Langeac
Langeac (Lanjac en occitan[1]) est une commune française située dans le département de la Haute-Loire en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Ses habitants sont les Langeadois et les Langeadoises.
Géographie
Localisation
La ville est située au centre d'une petite limagne, au bord de l'Allier, avec une altitude moyenne de 720 mètres[2].
La commune est proche du parc naturel régional Livradois-Forez.
Communes limitrophes
Entourée par les communes de Mazeyrat-d'Allier, Chanteuges et Arlet, Langeac est située à 23 km au sud-est de Brioude, la plus grande ville à proximité.
Climat
Le climat de Langeac est dit tempéré chaud. Langeac est une ville avec des précipitations importantes. Même pendant le mois le plus sec les pluies sont fréquentes. Selon la classification de Köppen-Geiger, le climat est de type Cfb. Sur l'année, la température moyenne à Langeac est de 10,6 °C. La moyenne des précipitations annuelles est de 630 mm[3].
Géologie et relief

Le bassin houiller de Langeac est daté par sa flore[à vérifier] du Stéphanien moyen[5] ; il a été exploité à partir de 1844 environ, jusqu'en 1925[6]. Il y a 800 à 1 000 m de dépôts sédimentaires détritiques[7].[à vérifier] Les reliefs entourant Langeac contiennent des grands chênes, acacias et peupliers[8].
Langeac se situe en zone de sismicité 2 (sismicité très faible)[9].
Routes

La ville est située au croisement des départementales RD 585, reliant Vieille-Brioude à Saugues, et RD 590, entre Pinols et Le Puy-en-Velay.
Urbanisme
Typologie
Langeac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[10],[11],[12]. Elle appartient à l'unité urbaine de Langeac, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[13] et 4 103 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[14],[15].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Langeac, dont elle est la commune-centre[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 14 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[16],[17].
Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (49,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (49,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (46,4 %), prairies (24,8 %), zones agricoles hétérogènes (14,2 %), zones urbanisées (6,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,7 %), terres arables (1,9 %)[18].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[19].
Habitat et logement
En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 2 673, alors qu'il était de 2 656 en 2013 et de 2 560 en 2008[I 1].
Parmi ces logements, 66,8 % étaient des résidences principales, 7,7 % des résidences secondaires et 25,5 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 70,1 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 29,8 % des appartements[I 2].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Langeac en 2018 en comparaison avec celle de la Haute-Loire et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (7,7 %) inférieure à celle du département (16,1 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 63,9 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (61,5 % en 2013), contre 70 % pour la Haute-Loire et 57,5 pour la France entière[I 3].
Typologie | Langeac[I 1] | Haute-Loire[I 4] | France entière[I 5] |
---|---|---|---|
Résidences principales (en %) | 66,8 | 71,5 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 7,7 | 16,1 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 25,5 | 12,4 | 8,2 |
Toponymie
À partir de 1302, elle est mentionnée comme Bonne Ville d'Auvergne[20].
Langeac peut également s'écrire "Langheac", cette orthographe vient de l'ancien Laugiaco. La ville était capitale d'une ancienne baronnie et du Langeadois, une micro-région du Brivadois. Cette baronnie a donné son nom à une maison jadis illustre[21],[22].
Histoire
Préhistoire et Antiquité
La Pierre des fées (Pèira de las fadas ou Peyrres de la fadas, en Auvergnat) était un des plus importants dolmens en Auvergne, sur le territoire de la commune de Mazeyrat-d'Allier, en bordure de celui de Langeac. Il fut décrit en 1880 comme possédant une allée couverte, mais subit une fouille sauvage en 1930, qui le détruisit presque complètement. Il prouve néanmoins que le secteur est occupé de très longue date par l'homme[23].
Il est possible que le site de la ville actuelle fut habité à l'époque gallo-romaine, mais les trouvailles archéologiques restent faibles.
Moyen Âge
Le saint patron de la ville est saint Gal. Eugène Bonnemère rapporte l'histoire suivante : « À Langeac, le jour de Saint-Gal, patron de la ville, le seigneur de Chilac arrivait monté sur son char avec les officiers de sa justice, et saluait les habitants en leur jetant des œufs[24] ».
La première attestation écrite d’une présence humaine à Langeac date de 994, la mise en culture de nouvelles terres a lieu au milieu du Xe siècle[25].
Langeac possède son enceinte, ses élites marchandes, des embryons de corps de métiers et de milice et autres montrant le poumon économique d'une ville auvergnate du Moyen Âge. Au cours du XIIIe siècle le bourg se développe autour de la vigne, du seigle, du froment, du chanvre, les élevages de moutons, de chèvres, de porc, etc.[26]
Détenteur dès le XVe siècle d’un chapitre de chanoines, la contre-réforme fera apparaître des couvents hors de l’enceinte[25].
Époque contemporaine
Lors des Guerres de Religion, Langeac se range en faveur de la Sainte-Ligue[27].
En 1786, La Fayette achète le marquisat de Langeac et devient ainsi le dernier seigneur de Langhac[28].

La ville est desservie par le chemin de fer depuis 1866.
L'arrivée du chemin de fer à Langeac la ville favorise l'exploitation de filons miniers : avec environ un millier d'ouvriers[29], la ville voit sa population augmenter.
Pendant la Première Guerre mondiale, confrontée aux énormes besoins en antimoine pour durcir le plomb utilisé dans les obus, la Compagnie des mines de La Lucette loue en mai 1915 les installations de la fonderie d'antimoine de Langeac, arrêtée depuis janvier 1915, ce qui nécessite d'importants travaux de remise en état, organisés par l'ingénieur-chimiste Marcel Douxami[30], qui deviendra directeur de la compagnie des mines de La Lucette après-guerre. La production, effectuée à partir de minerais algériens, redémarre en août pour les essais. En octobre la production était de 100 tonnes de régule d'antimoine et 150 tonnes de plomb arsénieux. L'usine a été fermée en 1919[31].
Lors du recensement de 1936, la commune comptait 4 512 habitants et 5 225 en 1946[32].
Politique et administration
Tendances politiques et résultats
Après ce 2d tour de la présidentielle à Langeac, Emmanuel Macron (En Marche!) est en tête du scrutin, crédité de 73,26 % des suffrages. Il devance Marine Le Pen (Front national) qui récolte 26,74 % des voix.
Lors du 1er tour à Langeac, Emmanuel Macron (En Marche!) était également arrivé en première position avec 26,86 % des votes.
Parmi les votants, 5,97 % ont glissé un bulletin blanc dans l'urne[33].
Liste des maires
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[38].
En 2018, la commune comptait 3 575 habitants[Note 3], en diminution de 6,71 % par rapport à 2013 (Haute-Loire : +0,6 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Enseignement
La commune de Langeac dépend de l'Académie de Clermont-Ferrand (Rectorat de Clermont-Ferrand) et les écoles primaires de la commune dépendent de l'Inspection académique de la Haute-Loire.
Pour le calendrier des vacances scolaires, Langeac est en zone A.
Sur la commune de Langeac, 5 établissements scolaires sont ouverts : 3 écoles et 2 collèges[41].
Tourisme
Le train touristique des gorges de l’Allier[42] est devenu la principale attraction touristique de la ville. Il part de la gare de Langeac jusqu'à la ville de Langogne dans le département voisin de la Lozère et permet d’approcher des paysages grandioses façonnés par l’eau et les volcans pendant environ 1 h 45, ponctué des commentaires d'un guide du patrimoine[43].
Le paysage très boisé et le relief accidenté proviennent du granit des monts de la Margeride et des coulées volcaniques du massif du Devès et ont nécessité la construction de nombreux ouvrages d’art : sur les 67 kilomètres qui relient Langeac (Haute-Loire) à Langogne (Lozère), 51 tunnels et 16 viaducs ont été réalisés dans des conditions très difficiles, à une époque où leur construction relevait du défi.
La flamme postale de la cité des années 1980 représentait l'église et l'Allier ; elle était intitulée Porte des Gorges de l'Allier et sous-titrée Tourisme Pêche Camping.
Économie
Tissu économique et industriel
La chimie-plastique, l’agroalimentaire, la transformation du bois, le bâtiment et le traitement des métaux sont les principaux secteurs économiques présents sur Langeac. Un projet de Zone d’activité Économique est mis en place par la Communauté de communes du Langeadois se trouvant sur les communes de Langeac, Chanteuges et dans le secteur de Chambaret[44].
On relève notamment l'usine T.2.A. Techniques avancées d'Auvergne (15 p.)[45].
La ville compte plusieurs zones communautaires, dont[46] :
- Mazeyrat d’Allier – Zone de Costet
- Langeac – Zone de La Bourzède
- Langeac – Zone de Chambaret
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments

- Monastère Sainte-Catherine de Sienne, monastère de sœurs dominicaines, fondé en 1623 par sœur sœur Agnès de Jésus Galand. Le monastère est affilié à la fédération Notre-Dame des Prêcheurs.
- Église Saint-Gal[48], ancienne collégiale construite aux XIVe et XVe siècles.
- Pont de Langeac, pont en arc à tablier suspendu construit entre 1927 et 1929 pour franchir l'Allier. Il est constitué de deux arches de 69 m de portée. En 1979, il a fallu changer les suspentes transférant le poids du tablier aux arcs[49].
- Des remparts qui ceinturaient la ville à l'époque médiévale ne subsiste que la porte des Bouchers, datable des XIVe et XVe siècles, située rue du Pont, au débouché de la rue des Bouchers. L'arc de la porte est surmonté de sept corbeaux, vestiges des mâchicoulis du chemin de ronde. La porte est inscrite au titre des Monuments historiques depuis 1965[50].
- Dolmen de Saint-Marceau, classé au titre des monuments historiques par la liste de 1862[51].
- Porte des Bouchers.
- Mâchicoulis de la porte des Bouchers.
Personnalités liées à la commune
- Pons de Langeac (1339-1421), sénéchal d'Auvergne et Recteur du Comtat Venaissin.
- Jean Pégon (1590-1675), moine chartreux, général de l'ordre des chartreux, né à Volmat, hameau de Langeac.
- Mère Agnès de Jésus, cofondatrice du couvent des dominicaines, béatifiée par le pape Jean-Paul II en 1994.
- René Fontaine : maître chocolatier, meilleur ouvrier de France en 1976, a quitté la commune pour le Midi.
- Le marquis de Lafayette : à son retour d'Amérique, il achète la ville et devient ainsi marquis de Langeac. Ce retour est célébré chaque année lors de la fête de « la belle journée »[52], fin juillet à Langeac, qui revêt alors les décors de l'époque et rejoue la remise des clés de la ville. Pendant deux jours, on vénère la noblesse et son armée.
- Pierre Chany : journaliste sportif français spécialisé dans le cyclisme, il reçut le prix Martini en 1967 du meilleur article sportif de l'année et le grand prix de la littérature sportive 1972 pour son ouvrage sur le Tour de France.
- Renée Vissac : cycliste, quatre fois championne de France de poursuite et une fois championne de France sur route.
- Guy Vissac : conseiller régional d'Auvergne.
Héraldique
![]() |
Les armoiries de Langeac se blasonnent ainsi : |
---|
Devise de la ville de Langeac :
« Qui veult, peult. »
Celle-ci signifie « qui veut peut »[20].
Histoire
Le , Charles VII accorde à la ville d'avoir un corps municipal dont les armoiries[20].
Bibliographie
- Anne Bardon, Maryse Battista, Chantal Charondière, Georges Galley, Nadine Jamon, Jean-Bosco Louboto, Hélène Loyon, Marie-Hélène Massardier, Michel Pardon, Maïté Zipfel, sous la direction de Jean Merley, Langeac au milieu du XVIIIe siècle : in Cahiers de la Haute-Loire 1975, Le Puy-en-Velay, Cahiers de la Haute-Loire, (lire en ligne)
- Paul Le Blanc, La Belle Journée ou relation fidèle de la fête donnée à M. le marquis de La Fayette par les habitants de Langeac le 13 août 1786 : in Tablettes historiques du Velay 1871-1872, Le Puy-en-Velay, Tablettes historiques du Velay, (lire en ligne)
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
Site de l'Insee
- « Chiffres clés - Logement en 2018 à Langeac » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Langeac - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Langeac - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
Autres sources
- Jean Roux, L'auvergnat de poche, Chennevières-sur-Marne (Val-de-Marne), Assimil, coll. « Assimil évasion », , 246 p. (ISBN 978-2-7005-0319-7 et 2700503198).
- « PLAN LANGEAC - Plan, carte et relief de Langeac 43300 », sur www.cartesfrance.fr (consulté le ).
- « Climat Langeac: Diagramme climatique, Courbe de température, Table climatique pour Langeac - Climate-Data.org », sur fr.climate-data.org (consulté le ).
- (en) « Camping Les Gorges de l'Allier Langeac », sur Camping Les Gorges de l'Allier Langeac (consulté le ).
- [Marchand et al. 1989] Jacques Marchand, Robert Bouiller, Jean-Pierre Burgh et Guy Cornen, Notice explicative de la carte géologique au 1/50 000 « Langeac » no 790, Orléans, BRGM, , 57 p. (ISBN 2-7159-1790-2, lire en ligne [PDF] sur ficheinfoterre.brgm.fr), p. 8, 23.
- Marchand et al. 1989, p. 44.
- « Chronologie d’événements géologiques dans la région de Langeac (Haute-Loire) - SVT Lyon », sur 2.ac-lyon.fr (consulté le ).
- Centre France, « Cet été, on se baigne ! - L'île d'Amour de Langeac (Haute-Loire), un petit paradis entouré d'eau fraîche », sur lamontagne.fr, (consulté en ).
- « Didacticiel de la règlementation parasismique > Département : 43 > Commune : LANGEAC > Bâtiment neuf de classe III - Le Plan Séisme », sur planseisme.fr éditeur= BRGM (consulté en ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
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- « Unité urbaine 2020 de Langeac », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
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- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « L'Armorial », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
- Dictionnaire universel de la noblesse de France par M. De Courcelles.
- François Maurice de Bourdeilles de Couzance, Chronologie du ci-devant chapitre de Saint-Julien de Brioude : dressée par des commissaires ad hoc de ce chapitre, acceptée et sanctionnée par lui le 12 novembre 1788, Chez Levrault, Schoell et ce., (lire en ligne).
- Site internet lieuxsacres.canalblog.com, article du 17 octobre 2007 __"Dolmen de la pierre des fées".
- Eugène Bonnemère, Histoire des paysans, depuis la fin du Moyen Âge jusqu'à nos jours, 1200-1850.
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- Portrait des anciens élèves
- Le Génie civil, no 1742 du .
- « Langeac en 1939-1945 », sur www.ajpn.org (consulté le ).
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- « Ville de Langeac », sur www.ville-langeac.fr (consulté le ).
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- Base Mérimée : église Saint-Gal
- Bernard Marrey - Les ponts modernes - 20e siècle, Picard, Paris, 1995, p. 86-7 - (ISBN 2-7084-0484-9).
- Notice no PA00092684, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no PA00092682, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Paul Le Blanc, La Belle Journée ou relation fidèle de la fête donnée à M. le marquis de La Fayette par les habitants de Langeac le 13 août 1786 : in Tablettes historiques du Velay 1871-1872, Le Puy-en-Velay, Tablettes historiques du Velay, (lire en ligne).
Annexes
Voir aussi
Liens externes
- Ressource relative à la géographie :
- Site officiel
- Langeac sur le site de l'Institut géographique national
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