Bram
Bram [bʁam] est une commune française, située dans le département de l'Aude en région Occitanie, sur l'axe Toulouse-Méditerranée entre Castelnaudary et Carcassonne.
Bram | |||||
Circulade médiévale de Bram | |||||
Blason |
Logo |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Aude | ||||
Arrondissement | Carcassonne | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Piège-Lauragais-Malepère (siège) |
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Maire Mandat |
Claudie Faucon-Méjean 2020-2026 |
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Code postal | 11150 | ||||
Code commune | 11049 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Bramais | ||||
Population municipale |
3 204 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 181 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 14′ 37″ nord, 2° 06′ 55″ est | ||||
Altitude | Min. 119 m Max. 165 m |
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Superficie | 17,72 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Carcassonne (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de la Piège au Razès | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Géolocalisation sur la carte : Aude
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | Site officiel | ||||
Ses habitants sont appelés les Bramais.
Géographie
Localisation
Bram est une commune moyenne de l'Aude située précisément dans l'ancienne province du Lauragais, sur le Fresquel. C'est un village circulaire. Il est situé à mi-chemin de Carcassonne (20 km) et de Castelnaudary (18 km). Bram est située à 790 km de Paris et culmine à 134 mètres d'altitude. C'est un lieu de passage de tout temps entre l'Aquitaine et la Méditerranée[1].
Communes limitrophes
Voies de communication et transports
- La gare de Bram avec sa passerelle.
- Le port de Bram sur le Canal du Midi.
La ville de Bram possède une gare desservie par les TER Occitanie faisant la liaison entre Toulouse et Narbonne. Par la route, l'accès se fait principalement par les départementales 33 et 6113. Elle dispose d'un échangeur 22 sur l'autoroute A61, est desservie en autocars par la ligne B «Carcassonne-Bram» de la régie des Transports de Carcassonne Agglo[3] et la ligne 403, soutenue par la région Occitanie, effectuant la liaison «Carcassonne-Bram-Castelnaudary». Une aire de covoiturage a été créée en 2019 à proximité de l'autoroute et des points de fort trafic[4]. Son port sur le Canal du Midi, est l'une des bases du leader européen du tourisme fluvial « Locaboat »[5],[6]. L'aéroport de Carcassonne «Sud de France» est situé à 20 mns et celui de Toulouse-Blagnac à 1h de route.
Géologie et relief
Bram se situe en zone de sismicité 1 (sismicité très faible)[7].
Climat
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Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[8]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[9].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[10]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[8].
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[11] complétée par des études régionales[12] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1970 permet de connaître en continu l'évolution des indicateurs météorologiques. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 2,4 | 2,8 | 4,8 | 6,5 | 10 | 13,2 | 16,3 | 15,8 | 13,5 | 10,8 | 6,6 | 3,4 | 8,9 |
Température moyenne (°C) | 5,9 | 6,7 | 9,3 | 11,4 | 15,3 | 19 | 22,6 | 21,8 | 19,5 | 15,3 | 10 | 6,9 | 13,7 |
Température maximale moyenne (°C) | 9,4 | 10,6 | 13,8 | 16,4 | 20,5 | 24,9 | 28,9 | 27,9 | 25,4 | 19,9 | 13,4 | 10,3 | 18,5 |
Record de froid (°C) date du record |
−15 16.01.1985 |
−9,2 14.02.1983 |
−9,1 08.03.1971 |
−2 22.04.1991 |
−0,1 09.05.1974 |
4 05.06.1975 |
6,6 02.07.1975 |
5,8 24.08.1972 |
0,6 27.09.1972 |
−2,5 26.10.1983 |
−5 25.11.1988 |
−11,5 29.12.1970 |
−15 1985 |
Record de chaleur (°C) date du record |
19 25.01.1990 |
22 19.02.1989 |
28 21.03.1990 |
27,5 27.04.1987 |
31,1 25.05.1973 |
36 25.06.1989 |
40,8 06.07.1982 |
37,9 06.08.1975 |
36 07.09.1988 |
29 07.10.1986 |
24 02.11.1988 |
20 18.12.1989 |
40,8 1982 |
Ensoleillement (h) | 66,4 | 87,3 | 140,5 | 176,2 | 207 | 216,6 | 221,3 | 224,6 | 179,2 | 121,1 | 70,6 | 56,6 | 1 767,3 |
Précipitations (mm) | 70,2 | 51,8 | 53,5 | 75,4 | 61,1 | 52,5 | 32,7 | 45,1 | 50,6 | 63,7 | 61 | 61,4 | 679 |
Urbanisme
Typologie
Bram est une commune rurale[Note 2],[13]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[14],[15]. Elle appartient à l'unité urbaine de Bram, une unité urbaine monocommunale[16] de 3 204 habitants en 2017, constituant une ville isolée[17],[18].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Carcassonne, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 115 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[19],[20].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (83 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (90,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (58,1 %), zones agricoles hétérogènes (23,2 %), zones urbanisées (10,2 %), mines, décharges et chantiers (3,4 %), eaux continentales[Note 4] (3,4 %), cultures permanentes (1,7 %)[21].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Espaces verts et naturels
- Le parc des Essar[t]s.
- Plan cadastral du parc et château de Lordat à la fin du XVIIIe siècle.
- Base de loisirs de Buzerens, implantée sur une ancienne gravière.
- Le jardin public et son monument aux morts.
La ville dispose de plusieurs espaces verts, naturels et d'agréments dont:
- Le parc des Essar[t]s, domaine boisé de plus de deux hectares, situé en centre-ville, abrite un « Chemin du Patrimoine Végétal », une signalétique qui recense et met en valeur, à partir d'une étude menée par l'ONF, dix neufs arbres et arbustes remarquables situés au cœur du parc, agrémentée d'un reportage photographique réalisé par les élèves du collège Saint Exupéry et du conseil municipal des jeunes qui met à l'honneur les richesses botaniques du parc sous une forme poétique à travers plusieurs panneaux explicatifs[22];
- le parc du château de Lordat (privé);
- le lac de Buzerens, une ancienne gravière reconvertie en base de loisirs, équipée d'un téléski nautique;
- le lac du Cap de porc, une ancienne gravière, où la baignade est interdite, reconvertie pour la pèche;
- le jardin public, proche de la gare.
Bram possède depuis 2013 une fleur attribuée en tant que ville fleurie par le Conseil national des villes et villages fleuris de France.
Une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique est située prés des gravières à la lisière de la ville[23].
Toponymie
Durant l'antiquité, la localité est fondée par les Volques Tectosages qui occupaient la région, elle se dénommait alors Eburomagos, magos signifiant en gaulois, la plaine, l'esplanade, le terrain servant de marché et eburo, l'if. Ce nom peut donc se traduire par « Marché de l'If ». Le nom actuel de l'agglomération, Bram, peut provenir de la contraction de cette ancienne appellation celtique.
Histoire
Antiquité
Le vicus Eburomagus est attesté au IVe siècle et il figure sous ce nom sur la table de Peutinger[24]. Le village était situé à un carrefour de la voie d'Aquitaine. Il y existait un important marché de vins et des ateliers de poteries connus pour sa céramique sigillée à vernis rouge. Les fouilles ont révélé un théâtre, un temple et des thermes. L'administration était entre les mains de trois magistri vici[25].
En 333, l'anonyme de Bordeaux, sur la route de Jérusalem, s'y arrêta et il nota l'étape comme Vicus Hebromago.
Moyen Âge
C'est au début du XIIe siècle que le village, qui a vu son diamètre doubler se dote d'une seconde enceinte et qu'apparaissent les premiers chevaliers et seigneurs de Bram. Ils installent leur château dans l'enclos ecclésial originel face à l'église. Les deux tours, le clocher, le donjon s'affrontent ainsi symboliquement pour le partage du pouvoir. Le dernier vestige du château médiéval était une tour servant de prison qui existait encore au XVIIIe siècle.
Lors de la Croisade des albigeois, l'armée croisée conduite par Simon de Montfort prend Carcassonne en 1209. Elle est venue punir les hérétiques cathares. Les seigneurs occitans résistent et l'un d'eux, Giraud de Pépieux, punit deux chevaliers croisés en leur faisant crever les yeux. Peu après, début 1210, l'ost croisé prend d'assaut la petite ville de Bram qui a refusé d'ouvrir ses portes. Simon de Montfort ordonne que soient arrachés le nez et les yeux des survivants, en représailles. Un seul n'est qu'éborgné : il servira de guide aux autres[26]. Après cet épisode, Simon de Montfort laissa la ville en fief à l'un de ses compagnons: Alain de Roncy.
Le centre du village s'est développé sur un plan de rues concentriques autour du château sur motte. Celui ci s'est ensuite déporté hors du village libérant la place centrale. Au bas moyen-âge se construit une nouvelle ceinture de fortifications, protégées à l'extérieur par des fossés alimentés par une dérivation de la Preuilhe.
XVIe siècle
En 1582, le village et le château sont pris par les huguenots qui tenteront vainement de contenir le siège entrepris par les catholiques de la Ligue. C'est dans ce contexte que Paul-Jacques de Lordat, seigneur de Prunet (Arzens), entame l'acquisition du fief de Bram en 1598. Le château actuel fut construit par Louis de Lordat, au début du XVIIIe siècle. La famille conservera son droit seigneurial jusqu'à la Révolution[27].
XVIIe siècle
Le roi Louis XIII, passa une nuit au village le 20 octobre 1632. Sa présence est attestée par une pierre sculptée (inscrite aux monuments historiques par arrêté du 18 mars 1930) portant une inscription visible sur un mur, et quelques mètres plus loin, par une plaque sur la façade de l'ancienne boulangerie du château de la Baronnerie située dans la rue qui porte son nom. Dix jours plus tard à Toulouse (au Capitole) il assistât à l'exécution du Duc de Montmorency (vaincu à Castelnaudary).
Époque contemporaine
Durant la Seconde Guerre mondiale, un camp d'internement, dit « camp du Pigné », est implanté en zone limitrophe entre les communes de Bram et de Montréal, près de la ligne de Bram à Belvèze, allant jusqu'à Lavelanet. Actif de 1939 à 1941, entre 15 000 et 18 000 personnes y auront été internées[28], principalement des exilés espagnols de la Retirada[29].
Le 14 juillet 2016, Gisèle et Germain Lyon, résidents à Bram, font partie, avec 4 membres de leur famille, des 86 victimes de l'attentat terroriste perpétué à Nice sur la promenade des anglais. Leur noms figurent sur le monument aux morts et sur la stèle se trouvant sur le parvis de la laïcité créé devant l'hôtel de ville. La plaque commémorative située au même endroit est illustrée d'une Marianne dessinée spécialement par Benjamin Régnier, qui avait ému la France avec sa « Marianne en pleurs » au lendemain de l'attentat du Bataclan [30].
Politique et administration
Administration municipale
- L'ancienne mairie, située dans le village circulaire.
- Le fronton de l'hôtel de ville avec le blason de la commune.
- L'hôtel de ville.
La mairie était située avec l'école dans la circulade, rue Alazaïs Raseire, jusqu'au début des années 50. Époque ou un nouvel hôtel de ville fut construit à quelques mètres de cet endroit en bordure de la voie ferrée.
Des anciens maires sont honorés par une rue portant leurs noms. Il s'agit de Jacques Viroligier (1854 à 1855), Charles de Lordat (1868 à 1870 - 1871 à 1876 et 1884 à 1888), Jean-Pierre Sabarthez (1888 à 1892), Bernard (1792) et Firmin Lacroix (1892 à 1894) ainsi que le président de la délégation spéciale, Joseph Caizergues (1941 à 1944).
En 2020 le maire dirige la ville avec 5 adjoints et 16 conseillers municipaux dont 3 avec des délégations[31].
Il existe également un Conseil municipal des jeunes permettant tous les 2 ans à 15 jeunes élus scolarisés du Cm2 à la 3e de mettre en place, avec leur propre budget, des actions citoyennes à destination de la jeunesse, mais également à l'ensemble de la population[32].
Tendances politiques et résultats
La ville est depuis 1971 un bastion du Parti Socialiste dans l'Aude.
Liste des maires
Instances judiciaires et administratives
Les juridictions compétentes pour la commune de Bram sont le tribunal d'instance de Carcassonne, le tribunal de grande instance de Carcassonne, la cour d'appel de Montpellier, le tribunal pour enfants de Carcassonne, le conseil de prud'hommes de Carcassonne, le tribunal de commerce de Carcassonne, le tribunal administratif de Montpellier et la cour administrative d'appel de Marseille.
Services publics
Bram possède un service départemental d'incendie et de secours, un pôle gendarmerie, une police municipale, une poste, une annexe de l'office de tourisme intercommunale, une Maison de services au public administrée par la Communauté de communes Piège-Lauragais-Malepère.
Santé
La ville dispose d'un centre médical. Plusieurs médecins, dentistes, infirmiers, osthéopates et kinésithérapeutes sont installés sur son territoire ainsi qu'une pharmacie[33] .
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[35].
En 2018, la commune comptait 3 204 habitants[Note 5], en diminution de 6,89 % par rapport à 2013 (Aude : +2,17 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Enseignement
Bram fait partie de l'Académie de Montpellier. Voici les principaux établissements:
- L'école maternelle « Arc en Ciel ».
- Le collège « Saint-Exupéry ».
- L'école élémentaire « Marie-Jeanne Estevenon-Ferrasse ».
- La crèche intercommunale Jacques Cambolive;
- l'école maternelle « Arc en ciel »;
- l'école élémentaire « Marie-Jeanne Estevenon-Ferrasse ». Le décor sculpté entourant la porte d'entrée est signé Yvonne Gisclard-Cau et Paul Manaut;
- le collège Saint-Exupéry, inauguré au début des années 60;
- l'école intercommunale des arts (musique, danse et théâtre).
Cultes
Bram dispose d'un lieu de culte catholique, l'église Saint-Julien-et-Basilisse dépendant du diocèse de Carcassonne et Narbonne.
Le culte évangélique des Tziganes de France Vie et Lumière est pourvu d'un lieu de réunions.
Équipements publics et culturels
- La Maison de l'archéologie - Musée Eburomagus, labéllisé Musée de France;
- l'Espace arts et cultures « Les Essar[t]s »[38];
- la Médiathèque intercommunale;
- la Maison des jeunes et de la culture, fondée en 1969[39];
- les deux boite à livres, situées au bord du lac de Buzerens et de l'hôtel de ville dans l'ancien poids public[40];
- La salle polyvalente « Espace Idéal », inaugurée en 2019 à l'emplacement de l'ancien cinéma « Idéal », fermé à la fin des années 90[41],[42].
Sports
La ville compte une quinzaine d'associations sportives, pratiquants diverses disciplines comme l'aïkido, le judo, le sambo, le football, le rugby à XV, le handball, la pétanque, le badminton, le tennis, la randonnée, le cyclisme, la gymnastique, le motocross et le wakeboard[44].
Elle est équipée de nombreux équipements sportifs, parmi lesquels: le gymnase de « La Patriote », le gymnase et le stade du collège Saint-Exupéry, le stade et les cours de tennis du complexe des Pyrénées avec sa maison des sports, un dojo, un boulodrome couvert et des terrains de pétanques.
- En rugby à XV, la fusion de l'AS Bram XV et de l'Avenir Montréalais en juillet 2016, entraine la création du club Piège Lauragais Malepère XV. Pour le championnat 2020-2021, celui-ci évolue en 1re Série - Championnat Territorial. Son siège situé à la maison des sports porte le nom de Ferrucio-Dante Spanghero, père de la célèbre famille de rugbymens.[45],[46].
- Le football est représenté par l'AS Bram, fondé en 1968, qui évolua en division d'honneur régionale en 1980. Pour la saison 2021-2022, l'équipe 1, est engagée dans le championnat départemental 2[47].
- En gymnastique, « La Patriote », fondée en 1908 était destinée à l'origine à la préparation militaire des jeunes hommes. Elle a pour but, aujourd'hui, la pratique de la gymnastique artistique des enfants, la gymnastique d’entretien et d’expression des adultes. Elle est affiliée à l’UFOLEP.
Médias
Presse locale
La presse est représentée par les grands quotidiens régionaux du groupe La Dépêche du Midi : La Dépêche du Midi[48], L'Indépendant et Midi libre, ainsi que par l'hebdomadaire: Le Petit-Journal[49].
Un magazine trimestriel municipal intitulé « Regards » rend compte de l'actualité de la ville[50].
Radios locales
En plus des stations de radio nationales, la ville est couverte par des stations locales qui réalisent des émissions, reportages ou décrochages sur place :
- 89,3 RCF Pays d'Aude
- 98,5 Cent pour/100 Radio
- 104,1 Pyrénées FM
- 106,1 France Bleu Occitanie[51]
Économie et commerce
En 1818, le préfet de l'Aude, Claude Joseph Trouvé, décrit la commune:
« Bram, l'une des plus riches du département, réunit aux avantages de sa situation, celui d'être traversée par une grande route qui conduit par Fanjeaux à Mirepoix, et qui s'embranche à celle de Carcassonne à Toulouse. Il est étonnant qu'elle n'ait aucun établissement de commerce. Ses routes, son port sur le canal, l'industrie de ses habitants, en garantiraient le succès. »[52]
En 2021, La ville possède deux zones d'activités économiques. Celle de l'Autan, située à l'entrée Est et celle du Lauragais (gérée par la communauté des communes Piège-Lauragais-Malepère) située à proximité immédiate de l'échangeur autoroutier de l'A61 22 qui ont permis l'installation sur son territoire, avec ceux du centre-ville, d'une cinquantaine de commerces, dont un supermarché, accompagnés d'une trentaine de prestataires de services.
Pôle d'attraction agricole, grâce à la coopérative Arterris, son immense silo à grains exploité près de la gare, et l'activité commerciale qui en résulte, elle bénéficie d'un important et réputé marché de plein vent situé en centre-ville, établi depuis 1812[53], sur l'avenue du Général de Gaulle, les places Carnot et République, attirant de nombreux chalands le mercredi. Le dimanche un marché de producteurs locaux plus modeste est installé sur les places de la République et des Jardiniers, accompagné depuis 2018 d'un marché de producteurs de pays organisé en nocturne début août[54].
En centre-ville, autour de la place Carnot et de l'avenue du Général de Gaulle, on trouve principalement des commerces de proximité et services, parmi lesquels: une supérette, des agences bancaires, des assureurs, une agence immobilière, un tabac- maison de la presse, des cafés, un salon de thé, deux restaurant, des snacks et pizzérias, un caviste, un photographe[55], des informaticiens, un architecte, un magasin d'électro-ménager, des salons de coiffures, un institut de beauté, un fleuriste, un toiletteur pour chiens et chats, deux boulangeries, un boucher, un charcutier et un poissonnier. La municipalité a mis en place en 2020, aux côtés de l'association «Autr'Monde» avec l'aide de la Chambre de commerce et d'industrie de l'Aude, un espace de vente mutualisé servant de « boutique tremplin » pour les porteurs de projets[56].
Depuis mai 2021, dans le cadre du dispositif national Petites villes de demain, un manager de commerce et de développement économique est au service de la ville et de la communauté des communes[57].
Jumelage
- Soum (Nanoro) (Burkina Faso) depuis 2005[58].
Culture et patrimoine
Un « chemin du patrimoine historique » a vu le jour en 2012 au cœur du centre-ville. Il détaille l'histoire de la commune et de ses personnalités (de Louis XIII à Jean Cau) en passant par l'église, la halle, les chapelles, le parc des Essar[t)s ou le musée Eburomagus. Il valorise les richesses patrimoniales et architecturales de la ville, notamment dans le village circulaire[59].
Lieux et monuments
- Maison de l'archéologie. Musée Eburomagus.
- Église Saints-Julien-et-Basilisse située au centre de la circulade.
- Église Saints Julien-et-Basilisse - Dalle funéraire en marbre dédiée au marquis Paul-Jacques de Lordat lors de son décès le 16 juillet 1765.
- Façade principale de l'ancien château des Lordat.
- La halle Claude Nougaro.
- Chapelle Notre-Dame de Miséricorde.
- Chapelle de l'Assomption, située dans la circulade.
- Mémorial de la Retirada.
- Mémorial de la Retirada, inauguré en 2009, situé devant l'entrée de l'ancien camp de Pigné[60];
- Monument aux morts situé dans le jardin public[61];
- La halle « Claude Nougaro » baptisée du nom du célèbre chanteur toulousain en 2013, située sur la place Carnot[62]. Du type de celles créées par l'architecte Victor Baltard, inaugurée en 1909, elle accueille diverses manifestations et les délibérations du conseil municipal;
- Maison de l’archéologie, musée Eburomagus, inauguré en 2006, lieu du rapatriement des pièces du secteur, pour beaucoup de Bram, entreposées jusque-là au dépôt du Présidial à Castelnaudary. Un musée "Hors les murs" a été créé en 2019 pour guider les visiteurs in situ vers les principaux points de découvertes archéologiques des 50 dernières années. Il est constitué de 11 panneaux explicatifs.[63];
- Laboratoire d'archéologie du Lauragais (Labarchéo) dont le siège se trouve au Musée Eburomagus ;
- Château de Lordat datant du XVIIIe siècle (privé) reconverti en centre d'adaptation du travail;
- Le pigeonnier du château de Lordat, appartenant au domaine de Bordeneuve (privé), restauré en 2020 dans le cadre du Loto du Patrimoine initié par Stéphane Bern [64];
- Fragment du mausolée datant du XVIIIe siècle de la famille de Lordat, détruit en 1793. Pierre sculptée ornant le frontispice, visible à l'entrée Est de la ville, représentant sur un fond de draperies, un sablier figurant le temps qui s'écoule, entouré de deux grandes ailes et de faux symbolisant la mort [65].
- Château de Valgros - Frontenac, datant du XIXe siècle, (ou ce qu'il en reste après les incendies de 2005 et 2020)[66],[67];
- Parc et maison des Essar[t]s, ancien domaine de La Nauze. Transformé en 2014, après une donation à la ville, en centre d'exposition dédié aux arts visuels et à la culture;
- Église Saint-Julien-et-Basilisse, datant du XIVe siècle, dédiée aux Saints Julien-et-Basilisse. L'abside et le clocher font l'objet d'un classement au titre des monuments historiques depuis le [68];
- Chapelle Notre-Dame-de-Miséricorde de Bram de style néogothique, construite dans la seconde moitié du XIXe siècle ;
- Chapelle de l'Assomption, de style néoclassique, elle est datée de la seconde moitié du XIXe siècle ;
- Canal du Midi, port du XVIIe siècle (20 anneaux) et écluse de Bram.
Manifestations culturelles et festivités
Les principales manifestations:
- Avril-Mai: « Le mois de l'archéo ». Série d’ateliers, de visites et de conférences à la Maison de l'archéologie Eburomagus;
- Mai: Nuit Européennes des musées. Portes ouvertes et visites guidées à la Maison de l'archéologie Eburomagus;
- Mai: « Fête du jeu » au parc des essar[t]s;
- Juin: « Les Journées Antiques ». Festival gallo-romain au parc des essar[t]s[69];
- Juin: Fête de la musique, au parc des essar[t]s;
- Juin-Juillet: « Festival Idéal ». Festival de lecture et de poésie annuel au parc des essar[t]s[70];
- 14 juillet: Fête de la République, en centre-ville et au parc des essar[t]s;
- Août: « Ciné-plein air » au parc des essar[t]s;
- Septembre: « Fête des associations » au parc des essar[t]s[71] ;
- Septembre: Journées Européennes du patrimoine. Portes ouvertes du musée Eburomagus, maison de l'archéologie et du dépôt, accompagné d’animations;
- Décembre: Spectacle de Noël. Feu d’artifice et spectacle son et lumière. Rencontre avec le Père-Noël. Vin chaud et marrons chauds offerts par la ville et le Comité des Fêtes au parc des essar[t]s.
Personnalités liées à la commune
- Olivier de Termes (1200-1274), seigneur de Termes et de Bram.
- La famille de Lordat est l'une des plus anciennes de l'Aude, cinq de ses membres furent gouverneurs de la ville de Carcassonne. Elle fit construire son château à Bram qui leur appartiendra jusqu'en 1856. Paul-Jacques (- 1765) fonda la branche de Bram suivi par Jean de Lordat (1590-1681) Joseph-Marie (1725-1765) et plus tard Charles de Lordat (1829-1908), maire de Bram et député de l'Aude[72],[73].
- Bernard Lignières (1769-1847), député de la Haute-Garonne en 1815, pendant les Cent-Jours, né à Bram.
- Alexandre Louis Albert Charles de Bancalis de Maurel d'Aragon (1844-1896), diplomate et historien français.
- Paul Vidal de La Blache (1845-1918) éminent géographe dont les atlas ont fait longtemps autorité en France.
- Albert Sarraut (1872-1962), homme d'état, président du conseil, ministre, conseiller général du canton de Fanjeaux [74]
- Loís Alibèrt (1884-1959), linguiste occitan, auteur notamment d'une grammaire, et accessoirement d'un dictionnaire, bases de la norme classique de l'occitan.
- Georges Milhaud (1892-1952), spéléologue, né à Bram, qui a exploré la grotte de la Devèze, a fondé le premier club de spéléologie de France (le club de la Montagne Noire et de l'Espinouse), et a organisé le premier congrès français de spéléologie en 1939.
- Albert Gau (1910-1993), prêtre, résistant, journaliste et homme politique français, député de l'Aude. Créateur du centre d'éducation spécialisé de Sainte-Gemmes, à Bram.
- Lucien Villa (1922-2018), homme politique français, membre du Parti communiste français, député de Paris (20e arrondissement).
- Pierre Seel (1923-2005), militant, victime du paragraphe 175, enterré au cimetière de Bram.
- Jean Cau (1925-1993), né à Bram, écrivain, journaliste, pamphlétaire, prix Goncourt 1961.
- Pierre Rolland (1926-1967), né à Bram, professeur de philosophie, champion de France d'échecs en 1956.
- Henri Rancoule (1933-2021), né à Bram, est un ancien joueur de rugby à XV français. Il joua avec l'équipe de France et évolua au poste d'ailier. Trois fois champion de France avec le Football club lourdais XV Hautes-Pyrénées[75],[76].
- Robert Espanol (1929), né à Bram, champion de France de rugby à XV en 1949 et 1950 avec le Castres Olympique[77],[78].
- Jacques Cambolive (1940-2015), député de l'Aude, maire de Bram[79].
- La famille des Spanghero, joueurs de rugby à XV : Laurent Spanghero (né en 1939), Walter Spanghero (né en 1943), Jean-Marie Spanghero (né en 1945) et Claude Spanghero (né en 1948). Par ailleurs, un reportage spécial de l'émission Les Coulisses de l'exploit, présenté par Roger Couderc, qui leur est consacré, fut tourné à Bram en 1966[80].
Gastronomie
Une spécialité, « Le Bramais », est produite par la boulangerie-pâtisserie « Laval »: un gâteau à base de meringue, génoise et crème pâtissière[81].
Films tournés à Bram
- Vie Sauvage de Cédric Kahn en 2014.
- Les Hommes du feu de Pierre Jolivet en 2016[82].
Héraldique et médaille de la ville
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Les armes de Bram se blasonnent ainsi : D'or à la croix de gueules. |
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- Avers de la médaille d'honneur de la ville de Bram.
- Revers de la médaille d'honneur de la ville de Bram.
Slogan et devise
Le slogan de la ville diffusé depuis 2008 sur les réseaux sociaux et utilisé pour sa communication est:
« Bram, la ville à vivre ! »
Sa devise, visible sur le fronton de la mairie et sur sa médaille d'honneur, est:
« Cavilhat al teraïre coumo à la libertad » (Chevillé au terroir comme à la liberté).
Voir aussi
Bibliographie
- Claude Jacquemay « En Lauragais, sous la Révolution et l'Empire, Bram » 430.p, Imprimerie Tinena, Quillan, 1986 (ISBN 2-950-1366-0-5)
- [Carozza et al. 1992] Laurent Carozza, Albane Burens et Sylvain Fry, « Bram - Buzerens », Archéologie de la France - Informations, (lire en ligne [sur journals.openedition.org]).
- [Passelac 1994] Michel Passelac, « Bram - Le village », Archéologie de la France - Informations, (lire en ligne [sur journals.openedition.org]).
- [Passelac & Vignaud 1994] Michel Passelac et Alain Vignaud, « Bram - La Gabache », Archéologie de la France - Informations, (lire en ligne [sur journals.openedition.org]).
- [Passelac 1995] Michel Passelac, « Bram (Aude). Le village, rue Marceau » (compte-rendu), Archéologie médiévale, no 25, , p. 197 (lire en ligne [sur persee]).
- [Passelac 1996] Michel Passelac, « Bram (Aude). Le village, rue Marceau » (compte-rendu), Archéologie médiévale, no 26, , p. 211 (lire en ligne [sur persee]).
- [Passelac 2001] Michel Passelac, « Deux fours de potiers augustéens du Vicus Eburomagus (Bram, Aude) » (Colloque des 27-28 septembre 1996 (Sallèles d'Aude)), Collection de l'Institut des Sciences et Techniques de l'Antiquité, no 760 « 20 ans de recherches à Sallèles d'Aude », , p. 143-162 (lire en ligne [sur persee]).
- [Sanchez 2007] Corinne Sanchez, « Les céramiques d’imitations au Ier siècle av. n. è. en Languedoc: l’exemple des sites de consommation », dans Mercè Roca Roumens & Jordi Principal, Les imitacions de vaixella fina importada a la Hispania citerior (segles i aC – i dC), Tarragona, Institut Català d’Arqueologia Clàssica, coll. « Sèrie documenta » (no 6), , sur researchgate.net (lire en ligne).
- Gérard Jean « Dictionnaire encyclopédique de l'Aude », tome 1, p.242 à 247. Éditions de l'Académie des Arts et des Sciences de Carcassonne, 2000 (ISBN 978-2-9535768-0-1)
- Collectif, « Réfugiés espagnols dans l'Aude, 1939-1940 », catalogue de l'exposition présentée à Bram en juin 2004, 113.p.Édité par les Archives départementales de l'Aude, Carcassonne 2004 ( (ISBN 2-86011-021-6))
- Francis Boudou, Communauté de Communes de la Piège et du Lauragais, Canton de Fanjeaux, Éditions Opération Vilatges al Pais 2008 (ISBN 978-2-9527614-1-3)
- Anne Brenon, Jean-Loup Marfaing, Robert Marconis, Sébastien Vaissière «Le Lauragais, regards sur un patrimoine » Editions Loubatières, Toulouse, 2009. (ISBN 978-2-86266-597-9)
Articles connexes
Liens externes
- Ressource relative à la géographie :
- Ressource relative aux organisations :
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le )
Références
- Jean-Pierre Lagache, « Village de l'Aude: Bram, la cité gallo-romaine d'hier à aujourd'hui », sur http://belcaire.over-blog.com, (consulté le )
- Carte IGN sous Géoportail
- « Les lignes et les plans », sur https://rtca.carcassonne-agglo.fr (consulté le )
- « Une aire de covoiturage s’installe à Bram », sur www.villedebram.fr, (consulté en )
- « Au départ de Bram: Canal du Midi en bateau - Accès Carcassonne & Castelnaudary », sur www.locaboat.com, (consulté le )
- Laurent Gauthey, « Aude : à Bram, les touristes de l’arrière-saison larguent les amarres », sur ladepeche.fr, (consulté le )
- Plan séisme
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
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- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
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- Daniel Brun, Les mystères cathares, p. 45
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- « Valgros, le château abandonné… et incendié deux fois », sur ttps://www.grandsudinsolite.fr, (consulté le )
- « Château de Valgros – Frontenac – Bram », sur https://urbexsession.com, (consulté le )
- Notice no IA11000043, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Bram. Ce week-end : les journées antiques nous ramènent au temps des Gaulois », sur ladepeche.fr, (consulté le )
- André Cathala, « Ce week-end à Bram : festival Idéal, saison 2 », sur ladepeche.fr, (consulté le )
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- Philippe Landru, « Les Sarraut, où comment se jouer des cimetières... », sur http://www.landrucimetieres.fr, (consulté le )
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- « Bram. La boulangerie Laval s'agrandit », sur ladepeche.fr, (consulté le )
- Giulia Foïs, « Quand Pierre Jolivet filme les pompiers », sur https://www.franceinter.fr, (consulté le )
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