient", éditions Le Télégramme, 2002, (ISBN 2-914552-78-5).
    36. Pierre Lagadou est originaire de Plestin-les-Grèves
    37. http://fr.topic-topos.com/stele-des-maquis-de-saint-laurent-plouegat-guerrand
    38. Danielle Ropars, 1939-1945 : ils l'ont vécu, Liv'éditions, 2003 [ (ISBN 2-913555-54-3)]
    39. Léon Le Janne, (1894-1976), docteur en médecine, résistant ("Commandant Noël"), médecin auxiliaire dans le 2e régiment d'infanterie coloniale en 1914-1918, commandant de l'armée secrète Libé-Nord pour Morlaix et sa région pendant la Seconde Guerre mondiale
    40. "Été 1944 : Résistances et Libération en Trégor", Skol Vreizh n°56
    41. https://www.dailymotion.com/video/x80cm3d
    42. Gildas Lebeurier, né le , élevé à la dignité de Grand officier de la Légion d'honneur le , voir http://www.france-phaleristique.com/lh_promo_25-04-05.htm
    43. « Marcel Le Jeune. À 17 ans, il a pris le maquis », sur letelegramme.fr, Le Télégramme, (consulté le ).
    44. François de Beaulieu, La triple vie d'Édouard Lebeurier, revue "ArMen" n° 200, mai-juin 2014
    45. http://cerp22.free.fr/fusilles/Executes%20dans%2022/Trevian%20Francois/Page%202.html
    46. « 55 ans après les maquisards se souviennent », sur letelegramme.fr, Le Télégramme, (consulté le ).
    47. https://www.letelegramme.fr/ar/viewarticle1024.php?aaaammjj=20001113&article=1915533&type=ar
    48. « Conseil. Christian Le Manach : un 3e mandat », sur letelegramme.fr, Le Télégramme, (consulté le ).
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    59. « La restauration de l'église Saint-Agapit terminée pour l'été 2021 », sur ouest-france.fr, (consulté le ).
    60. Dictionnaire biographique illustré : Finistère, 1911

    Voir aussi

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