Bœrsch

Bœrsch [bœʁʃ] est une commune française située dans la circonscription administrative du Bas-Rhin et, depuis le , dans le territoire de la Collectivité européenne d'Alsace, en région Grand Est.

Ne doit pas être confondu avec Charles Boersch.

Bœrsch

La Tour-Basse et l'entrée de la ville.

Blason
Administration
Pays France
Région Grand Est
Collectivité territoriale Collectivité européenne d'Alsace
Circonscription départementale Bas-Rhin
Arrondissement Molsheim
Intercommunalité Communauté de communes des Portes de Rosheim
Maire
Mandat
Colette Jung
2020-2026
Code postal 67530
Code commune 67052
Démographie
Gentilé Boerschois [1]
Population
municipale
2 442 hab. (2018 )
Densité 105 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 28′ 40″ nord, 7° 26′ 30″ est
Altitude Min. 211 m
Max. 787 m
Superficie 23,35 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Bœrsch
(ville-centre)
Aire d'attraction Strasbourg (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Molsheim
Législatives Sixième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Grand Est
Bœrsch
Géolocalisation sur la carte : Bas-Rhin
Bœrsch
Géolocalisation sur la carte : France
Bœrsch
Géolocalisation sur la carte : France
Bœrsch

    Cette commune se trouve dans la région historique et culturelle d'Alsace.

    Le nom allemand-alsacien, qui n'est pas officiel, est Börsch. Ses habitants sont appelés les Bœrschois.

    Géographie

    La place centrale du village.
    Ruelle avec ses maisons à colombages.

    Bœrsch est située dans le vignoble alsacien, dans une dépression d'un affluent de la rive gauche de l'Ehn, à environ km au sud-ouest de Rosheim, comprenant Klingenthal et le hameau de Saint-Léonard. Le village fait partie du canton de Rosheim et de l'arrondissement de Molsheim. Bœrsch est également située à 30 km au sud-ouest de Strasbourg. Le village se trouve entre les villes de Rosheim et d'Obernai, non loin de Molsheim. Les villageois sont appelés les Bœrschois.

    Lieux-dits et écarts

    Cours d'eau

    • Le Weidash ;
    • canal de l'Ehn.
    Communes limitrophes de Bœrsch
    Mollkirch Rosheim Bischoffsheim
    Grendelbruch
    Ottrott Obernai

    Urbanisme

    Typologie

    Boersch est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[2],[3],[4]. Elle appartient à l'unité urbaine de Bœrsch, une agglomération intra-départementale regroupant 3 communes[5] et 4 468 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[6],[7].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Strasbourg (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 268 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[8],[9].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (84,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (84,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (83,7 %), cultures permanentes (7,4 %), zones urbanisées (6,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,2 %), terres arables (1,1 %), zones agricoles hétérogènes (0,2 %), prairies (0,1 %)[10].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[11].

    Toponymie

    • Birsa, 1109 ;
    • Bersa, 1187 ;
    • Boersch, 1793 ;
    • Beurche, 1934 ;
    • Boersch, 1945.


    Histoire

    Le village est mentionné pour la première fois en 1109 lors de la fondation de l'abbaye de Saint-Léonard. Très tôt, les chanoines de la cathédrale de Strasbourg y possède une cour dimière. Vers 1340, l'évêque de Strasbourg, Berthold de Bucheck, accorde le statut de ville à la localité et érige les fortifications de la cité.En 1385, Boersch est prise de nuit par le comte Henri III de Saarwerden, pillée, détruite et l'église brûlée. Par la suite, Guillaume de Diest, évêque de Strasbourg(1394-1439, la gage plusieurs fois pour payer ses nombreuses dettes. En 1405 et 1406, il l’hypothèque à trois créanciers : au comte Philippe de Nassau - Saarwerden, à la Ville de Strasbourg et au Grand Chapitre. Finalement en 1423, l'évêque Guillaume, l'engage à la ville de Strasbourg, qui la garde jusqu'en 1464. En 1439 les époux Rumeler-Lawel et Anelin fondent à Boersch un hospice pour héberger les pèlerins et voyageurs « pauvres et honnêtes ». Au Moyen Âge la cité est ravagée et pillée à plusieurs reprises. La seigneurie passe définitivement en 1466 à l'évêché du Grand Chapitre de la cathédrale de Strasbourg pour 1 000 florins, et ce jusqu'à la Révolution. Boersch connaît ensuite une période de prospérité, jusqu'à la guerre de Trente Ans (1618-1648). Boersch est pillée puis occupée par les troupes de Ernst von Mansfeld en 1622, puis par les Suédois en 1632. Sa population augmente ensuite régulièrement jusque vers 1830, puis régresse ensuite avec la fermeture de la manufacture d'armes blanches de Klingenthal et l'exode rural. La situation s'inverse vers 1960.

    Klingenthal (vallée des lames)

    Klingenthal est un village situé sur la commune de Boersch. Il doit son nom à la grande manufacture royale d'armes blanches fondée en 1730. Louis XV fit venir à cette époque des ouvriers allemands de Solingen (Ruhr) près de Düsseldorf. Cette manufacture a été supprimée et remplacée ensuite par une fabrique d'armes blanches dites du commerce, ainsi que de faux et faucilles ; ces dernières égalaient en qualité celles de Styrie et leur étaient même supérieures pour ce qui concerne la fabrication. La localité de Klingenthal se développe autour de cette industrie. Jusqu'en 1736, Henri d'Anthès dirige l'entreprise qui cesse de fonctionner en 1751 par manque de commande de l'État. Durant les guerres de la Révolution et de l'Empire, la manufacture renaît à nouveau, mais victime de la révolution industrielle, la manufacture ferme en 1836. Par la suite, les entrepreneurs Coulaux font des bâtiments une fabrique d'aiguiserie de baïonnettes pour le service de la manufacture de Mutzig, une raffinerie de cuivre avec martinet et une fabrique de garance. L'entreprise ferme définitivement en 1962. La maison de la manufacture est aujourd'hui un musée qui tente de perpétuer le souvenir de cette florissante industrie. Dans les montagnes, derrière le Klingenthal, on trouve cachées au milieu des sapins qui les entourent de toutes parts, les ruines du château de Kagenfels ou Kagenbourg.

    Couvent bénédictin de Saint-Léonard

    En 1109, un couvent de bénédictins est construit à Saint-Léonard, un hameau à km de Bœrsch. D'après la légende, l'endroit était occupé par un ermite. La charte de fondation du couvent mentionne l'endroit sous le nom de Berse ou Bersa. À peine un siècle après sa fondation, le couvent périclite. Il est remplacé vers 1215 par une collégiale de chanoines en provenance du chapitre de la cathédrale de Strasbourg. Pendant la guerre des paysans, le , la collégiale est attaquée par des paysans venant d'Altorf et de Dorlisheim auxquels se joignent quelques habitants de Bœrsch, mais aussi d'Obernai, de Bernardswiller, et d'Ottrott. Pendant la guerre de Trente Ans, ce sont les troupes suédoises d'Ernst von Mansfeld qui se livrent par deux fois aux pillages et aux profanations du couvent, la première fois en 1622 et la seconde fois en 1632. Lors de la première expédition suédoise, des chanoines sont même brûlés vifs. La peste sévit pendant six mois dans la région en 1633, décimant une partie importante de la population. Au XVIIIe siècle, malgré les diverses spoliations, les chanoines possèdent encore de nombreux biens à Innenheim, Bischoffsheim, Blaesheim, Entzheim, Duppigheim, Kintzheim, Auenheim (près de Kehl). À la Révolution, la collégiale, les maisons capitulaires, ainsi que les biens qui en dépendaient furent vendus aux enchères. L'orgue Silbermann est transféré à Ottrott-le-Haut et occupe maintenant l'église de cette ville. L'église du couvent est démolie et les pierres réutilisées pour la reconstruction de l'église de Benfeld qui se trouvait en mauvais état. Le clocher en forme de bulbe est installé sur l'église d'Ergersheim. Avant la Première Guerre mondiale, Saint-Léonard devient un important centre culturel régional. Dans l'ancienne cour du chapitre se trouve un tableau de Charles Spindler, montrant la collégiale au XVIIIe siècle, d'après une estampe d'époque.

    Héraldique

    Les armes de Bœrsch se blasonnent ainsi :
    « D'azur aux deux perches adossées d'argent. »[12].
    Armes parlantes (Barsch signifie « perche » en allemand).

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Gustave Schmutz URD Propriétaire
    Conseiller général du canton de Rosheim (1924 → 1934)
    Les données manquantes sont à compléter.
    1971 2001 Gérard Lehmann UMP  
    mai 2020 Philippe Meyer UMP-LR Professeur d’histoire-géographie
    Conseiller général du canton de Rosheim (2008 → 2015)
    Conseiller départemental du canton de Molsheim (2015 → )
    Vice-président du conseil départemental du Bas-Rhin (2015 → )
    1er vice-président de la CC des Portes de Rosheim (2008 → )
    mai 2020 En cours Colette Jung [13]    
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[14]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[15].

    En 2018, la commune comptait 2 442 habitants[Note 3], en augmentation de 1,24 % par rapport à 2013 (Bas-Rhin : +2,17 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 8781 7582 2072 2372 3452 3172 1262 0881 985
    1856 1861 1866 1871 1875 1880 1885 1890 1895
    1 9201 8441 8021 6321 6461 5491 5611 4811 413
    1900 1905 1910 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 3351 3021 3031 1891 2331 1961 1511 1581 184
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    1 1721 1541 4071 6631 8922 1072 3382 3702 401
    2013 2018 - - - - - - -
    2 4122 442-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[16] puis Insee à partir de 2006[17].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Jumelages

    Personnalités liées à la commune

    Patrimoine

    Église Saint-Médard de Bœrsch

    Flanquée d'une tour de chœur en partie romane (premier étage du XIIe siècle). L'étage inférieur du clocher est du XIVe siècle. À l'intérieur du clocher il y a des restes d'une belle fresque du XIVe siècle, représentant le Christ en croix entre la Vierge et saint Jean. L'intérieur de la tour correspond au chœur de l'ancienne église, détruite et brûlée en 1385. L'édifice actuel date du XVIIIe siècle. Derrière le maître-autel, on trouve un tableau peint par Heimlich en 1773 représentant saint Brice bénissant la cité, entouré de remparts, tels qu'on pouvait les voir au XVIIIe siècle. Les autels latéraux sont consacrés à la Vierge et à saint Sébastien.

    Chapelle Notre-Dame des Neiges au Chêne de Saint-Léonard

    Cette chapelle fut restaurée en 1933, faisant suite à l'édifice construit en 1862 qui était délabré. Sur le même emplacement existait une ancienne chapelle datée de 1694 construite par le chanoine Willaume, et qui a sans doute été rasée au cours de la Révolution.

    Chapelle avec Mont des Oliviers

    Mairie (XVIe siècle)

    Édifice typiquement de la Renaissance construit au XVIe siècle, en deux étapes. C'est d'abord la partie nord qui est achevée, puis séparée de la seconde partie par une tour qui abrite un escalier hélicoïdal en pierre. Le rez-de-chaussée comporte alors une halle ouverte pour le marché. Au début du XVIIe siècle, un oriel à deux étages est ajouté par l'architecte Jakob Zumsteg. Il est ensuite recouvert d'un toit un peu bizarre en forme de bulbe en 1872. Au XVIIIe siècle le bâtiment est la résidence du bailli. La tourelle porte la date de 1572 et l'oriel de 1615.

    Ratstube (1626)

    Située 2, place de l'hôtel de ville, cette maison est bâtie en 1509. Détruite par les troupes de Ernst von Mansfeld en 1622, elle est reconstruite quatre ans plus tard par le Heimburger Médard Rein. Cette demeure sert d'abord de mairie puis de poêle pour la corporation des vignerons. Au XVIIIe siècle, elle abrite un restaurant.

    Puits à six seaux

    Situé à côté de l'Hôtel de ville, le puits comporte une margelle circulaire couronnée d'un baldaquin sculpté[18]. Il date de 1617.

    Anciennes portes d'entrées de Bœrsch du XIVe siècle

    Quatre tours ou portes d'entrée munies d'un pont-levis contrôlaient l'accès de la ville. Les restes d'un chemin de ronde couvert d'une largeur de 90 centimètres environ sont encore visibles près de l'actuel cimetière. Trois tours subsistent encore aujourd'hui : la Tour-Haute, la Tour-Basse et la Tour-Arrière. La quatrième appelée « Pfaffentor » a été rasée en 1758 pour cause de vétusté et le mur d'enceinte a été rebouché à cet endroit.

    Tour-Haute

    La Tour-Haute, ou Obertor est située au sud de la ville. Elle a été amputée de sa partie supérieure en 1826 et n'a retrouvé son aspect original qu'à partir de 1907-1908. Elle a été décorée à la même époque d'une peinture de Dietrich représentant saint Médard, le patron de la paroisse.

    Tour-Arrière

    La Tour-Arrière ou Aftertor est située au nord de l'agglomération. Un puits se trouve à proximité près de l'escalier qui mène au chemin de ronde. Daté de 1564, il est peint par le célèbre illustrateur alsacien Hansi.

    Tour-Basse ou des remparts

    Tour contrôlant l'entrée ouest de la ville munie d'un pont-levis et protégé par un rempart enserrant le village.

    Autres monuments:

    La commanderie(Maison du commandeur de l'ordre teutonique)

    La maison des corps de garde de Bœrsch

    Patrimoine civil

    • Le puits dans la cour de l'ancienne Chartreuse de 1565.
    • Cour du chapitre (porte) 1611 à Saint-Léonard
    • Cloche de 1536
    • Ancien presbytère du curé, transformé en "Maison de la Culture et de la Jeunesse" (MJC)
    • Maison du XVIe siècle en pan de bois, située 15 rue du Rempart
    • Maison de chanoine (XVIIe siècle) en pierre enduite à Saint-Léonard

    Cinéma

    Bœrsch a servi de lieu de tournage pour :

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. https://www.habitants.fr/bas-rhin-67
    2. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    3. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    4. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Unité urbaine 2020 de Bœrsch », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    6. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    7. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    8. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Strasbourg (partie française) », sur insee.fr (consulté le ).
    9. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    10. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    11. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    12. Jean-Paul de Gassowski, « Blasonnement des communes du Bas-Rhin », sur http://www.labanquedublason2.com (consulté le ).
    13. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
    14. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    15. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    16. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    17. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    18. Notice no IM67001437, base Palissy, ministère français de la Culture.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Martine Ameur, Elisabeth Gressier, Simone Metz-Schillinger, Jean-Marie Gyss, Boersch, Klingenthal, Saint-Léonard : lieux d'histoire, ID l'éd., Strasbourg, 2002, 88 p. (ISBN 2-913302-65-3)
    • (de) Médard Barth et Paul Spindler, Das Weinstaedtchen Bœrsch im Mittelalter : eine geschichtliche Plauderei, Alsatia, Sélestat, 1959, XII-20l p.
    • Alphonse Grau, Chronique de la ville de Boersch (d'origine gauloise) et de ses annexes St-Léonard et Klingenthal, Société d'édition de la Basse-Alsace, Strasbourg, 1952, 210 p.
    • Florent Ostheimer, « Inscriptions anciennes à Boersch », in Annuaire de la Société d'histoire et d'archéologie Dambach Barr Obernai, 2005, p. 33-67
    • Louis Schlaefli, « À propos de deux affaires de sorcellerie à Bœrsch (1617-1618) », in Annuaire de la Société d'histoire et d'archéologie de Dambach-la-Ville, Barr, Obernai, 1998, no 32, p. 51-54

    Articles connexes

    Liens externes

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