Chevry-Cossigny
Chevry-Cossigny (prononcé [ʃəvʁi kɔsiɲi] ) est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne, en région Île-de-France.
Pour les articles homonymes, voir Chevry.
Chevry-Cossigny | |||||
La mairie. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Île-de-France | ||||
Département | Seine-et-Marne | ||||
Arrondissement | Torcy | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes de l'Orée de la Brie | ||||
Maire Mandat |
Jonathan Wofsy 2020-2026 |
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Code postal | 77173 | ||||
Code commune | 77114 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Chevriards | ||||
Population municipale |
3 939 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 235 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 43′ 31″ nord, 2° 39′ 45″ est | ||||
Altitude | Min. 93 m Max. 108 m |
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Superficie | 16,75 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Unité urbaine | Chevry-Cossigny (ville isolée) |
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Aire d'attraction | Paris (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton d'Ozoir-la-Ferrière | ||||
Législatives | Neuvième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
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Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | chevry-cossigny.com | ||||
Géographie
Localisation
Chevry-Cossigny est une commune périurbaine du plateau de la Brie, situé à vol d'oiseau à 27 kilomètres de Paris, 21 kilomètres de Melun (préfecture), 35 kilomètres de Fontainebleau, 31 kilomètres de Meaux, 51 kilomètres de Provins et à 14 kilomètres de Torcy (toutes quatre sous-préfectures).
Communes limitrophes
Dans le sens horaire, en partant de la plus au nord, les communes limitrophes incluent Ozoir-la-Ferrière (4 kilomètres), Gretz-Armainvilliers (6 kilomètres), Grisy-Suisnes (4 kilomètres), Brie-Comte-Robert (5 kilomètres) et Férolles-Attilly (2 kilomètres).
Géologie et relief
La composition géologique locale est essentiellement sédimentaire. Le territoire de la commune appartient au plateau de la Brie, constituée en surface par l’entablement des meulières, recouvertes par un manteau irrégulier d’argiles et de lœss (limon de plateau), d’où émergent quelques buttes de sables de Fontainebleau.[1].
La commune est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[2].
Hydrographie
Le système hydrographique de la commune se compose de six cours d'eau référencés :
- le Réveillon, affluent de l'Yerres[3], d'une longueur de 21,6 km, ainsi que trois de ses affluents ;
- la Barbançonne, long de 12,1 km[7] ;
- le canal 01 de Cossigny, 2,6 km[8], qui conflue avec la Barbançonne.
La longueur linéaire globale des cours d'eau sur la commune est de 15,83 km[9].
Climat
Chevry-Cossigny, comme toute l’Île-de-France, est soumis à un climat océanique dégradé (Classification de Köppen). Ses données climatiques proviennent de la station météorologique de Melun Villaroche située à une vingtaine de kilomètres au sud de la commune[1].
Milieux naturels et biodiversité
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal de Chevry-Cossigny comprend un ZNIEFF de type 2[Note 1],[10], la « forêt de la Léchelle et de Coubert » (2 069,22 ha), couvrant 9 communes du département[11].
Voies de communication et transports
Le nord de la commune est traversé par la route nationale 4 et le sud est aisément accessible par l'ex-route nationale 19.
Chevry-Cossigny a donné son nom à la bifurcation de la LGV Interconnexion Est, dont une branche va vers Lille et l'autre vers Lyon. La gare la plus proche est celle de Gretz-Armainvilliers.
Chevry-Cossigny est desservi par une ligne de bus du Réseau Arlequin :
- 6 : Chevry-Cossigny ↔ Brie-Comte-Robert ↔ Évry-Grégy-sur-Yerres ↔ Melun
Ainsi que par une ligne du Réseau de bus Seine et Marne express :
- 16 : Lieusaint ↔ Brie-Comte-Robert ↔ Chevry-Cossigny ↔ Ozoir-la-Ferrière ↔ Pontcarré ↔ Serris
Urbanisme
Typologie
Chevry-Cossigny est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[12],[13],[14]. Elle appartient à l'unité urbaine de Chevry-Cossigny, une unité urbaine monocommunale[15] de 3 952 habitants en 2017, constituant une ville isolée[16],[17].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire regroupe 1 929 communes[18],[19].
Lieux-dits, écarts et quartiers
La commune compte 131 voies[Note 4] dont 57 lieux-dits administratifs répertoriés[20]. Le plus important est Cossigny.
Occupation des sols
En 2018[21], le territoire de la commune se répartit[Note 5] en 54,9 % de terres arables, 33,7 % de forêts, 7,9 % de zones urbanisées, 2,7 % de cultures permanentes, 0,7 % de milieux à végétation arbusive et/ou herbacée[Note 6] et < 0,5 % d’espaces verts artificialisés non agricoles[9].
Logement
En 2014, le nombre total de logements dans la commune était de 1 507 (dont 76,8 % de maisons et 23 % d’appartements).
Parmi ces logements, 95,9 % étaient des résidences principales, 1,4 % des résidences secondaires et 2,7 % des logements vacants.
La part des ménages propriétaires de leur résidence principale s’élevait à 76,2 % contre 22,1 % de locataires[22].
La part de logements HLM loués vides (logements sociaux) était de 8 %[Note 7].
Toponymie
Formes anciennes de Chevry : Vicus Capriacus en 1140, Chevery en 1187, Chavriacum en 1204, Chivriacum en 1218, Capriacum en 1234, Chevriacum en 1241, Chevri en 1242, Chevry-en-Brie en la chastellerie de Corbueil en 1380[23].
Formes anciennes de Cossigny : Quocigni en 1178, Cocigniacum au XIIIe siècle, Cocigni en 1208, Quocigni en 1210, Coscigniacum en 1240, Cociniacum en 1249, Coceigniacum en 1257, Cotegniacum et Coceigni en 1275, Cocegni en 1278, Concigni en 1319, Cossegny en la prevosté et chastellerie de Tournant en Brie en 1343, Cossigny en 1466, Ecclesia parrochialis de Conciciano vel de Ceneiriano vers 1525.
La commune de Chevry, instituée lors de la Révolution française, absorbe aux termes du décret du 23 mai 1810 celle de Cossigny[24].
Ancienne paroisse Saint Waast du diocèse de Sens, Cossigny possédait une église qui fut démolie en 1809 dont l'évêque de Paris était le collateur. La commune, qui était de l'élection et de la généralité de Paris, fut supprimée par décret du 23 mai 1810 et forme avec Chevry une nouvelle commune depuis le 26 janvier 1811[25].
Histoire
Chevry-Cossigny (nommée pour la première fois Capriacum-Cossiniacum) est formée de deux anciennes paroisses, Chevry et Cossigny, sur lesquelles l’abbaye Notre-Dame d'Yerres prélevait les dîmes. Les deux villages remontent au XIIe siècle. Chacun avait un manoir et une église[26]. Les premiers seigneurs de Chevry furent ceux qui prirent le nom de la localité. Evrat de Chevry vivait sous Philippe-Auguste. Ses descendants gardèrent la terre de Chevry jusqu’à la fin du XVe siècle. En 1500, cette terre passa aux Bescherel ; vers 1550, aux Villeblanche ; en 1594, à Jean de Fourcy, qui la céda, en 1630, au duc de Chevreuse, auquel succédèrent, dans l’espace de moins de 50 ans le Président de Mesmes et Claude de Bois-Lève seigneur de Lésigny, dont la fille unique, Gabrielle, porta les biens paternels en dot à François-Pierre de la Forêt d’Armaillé. En 1704, elle était veuve : ses enfants vendirent la seigneurie de Chevry au duc de Penthièvre[26].
À Cossigny, on note comme seigneur et contemporain d’Evrat de Chevry, un sieur Gauthier de Cocimiaco, d’origine étrangère. Nul doute que cette famille, qui posséda la terre de Cossigny jusqu’au XVIe siècle, ne l’ait baptisé de son nom. En 1510, celle-ci passa à la famille de Pierre du Pré dont la fille unique épousa Robert de la Forest, seigneur de Vignolles. En 1723, le domaine de Cossigny était acquis par Claude de Lamarre, secrétaire du roi et en 1765, par Jean Baptiste Levasseur, écuyer, que ses descendants conservèrent jusqu’à la Révolution française. Le domaine de Levasseur appartient aujourd’hui[Quand ?] à M. Cottin-Angar, directeur général de la société d’assurance mutuelle de la rue Royale à Paris, fondée en 1819 par son aïeul maternel, M. Didier Angar[26]. Il fut acquis au commencement du XIXe siècle par son grand-père, M.Cottin, qui a réuni à cette propriété de 550 hectares, d’un seul tenant et sans enclave, la forêt de la Léchelle, les Bois de Passy et le petit domaine de la Plata situés sur la commune de Presles où se trouve une coquette construction moderne[26].
Cossigny est certainement un des plus beaux domaines et des plus giboyeux de Seine-et-Marne. Son parc clos, d’une contenance de plus de cent hectares, fort bien dessiné, renferme de beaux arbres et de belles eaux. Selon un plan de Mahaut de 1779 établi pour Mme veuve Levavasseur, le logement seigneurial dit de la petite ferme était à côté de la ferme de Cossigny actuelle[26]. Une église et un cimetière, actuellement disparus étaient à proximité. Il reste la ferme qui a groupé celle de la porte, de la chapelle Saint-Martin et de Bagnedoux. Elle est bien aménagée comme une étendue en cour et en bâtiments légués par Levasseur. À cet égard, c’était encore une des fermes les mieux achalandées de l’ancien régime en Brie. Cependant seule la partie habitée a conservé son caractère antique avec son vieux portail cintré et son élévation de toiture. Sa tour en forme de donjon, avec ses encoignures de grès apparents, trahissent une construction XVIe siècle du temps d’Henri II ; mais tels qu’ils sont, ces bâtiments ne sont qu’une fraction de ceux du château seigneurial du temps passé. En effet, d’après le plan de Mahaut de 1779, le domaine de Cossigny comportait des ruines d’un vieux château seigneurial, composé d’un seul logement pour le garde ; ce domaine était entouré de fossés qui subsistent encore aujourd’hui. Une villa de style italien a été édifiée dans ce parc au XIXe siècle et existait encore en 1923 date à laquelle le domaine a été acheté par M. Maurice Frings ; la villa a été détruite et remplacée par un manoir en meulière achevé en 1927. Ce manoir existe toujours[26].
Le château du bourg de Chevry existait encore en 1629. On ne sait plus rien de lui à partir de ce moment ; il reste des vestiges de fossés et de substructions suffisants pour en déterminer l’emplacement. On a trouvé à Chevry-Cossigny des armes de guerre, des statues en bronze, des monnaies et des médailles. L’église de Cossigny a été démolie en 1809 et sa commune annexée à celle de Chevry depuis 1810[24]. On y voyait une tombe de Catherine Allegrain, veuve de Jean du Pré et une autre de JR de la Forest, décédé en 1705, en son château de Vignolles. Il faut retenir trois fiefs principaux. Beauverger, Passy et la Marsaudière dont chacun avait son château et sa seigneurie.
Au XIXe siècle, Passy échut à la famille Selves. L’un d'eux, Henri Selves, avait installé en 1831, une belle imprimerie dans sa propriété. Henri Selves a été député de Seine-et-Marne. Le fief des seigneuries de Beauverger passa au XIXe siècle à un notaire de Paris, M. Petit. Celui de la Marsaudière, a été la propriété de Claude-Auguste Petit de Beauverger, ancien préfet créé, sous le Premier Empire, baron. Son petit-fils Auguste Edmond Petit de Beauverger, a été député de Seine-et-Marne et sa descendance possède encore le château moderne et le domaine de la Marsaudière en la personne du baron Arthur de Beauverger[réf. nécessaire].
Circonscriptions d'Ancien Régime
Chevry et Cossigny appartenaient à l'élection et à la généralité de Paris, au diocèse de Paris, doyenné du Vieux-Corbeil[réf. nécessaire].
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
Chevry-Cossigny se trouve dans le département de Seine-et-Marne. Rattachée depuis la Révolution française à l'arrondissement de Melun[24], elle intègre le l'arrondissement de Torcy afin de faire coïncider les limites d'arrondissement et celles des intercommunalités[27].
Elle fait partie depuis 1988 de la neuvième circonscription de Seine-et-Marne.
La commune faisait partie 1793 du canton de Brie-Comte-Robert[24] avant d'être rattachée au canton d'Ozoir-la-Ferrière dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France.
Intercommunalité
La commune est membre de la communauté de communes de l'Orée de la Brie, créée fin 2003.
Engagements de la commune
Chevry-Cossigny a adopté le label RespectZone en avril 2016. Elle s'engage ainsi contre la haine et prône le respect d'autrui.[28]
Élections présidentielles
- Élection présidentielle de 2017[29]: 42,16 % pour Emmanuel Macron (REM), 26,02 % pour Marine Le Pen (FN), 75,81 % de participation.
Liste des maires
Politique de développement durable
Afin de favoriser la biodiversité, la commune a fait installer en 2018 un rucher et a signé une convention avec la ligue pour la protection des oiseaux (LPO), afin de classer la coulée verte en refuge pour les oiseaux[39].
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[40]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[41].
En 2018, la commune comptait 3 939 habitants[Note 8], en diminution de 0,63 % par rapport à 2013 (Seine-et-Marne : +3,47 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Enseignement
- École primaire Normandie-Niémen, rue Marcel-Pagnol
- École maternelle Pohren-Hoissey, rue Albert-Dauvergne
Santé
Un pôle santé accueille en 2016 neuf professionnels de santé[43]
Sécurité
La commune a inauguré en 2016 un poste de police municipale, situé avenue Jean-Jaurès et doté, à sa création, de deux agents. La commune prévoit la mise en place la même année d'un dispositif de vidéosurveillance[44]. Elle a également mis en place en 2016 un conseil des droits et devoirs des familles, lieu d’écoute et un cadre de dialogue pour les familles ayant des difficultés à exercer leur autorité parentale, et destiné à prévenir la petite délinquance et les incivilités[45].
Manifestations culturelles et festivités
- Festival Rock'Ambolesk créé en 2007 se déroule entre fin juin et début juillet[réf. nécessaire].
Économie
En 2011, un réseau de fibre optique FTTH (jusqu'à l'habitant) est déployé sur la totalité de la commune dans le cadre d'un projet pilote national. Ce réseau permet à l'ensemble des Chevriards de profiter d'Internet en Très Haut Débit à travers les services de plusieurs opérateurs dont Orange, Wibox et Comcable.
Revenus de la population et fiscalité
Le nombre de ménages fiscaux en 2014 était de 1 448 représentant 4 091 personnes (dont 78,8 % sont imposés) et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 25 617 €[22].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Personnalités liées à la commune
- Solide candidat au titre de plus célèbre enfant de Chevry-Cossigny, Charles Pathé y voit le jour le 26 décembre 1863. Il sera à l'origine d'un des premiers empires du cinéma, la maison Pathé.
- Edmond Aman-Jean peintre français 1858-1936 élève de l'école des beaux arts, congénère du peintre Seurat avec lequel il partagera un atelier.
- Auguste-Edmond Petit de Beauverger (1818-1873), député-maire de Chevry-Cossigny
- Quelques personnalités médiatiques (humoristes, artistes, chanteurs, auteurs et compositeurs français) très en vue vivent au calme dans ce village discret.
Héraldique
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De gueules au chevron d’argent chargé d’un chevron d’azur, accompagné de trois quintefeuilles d’or surmonté d’un lambel aussi d’argent. |
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Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Site de la mairie
- « Dossier complet : Commune de Chevry-Cossigny (77114) », Recensement général de la population de 2015, Insee, (consulté le ).
Notes
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Une annulation en 1999.
- Statistiques 2018 de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols “Corine Land Cover”.
- Pelouses, pâturages naturels, landes et broussailles, végétation sclérophylle, forêt et végétation arbustive en mutation.
- Voir la Loi relative à la solidarité et au renouvellement urbains (loi SRU).
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
Références
- PLU, pièce N°9 : Informations diverses, page 24 (consulté le 16 novembre 2017)
- « Plan séisme consulté le 16 novembre 2017 ».
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Le Réveillon (F48-0400) ».
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Fossé 01 du Plessis-les-Nonains (F4842000) ».
- Sandre, « Fiche cours d'eau - ru du coupe gorge (F4845000) ».
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Fossé 01 de la Commune de Chevry-Cossigny (F4846000) ».
- Sandre, « Fiche cours d'eau - La Barbançonne (F4819000) ».
- Sandre, « Canal 01 de Cossigny ».
- Site SIGES – Seine-Normandie (Système d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie), consulté le 29 octobre 2018
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Chevry-Cossigny », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF la « forêt de la Léchelle et de Coubert » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Chevry-Cossigny », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- Annuaire des communes françaises
- Site Corine Land Cover Mises à jour.
- Statistiques officielles de l’Insee.
- Dictionnaire topographique de la France, page 125
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Dictionnaire topographique de la France, page 142
- « Histoire de Chevry-Cossigny », sur Chevry-Cossigny, site officiel (consulté le ).
- « Arrêté du 30 décembre 2016 du préfet de la région d'Île-de-France portant modification des limites territoriales des arrondissements du département de Seine-et-Marne », Recueil des actes administratifs de la préfecture d'Île-de-France, no spécial IDF-001-2017-01, , p. 11-23 (lire en ligne [PDF], consulté le ).
- « Chevry-Cossigny, première ville "RespectZone" de France », sur leparisien.fr, .
- Résultats de l’élection présidentielle 2017 sur le site du ministère de l’Intérieur
- « Les maires de Chevry-Cossigny », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
- « Auguste, Edmond Petit de Beauverger (1818-1873) », sur Sycomore, base de données des députés de l'Assemblée nationale.
- « Auguste Edmond Petit, baron de Beauverger », base Léonore, ministère français de la Culture.
- Cécile Chevallier, « Le maire meurt d'une crise cardiaque », Le Parisien, édition de Seine-et-Marne, (lire en ligne, consulté le ).
- « Chevry-Cossigny a un nouveau maire », Le Parisien, édition de Seine-et-Marne, (lire en ligne) « Depuis samedi matin, les habitants de Chevry-Cossigny ont un nouveau maire. Il s'agit de Pierre Bazier, 39 ans, cadre commercial. ».
- Nicolas Sivan, « Municipales: trois candidats à la succession du maire PS de Chevry-Cossigny », Le Parisien, édition de Seine-et-Marne, (lire en ligne, consulté le ) « Il estime avoir fait sa « bonne action civique » et tire sa révérence. A l’issue de son second mandat en tant que maire de Chevry-Cossigny, Pierre Bazier, socialiste à la tête d’une municipalité de rassemblement, ne se représentera pas à sa propre succession. L’élu de 47 ans avait pris les rênes de la ville en 2005 à la suite du décès de Patrice Conti. En 2008, à la tête de la seule liste présentée aux élections municipales, il avait été réélu au premier tour. Mais maintenant que la place s’annonce vacante, la bataille devrait être plus acharnée dans cette ville de 3700 habitants ».
- Réélu pour le mandat 2008-2014 : « L'édito - Les maires-adjoints », Chevry-Cossigny Magazine Municipal, no 10, , p. 5 (lire en ligne [PDF], consulté le ).
- « Compte rendu du conseil municipal du 29 mars 2014 à 10h30 » [PDF], Comptes rendus du conseil, sur chevry-cossigny.com (consulté le ).
- Extrait de la fiche de M. Jonathan WOFSY, sur lesbiographies.com
- Margaux Desdet, « Chevry-Cossigny s’investit dans la biodiversité de proximité : Chevry-Cossigny œuvre pour la biodiversité de proximité. Avant l'été, elle a installé deux ruches, et signé une convention avec la Ligue pour la protection des oiseaux (LPO) », Le Pays briard, (lire en ligne, consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- Nicolas Sivan, « Je ne pense pas que je me serais installée toute seule » : Aude Dunand, médecin généraliste à Chevry-Cossigny », Le Parisien , édition de Seine-et-Marne, (lire en ligne, consulté le ) « Son cabinet (...) est installé au rez-de-chaussée du pôle santé flambant neuf que les élus municipaux ont inauguré après deux ans de travaux. Une structure aménagée pour 130 000 €, dont 35 000 € subventionnés par la préfecture, qui accueille aujourd'hui neuf professionnels médicaux : dentiste, ostéopathes, psychologue, kinésithérapeute… ».
- « Un nouveau poste de police », Le Pays briard, (lire en ligne, consulté le ).
- Pierre Choisnet, « Sécurité : la mairie privilégie a conversation plutôt que la matraque », Le Pays briard, (lire en ligne, consulté le ).
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