Escalquens

Escalquens (prononcé [ɛskalkɛ̃s]) est une commune française située dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie. Elle fait partie de la communauté d'agglomération du Sicoval.

Escalquens

Le centre historique.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Haute-Garonne
Arrondissement Toulouse
Intercommunalité Sicoval
Maire
Mandat
Jean-Luc Tronco
2020-2026
Code postal 31750
Code commune 31169
Démographie
Gentilé Escalquinois
Population
municipale
6 955 hab. (2018 )
Densité 826 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 31′ 07″ nord, 1° 33′ 42″ est
Altitude Min. 146 m
Max. 232 m
Superficie 8,42 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Toulouse
(banlieue)
Aire d'attraction Toulouse
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Escalquens
(bureau centralisateur)
Législatives Dixième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Escalquens
Géolocalisation sur la carte : Haute-Garonne
Escalquens
Géolocalisation sur la carte : France
Escalquens
Géolocalisation sur la carte : France
Escalquens
Liens
Site web www.escalquens.fr

    Ses habitants sont les Escalquinois et les Escalquinoises.

    Géographie

    Localisation

    La commune d'Escalquens se trouve dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie[1].

    Elle se situe à 13 km à vol d'oiseau de Toulouse[2], préfecture du département.

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[3] : Belberaud (1,3 km), Odars (2,3 km), Auzielle (2,7 km), Labège (2,8 km), Montlaur (3,4 km), Lauzerville (4,2 km), Saint-Orens-de-Gameville (4,3 km), Péchabou (4,6 km).

    Sur le plan historique et culturel, Escalquens fait partie du pays toulousain, une ceinture de plaines fertiles entrecoupées de bosquets d'arbres, aux molles collines semées de fermes en briques roses, inéluctablement grignotée par l'urbanisme des banlieues[4].

    Escalquens est limitrophe de sept autres communes.

    Carte de la commune de Escalquens et de ses proches communes.

    Hydrographie

    La commune est arrosée par l'Hers-Mort et son affluent le Ruisseau de Troy.

    Géologie et relief

    La superficie de la commune est de 842 hectares ; son altitude varie de 146 à 232 mètres[6].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[7]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[8].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[9]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[7]

    • Moyenne annuelle de température : 13,2 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,8 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 10,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,7 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 715 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 9,6 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 5,3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[10] complétée par des études régionales[11] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Ségreville », sur la commune de Ségreville, mise en service en 1961[12] et qui se trouve à 15 km à vol d'oiseau[13],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13 °C et la hauteur de précipitations de 734,5 mm pour la période 1981-2010[14]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Toulouse-Francazal », sur la commune de Cugnaux, mise en service en 1922 et à 18 km[15], la température moyenne annuelle évolue de 14,1 °C pour la période 1971-2000[16], à 14,1 °C pour 1981-2010[17], puis à 14,3 °C pour 1991-2020[18].

    Milieux naturels et biodiversité

    Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[19],[20],[21].

    Urbanisme

    Typologie

    Escalquens est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[22],[23],[24]. Elle appartient à l'unité urbaine de Toulouse, une agglomération inter-départementale regroupant 81 communes[25] et 1 004 747 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Toulouse est la cinquième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris, Lyon, Marseille-Aix-en-Provence et Lille (partie française)[26],[27].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 527 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[28],[29].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (56,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (67,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (43,5 %), terres arables (42 %), zones agricoles hétérogènes (14,4 %), prairies (0,1 %)[30].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Morphologie urbaine

    L'habitat, diffus, est essentiellement constitué de maisons individuelles dans un cadre champêtre. La municipalité souhaite maîtriser cette évolution et créer un cœur de village afin que la commune garde toute sa dimension humaine.

    Voies de communication et transports

    La gare d'Escalquens permet de rejoindre rapidement le centre-ville de Toulouse.

    Plusieurs lignes de bus Tisséo relient la commune au métro toulousain :

    Héraldique

    Son blasonnement est : Écartelé : au premier et au quatrième de gueules aux deux fasces d'argent, au deuxième et au troisième d'or au lion naissant d'azur.

    Politique et administration

    Administration municipale

    Le nombre d'habitants au recensement de 2017 étant compris entre 5 000 habitants et 9 999 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2020 est de vingt-neuf[31],[32].

    Rattachements administratifs et électoraux

    Commune faisant partie de la dixième circonscription de la Haute-Garonne, du Sicoval et du canton d'Escalquens (avant le redécoupage départemental de 2014, Escalquens faisait partie de l'ex-canton de Montgiscard).

    Liste des maires

    La mairie
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1953 1995 Jean Cassan MRG-PRG Conseiller général
    1995 2020 Alain Serieys PS  
    2020 En cours Jean-Luc Tronco DVD Magistrat

    Politique de développement durable

    La commune a engagé une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21 en 2009[33].

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[35].

    En 2018, la commune comptait 6 955 habitants[Note 6], en augmentation de 12,72 % par rapport à 2013 (Haute-Garonne : +6,32 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    320383400461506489536513537
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    524479453416388427397381384
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    350357374346351348345374388
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    4538962 0512 8844 3235 4775 6786 0556 557
    2018 - - - - - - - -
    6 955--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee à partir de 2006[37].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution du rang de la commune
    selon la population municipale des années : 1968[38] 1975[38] 1982[38] 1990[38] 1999[38] 2006[39] 2009[40] 2013[41]
    Rang de la commune dans le département 83 46 36 27 29 30 31 31
    Nombre de communes du département 592 582 586 588 588 588 589 589

    Économie

    Même si la majorité de la population active migre tous les jours vers Toulouse et ses grandes sociétés (EADS Astrium Satellites, Airbus, Thales Alenia Space, Motorola, Thomson, CNES, France Télécom…) ou vers le vivier d'entreprises de Labège-Innopole et du Parc technologique du Canal, Escalquens accueille quelques sociétés génératrices d'emplois (Midi-Pyrénées Plastiques, La Toulousaine, Gaches Chimie…). De plus, la commune d'Escalquens accueillera d'ici peu[Quand ?] une zone commerciale d'importance avec notamment un magasin Décathlon qui a ouvert en août 2008.

    Ces activités sont complétées par de nombreux artisans et commerçants. Les universités, instituts de technologies et autres écoles d'ingénieurs de Toulouse, situés à proximité, offrent également la possibilité de poursuivre des études supérieures.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Deux monuments, situés à 100 mètres l'un de l'autre, en plein cœur du village :

    Vie locale

    La salle des fêtes.

    Enseignement

    Escalquens fait partie de l'académie de Toulouse.

    L'éducation est assurée sur la commune d'Escalquens depuis la crèche en passant par les écoles maternelles (Lavandes et Romarins) jusqu'à l'école élémentaire Petit Bois. Sur la commune voisine de Saint-Orens-de-Gameville, le collège Jacques Prévert et le Lycée Pierre-Paul Riquet prennent le relais de la scolarité de la jeunesse locale.

    À noter qu'un collège est en construction dans la commune[42]. À la rentrée scolaire 2020, le chantier ayant pris du retard, le collège accueille ses premiers élèves de 6e temporairement au sein du lycée Pierre Paul Riquet à Saint-Orens-de-Gameville. Les élèves et le personnel intégreront les nouveaux bâtiments du collège en début de l'année 2021.

    Santé

    Maison de retraite type ehpad Borde-Haute, pharmacie, des infirmiers, des médecins généralistes,

    Activités sportives

    Tennis, rugby à XV, football, taekwondo, karaté, aïkido, boxe française, skate park,

    Culture

    Salle des fêtes, médiathèque, théâtre, danse, maison de la jeunesse et de la culture.

    Écologie et recyclage

    La collecte et le traitement des déchets des ménages et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre du Sicoval[43].

    Personnalités liées à la commune

    Jumelages

    Pour approfondir

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. « Métadonnées de la commune d'Escalquens », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    2. Stephan Georg, « Distance entre Escalquens et Toulouse », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. « Communes les plus proches d'Escalquens », sur www.villorama.com (consulté le ).
    4. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 378-379.
    5. Carte IGN sous Géoportail
    6. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
    7. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    8. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    9. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    10. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    11. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    12. « Station Météo-France Ségreville - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    13. « Orthodromie entre Escalquens et Ségreville », sur fr.distance.to (consulté le ).
    14. « Station Météo-France Ségreville - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    15. « Orthodromie entre Escalquens et Cugnaux », sur fr.distance.to (consulté le ).
    16. « Station météorologique de Toulouse-Francazal - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    17. « Station météorologique de Toulouse-Francazal - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    18. « Station météorologique de Toulouse-Francazal - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    19. « Liste des zones Natura 2000 de la commune d'Escalquens », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    20. « Liste des ZNIEFF de la commune d'Escalquens », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    21. « Liste des espaces protégés sur la commune d'Escalquens », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    22. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    23. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    24. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    25. « Unité urbaine 2020 de Toulouse », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    26. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    27. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    28. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    29. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    30. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    31. art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
    32. https://elections.interieur.gouv.fr/municipales-2020/031/031169.html
    33. « Escalquens » (version du 28 avril 2019 sur l'Internet Archive), sur l' Agenda 21 de Territoires
    34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    36. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    38. INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
    39. INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    40. INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    41. INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    42. Florian Moutafian, « Ce qu'il faut savoir sur le collège d'Escalquens et son chantier », sur actu.fr, (consulté le ).
    43. http://www.sicoval.fr/fr/mon-logement/dechets.html
    44. La Dépêche du Midi, « Escalquens. Roller : une Escalquinoise aux championnats du Monde », La Dépêche, (lire en ligne, consulté le ).
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