Combronde

Combronde (Combaronda en occitan) est une commune française située dans le département du Puy-de-Dôme, en région Auvergne-Rhône-Alpes. Elle fait partie de l'aire urbaine de Clermont-Ferrand.

Combronde

Vue générale de Combronde.

Héraldique
Administration
Pays France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Puy-de-Dôme
Arrondissement Riom
Intercommunalité Communauté de communes Combrailles Sioule et Morge
Maire
Mandat
Alain Espagnol
2020-2026
Code postal 63460
Code commune 63116
Démographie
Population
municipale
2 198 hab. (2018 )
Densité 122 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 58′ 55″ nord, 3° 05′ 20″ est
Altitude Min. 356 m
Max. 701 m
Superficie 18 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Clermont-Ferrand
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Georges-de-Mons
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Combronde
Géolocalisation sur la carte : Puy-de-Dôme
Combronde
Géolocalisation sur la carte : France
Combronde
Géolocalisation sur la carte : France
Combronde

    Géographie

    Localisation

    Combronde est située au nord du département du Puy-de-Dôme[1].

    Sept communes sont limitrophes[2] :

    Voies de communication et transports

    La commune est traversée par la route départementale 2144, anciennement route nationale 144, sur l'axe MontluçonRiom, à 12 km de cette dernière.

    La bifurcation entre les autoroutes A71 et A89, située au sud-est de la commune, est nommée la bifurcation de Combronde. Ces autoroutes sont accessibles depuis la sortie 12.1 de l'A71.

    Elle est aussi desservie par d'autres routes départementales[2] :

    • la D 19, reliant l'échangeur 12.1 de l'autoroute et la D 2144 à Charbonnières-les-Vieilles et Saint-Georges-de-Mons ; elle comprend une antenne créée à la suite de la création de la déviation nord (qui prend le nom de D 19), la D 19d ;
    • la D 122, reliant la D 19 sur le contournement, à Montcel ; elle comprend deux antennes : la D 122a desservant le lieu-dit des Jouffrets et la D 122d reliant la D 2144 au contournement ;
    • la D 223, reliant les D 2144 et 19d à Aigueperse ; elle comprend une antenne : la D 223a, reliant Petit Combronde au carrefour giratoire de l'accès à l'autoroute ;
    • la D 412 vers Teilhède.

    Urbanisme

    Typologie

    Combronde est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[3],[4],[5].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Clermont-Ferrand, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 209 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[6],[7].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (61,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (65,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (28,6 %), terres arables (21,7 %), zones agricoles hétérogènes (20,8 %), prairies (18,8 %), zones urbanisées (6,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,3 %)[8].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[9].

    Histoire

    Grégoire de Tours parle à deux reprises du" monasterium canbidobrense"fondé vers 506 , le siècle suivant le comte Genès en se retirant du monde se serait installé à Chavanon.

    Dans le « Dictionnaire géographique portatif » des Libraires associés de Paris de 1784, vu par le censeur royal Riballier, il est dit peu de choses sinon que Combronde fut à l'origine "oppidum candidobrinse" et que pour l'heure c'est un marquisat. En effet, Combronde était une baronnie érigée en marquisat en mai 1637 en faveur de René du Puy-du-Fou (René II du Puy du Fou, 1595-1642, qu'on retrouvera ci-dessous).

    Combronde appartenait aux comptours d'Apchon aux XIIe – XIIIe siècles[10], puis passa à une branche cadette des dauphins d'Auvergne par le mariage d'Almodie d'Apchon dame de Combronde, fille du comptour Etienne (1258-1322), avec Robert Ier Dauphin de Saint-Ilpize et de Jaligny-sur-Besbre (1290-1330), fils cadet du dauphin Robert III. On suivra à l'article Jaligny les méandres de la succession de Combronde parmi les familles delphinale, de L'Espinasse (St-Forgeux, St-Germain, Noailly), d'Amboise de Ravel (cf. Antoinette d'Amboise, dame de Chaumont, 1495-1552[11]), de La Rochefoucauld-Barbezieux[12], et du Puy du Fou. Notamment, Catherine (vers 1528-1577), fille d'Antoine de La Rochefoucauld-Barbezieux — fils cadet de François Ier de La Rochefoucauld — et d'Antoinette de Chaumont d'Amboise, épouse 1° 1545 Charles de Chabannes fils du maréchal de La Palice (d'où la succession de La Palisse et Jaligny), puis 2° 1559 René Ier du Puy-du-Fou : parents entre autres enfants de Gilbert le Jeune du Puy-du-Fou, † 1609, dont le frère, autre Gilbert du Puy-du-Fou dit l'Aîné (1558 - 1597), continue les dauphins de Combronde en mariant Philippe/Philippa de Champagne dame de Parcé, Avoise et Pescheseul, fille de Philippe Ier de Châteaubriant des Roches-Baritaut comte de Grassay.

    Remarquons en passant qu'une part secondaire de la seigneurie de Combronde échut à une fille cadette de Catherine de La Rochefoucauld-Barbezieux et Charles de Chabannes : Marie de Chabannes (dont la sœur aînée Eléonore de Chabannes reçut La Palice et Jaligny), épouse de Jean II de Langeac, et mère de Françoise de Langeac qui convola avec son cousin Jacques de La Rochefoucauld-Barbezieux baron de Chaumont-sur-Loire et St-Ilpize, petit-fils d'Antoinette d'Amboise-Chaumont et d'Antoine de La Rochefoucauld-Barbezieux, et neveu de Catherine de La Rochefoucauld ; une de leurs filles, Isabelle-Gabrielle de La Rochefoucauld, dame en partie de Combronde, fut l'épouse de 1° Pierre-Jean du Quesnel de Coupigny (en Normandie ; à Heubécourt ?) de St-Just (postérité) et 2° Louis d'Urgel de St-Priest.

    Pour revenir à la seigneurie principale de Combronde, le fils de Gilbert l'Aîné et Philippe de Châteaubriand est René II du Puy-du-Fou (1595-1642), évoqué plus haut, père du dauphin-marquis de Combronde Gabriel du Puy-du-Fou, lui-même époux en 1635 de Madeleine de Bellièvre, fille de Nicolas de Bellièvre et de Claude Brulart, fille du chancelier Nicolas Brulart de Sillery, d'où Madeleine du Puy-du-Fou (1637-1717) qui se marie en 1657 avec Gaston Jean-Baptiste de Lévis-Mirepoix (1636-1687) : postérité, dont leur petit-fils le maréchal Gaston-Pierre.

    Mais cette postérité n'eut pas Combronde : sur Gabriel ou sa fille Madeleine du Puy-du-Fou, le marquisat de Combronde fut acquis par Jean de Brion, conseiller au Parlement de Paris en 1654, † 1684, époux en 1658 d'Anne-Marie de La Barde de Marolles de Motteux : d'où leur fille Antoinette de La Barde-Brion (1672-1747), femme (x 1692) sans postérité de Charles Amelot (1644-1726). Puis Combronde est légué par testament à Jean-Jacques Amelot de Chaillou(x) (né en 1689 et mort le 7 mai 1749), arrière-cousin de Charles Amelot et père d'Antoine-Jean Amelot de Chaillou (1732-1795), parlementaire, intendant de La Rochelle, ministre d'État aux Affaires étrangères en 1737-44, académicien français, baron de Châtillon-sur-Indre (cf. Louis Chasot de Nantigny, Tablettes historiques, généalogiques et chronologiques ; ouvrage vérifié par Louis Pierre d'Hozier, juge d'armes de France et généalogiste du roi, qui rédigea avec son fils Antoine Marie d'Hozier de Sérigny, l'Armorial de France entre 1738 et 1786).

    Enfin Combronde est vendu en 1764 par Antoine-Jean Amelot à Gilbert François de Capponi (1730-1788), major général de la Martinique, qui fut le dernier marquis de Combronde.

    Au renvoi de Turgot Nicolas Baudeau, chanoine théologien et économiste fut exilé quelques mois à Combronde.

    A la révolution la veuve de Gilbert François de Capponi s'enfuit, ses biens sont confisqués et mis en vente aux enchères.

    Il y a une "société des amis de la Constitution" après la fuite du roi cette société demande que le roi soit mis en jugement .

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 1971 mars 1983 Robert Mansat PS Instituteur
    mars 1983 octobre 1986 Lucy Borot SE Pharmacien
    octobre 1986 mars 2001 Yvan Delaspre UDF Chef d'entreprise
    mars 2001 mars 2008 Raoul Lanore SE  
    mars 2008 5 mars 2010 Thierry Onzon SE Sapeur-pompier professionnel
    Bernard Lambert[13],[14] SE-DVG Cadre commercial
    En cours
    (au [15])
    Alain Espagnol SE Gérant commerce de gros

    Rattachements administratifs et électoraux

    Combronde était chef-lieu de son canton jusqu'en mars 2015 ; à la suite du redécoupage des cantons, la commune est rattachée au canton de Saint-Georges-de-Mons[16].

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[17]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[18].

    En 2018, la commune comptait 2 198 habitants[Note 3], en augmentation de 4,77 % par rapport à 2013 (Puy-de-Dôme : +2,82 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 5141 5681 8381 7581 9552 1232 2032 0602 162
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 0671 9682 0352 0742 0802 0442 0452 0412 048
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 9911 9011 7981 4481 4051 3661 3391 2261 182
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    1 5481 9501 9491 9751 8431 8681 9102 0302 170
    2018 - - - - - - - -
    2 198--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[19] puis Insee à partir de 2006[20].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Combronde dépend de l'académie de Clermont-Ferrand. Elle gère une école maternelle et une école élémentaire publiques[21].

    Hors dérogations à la carte scolaire, les élèves poursuivent leur scolarité au collège d'Aigueperse[22], puis à Riom, au lycée Virlogeux pour les filières générales, secondes technologiques, premières et terminales STMG, ou au lycée Pierre-Joël-Bonté pour les premières et terminales STI2D[23].

    Économie

    Le parc d'activités départemental de l'Aize[24],[Note 4] a été implanté à Combronde, à proximité de l'échangeur autoroutier de l'A71 et de l'A89 qui représente pour lui un atout important. Ce pôle industriel, créé en 2007, qui accueille déjà le logisticien allemand Dachser et l'entreprise de transport (messagerie) française MTA, monte en puissance avec la construction de l'usine de production de bois massif reconstitué de BCA (Bois Collé d'Auvergne)[25][réf. incomplète] et l'annonce de l'arrivée en 2012 d'un fabricant d'isolants, le canadien IKO[26][réf. incomplète],[Note 5]. Le parc est géré par le Syndicat mixte du parc de l'Aize qui associe le conseil général du Puy-de-Dôme et la communauté de communes des Côtes de Combrailles. Une mine de fluorine située à l'ouest de Combronde a été exploitée en 1958 et 1959, elle livra environ 1000 tonnes de minerai. La fluorite est la roche qui contient la fluorine ,la fluorine chauffée émet de la lumière. En concentrant le minerai on obtient le spath fluor qui s'il contient plus de 97 pour cent de Ca F2 est "dit" acide ou chimique au dessous il est métallurgique. On utilise le spath fluor pour produire l'acide fluorhydrique qui est utilisé pour purifier l'aluminium et l'uranium cet acide ultra dangereux a été préparé dès 1856

    Culture et patrimoine

    Lieux et monuments

    La pierre branlante.
    • Église Saint-Genès-le-Comte, XIIe et XIXe siècles.
    • Prieuré grandmontain de Chavanon, XIIe siècle.
    • Le château des Capponi où est installée la mairie. Les Capponi étaient un rameau installé en France d'une grande famille florentine ; Lorenzo Capponi († 1573 à Lyon) s'installa comme banquier à Lyon. Son descendant Gilbert François de Capponi (1730-1788) acheta le marquisat de Combronde le 14 juin 1764 à la succession du ministre Jean-Jacques Amelot de Chaillou.
    • La fontaine Desaix, de style égyptien, réalisée par le sculpteur Michel Channeboux, inaugurée en 1849.
    • La pierre branlante, près du hameau des Ballages ; cette pierre bouge lorsqu'on lui applique une poussée.
    • le château de Banson[27].

    Personnalités liées à la commune

    • Gilbert du Puy du Fou, baron de Combronde.
    • Jean-Jacques Amelot de Chaillou (1689-1749), secrétaire d'État aux Affaires étrangères de 1737 à 1744. Il était marquis de Combronde.
    • Antoine, le chanteur, possède une maison dans la commune.
    • Loann Goujon, né à Combronde en 1989 : 3e ligne centre de l'équipe de France de rugby.
    • Étienne Clémentel, ancien ministre commerce, industrie, postes, possédait une maison dans ce qui est aujourd'hui l'avenue Étienne Clémentel.la villa Roux qui avait été la maison du peintre Antoine Roux
    • Max Menut (1918-1999)résistant -dit Bénévol- entre autres combat du Mont Mouchet.
    • Antoine Roux(1821-1887)peintre paysagiste Auvergnat.

    Héraldique

    D'azur semé de fleurs de lis d'or à la lettre gothique C du même brochant sur le tout

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    4. Le parc tire son nom du ruisseau qui le borde, l'Aize, affluent de la Morge.
    5. L'usine de Combronde sera la deuxième usine de ce groupe en Europe, la première étant implantée aux Pays-Bas.

    Références

    1. « Combronde », sur Lion 1906.
    2. Carte de Combronde sur Géoportail.
    3. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    5. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Clermont-Ferrand », sur insee.fr (consulté le ).
    7. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    8. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    9. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    10. « Combronde, in Nobiliaire d'Auvergne, p. 37, », sur Archives généalogiques et historiques de la Noblesse de France, par Louis Lainé, 1841.
    11. « Antoinette d'Amboise, p. 11 », sur Racines & Histoire.
    12. « La Rochefoucauld-Barbezieux, p. 6 et 16 », sur Racines & Histoire.
    13. « Bernard Lambert élu maire de Combronde », sur La Montagne, .
    14. « Liste des Maires du Puy-de-Dôme » [PDF], Préfecture du Puy-de-Dôme, (consulté le ).
    15. « Alain Espagnol, nouveau maire de Combronde (Puy-de-Dôme) », La Montagne, (consulté le ).
    16. Décret no 2014-210 du 21 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département du Puy-de-Dôme.
    17. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    18. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    19. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    20. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    21. « Annuaire : Résultats de recherche », sur education.gouv.fr, Ministère de l'Éducation nationale (consulté le ).
    22. « SECTORISATION - DEPARTEMENT du PUY-DE-DÔME » [PDF], Direction des services départementaux de l'Éducation nationale du Puy-de-Dôme, (consulté le ).
    23. « Sectorisation des lycées - Département du Puy-de-Dôme » [PDF], Direction des services départementaux de l'Éducation nationale du Puy-de-Dôme, (consulté le ).
    24. Ludovic Gerardi, « Parc d'activités départemental de l'Aize », sur puy-de-dome.fr, Conseil départemental du Puy-de-Dôme (consulté le ).
    25. La Montagne, 6 septembre 2011.
    26. La Montagne, 22 septembre 2011.
    27. De Guérines, « Banson, un château détruit et oublié », Le Gonfanon, no 67, Argha.
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