Feigneux
Feigneux est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.
Feigneux | |||||
Vue aérienne du village. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Oise | ||||
Arrondissement | Senlis | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du pays de Valois | ||||
Maire Mandat |
Véronique Cavaletti 2020-2026 |
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Code postal | 60800 | ||||
Code commune | 60231 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Félinois, Félinoises | ||||
Population municipale |
427 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 37 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 15′ 35″ nord, 2° 55′ 55″ est | ||||
Altitude | Min. 52 m Max. 136 m |
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Superficie | 11,41 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Paris (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Crépy-en-Valois | ||||
Législatives | Cinquième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Géolocalisation sur la carte : Oise
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Géographie
Hameaux ou écarts : Morcourt (Oise) et l'église de Bourgon qui était un hameau de Morcourt (commune indépendante avant 1825).
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Trumilly », sur la commune de Trumilly, mise en service en 1975[7] et qui se trouve à 10 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 10,9 °C et la hauteur de précipitations de 717,1 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], « Le Bourget », sur la commune de Bonneuil-en-France, dans le département du Val-d'Oise, mise en service en 1920 et à 49 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour la période 1971-2000[11] à 11,6 °C pour 1981-2010[12], puis à 12,1 °C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Feigneux est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[14],[15],[16].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire regroupe 1 929 communes[17],[18].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (75,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (75,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (74,3 %), forêts (22,2 %), zones urbanisées (2,2 %), prairies (1,3 %)[19].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].
Toponymie
Pour Feigneux : Finiacum, Fenil (1118), Finiciae (1145), Feniciae (1156), Fenicus (1162), Fenix (1179), Figneux, Feigneuls[21].
Pour Morcourt : Morocurtis, Morcuria, Morocurtum, Mohericurz (1029), Morrencourt (1269), Mortcourt, Morvecourt, Maurecourt, Morucourt, Mourecourt[21].
Histoire
Seconde Guerre mondiale
Pendant l'occupation allemande, dans la nuit du 28 au , un bombardier anglais Halifax ZA-W qui revenait d'un raid sur la gare de triage de Metz fut abattu dans le ciel de Feigneux par un chasseur de nuit allemand. À son bord, 7 membres d'équipage périrent, n'ayant, selon les dires de l’abbé Henriot, curé de Morienval desservant Feigneux, pas pu s'éjecter à une hauteur suffisante pour survivre à leur chute. L'avion s'écrasa à la garenne de Morcourt, à quelques kilomètres de Feigneux.
À l'aube, Mme Elisabeth Huraux qui avait observé la scène la veille se mit en quête de survivants. Elle ne put que constater le décès des aviateurs qui seront par la suite identifiés comme étant M. Livesey, J.R. Sissons, A.G. Rhodes, T.G. Evans, L.W. Hughes, W. Tudberry et K.E. Chandler, tous Canadiens faisant partie du No. 10 Squadron RAF (en). Peu après, les soldats allemands arrivèrent et interdirent à quiconque d'approcher du site.
Malgré le danger que représentait le fait de montrer de l'empathie envers les forces anglaises, Mme Huraux alla au Commandement militaire allemand de l'Oise le pour demander à ce qu'un enterrement digne soit mené. Elle parvint à convaincre la kommandantur de l'autoriser à inhumer les corps des soldats . La condition fut néanmoins posée que seuls les porteurs, le prêtre, le maire du village et elle-même n'assistent à la cérémonie.
Plus de 70 ans plus tard, la place du village fut baptisée place Elisabeth-Huraux en l'hommage de cet acte de compassion et d'humanité[22].
Politique et administration
La commune de Morcourt a été réunie à la commune de Feigneux par ordonnance royale du 31 mars 1825[21].
Démographie
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[25].
En 2018, la commune comptait 427 habitants[Note 7], en diminution de 5,53 % par rapport à 2013 (Oise : +1,44 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (13 %) est en effet inférieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (17,5 %). Contrairement aux répartitions nationale et départementale, la population masculine de la commune est supérieure à la population féminine (52,1 % contre 48,4 % au niveau national et 49,3 % au niveau départemental).
La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :
- 52,1 % d’hommes (0 à 14 ans = 24,6 %, 15 à 29 ans = 12,5 %, 30 à 44 ans = 25,9 %, 45 à 59 ans = 22,8 %, plus de 60 ans = 14,3 %) ;
- 47,9 % de femmes (0 à 14 ans = 18 %, 15 à 29 ans = 16 %, 30 à 44 ans = 29,6 %, 45 à 59 ans = 24,8 %, plus de 60 ans = 11,7 %).
Lieux et monuments
Monuments historiques
Feigneux compte deux monuments historiques sur son territoire.
- Ruines de l'église Notre-Dame de Morcourt (inscrites monument historique par arrêté du 14 mai 1927[30]). C'était initialement l'église Saint-Étienne du village de Bourgon, détruit par une chevauchée guerrière, vers 1375, au cours de la guerre de Cent Ans. Restaurée et agrandie, elle devient en 1516 l'église paroissiale de Morcourt, dédiée à Notre-Dame. En 1811, après qu'une tornade a ravagé l'église de Feigneux, les autorités religieuses autorisent la « déconstruction » de l'église de Bourgon-Morcourt afin de restaurer celle de Feigneux[réf. souhaitée].
- Grotte sépulcrale du Larris Goguet (classée monument historique par arrêté du 6 avril 1970[31]) : Il s'agit d'un monument archéologique datant du néolithique.
Autres éléments du patrimoine
- Église Saint-Martin de Feigneux, au bourg, Grande-Rue (RD 50) : Sa partie la plus ancienne, la façade occidentale de la nef, remonte au premier quart du XIIe siècle. Le reste de la nef n'est pas visible depuis l'extérieur. Les trois voûtes de la nef datent de 1641, et l'espace intérieur affiche le style de la Renaissance. Le sanctuaire primitif a été complètement démoli à la fin du XIIe siècle et remplacé par le chœur gothique actuel, qui se compose d'une travée droite et d'une abside à pans coupés. Avant la fin même de la guerre de Cent Ans, l'église fut agrandie par l'adjonction d'un croisillon et d'un bas-côté du côté nord. La première travée de ce bas-côté est la base du clocher, qui a dû être entamé à la même époque. Environ un siècle plus tard, un croisillon et un bas-côté furent ajoutés au sud. Seul le croisillon fut voûté dans un premier temps. L'inscription sur un vitrail aujourd'hui disparu renseignait la date de 1537. En 1646, deux ans avant la Fronde, le clocher fut exhaussé par la construction d'une chambre de guet avec cheminée. Si ce dernier ajout est nuisible à l'esthétique de la tour, l'église Saint-Martin constitue, dans son ensemble, un édifice de qualité remarquable pour son architecture, tenant compte de l'économie de moyens dans un petit village rural. Mais elle est surtout connue pour représenter l'une des très rares églises fortifiées de la région. Elle abrite en outre un mobilier riche et varié, ce qui ajoute à son intérêt[32].
Personnalités liées à la commune
Personnalités liées à Morcourt
- Nicolas de Grouches, seigneur de Morcourt, du Luat, etc., chevalier de l'ordre du Roi et l'un des cent gentilshommes de sa maison, décédé en 1582[33].
- Françoise d'Aumale, son épouse, fille de Jean d'Aumale et de Florence de Blécourt.
- François de Grouches, chevalier, seigneur de Morcourt, du Luat, de Covigny, etc., gentilhomme ordinaire de la chambre du roi, décédé avant 1603, enterré dans l'église de Morcourt.
- Charlotte de Paillart, son épouse, dame du Bacouel, de Fay, du Mesnil, etc., fille de Jean de Paillart et de Jeanne de Ravenel.
- Antoine de Grouches, chevalier, seigneur de Morcourt, de Bacouel, vicomte de Bourgon, etc.
- Madeleine de Pardieu, son épouse, fille d'Adrien de Pardieu et de Marguerite de Bussy.
- Jean de Grouches, chevalier, seigneur de Bacouel, de Morcourt, etc., vivant encore en 1670.
Activités socio-culturelles
Ce petit village de l'Oise s'illustre par son dynamisme sur le plan culturel et social. En effet, grâce, entre autres à sa MJC, le village possède un rayonnement local significatif pour une si petite commune, qui passe en outre par l'organisation de Cafés citoyens , de spectacles divers et variés, de brocantes, et du festival Jours de fête.
Jours de fête
Jours de fête[34] est un festival participatif et éco-citoyen qui a lieu tous les ans depuis 2003 au mois de septembre. Chaque année le festival s'axe autour d'une thématique de société et la décline de manières diverses sous un regard qui se veut décalé et convivial. Aussi, elle s'organise sous la forme de spectacles de rue (souvent participatifs) , de concerts, d'une brocante qui s'étend sur toute la longueur du village et de fanfares qui déambulent sur toute la fête. Elle est en outre jalonnée d'associations aux finalités variées comme Amnesty International, Greenpeace ou encore Action contre la faim mais aussi des associations locales comme Projet Sefrou, Automne Village ou Les Déjantés.
Le festival accueille en moyenne 8 000 à 12 000 personnes[35] sur le week-end.
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
- « Station Météo-France Trumilly - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Feigneux et Trumilly », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Trumilly - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Feigneux et Bonneuil-en-France », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Le Bourget - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Le Bourget - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Le Bourget - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Crépy-en-Valois, arrondissement de Senlis (Oise), Beauvais, Annuaire de l'Oise, 1836, 252 p., p. 120.
- « L’armée Anglaise | Picardie 1939-1945 », sur www.picardie-1939-1945.org (consulté le ).
- « Feigneux », Cartes de France (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- « Évolution et structure de la population à Feigneux en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- « Résultats du recensement de la population de l'Oise en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- « Ruines de l'église Notre-Dame de Morcourt », notice no PA00114684, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Grotte sépulcrale du Larris Goguet », notice no PA00114685, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Dominique Vermand, Églises de l'Oise, canton de Crépy-en-Valois : Les 35 clochers de la Vallée de l'Automne, Comité Départemental de Tourisme de l'Oise / S.E.P Valois Développement, , 56 p., p. 24-25.
- Dictionnaire de la Noblesse de La Chesnaye-Desbois, tome XIV (second des suppléments), Paris, 1784.
- « Accueil » (consulté le ).
- « 8 000 visiteurs attendus aux Jours de fête » (consulté le ).
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