Cintré

Cintré est une commune française située dans le département d'Ille-et-Vilaine en Région Bretagne. D'une population municipale de 2344 habitants en 2018, elle est une des 43 communes de Rennes Métropole.

Cintré

L'église paroissiale Saint-Melaine.
Administration
Pays France
Région Bretagne
Département Ille-et-Vilaine
Arrondissement Rennes
Intercommunalité Rennes Métropole
Maire
Mandat
Jacques Ruello (DVD)
2020-2026
Code postal 35310
Code commune 35080
Démographie
Gentilé Cintréen
Population
municipale
2 344 hab. (2018 en augmentation de 7,23 % par rapport à 2013)
Densité 282 hab./km2
Population
agglomération
395 710 hab.
Géographie
Coordonnées 48° 06′ 20″ nord, 1° 52′ 20″ ouest
Altitude 35 m
Min. 25 m
Max. 63 m
Superficie 8,32 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Rennes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Rheu
Législatives Huitième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Bretagne
Cintré
Géolocalisation sur la carte : Ille-et-Vilaine
Cintré
Géolocalisation sur la carte : France
Cintré
Géolocalisation sur la carte : France
Cintré
Liens
Site web www.ville-cintre.fr

    Géographie

    Cintré est situé à 37 mètres d'altitude et voisine des communes de la Chapelle-Thouarault et de Mordelles.

    La plus grande ville à proximité de Cintré est la ville de Rennes située au sud-est de la commune à 12 km. La rivière le Meu et la Vaunoise sont les principaux cours d'eau qui traversent la ville de Cintré.

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Cintré
    Breteil La Chapelle-Thouarault
    Talensac Le Rheu
    Mordelles
    Carte de la commune.

    Transports

    Desservie par les bus du réseau service des transports en commun de l'agglomération rennaise (STAR) de Rennes Métropole via les lignes 54 (53 les vendredis et samedis soirs) et 154ex.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 11,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,4 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 12,8 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 712 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,2 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Rennes-Saint-Jacques », sur la commune de Saint-Jacques-de-la-Lande, mise en service en 1945[7] et qui se trouve à 12 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle évolue de 11,7 °C pour la période 1971-2000[9], à 12,1 °C pour 1981-2010[10], puis à 12,4 °C pour 1991-2020[11].

    Urbanisme

    Typologie

    Cintré est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[12],[13],[14].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rennes, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 183 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[15],[16].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (92,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (64,7 %), terres arables (22,8 %), zones urbanisées (8,6 %), prairies (2 %), eaux continentales[Note 6] (1,9 %)[17].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[18].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Ecclesia de Cintreyo en 1152[19], Ecclesia de Cintreio en 1158, Parochia de Sintreio en 1245, Cintreyum en 1437[20].

    L'étymologie de Cintré, qui provient de l'agglutination du nom de personne gallo-romain cintirius et du suffixe eium, signifie : « la terre de cintirius », variante de centurius : « le centurion ». Deux chemins sont souvent empruntés lors de randonnées, « le Petit Cintirius » et « le Grand Cintirius ».

    Histoire

    Les premières traces remontent à 1152, à l’époque un prieuré appartenait à l'abbaye Saint-Melaine de Rennes[21].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    Cintré appartient à l'arrondissement de Rennes et au canton du Rheu, créé lors du redécoupage cantonal de 2014. Avant cette date, elle appartenait au canton de Mordelles.

    Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la huitième circonscription d'Ille-et-Vilaine, représentée depuis par Florian Bachelier (LREM). Sous la IIIe République, elle appartenait à la deuxième circonscription de Rennes, de 1958 à 1986 à la 2e circonscription (Rennes-Sud) et de 1958 à 1986 à la 3e circonscription (Rennes-Montfort).

    Sur le plan des institutions judiciaires, la commune relève du tribunal d'instance, du tribunal de grande instance, du tribunal pour enfants, du conseil de prud’hommes, du tribunal de commerce, de la cour d’appel et du tribunal administratif de Rennes et de la cour administrative d'appel de Nantes.

    Intercommunalité

    La commune appartient à Rennes Métropole depuis sa création le . Cintré faisait alors partie des 27 communes fondatrices du District urbain de l'agglomération rennaise qui a pris sa dénomination actuelle le .

    Cintré fait aussi partie du Pays de Rennes.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 1892 décembre 1919 Auguste Burel Républicain Agriculteur
    décembre 1919[22]  ? M. Hubert    
    Les données manquantes sont à compléter.

    (démission)
    Ambroise Fontaine (1908-1981)    
    Louis Courtois[23]   Retraité
    François Laurans[24]    
    Maryvonne Maurais[25] SE Retraitée
    Alain Pestel DVD Responsable logisitique EDF retraité
    En cours
    (au 26 mai 2020)
    Jacques Ruello[26]   Retraité de la DGFP
    Les données manquantes sont à compléter.

    Jumelages

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[28].

    En 2018, la commune comptait 2 344 habitants[Note 7], en augmentation de 7,23 % par rapport à 2013 (Ille-et-Vilaine : +4,83 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    669674684694700696702763755
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    715700723706723703741724690
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    652626598550543554539545526
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    5205338571 0691 1701 4671 9852 0542 236
    2018 - - - - - - - -
    2 344--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    2 344 Cintréens et Cintréennes résident sur la commune sur une superficie de 8,3 km2 (soit 247 hab km−2).

    Budget /Chambre régionale des comptes de Bretagne[31]

    La crc a été en 2019 sévère[32] sur la gestion de la commune sur le plan de l'endettement, de la gestion de ses personnels... Elle fait un résumé de son rapport par c'est mots

    "La situation financière de la commune est dégradée. En 2015, la capacité d’autofinancement (CAF) brute était négative à hauteur de près de 400 000 € ; elle l’est restée les années suivantes si l’on neutralise les opérations de transfert du service d’assainissement à Rennes Métropole. La commune présente une fragilité financière durable qui se traduit par l’insuffisance de moyens pour rembourser le capital des emprunts. Ce constat est particulièrement préoccupant alors que l’opération de portage financier conclue avec Rennes Métropole pour l’achat du foncier communal impliquera des remboursements à Rennes Métropole à hauteur de 1,7 M€ entre 2019 et 2027 que la commune ne pourra pas honorer en l’état actuel de ses finances, à défaut de commercialisation suffisante. Les ressources de la commune reposent sur des dotations, comme la DGF dont la baisse impacte fortement la collectivité, et sur la fiscalité qui n’offre plus de marges de manœuvre. Les charges de personnel, qui représentent 49 % des charges de gestion courante en 2017, ont connu une hausse importante malgré la stabilité des effectifs. La capacité de désendettement s’établit à plus de 12 ans, ce qui est trop élevé. Compte tenu de sa situation financière, la commune de Cintré doit améliorer sa gestion financière et entreprendre toutes actions pouvant en limiter la dégradation. Elle est invitée à : - améliorer le pilotage budgétaire et financier, notamment en élaborant un plan pluriannuel d’investissement ; - régulariser le régime indemnitaire et le temps de travail du personnel communal, ce qui doit être fait en 2019 ; - analyser l’évolution possible de l’opération « cellule commerciale » à l’occasion de l’échéance du bail ; - optimiser les recettes (tarif de la cantine, revue des postes de recettes d’exploitation). Le rapprochement avec une ou plusieurs autres collectivités constitue à cet égard une piste qui mérite d’être approfondie."

    Le rapport émet plusieurs recomandations :

    • Améliorer le pilotage budgétaire et financier, notamment en élaborant un plan pluriannuel d’investissement ;
    • Régulariser le régime indemnitaire et le temps de travail du personnel communal, ce qui doit être fait en 2019 ;
    • Analyser l’évolution possible de l’opération « cellule commerciale » à l’occasion de l’échéance du bail ;
    • Optimiser les recettes (tarif de la cantine, revue des postes de recettes d’exploitation).

    Lieux et monuments

    La commune ne compte aucun monument historique protégé.

    • L'église Saint-Melaine, dont des parties remontent au XIIe siècle[33],[34]. Le retable du maître-autel[35] et les deux retables des autels latéraux[36] du XVIIe siècle sont classés en tant que monument historique au titre objet.
    • Le manoir du Plessis construit à la fin du XVIIIe siècle[37].
    • Une croix de chemin de 1670[38].
    • Plusieurs fermes sont inventoriées[39], à la Richeudais[40], au Coudray[41], au clos de Meu[42], au Chesne Marie[43], et au Châtaignier[44].

    Personnalités liées à la commune

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
    7. « Station météofrance Rennes-Saint-Jacques - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Cintré et Saint-Jacques-de-la-Lande », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    10. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    11. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    13. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    14. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    18. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    19. Citée par le pape Luce III en 1185
    20. « Etymologie et Histoire de Cintré », infobretagne (consulté le ).
    21. Chanoine Amédée Guillotin de Corson, Pouillé historique de l'archevêché de Rennes, Rennes, Fougeray et Paris, René Haton, 1880-1886, 6 vol. in-8° br., couv. impr., tome II, p.62 (disponible sur Gallica).
    22. Les élections des maires : arrondissement de Rennes, L'Ouest-Éclair du 11 décembre 1919, no 7269 (lire en ligne).
    23. « M. Louis Courtois élu maire », Ouest-France,
      « M. Fontaine ayant démissionné de sa fonction, le conseil municipal de Cintré s'est réuni hier soir afin de procéder à l'élection du nouveau maire. C'est M. Louis Courtois qui a été élu ».
    24. « Élection du maire et des adjoints », Ouest-France,
      « M. François Laurans, neuf voix, élu ».
    25. « Maryvonne Maurais élue maire », Ouest-France,
      « Le nouveau conseil municipal a élu maire Mme Mayrvonne Maurais par 13 voix sur 15. ».
    26. « Jacques Ruello est élu maire de Cintré », Ouest-France, 1er avril 2014.
    27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    31. « CRC Bretagne », sur Cour des comptes (consulté le ).
    32. Ouest-France, « Cintré. La Cour des comptes alerte la municipalité », sur Ouest-France.fr, (consulté le ).
    33. « prieuré Saint-Melaine, église paroissiale de bénédictins », notice no IA00007803, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    34. Prieuré de bénédictins, église paroissiale Saint-Melaine, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne..
    35. Notice no PM35000147, base Palissy, ministère français de la Culture.
    36. Notice no PM35000837, base Palissy, ministère français de la Culture.
    37. « Manoir », notice no IA00007805, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    38. Notice no IA00007804, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    39. Notice no IA00007802, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    40. Notice no IA00007810, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    41. Notice no IA00007809, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    42. Notice no IA00007808, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    43. Notice no IA00007807, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    44. Notice no IA00007806, base Mérimée, ministère français de la Culture.

    Voir aussi

    Liens externes

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