Crépy-en-Valois

Crépy-en-Valois est une commune française située au cœur de la vallée de l'Automne dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Crépy-en-Valois
De haut en bas, de gauche à droite : l'Hôtel-de-Ville; l'église Saint-Denis; vue du rempart nord; panorama depuis le cimetière St-Denis; le rempart sud; le château de Geresme; ruines de la collégiale St-Thomas; hôtel du Fond-Marin; la Porte de Paris.

Héraldique
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Senlis
Intercommunalité Communauté de communes du pays de Valois
(siège)
Maire
Mandat
Bruno Fortier
2020-2026
Code postal 60800
Code commune 60176
Démographie
Gentilé Crépynois
Population
municipale
14 796 hab. (2018 )
Densité 909 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 14′ 09″ nord, 2° 53′ 24″ est
Altitude Min. 62 m
Max. 150 m
Superficie 16,28 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Crépy-en-Valois
(ville isolée)
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Crépy-en-Valois
(bureau centralisateur)
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Crépy-en-Valois
Géolocalisation sur la carte : Oise
Crépy-en-Valois
Géolocalisation sur la carte : France
Crépy-en-Valois
Géolocalisation sur la carte : France
Crépy-en-Valois
Liens
Site web crepyenvalois.fr

    Ses habitants sont appelés les Crépynois.

    Ville capitale du Valois, Crépy-en-Valois se situe au cœur d'un bassin de 55 560 habitants (62 communes de la communauté de communes du Pays de Valois)[1].

    Géographie

    Crépy-en-Valois est située à 60 km au nord-est de Paris, au cœur du Valois, région d'openfield, domaine de la grande culture industrielle (céréales, betteraves, oléagineux, légumes de plein champ).

    La ville constitue la limite sud du domaine linguistique picard (contrairement au Nord de la France, le picard n'est plus parlé dans le Valois)[réf. nécessaire].

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Crépy-en-Valois
    Séry-Magneval Feigneux Russy-Bémont
    Duvy Gondreville
    Rouville Lévignen

    Transports et déplacements

    La gare.

    La commune se situe à proximité de la RN 2 et de l'A1. L'aéroport Paris-Charles-de-Gaulle est accessible en environ 25–30 minutes en voiture.

    La commune est desservie par la gare de Crépy-en-Valois, située sur la ligne de La Plaine à Hirson et Anor (frontière) et desservie par les trains de la ligne K du Transilien (Paris-Nord - Crépy-en-Valois) ainsi que par ceux du TER Picardie (Paris - Laon).

    Depuis , la ville de Crépy-en-Valois dispose d'un service de bus gratuit dénommé Cypré, exploité par les Cars Charlot et composé de deux lignes desservant les lieux incontournables de la ville[2].

    Le pont Saint-Ladre, presque centenaire[Quand ?], est affecté de signes de vieillissement susceptibles de mettre en cause sa solidité. En 2018, la circulation y a été interdite aux camions de plus de 3,5 tonnes[3]. Le travaux de réfection sont paralysés par une désaccord, entre la SNCF et le département de l'Oise, dont la justice est saisie[4].

    Hydrographie

    Étang au parc de Geresme.

    La commune est drainée par le ru des Taillandiers, affluent de la Sainte-Marie, affluent de l'Automne en rive gauche, et donc un sous-affluent de la Seine par l'Oise.

    Elle compte également plusieurs étangs.

    Habitat

    Logements[5]Nombre en 2015 % en 2015nombre en 2010 % en 2010
    Total6 566100 %6 338100 %
    Résidences principales6 21094,6 %5 93793,7 %
    → Dont HLM1 41822,8 %1 37223,1 %
    Résidences secondaires et
    logements occasionnels
    440,7 %310,5 %
    Logements vacants[Note 1]3124,8 %3695,8 %
    Dont :
    → maisons3 46952,8 %3 28351,08 %
    → appartements3 06246,6 %3 01447,6 %

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[6]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[7].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[8]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[6]

    • Moyenne annuelle de température : 10,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,8 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 724 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,6 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[10] complétée par des études régionales[11] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Trumilly », sur la commune de Trumilly, mise en service en 1975[12] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[13],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,9 °C et la hauteur de précipitations de 717,1 mm pour la période 1981-2010[14]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Le Bourget », sur la commune de Bonneuil-en-France, dans le département du Val-d'Oise, mise en service en 1920 et à 45 km[15], la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour la période 1971-2000[16] à 11,6 °C pour 1981-2010[17], puis à 12,1 °C pour 1991-2020[18].

    Urbanisme

    Typologie

    Crépy-en-Valois est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[19],[20],[21]. Elle appartient à l'unité urbaine de Crépy-en-Valois, une unité urbaine monocommunale[22] de 15 090 habitants en 2017, constituant une ville isolée[23],[24].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire regroupe 1 929 communes[25],[26].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (45,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (53,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (43,8 %), zones urbanisées (21,7 %), forêts (15,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (12 %), mines, décharges et chantiers (3,4 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,7 %), zones agricoles hétérogènes (1,6 %)[27].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[28].

    Toponymie

    Pour Crépy : Crispeium in Valesia (IXe siècle), Crispiacus, Crispinacum, Crispeiacum, Crespeium (1504), Crispiacum (1223), Chrispeyum, Crispeium sylvanectum, Crespy, Crépi, Crespi, Crespei[29].

    Pour Bouillant[à définir] : Bouillencum, Boullientum, Boilglant (IXe siècle), Boillant (1220), Bollant, Boilgland, Bouilland, Bouillant-Germinal (1794)[30].

    Pour Mermont[à définir] : Meromons (1108), Maromont (1162), Merimons (1163), Méremont (1836)[31].

    Histoire

    Le site de Crépy-en-Valois a été probablement occupé par les Romains.

    Périodes médiévale et moderne

    Carte du pays de Valois, Hendrik Hondius II, 1620.

    À partir du Xe siècle, Crépy-en-Valois devient la résidence des comtes du Valois, puissants vassaux des rois de France jusqu'en 1213, date à laquelle le Valois est intégré au domaine de la Couronne. Donné en apanage, il revient ainsi à Louis d'Orléans qui le transforme en duché.

    Crépy-en-Valois connaît une prospérité économique aux XIIe et XIIIe siècles avec les foires de Champagne, la ville se trouvant sur l'une des routes entre la Flandre et la Champagne[32]. Mais, la cité est touchée par la guerre de Cent Ans. Par ailleurs, dès le XVIe siècle, Villers-Cotterêts est préférée par les rois de France. La ville connaît alors un lent déclin jusqu'à la Révolution française.

    Période contemporaine

    Sous la Révolution française, la société populaire de Crépy est particulièrement active[33].

    Elle est chef-lieu de district de 1790 à 1795[34].

    Les installations marchandises de la gare de Crépy-en-Valois et l'usine de meubles, vers 1906.
    Vue générale de la gare à la même époque, avec l'usine Clair.

    Il faut attendre l'arrivée du chemin de fer en 1861 et de la construction de l'usine d'ameublement Clair en 1873[35] pour que la ville retrouve une vitalité économique. La ville connaît un essor remarquable sous l'ère du maire Gustave Chopinet (mayorat, 1888-1918). En 1902, le conseil municipal se divise sur fond de querelles religieuses au point qu'il est dissous par le conseil des ministres, le 29 juin 1902[36].

    Première Guerre mondiale

    Gustave Chopinet est pris en otage avec une dizaine d'autres Crépynois le 2 septembre 1914 au moment de l'invasion allemande. Son acte de bravoure lui vaut d'obtenir la légion d'honneur en 1917. La ville souffre particulièrement des bombardements allemands en 1918[37]. L'usine de fabrication de meubles Clair est en partie détruite[38],[39],[40].

    Néanmoins, à la fin de la guerre, les cartes indiquent que la ville a subi des destructions modérées[41],[42],[43],[44],[45] et a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918, le [46],[47],[48].

    L'Entre-deux-Guerres, la Seconde Guerre mondiale et les Trente glorieuses

    Les années d'après-guerre sont marquées par la cherté de la vie, une crise de logements sévère. Sous l'action de Jean Vassal (1919-1953) sont réalisées les premières HBM.

    Le socialiste SFIO Jean Vassal est maintenu par le Gouvernement de Vichy sous l'occupation nazie. En septembre 1944, il est déposé par les FFI locaux. Mais contre toute attente, c'est le préfet gaulliste Yves Pérony qui le maintient. En novembre 1944, Jean Vassal est exclu de la SFIO. Il rejoint le RPF en 1948[49].

    Exploitant les divisions de la gauche crépynoise, le docteur Michel Dupuy remporte les élections municipales de 1953. Sous ses différents mandats, la ville passe de 5 000 habitants à 14 000 habitants à son départ en 1995.

    Le a lieu le premier festival national dédié au mouvement punk avec des groupes comme Pain Head, Losse Heart, les Stinky Toys et Angel face[50].

    Le , deux cars transportant des enfants et adolescents de Crépy-en-Valois vers une colonie de vacances en Savoie sont accidentés avec quelques véhicules sur l'autoroute A6 à hauteur de Beaune. Cet accident, accident le plus meurtrier de France, fit 53 morts, dont 44 enfants de moins de 15 ans, presque tous originaires de la commune.

    .

    Politique et administration

    L'hôtel de ville en 2019.

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Senlis du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1988 de la cinquième circonscription de l'Oise.

    Elle était depuis 1790 le chef-lieu du canton de Crépy-en-Valois[34]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, ce canton, dont la commune est désormais le bureau centralisateur, est redécoupé mais garde le même nombre de communes (25).

    Intercommunalité

    La commune est la ville principale de la communauté de communes du Pays de Valois, créée fin 1996, qui succède à plusieurs syndicats de communes des anciens cantons de Crépy-en-Valois, de Betz et de Nanteuil-le-Haudouin.

    Tendances politiques et résultats

    Lors des élections municipales de 2020 , huit listes étaient en lice au premier tour[51], dont quatre ont participées au second tour. La liste menée par le maire sortant, Bruno Fortier (DVD) y a obtenu la majorité des suffrages exprimés, avec 43,34 % des voix, suivie par la liste d'Arnaud Foubertn maire de 2008 à 2014, DVD, 26,51 %), de Philippe Pinilo (SE, 17,40 %) et de celle menée par Michel Houllier (Div C, 12,75 %). Ce second tour, marqué par la crise de la pandémie de Covid-19 en France dont Crépy a été un des foyers, est marqué par 66 % d'abstention[52].

    Politique locale

    Le , le tribunal administratif d'Amiens, saisi par la Commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques, a déclaré inéligible Bruno Fortier, maire réélu en 2020, pour avoir transmis en retard ses comptes de campagne des municipales 2020 pour une durée de 6 mois. Deux autres candidats, Philippe Pinilo et Jean-Michel Sinet sont déclarés inéligibles, eux pour un an pour n'avoir fourni aucun compte de campagne.

    Bruno Fortier a déclaré immédiatement faire appel de ce jugement, ce qui suspend sa mise en œuvre jusqu'à ce que le Conseil d'État statue. D'ici-là, Bruno Fortier reste maire[53],[54].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[55]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1888 1918 Gustave Chopinet[56] Rad. Ind. Médecin
    Député de l'Oise (1898 → 1902 et 1906 → 1914)
    Conseiller général de Crépy-en-Valois (1899 → 1918)
    Décédé en fonction
    1919 1953 Jean Vassal[57] SFIO
    puis après 1944
    RPF
    Inspecteur à la Compagnie des chemins de fer du Nord
    Député de l'Oise (1928 → 1942)
    Conseiller général de Crépy-en-Valois (1926 → 1940 et 1945 → 1953)
    Décédé en fonction
    1953 1995 Michel Dupuy DVD  
    1995 2008 Pierre Praddaude DVD  
    2008 avril 2014[58] Arnaud Foubert UMP Président de la CCPV (2008 → 2014)
    avril 2014[59] En cours
    (au 29 janvier 2021)
    Bruno Fortier DVD Agent d'assurance
    Vice-président de la CCPV (2014[52] → )
    Réélu pour le mandat 2020-2026[60]

    Démocratie participative

    La ville s'est dotée d'un conseil municipal des jeunes, actif notamment en 2019 où il est à l'origine de l'inscription de la devise nationale Liberté - Égalité - Fraternité sur le fronton de l'Hôtel-de-Ville[61] .

    Politique de développement durable

    Après un premier atlas de la biodiversité réalisé en 2013, la ville a confié en 2019 au centre permanent d’initiatives pour l’environnement (CPIE) la réalisation de son second atlas, à partir d’inventaires de la faune et de la flore réalisés sur dix sites de la ville.

    Ces atlas ont permis d'établir le maintien des populations, alors que l’on constate un recul dans certaines communes[62].

    Jumelages

    Crépy-en-Valois mène des actions de jumelage avec des villes européennes. Aujourd’hui, la cité de l’archerie est jumelée avec trois villes :

    Le jumelage crépynois trouve son origine en 1957.

    À l’initiative de cette action, le Dr Michel Dupuy, maire de Crépy-en-Valois de 1953 à 1995. Une action qui a largement été soutenue et développée par Jean Guinot, à l’époque adjoint au maire chargé des Sports-Loisirs et président du comité des fêtes pendant 18 ans, George de Cornois, président du syndicat d’initiatives et Serge Hanotin, également adjoint au maire - très actif auprès des associations sports et jeunesse de la ville -. Crépy-en-Valois avait adhéré au Conseil des communes d’Europe avec comme volonté le jumelage de notre ville. La capitale du Valois fait figure de pionnière dans l’action du jumelage français notamment en s’étant associée, dès le départ, à trois communes en même temps. C’est ainsi que le , la cité de l’archerie fut liée à Antoing (Belgique), Zell-Mosel (Allemagne) et Gerrards Cross (Angleterre).

    Aujourd’hui, Crépy-en-Valois n’est plus jumelée à la ville de Gerrards Cross. Cependant, elle compte à nouveau bien trois jumelles puisqu’elle s’est unie à la ville de Plonsk en 2002. 

    Chaque année, les quatre villes organisent des rendez-vous autour du jumelage (Foire de Crépy-en-Valois, échange entre collèges, échanges sportifs et musicaux, etc.). Ces rencontres permettent ainsi de pérenniser les échanges entre les villes jumelées.

    Tous les quatre ans se déroule la fête du Jumelage. À cette occasion, chaque ville reçoit à tour de rôle les délégations des autres communes.

    En 2017, la ville de Crépy-en-Valois a fêté le 60e anniversaire de son jumelage avec les villes de Zell-Mosel et d'Antoing[63].

    Population et société

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[64],[Note 8]

    En 2018, la commune comptait 14 796 habitants[Note 9], en diminution de 1,11 % par rapport à 2013 (Oise : +1,44 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    2 2422 1642 2822 1572 6192 5822 8732 9332 787
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 5132 8342 7752 8173 0823 3693 6254 1244 381
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    5 2135 3755 5285 2935 5705 6325 6545 4655 950
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    7 3798 66010 92012 22813 22214 43614 28914 37415 231
    2018 - - - - - - - -
    14 796--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[65].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (20,2 %) est en effet inférieur au taux national (21,6 %) tout en étant toutefois supérieur au taux départemental (17,5 %). À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (51,9 %) est du même ordre de grandeur que le taux national (51,6 %).

    La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :

    • 48,1 % d’hommes (0 à 14 ans = 20 %, 15 à 29 ans = 21,5 %, 30 à 44 ans = 19,1 %, 45 à 59 ans = 22,1 %, plus de 60 ans = 17,3 %) ;
    • 51,9 % de femmes (0 à 14 ans = 17 %, 15 à 29 ans = 19,7 %, 30 à 44 ans = 19 %, 45 à 59 ans = 21,4 %, plus de 60 ans = 22,9 %).
    Pyramide des âges à Crépy-en-Valois en 2007 en pourcentage[66]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,3 
    90  ans ou +
    0,7 
    5,4 
    75 à 89 ans
    9,1 
    11,6 
    60 à 74 ans
    13,1 
    22,1 
    45 à 59 ans
    21,4 
    19,1 
    30 à 44 ans
    19,0 
    21,5 
    15 à 29 ans
    19,7 
    20,0 
    0 à 14 ans
    17,0 
    Pyramide des âges du département de l'Oise en 2007 en pourcentage[67]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,2 
    90  ans ou +
    0,8 
    4,5 
    75 à 89 ans
    7,1 
    11,0 
    60 à 74 ans
    11,5 
    21,1 
    45 à 59 ans
    20,7 
    22,0 
    30 à 44 ans
    21,6 
    20,0 
    15 à 29 ans
    18,5 
    21,3 
    0 à 14 ans
    19,9 


    Enseignement

    La ville de Crépy-en-Valois dispose[Quand ?] de six groupes scolaires (maternelles + élémentaires), deux collèges (collège Jean-de-La Fontaine, collège Gérard-de-Nerval) ainsi que deux lycées, l'un général et technologique (lycée Jean-Monnet[68]) et l'autre professionnel (lycée Robert-Desnos[69]).

    Sports

    Crépy-en-Valois est la capitale française du tir à l'arc[réf. nécessaire], et est souvent qualifiée cité de l'archerie.

    Santé

    La ville, confrontée à un manque d'attractivité pour les médecins et à leur non-remplacement lors de leur départ en retraite, souhaite rénover et aider sa maison médicale, fondée en 1973, et qui serait remplacée par une maison de santé pluridisciplinaire vers 2020[70],[71],[72],[73].

    Économie


    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Crépy-en-Valois compte treize monuments historiques sur son territoire, dont deux sont classés et onze inscrits. Un quatorzième monument a été détruit pendant la Seconde Guerre mondiale ; il s'agissait d'une maison du XIIIe siècle au 9 rue Nationale, inscrite par arrêté du 8 mai 1933[74].

    • Les restes de la collégiale Saint-Thomas de Cantorbéry[75], classées Monuments historiques en 1875[76], rue de la Hante, à l'ouest du centre-ville. Les éléments les plus anciens de l'église remontent au XIIe siècle. Une partie de l'édifice s'effondre le vendredi 21 juin 2019, vers 3 h 15 du matin[77].
    • Les restes du prieuré Saint-Arnoul, place Saint-Simon, à l'extrémité nord-ouest de la cité fortifiée, inscrites monuments historiques en 1943 (vestiges du monastère) et en 1979 (porte d'entrée)[78]. Cet ancien prieuré de l'ordre de Cluny fondé en 1077 en remplacement d'une abbaye fut supprimé à la Révolution française. Subsistent l'ancien logis du prieur du XVIIIe siècle, la ruine de l'église gothique, des vestiges de la crypte romane, et l'aile orientale des bâtiments monastiques, qui abrite une galerie de cloître et trois salles voûtées, ouvertes à la visite[79].
    • Ancien château Saint-Aubin[80], rue Gustave-Chopinet, inscrit Monument historique en 1926[81], rue Gustave-Chopinet : bâtiments des Xe et XIIIe siècles, surplombant le rempart sud. Il s'agit du siège de l'importante seigneurie qui donna son nom à la famille de Crépy. Le complexe architectural comprend la chapelle Saint-Aubin, bâtie vers 1170-1180 par Thibault III de Crépy-Nanteuil. Autour de 1200, une enceinte vient fortifier la ville, faisant du château le bastion occidental du système défensif. Son fils Philippe Ier édifie, accolée à celle-ci, une noble demeure seigneuriale surplombant les remparts de la ville médiévale, peu après la Bataille de Bouvines (1214) qui le vit combattre aux côtés de son suzerain le roi de France Philippe Auguste. Celui-ci obtient l'héritage de la dernière membre de la famille en 1213. Le château devient alors le siège d'un apanage royal, capital du comté de Valois. Au XVIe siècle, le château devient le siège de l’administration du duché de Valois. Dans les années 1620, une partie importante des bâtiments secondaires du château, les "logements", furent donné aux Ursulines pour y fonder un couvent, qui y demeura jusqu'à la Révolution. Au XVIIIe siècle, les sous-sols se muent en une prison où le poète Gérard de Nerval passe une glaciale nuit d’octobre.
    • Église Saint-Denis, rue Saint-Denis, inscrite Monument historique en 1977[82]. Saint-Denis est l’unique église paroissiale depuis 1802. Elle était la chapelle castrale du château du XIe siècle de Gauthier le Blanc. Un document de 1162 comporte la première mention certaine de Saint-Denis. L’église a fait l’objet de nombreuses restaurations suite aux importants dégâts causés par la guerre de Cent Ans et de grands travaux ont été entrepris entre 1544 et 1573. Elle fut vendue comme bien national en 1792, puis réquisitionnée et transformée en magasin à fourrage et rendue au culte en 1802[83].
    • Église Saint-Martin de Bouillant, au hameau du même nom, rue de l'Église, inscrite Monument historique en 1951[84]. Bouillant a été rattachée à la ville en 1828. Avant cette date, elle formait une commune indépendante. L’origine du nom provient de nombreuses sources qui sortaient de terre en bouillonnant. De l’église Saint-Martin, il ne subsiste qu’une nef à quatre travées et les deux latéraux. Le transept et le chœur ont été démolis à la Révolution. Derrière l’église se trouvait une source (Saint-Martin) qui selon la légende guérissait de la fièvre[83].
    • Hôtel de la Rose de 1537, 11 place Gambetta, inscrit Monument historique en 2001[85].
    • Maison « La Corandon » du XVIe siècle, chemin de la Poterne, inscrit Monument historique en 1979[86].
    • Maison du XVIe siècle, 18 rue de la Cloche ; portail et vantaux inscrits Monuments historiques en 1978[87]. La maison est probablement issue de la transformation de l'ancien grenier à sel.
    • Hôtel Saint-Joseph de 1649, 13 rue du Four ; portail et vantaux inscrits Monuments historiques en 1933[88].
    • Site du Fond-Marin, chemin de la Terrière ; nymphée, lavoir, bassin, installation hydraulique inscrits Monuments historiques en 2003[89]. Il s'agit du parc d'un hôtel particulier du XVIIe siècle. Ce parc n'est pas visible depuis le domaine public.
    • Maison dite des Quatre Saisons, 15 place Gambetta ; élévation (façade de 1758) inscrite Monument historique en 1933[90].
    • Ancien hôtel d'Orléans ou maison Jeanne d'Arc, 17 rue Jeanne-d'Arc, inscrit Monument historique par arrêté en 1978[91] : Maison des XIVe et XVe siècles.
    • Porte de Paris de 1788-1792, rue Charles-de-Gaulle[92], classée Monument historique en 1951[93].
    • Remparts nord et sud, et la porte Sainte-Agathe[94], rue Goland.

    On peut également signaler :

    • Hôtel de la Belle-Image (nom de la statue à l'angle), 1 rue Lamartine : hôtel particulier construit vers 1610, qui présente à l'angle une statue d'un évêque portant sa tête entre ses mains.
    • Château et parc de Géresme, avenue de l'Europe, à l'est de la ville : vaste parc de 21 hectares[95], dans le style d'un jardin à l'anglaise, situé dans un vallon arboré, avec des fabriques, des étangs, des enclos avec des animaux et des jeux pour enfants. En 1974, la ville devient propriétaire du parc et du château de Géresme. Le parc est inauguré et ouvert au public en 1978[95].
    • Cimetière derrière l'église Saint-Denis, sur plusieurs terrasses sur la pente septentrionale de la butte sur laquelle est bâtie la vieille ville, traversé par un sentier en lacets menant au pied du rempart nord.
    • Fontaine Sainte-Agathe, au bassin en bas de l'escalier, rue Sainte-Agathe.
    • Vestiges de l'église Saint-Agathe[96]
    • L'Hôtel de Ville, ancienne propriété Lambert-Delafosse construite en 1892 par l’architecte Albert Delafosse et acquise par la commune et qui est inaugurée comme hôtel-de-Ville en 1934[61]
    • Porte et balcon de l'ancien hôtel de ville sur la place devant la salle des fêtes municipale, rue Nationale.
    • Monument aux morts, œuvre du sculpteur Albert Bartholomé, dans l'ancienne nef de la collégiale Saint-Thomas (voir ci-dessus), inauguré le 14 juillet 1926 en présence du sculpteur[97].
    • Tombeau de Prospérie Bartholomé, femme d'Albert Bartholomé et fille du Marquis Prosper de Fleury (maire de Crépy-en-Valois et propriétaire du château de Géresme). Première œuvre du sculpteur Albert Bartholomé, devant l'église de Bouillant en 1887 (voir ci-dessus).
    • Calvaire en bas de la porte Sainte-Agathe, dans la fourchette des rues Goland et des Fossés, en bas du rempart sud.
    • Pelle hydraulique Poclain située rue de Soissons, à proximité de l'ancienne usine Poclain. Inventée en 1950, elle a longtemps fait le succès de l'entreprise.
    Pelle hydraulique Poclain, invention de Pierre Bataille, Jacques Bataille et Gérard Coolen.

    Le musée de l'Archerie et du Valois

    Le musée de l’Archerie et du Valois[98] a ouvert en 1949 dans le château Saint-Aubin. La collection sur l'archerie est unique en Europe et témoigne de la diversité et de l’évolution des pratiques liées au tir à l'arc. Le musée présente des armes préhistoriques élaborées il y a plus de 10 000 ans, des arcs des champions olympiques ainsi que les dernières innovations des facteurs d'arcs de chasse. Loin de se cantonner à la sphère occidentale, les collections évoquent la présence de l’arc sur tous les continents. Aujourd’hui, les compagnies d’arc du Valois, comme de la Picardie et de l'Île-de-France, entretiennent fidèlement les traditions du « noble jeu d'Arc ». Les collections du musée montrent cet attachement : tir de l’abat l’oiseau dont le vainqueur est désigné roi de la compagnie pour l’année, bouquet provincial qui les rassemble toutes selon un rituel immuable, attachante figure de saint Sébastien, patron des archers depuis le Moyen Âge[99].

    L'autre volet du musée est l'art sacré du Valois. Les salles hautes du musée abritent une riche collection d'art sacré du Moyen Âge au XIXe siècle, dont se détache un bel ensemble de statues médiévales et Renaissance, provenant de plus d’une trentaine d’églises et chapelles du Valois. Le musée d'art sacré a en effet vu le jour, en 1973, quand différentes communes des cantons de Crépy-en-Valois, Betz et Nanteuil-le-Haudouin ont décidé de regrouper les statues de leurs églises dans le château de Crépy. Saint-Sébastien y tient une place particulière avec vingt-cinq exemplaires[100],[99].

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Les armes de Crépy-en-Valois se blasonnent ainsi : d'or au lion de sable, armé et lampassé de gueules. Elles représentent un lion sur un fond jaune. Les fleurs de lys sont également présentes en divers lieux de la commune. Ainsi, on les retrouve sur le drapeau crépynois de couleur jaune et bleu.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Maryse Bideault et Claudine Lautier, Île-de-France Gothique 1 : Les églises de la vallée de l'Oise et du Beauvaisis (Collégiale Saint-Thomas-de-Cantorbéry), Paris, A. Picard, , 412 p. (ISBN 2-7084-0352-4), p. 192-195
    • Dr Alfred Bourgeois, « Histoire de Crépy et de ses dépendances, de ses seigneurs, de ses châteaux et de ses autres monuments, depuis l’époque la plus réculée jusqu’à nos jours - Prologue », dans Comité archéologique de Senlis, Comptes-rendus et mémoires - Année 1867, Senlis, Imprimerie Charles Duriez, (lire en ligne), p. 3-66 et 175-248, lire en ligne sur Gallica.
    • Dr Alfred Bourgeois, « Histoire de Crépy et de ses dépendances, de ses seigneurs, de ses châteaux et de ses autres monuments, depuis l’époque la plus réculée jusqu’à nos jours - Livre II », dans Comité archéologique de Senlis, Comptes-rendus et mémoires - Année 1868, Senlis, Imprimerie Charles Duriez, (lire en ligne), p. 115-156, lire en ligne sur Gallica.
    • Dr Alfred Bourgeois, « Monuments archéologiques de Crépy.- Chapitre III : Établissements monastiques et chapelles », dans Comité archéologique de Senlis, Comptes-rendus et mémoires - Années 1869-1871, Senlis, Imprimerie Ernest Payen, (lire en ligne), p. 59-82, lire en ligne sur Gallica.
    • Eric Dancoisne, "Michel Dupuy (1918-2001), un demi-siècle d'histoire(s) à Crépy-en-Valois", Histoires du Valois 2019, bulletin de la Société d'Histoire et d'Archéologie du Valois, n°9, pp.4-66.
    • Eric Dancoisne, avec le concours de Nadine Deblonde-Chopinet, Cette maudite guerre. Journal de Gustave Chopinet, maire de Crépy-en-Valois, 30 août 1914-31 décembre 1914, 2018, Editions Amalthée, 210 pages. (ISBN 978-2-31004-051-8)
    • Eric Dancoisne, Jean Vassal, député maire de Crépy-en-Valois (1870-1953), Société d'histoire moderne et contemporaine de Compiègne, 2008, 253 pages. (ISBN 978-2-86615-325-0)
    • Aurélien Gnat, « Le prieuré Saint-Arnoul de Crépy-en-Valois (Oise) : Le point sur vingt-cinq ans de recherches archéologiques », Revue archéologique de Picardie, vol. 1, no 1, , p. 73-118 (ISSN 2104-3914, DOI 10.3406/pica.2002.2309)
    • Jean Mesqui, Île-de-France Gothique 2 : Les demeures seigneuriales, Paris, Picard, , 404 p. (ISBN 2-7084-0374-5), p. 160-170
    • Jean Mesqui, « Le château de Crépy-en-Valois : palais comtal, palais royal, palais féodal », Bulletin monumental, Paris, Société française d'archéologie, vol. 152, no III, , p. 257-312 (ISSN 0007-473X, lire en ligne [PDF])
    • Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des châteaux et des fortifications du moyen âge en France, Strasbourg, éditions Publitotal, , 1287 p. (ISBN 2-86535-070-3)
      Crépy-en-Valois, p. 386
    • Charles-Daniel Salch, avec la collaboration de Danielle Fèvre, Légende dorée de Crépy, Strasbourg, Castrum Europe, éditions Accès, , 48 p.
      Le musée de l'Archerie et du Valois du château de Crépy-en-Valois, catalogue et légende des statues de saints conservés au musée.
    • Jean-Marie Tomasini, Crépy-en-Valois : mille ans d'histoire, La Ferté-Milon, Corps 9, , 254 p. (ISBN 978-2-904846-40-3)
    • Inventaire national du patrimoine naturel de la commune

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les logements vacants comprennent notamment les logements neufs qui ne sont pas encore habités, ceux que leurs propriétaires laissent libres ou dans lesquels ils font réaliser des travaux, ou ceux qui sont libres entre deux ventes ou deux locations
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[9].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

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    3. Par Cindy BelhommeLe 11 octobre 2018 à 17h01, « Crépy-en-Valois : le pont Saint-Ladre va être interdit aux véhicules lourds », sur leparisien.fr, (consulté le ).
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    10. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
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    28. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
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    30. Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Crépy-en-Vlois, arrondissement de Senlis (Oise), Beauvais, Annuaire de l'Oise, 1836, 252 p., p. 112.
    31. Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Crépy-en-Vlois, arrondissement de Senlis (Oise), Beauvais, Annuaire de l'Oise, 1836, 252 p., p. 114.
    32. Louis Carolus-Barré, "Crépy-en-Valois, ville de commune" in Volum no 1, Bulletin de la société d'histoire et d'archéologie du Valois, janvier 2007
    33. Jacques Bernet, Annales Historiques Compiégnoises, no 31.
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    40. Section photographique de l'armée, « Photo : Crépy-en-Valois. Après le bombardement par avions du 5 juillet : fabrique de meubles, Clair, incendiée ; l'intérieur », Fonds des Albums Valois - Département de l'Oise - Volume 34, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
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    46. Journal officiel du 11 juillet 1920.
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    48. Section photographique de l'armée, « Photo : Crépy-en-Valois. Après le bombardement par avions du 28 au 30 mai : usine Mercereau », Fonds des Albums Valois - Département de l'Oise - Volume 34, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    49. cf. Eric Dancoisne, Jean Vassal, député-maire de Crépy-en-Valois, 1870-1953. Du radical socialisme au gaullisme. Société d'histoire moderne et contemporaine de Compiègne, 2008, 253 pages
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    52. « Le président et ses vice-présidents... présentation. », Bonjour Valois, , p. 3 (lire en ligne, consulté le ).
    53. Pascal Mureau, « Le maire de Crépy-en-Valois menacé d’inéligibilité : Coup de tonnerre à Crépy-en-Valois (Oise). Le maire Bruno Fortier pourrait être déclaré inéligible lors d’une prochaine audience du tribunal administratif. Il faudrait alors désigner un successeur », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ) « Empêché d’aller voter au premier tour car atteint du Covid, Bruno Fortier avait été réélu maire au deuxième tour, lors d’une quadrangulaire, avec 43,34 % des suffrages. Problème, la commission observe qu’il n’a remis son compte de campagne que le 28 octobre 2020, alors que la loi prévoyait le 11 septembre au maximum ».
    54. Stéphanie Forestier, « Oise : épinglé pour ses comptes de campagne, le maire de Crépy-en-Valois déclaré inéligible : Il est reproché à Bruno Fortier de ne pas avoir communiqué les comptes de sa campagne électorale de 2020 dans le délai imparti. Il devrait faire appel de cette décision. En attendant, il reste maire », Le Parisien, (lire en ligne, consulté le ).
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    58. Cindy Belhomme, « Crépy-en-Valois : Bruno Fortier met en déroute Arnaud Foubert : Bruno Fortier (SE), l'ancien premier adjoint au maire (UMP) sortant, a remporté la mairie hier soir avec 37,44 % des suffrages. Une belle revanche pour celui qui s'était vu retirer ses délégations en 2011 », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne).
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    69. Cindy Belhomme, « Crépy-en-Valois : le lycée professionnel qui s’adapte à son bassin d’emploi : Le lycée Robert-Desnos va proposer à la rentrée une nouvelle formation tournée vers la logistique. Une présentation a lieu ce jeudi », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
    70. Cindy Belhomme, « Crépy-en-Valois cherche médecin à tout prix : Trois généralistes vont quitter la maison médicale d’ici à l’année prochaine. Les professionnels qui restent et la mairie cherchent des solutions pour attirer de nouveaux praticiens », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
    71. Cindy Belhomme, « La polyclinique va ouvrir une maison de santé à Crépy-en-Valois : Le projet est mené par l’établissement compiégnois en collaboration avec la ville qui s’engage de son côté à mettre à disposition un terrain. Objectif : offrir de bonnes conditions de travail pour attirer les jeunes médecins », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
    72. Cindy Belhomme, « Crépy-en-Valois : quelles solutions pour attirer les médecins ? : Un débat public est organisé mercredi soir pour échanger sur l’offre médicale et sur le salariat des médecins », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
    73. Cindy Belhomme, « Crépy-en-Valois : des médecins œuvrent pour la réalisation d’un centre de santé », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
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    76. « Collégiale Saint-Thomas », notice no PA00114659, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    77. Alexis Bisson, « Crépy-en-Valois : la façade de l’église Saint-Thomas s’est écroulée : La chute des pierres, dans la nuit de jeudi à vendredi, n’a pas fait de victime. Un périmètre de sécurité a été mis en place », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ) « Depuis un an et demi, on demande aux architectes des Bâtiments de France de nous faire un diagnostic sur cette église, assure Bruno Fortier. Ils sont venus il y a seulement un mois. Mais ce diagnostic n'a jamais été fait. Aujourd'hui, je suis en colère, c'est une honte ».
    78. « Abbaye Saint-Arnould », notice no PA00114655, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    79. Dominique Vermand, Églises de l'Oise, canton de Crépy-en-Valois : Les 35 clochers de la Vallée de l'Automne, Comité Départemental de Tourisme de l'Oise / S.E.P Valois Développement, , 56 p., p. 17-18.
    80. Jean Mesqui, « Le château de Crépy-en-Valois. Palais comtal, palais royal, palais féodal. », Bulletin Monumental, vol. 152, no 3, , p. 257312 (lire en ligne).
    81. « Château Saint-Aubin », notice no PA00114656, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    82. « Église Saint-Denis », notice no PA00114658, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    83. Jean-Marie Tomasini, Crépy-en-Valois : 1000 ans d'histoire, Corps 9 Editions.
    84. « Église de Bouillant », notice no PA00114657, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    85. « Hôtel de la Rose », notice no PA60000035, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    86. « Maison « Le Corandon » », notice no PA00114665, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    87. « Maison du XVIe siècle », notice no PA00114660, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    88. « Hôtel Saint-Joseph », notice no PA00114661, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    89. « Site du Fond-Marin », notice no PA60000052, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    90. « Maison dite des Quatre Saisons », notice no PA00114662, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    91. « Ancien hôtel d'Orléans », notice no PA00114663, base Mérimée, ministère français de la Culture.
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    94. Section photographique de l'armée, « Photo : Crépy-en-Valois. La porte Sainte-Agathe », Fonds des Albums Valois - Département de l'Oise - Volume 34, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    95. « Parcs - Ville de Crépy-en-Valois », sur www.crepyenvalois.fr (consulté le ).
    96. Dominique Vermand, « Crépy-en-Valois, église Sainte-Agathe », Diocèse de Senlis, Eglises de l'Oise - Art roman et gothique (consulté le ).
    97. Inovagora 2007, « Office de tourisme du Pays de Valois », sur www.valois-tourisme.fr (consulté le ).
    98. Musée de l'Archerie et du Valois Site du musée
    99. Cindy Belhomme, « 70 ans d’histoire au musée de l’Archerie de Crépy-en-Valois : Le monument rouvre au public ce samedi. Visite guidée dans le passé et le présent de ce musée unique en Europe », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ) « Le musée de l'Archerie et du Valois rouvre ses portes au public ce samedi. Unique en Europe, il fête cette année ses 70 ans. Ses collections déclinent les différents aspects du tir à l'arc, de la préhistoire à nos jours. Labellisé Musée de France, il compte également une riche collection de statues de Saint-Sébastien et de sculptures des églises du Valois. L'an passé, le musée a accueilli 7 350 visiteurs ».
    100. Charles-Daniel Salch, avec la collaboration de Danielle Fèvre, Le musée municipal du château de Crépy-en-Valois, p.4, Catalogue et légende des saints conservés au château, p. 5 à 47 (Légende dorée du Crépy, Castrum Europe, Éditions Accès, Strasbourg 2016)
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