Breteil

Breteil est une commune française située dans le département d'Ille-et-Vilaine en Région Bretagne.

Breteil

L'église Saint-Malo.

Blason
Administration
Pays France
Région Bretagne
Département Ille-et-Vilaine
Arrondissement Rennes
Intercommunalité Montfort Communauté
Maire
Mandat
Isabelle Ozoux
2020-2026
Code postal 35160
Code commune 35040
Démographie
Gentilé Breteillais
Population
municipale
3 620 hab. (2018 en augmentation de 4,62 % par rapport à 2013)
Densité 246 hab./km2
Population
agglomération
21 956 hab.
Géographie
Coordonnées 48° 08′ 46″ nord, 1° 53′ 50″ ouest
Altitude 55 m
Min. 26 m
Max. 71 m
Superficie 14,7 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Breteil
(ville isolée)
Aire d'attraction Rennes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Montfort-sur-Meu
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Bretagne
Breteil
Géolocalisation sur la carte : Ille-et-Vilaine
Breteil
Géolocalisation sur la carte : France
Breteil
Géolocalisation sur la carte : France
Breteil
Liens
Site web www.breteil.fr

    Géographie

    Localisation

    Breteil fait partie du canton de Montfort-sur-Meu et dépend de l'arrondissement de Rennes.

    Géologie et relief

    La commune s'étend sur 1 470 hectares.

    Voies de communication et transports

    Gare de Breteil.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[5]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 11,4 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,8 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 12,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 729 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,3 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Rennes-Saint-Jacques », sur la commune de Saint-Jacques-de-la-Lande, mise en service en 1945[9] et qui se trouve à 16 km à vol d'oiseau[10],[Note 3], où la température moyenne annuelle évolue de 11,7 °C pour la période 1971-2000[11], à 12,1 °C pour 1981-2010[12], puis à 12,4 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Breteil est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[14],[15],[16]. Elle appartient à l'unité urbaine de Breteil, une unité urbaine monocommunale[17] de 3 584 habitants en 2017, constituant une ville isolée[18],[19].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rennes, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 183 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[20],[21].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (85,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (89,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (51,4 %), terres arables (29,4 %), zones urbanisées (11,1 %), prairies (5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,1 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[23].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Ecclesia de Britolio en 1122[24], Bretulium en 1152, Breteil en 1158, Breteill en 1185[25], Bretueil en 1380[24].

    Dauzat et Rostaing explique ce nom par le nom d'homme gaulois conjectural *Brittus, suivi du terme *ialo, « clairière, endroit »[26].

    Histoire

    La paroisse de Breteil est issue du démembrement de l'ancienne paroisse de Pleumeleuc, dès 1122. c'est pendant cette année-là que l'évêque d'Aleth consacra l'église de Breteil aux moines bénédictins de Saint-Melaine de Rennes.

    En 1152, le seigneur de Montfort-Sur-Meu donna à l'abbaye Saint-Jacques de Montfort deux domaines agricole de Breteil. Il fit cette donation afin de participer aux bonnes œuvres des moines.
    Dans le bourg même de Breteil, un prêtre appelé Guillaume, donna une maison de Breteil à l'abbaye de Montfort-sur-Meu

    Raoul de Montfort, en 1120 compte dans la dot de sa fille pour son mariage avec le comte de la Riolaye, le château de Breteil.

    Comme partout en Bretagne et notamment en Haute-Bretagne, les paysans possèdent des terres, mais généralement de faible étendue. Les laboureurs qui ont une certaine aisance sont relativement minoritaires, les autres doivent à moins d'être fermier se louer comme journaliers et domestiques. Avec 167 domestiques pour 1271 habitants en 1774, ils sont proportionnellement moins nombreux que dans certaines paroisses voisines.

    Le territoire de la paroisse dépend principalement de deux juridictions:

    • juridiction de Breteil et la Riollais ;
    • juridiction de la Touche Parthenay, Launay-Sinan et la Gautrais.

    La capitation, vingtième et autres taxes étaient perçus par des collecteurs parcourant la paroisse divisée en quatre quartiers ou traits : le bourg, l'Abbaye, la Boulais et Painbay.

    La Révolution

    Le 1er avril 1789, les habitants se réunissent pour la rédaction du cahier de doléances en prévision des prochains États généraux. 71 votants élisent Mathurin Vitré de la Corbinais et Noël Legros pour participer à la prochaine réunion du tiers-état de la sénéchaussée de Rennes.

    En janvier 1791, aucun prêtre ne prête serment à la Constitution civile du clergé ; en 1792, avec la loi du 26 août et l'élection de François-Guy Martin comme curé constitutionnel, ils sont contraints à l'exil ou à une clandestinité facilitée par le soutien des paysans.

    Le presbytère et l'habitation d'un acquéreur des biens ecclésiastiques sont saccagés le 18 mars 1793 par environ trois cents brigands qui seront appelés ensuite chouans. Les troubles suscités par la levée en masse des 300 000 hommes durent plusieurs jours : le 19 mars, des femmes et enfants sonnent le tocsin en frappant les cloches à coups de marteau, les battants ayant été enlevé la veille par la garde nationale de Montfort-sur-Meu. Sur les 22 soldats demandés pour former le contingent, il n'y eut que cinq volontaires. La garde nationale n'a besoin que de quelques coups de feu pour mettre les insurgés en débandade ; une dizaine de Breteillais sont arrêtés, la plupart sont relâchés le lendemain.

    En 1794, la chouannerie se développe…, Jean (François) Éveillard, fils de Jean Eveillard et de Marie Bernard, époux de Marie Delanoë, capitaine de la garde nationale, demeurant à la Herdrouais, est assassiné le 31 décembre en résistant à des hommes masqués cherchant des armes. Un an plus tard, le 16 décembre 1795 Marie Gallais, femme d'un autre Jean Eveillard (fils de François et Anne- Marie Laval) et Anne (Mathurine) Berrée sa fille issue d'un premier mariage, demeurant à la Forge, subissent le même sort. Ces derniers assassinats laissent à penser à une confusion des familles.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1871 1876 Pierre Bigot    
    1876 1899 Pierre-Marie Demaure    
    1899 1908 Alexandre Mathurin Bertrand Jéhannin    
    1908 1919 Georges Frasgnier    
    1919 mai 1929 François Chenedé    
    mai 1929 mars 1931
    (décès)
    Pierre-Marie Demaure fils (1883-1931)    
    mai 1931 janvier 1945 Pierre Marie Jéhannin SE  
    janvier 1945 mars 1945 Ambroise Pare    
    mars 1945 mai 1945 Bernard Fillaut    
    mai 1945 novembre 1963 Pierre Marie Jéhannin SE  
    novembre 1963 mars 1983 Louis Renault SE Commerçant retraité
    mars 1983 juillet 2020 Joseph Le Lez DVG[27] Enseignant
    Président de Montfort Communauté (2001 → 2014)
    juillet 2020 En cours Isabelle Ozoux   Conseillère Pôle emploi
    7e vice-présidente de Montfort Communauté (2020 → )[28]
    Les données manquantes sont à compléter.

    Jumelages

    Breteil est jumelée avec :

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[30].

    En 2018, la commune comptait 3 620 habitants[Note 6], en augmentation de 4,62 % par rapport à 2013 (Ille-et-Vilaine : +4,83 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 2071 2071 2371 2921 1841 2001 1891 1801 248
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 2401 2751 2571 2511 2811 3021 3581 2901 270
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 2001 2361 1501 0301 0731 0731 0201 030927
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    8518331 6852 4362 7882 9743 1923 4033 477
    2018 - - - - - - - -
    3 620--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Tourisme

    La gestion du tourisme de Breteil est confiée par Montfort Communauté à l'office de tourisme du pays de Montfort.

    Culture locale et patrimoine

    Monuments

    • L’église Saint-Malo dont la nef et le collatéral sud ont été édifiés au XVIe siècle, la charpente est datée par une inscription de 1503[33]. L'église est remarquable par son porche pourvu d'une voûte carénée.
    • La chapelle de l'Abbaye appartenant à l’abbaye Saint-Jacques de Montfort-sur-Meu, est construite en schiste et poudingue.
    • La chapelle de la Riolais semble remonter au XVIIe siècle, même si le fronton sculpté, présent au-dessus de la porte est, date plutôt du XVe ou XVIe siècle. Fait étrange, cette chapelle n'est pas orientée, en effet, son cœur est au sud.

    Lieux

    Le circuit de randonnée le pont Rozel est praticable toute l'année, en toutes saisons. Le départ se fait place de l'Église à Breteil.

    Plus de renseignement sur le site de l'office de tourisme du pays de Montfort en Brocéliande.

    Héraldique

    Blasonnement :
    D’azur à une hure de sanglier de sable, allumée et défendue d’argent, accompagnée de trois gerbes de blé d’or, liées aussi de sable.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Bertrand Monvoisin, Suzanne Berson, Breteil, une communauté rurale sous la Révolution, Éditeur Commune de Breteil, 1990.
    • Bertrand Monvoisin, "Breteil, une terre, une histoire." Éditeur Commune de Breteil", 1990.
    • Bertrand Monvoisin, "Breteil, une histoire des croix", 1995.
    • Bertrand Monvoisin, "Breteil, d'un Millénaire à l'autre", 2000.
    • Bertrand Monvoisin, "Breteil au temps de la Duchesse Anne, XVe-XVIe siècles", 2003.
    • Bertrand Monvoisin, "Breteil, son histoire, TOME I et II", 2011.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Site Ter SNCF, Gare de Breteil lire (consulté le 01/11/2009).
    2. Site Breteil, dossier les vux 2009 lire (consulté le 01/11/2009).
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
    9. « Station météofrance Rennes-Saint-Jacques - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Breteil et Saint-Jacques-de-la-Lande », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Unité urbaine 2020 de Breteil », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    18. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    19. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    23. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    24. Jean-Yves Le Moing, Les noms de lieux bretons de Haute-Bretagne, Spézed, Coop Breizh, , 480 p. (OCLC 963221846), p. 334.
    25. « Etymologie et Histoire de Breteil », infobretagne (consulté le ).
    26. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, , 1 vol (XII-738-XXIII p.) p., p. 114.
    27. Ministère de l'Intérieur, 2014
    28. Le bureau communautaire, sur montfortcommunaute.bzh (consulté le 6 octobre 2020)
    29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    33. « http://inventaire-patrimoine.region-bretagne.fr/gertrude-diffusion/dossier/eglise-paroissiale-saint-malo/909f5151-ec18-4ec9-b110-8aa2ccca238a ».
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