Antananarivo

Tananarive

Antananarivo
Tananarive, Iarivo, Tana
De haut en bas et de gauche à droite : une vue sur le centre-ville, le lac Anosy et l'Anjely Mainty, la gare dans le quartier de Soarano, le stade Barea et enfin le rova de Manjakamiadana.
Administration
Pays Madagascar
Région Analamanga
Province Antananarivo
District Antananarivo Renivohitra
Maire Naina Andriantsitohaina
Démographie
Population 3 209 933 hab. (2019)
Densité 37 759 hab./km2
Géographie
Coordonnées 18° 54′ 44″ sud, 47° 31′ 18″ est
Altitude 1 276 m
Superficie 8 501 ha = 85,01 km2
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Madagascar
Antananarivo
Géolocalisation sur la carte : Madagascar
Antananarivo

    Antananarivo ou Tananarive[1] (littéralement en malgache : le « village des milles », à l'origine du royaume Merina, il était surtout question de village et non pas de ville, « Tananarive » étant le nom francisé pendant la période coloniale) est la capitale économique et politique de Madagascar, de la province d'Antananarivo et de la région Analamanga située dans la partie centrale de l'île. Ses habitants s'appellent les Antananariviens. Sa population dépasse 3 000 000 habitants, son aire urbaine approche les 3,6 millions d'habitants. La ville est divisée en six arrondissements et 192 fokontany.

    Depuis 2019, le maire de la ville est Naina Andriantsitohaina.

    La ville fut tout d'abord construite comme une forteresse vers le début du XVIIe siècle par les rois Merina, qui en ont fait leur résidence principale dans les années 1790. La communauté s'est développée très rapidement alors que les rois merina, notamment Radama Ier, avaient le contrôle de la majeure partie de l'île au XIXe siècle. Les Français s'emparent de la ville en 1895. Elle devient, plus tard, la capitale de la colonie de Madagascar et dépendances sous domination française. Elle conserve son statut de capitale lors de l'accession à l'indépendance du pays le . Antananarivo concentre les principales activités économiques, culturelles et politiques.

    La pollution de l'air à Antananarivo est l'une des plus élevées au monde[2],[3].

    Géographie

    Antananarivo occupe les pentes d'une arête rocheuse culminant à environ 1 435 mètres, parsemée de quelques lacs comme ceux de Mandroseza, Anosy et surtout le Lac du marais Masay. La ville se trouve à environ 350 km de la côte est de l'île et à 550 km de sa côte ouest.

    Climat

    Antananarivo a un climat tropical d'altitude (Cwb selon la classification de Köppen). Bien qu'elle soit située dans la zone intertropicale, la température moyenne sur l'année est modérée par les effets de l'altitude.

    Le climat est caractérisé par des hivers frais et très secs et des étés doux et très pluvieux.

    La température en saison fraiche descend rarement au-dessous de 10 °C. En saison chaude, elle dépasse rarement 30 °C.

    Les gelées sont rares mais pas inconnues. Pendant le mois de juin et ce, selon les années, il se peut que la température du matin descende jusqu'à −1 °C. Plus récemment, le , ce record a été approché car il a fait −2 °C et cela a provoqué l'apparition des gelées blanches[4],[5].

    Les journées où le soleil n'apparaît pas de la journée sont également très rares (moins d'une dizaine par an).

    Moyennes annuelles

    Mois
    janvier
    février
    mars
    avril
    mai
    juin
    juillet
    août
    septembre
    octobre
    novembre
    décembre
    Minimum
    17
    17
    17
    15
    13
    10
    10
    10
    11
    13
    15
    17
    Maximum
    27
    27
    27
    26
    24
    22
    21
    22
    24
    27
    28
    28
    Record Minimum 12 11 11 7 4 -2 3 2 3 6 6 11
    • Précipitations (nombre de jours avec précipitations supérieures à 1 mm/24h)[6]. Les pluies sont généralement concentrées en épisodes courts et intenses en particulier pendant la saison des pluies et sauf en cas de certains cyclones tropicaux.
    Mois
    janvier
    février
    mars
    avril
    mai
    juin
    juillet
    août
    septembre
    octobre
    novembre
    décembre
    jours de
    pluie
    21
    17
    14
    5
    2
    0
    2
    1
    3
    4
    9
    19

    Démographie

    Sa population a été évaluée, en 2001, à 1 689 000 habitants. En 2014, elle est évaluée à 2,2 millions d'habitants.

    Analakely, le quartier le plus populaire d'Antananarivo.

    Les principales ethnies de la grande île sont représentées à Antananarivo, en plus des communautés d'origine étrangère : Européens, Chinois et Indo-pakistanais et autres expatriés arrivés tout récemment..

    Toponymie

    Son nom signifie « La Ville des Mille » (de an, préfixe locatif correspondant à « à » ; tanana signifiant «ville» ou « village» ; arivo voulant dire « mille ») en raison des mille guerriers que Radama I a demandé d'y rester pour protéger le domaine royal d'Analamanga (en rapport avec l'importante garnison royale merina)[7]. Les Malgaches lui font souvent subir une aphérèse et une apocope qui donnent Tana (Tanana ou la ville) et il a été francisé à l'époque coloniale en Tananarive car la prononciation malgache élide le an par accentuation sur le Ta et pratique quasi-systématiquement l'élision des voyelles finales.

    La région où se situe Antananarivo s'appelle bien entendu Analamanga mais c'est aussi la région de l'Imerina, la région des hautes terres centrales que l'administration coloniale française avait francisé en Emyrne.

    Chronologie

    • 1610-1630 – On accorde à Andrianjaka, roi merina, la prise au roi vazimba, Rafandrana, de la plus haute des douze collines de l'Imerina (1 468 mètres) appelée « Analamanga » (la colline bleue). Andrianjaka y fit bâtir un « rova » (une forteresse) défendu par près de mille hommes en 1625[8]. D'où son nom malgache d'Antananarivo, « la Cité des Mille ».
    • 1710Andriamasinavalona, roi d'Antananarivo, partage son royaume entre ses quatre fils. Division de l'Imerina.
    • 1777 – Le Français Mayeur est le premier européen à visiter Antananarivo et à en faire un récit écrit.
    • 1794 – Imboasalama, alors prince d'Ambohimanga, (plus tard, appelé Andrianampoinimerina), s'empare d'Antananarivo et parvient à réunifier l'Imerina. Il fait de la ville sa capitale, statut qu'elle conserve jusqu'à aujourd'hui.
    • 1810Radama Ier succède à son père et prend les rênes du pouvoir à Antananarivo et amorce la modernisation au contact des Occidentaux.
    • 1817 – Le sergent Hastie, envoyé britannique, arrive à Antananarivo pour obtenir l'abolition de la traite des esclaves.
    • 1820 – Arrivée du pasteur Jones de la L.M.S. Ouverture de la première école à Ifidirana.
    • 1832 – Arrivée du Français Jean Laborde. Il est considéré comme le bienfaiteur de Madagascar, car il fit bénéficier le royaume de nombreuses innovations, dans la mécanique, la chimie et l'architecture. Il a notamment construit le Palais de la Reine, tout en bois, dans la pure tradition des maisons mérina des Hauts-Plateaux.
    • 1839-1840 – Construction du Palais de la Reine (Manjakamiadana : "régner dans la sérénité").
    • 1849 – Le , martyre des chrétiens. Craignant l'extension de l'idéologie apportée par les Vazahas[9] via le christianisme, la reine Ranavalona Ire a lancé une chasse aux chrétiens, les considérant comme des traîtres à leurs traditions et donc à leur souverain. Ceux qui ne renonçaient pas à la foi chrétienne étaient condamnés à la peine de mort.
    • 1850 – La ville compte environ cinquante mille habitants.
    • 1852 – Construction du tombeau du Premier Ministre, à l'initiative de la reine Ranavalona Ire qui fait appel au Britannique James Cameron et au Français Jean Laborde.
    • 1868 à 1880 – Contribution de Cameron à la dotation en nombreuses maisons de briques (supplantant les constructions en bois, seules permises auparavant) de la capitale.
    • 1861 – Le médecin, Dr Andrew Davidson de la L.M.S., fonde le premier dispensaire.
    • À partir du règne de la reine Rasoherina (1863-1868), l'histoire de la ville est marquée par retour des architectes et des missionnaires européens qui, fortement inspirés des temples, églises et cathédrales d'Europe, commencent à bâtir des édifices religieux : Ambohipotsy (1863), Ambatonakanga (1864), Ampamarinana, Faravohitra, le petit temple à l'intérieur du Rova, la cathédrale catholique d'Andohalo, et la cathédrale anglicane Saint-Laurent d'Ambohimanoro.
    Carte Postale d'Antananarivo en 1905.
    • 1895 – Le voit la prise de Antananarivo par les forces françaises commandées par le général Duchesne. La ville hisse le drapeau blanc au premier coup de canon et ne subit aucun dégât.
    • 1896
      • Le 6 août, Madagascar est déclarée colonie française en conséquence d'une loi d'annexion votée par l'Assemblée nationale française.
      • Le 16 septembre, l'arrivée du général Gallieni donne à Tananarive un nouveau statut, celui de capitale de Madagascar. La ville se transformera alors : construction de nouvelles voies urbaines, création d'écoles primaires, fondation de l'Académie malgache (1902), de l'École de Médecine (1897), de l'Institut Pasteur (1898), de l'Assistance médicale (1899). Les réseaux routiers et ferroviaires sont mis en place, vers Tamatave et Fianarantsoa.
    • 1947 – Le , insurrection sanglante contre les colonisateurs français dans toute l'île. Les représailles des colons et des milices français ont été sanglantes, on estime les pertes du côté malgache à plusieurs dizaines de milliers ; aucun chiffre précis n'a été communiqué.
    • 1972 – Événements estudiantins du qui poussent Tsiranana à la démission et aboutissent à la Transition militaire. La grand'place est renommée Place du 13-Mai.
    • 1975 – Le , assassinat du colonel Richard Ratsimandrava.
    • 1976 – Politique de malgachisation sous la République démocratique de Madagascar. Antananarivo devient le seul nom officiel de la ville, y compris dans les textes en langue française (au détriment de Tananarive). Le diminutif Tana est très utilisé par les Malgaches eux-même ainsi que les étrangers qui y vivent ou qui y résident.
    • 1984-1985 – Les émeutes dites « du Kung Fu » secouent la ville.
    • 1991
      • Manifestations et grève générale du mouvement des Forces vives dirigé par Albert Zafy. Le mot d'ordre est de "faire tomber les murs de Jéricho.
      • Le est signée la Convention de l'Hôtel Panorama (Tananarive) entre les Forces vives et le Gouvernement de Guy Willy Razanamafy, organisant la période transitoire vers la IIIe République.
    • 1995 – Le 6 novembre, incendie dévastateur dans le complexe du rova qui endommage gravement le Palais de la Reine.
    • 1999Marc Ravalomanana est élu Maire d'Antananarivo.
    • 2002 – En février, le gouvernement de Didier Ratsiraka doit quitter la capitale, acquise aux partisans de Marc Ravalomanana, qui conteste les résultats officiels du scrutin de l'élection présidentielle en cours. Tamatave devient la capitale ratsirakiste, tandis que Marc Ravalomanana prend le contrôle de la Province de Tananarive. En mai de la même année, après l'échec des négociations de Dakar, Ravalomanana est reconnu Président de la République et Ratsiraka part en exil en France.
    • 2007Andry Rajoelina est élu Maire d'Antananarivo.
    • 2009
      • De janvier à mars, émeutes dans la capitale sous l'impulsion du mouvement « T.G.V. » d'Andry Rajoelina le peuple étant lassé du « trust » politique du parti TIM de Marc Ravalomanana.
      • Le 7 février, des manifestants tentent de prendre d'assaut le palais présidentiel d'Ambohitsorohitra et l'armée tire sans sommation sur les manifestants causant la mort de vingt-huit personnes.
      • Le 17 mars, avec l'appui des militaires, Andry Rajoelina réussit un coup d'état et s'autoproclame Président de la Haute Autorité de Transition.
      • Nommé en 2009, Edgard Razafindravahy exerce la fonction de président de la Délégation Spéciale (DPS) de la commune urbaine d'Antananarivo jusqu'en .
    • 2014
      • Le 25 janvier, le nouveau président élu Hery Rajaonarimampianina est officiellement investi dans ses fonctions au stade municipal de Mahamasina.
      • En mars, Ny Hasina Andriamanjato est nommé nouveau premier magistrat de la ville en sa qualité de Président de la Délégation Spéciale.
    • 2015 - Lalao Ravalomanana, épouse de l'ancien maire et président de la République Marc Ravalomanana, est élue maire d'Antananarivo et devient ainsi la première femme élue à ce poste dans la capitale malgache.
    • 2019 - Naina Andriantsitohaina, l’ancien ministre des affaires étrangères de Madagascar est élu maire d’Antananarivo.

    Politique et administration

    La commune urbaine d'Antananarivo (CUA) ou Kaominina Antananarivo-Renivohitra (en malgache, renivohitra signifie capitale), constitue l'unique Commune « intra-muros » du district d'Antananarivo Renivohitra. Celle-ci couvre une superficie de 88 km2 pour une population estimée en 1995 à 1 230 915 habitants[10].

    La commune urbaine d'Antananarivo (CUA) est dirigée par le maire. Il y a aussi les conseillers municipaux élus.

    L'actuel maire est Naina Andriantsitohaina, candidat du parti présidentiel élu en décembre 2019. Il est investi le 16 janvier 2020.

    Jumelages

    Économie

    La ville est le foyer d'une région en croissance, les industries locales fabriquant de la nourriture, des produits du tabac, des textiles et des marchandises dérivées du cuir. Antananarivo produit 42 % du PIB national environ 2,3 milliards d'euros.

    Agriculture et développement rural

    80 % de la population sont des agriculteurs mais la tendance commence à s'inverser car les populations quittent la campagne pour la ville.

    Transports

    L'aéroport international d'Ivato se trouve à environ 13,5 km au nord-ouest du centre-ville.

    La gare Soarano relie les lignes ferroviaires Tananarive-Antsirabe (TA) et Tananarive-Côte Est.

    La ville constitue le point de départ de toutes les routes nationales du pays. Elle abrite ainsi plusieurs gares routières pour rejoindre les différentes régions de l'île par la route.

    Lieux de culte

    Parmi les lieux de culte, il y a principalement des églises et des temples chrétiens : Église de Jésus-Christ à Madagascar (Communion mondiale d'Églises réformées), Église luthérienne malgache (Fédération luthérienne mondiale), Assemblées de Dieu, Association des églises bibliques baptistes de Madagascar (Alliance baptiste mondiale), Archidiocèse d'Antananarivo (Église catholique)[11]. Il y a aussi des mosquées musulmanes.

    Société

    Les habitants d'Antananarivo sont pour la plupart quotidiennement confrontés au problème de l'accès à l’eau potable[12].

    Éducation

    La capitale malgache détient le nombre record d'écoles primaires, collèges et lycées publics de Madagascar. Le lycée Nanisana affiche quant à lui le meilleur taux de réussite au bac du pays en 2013[13].

    L'enseignement supérieur est présent dans la ville avec l'Université d'Antananarivo, fondée en 1961, la plus grande université malgache[14]. La ville abrite également la majorité des établissements supérieurs privés de la grande île.

    Écoles et lycées internationaux:

    • Lycée français de Tananarive
    • Lycée La Clairefontaine (en) - Français
    • Lycée Peter Pan (en) - Français
    • Collèges de France (en)
    • École de l'Alliance française d'Antsahabe[15] - Français
    • American School of Antananarivo (en)
    • Russian Embassy School in Antananarivo (russe : основная общеобразовательная школа при Посольстве России на Мадагаскаре)[16].
    • École Bird, maternelle → secondaire - Français[17]

    Anciennes écoles internationales:

    • École de la Francophonie, maternelle → primaire[18]
    • École Sully, maternelle → primaire[19]

    Sports

    La capitale abrite la majorité des grandes infrastructures sportives de la grande île, pour la plupart héritées de l'organisation successive de différentes compétitions et jeux sportifs à Antananarivo. Elle compte entre autres : deux grands stades municipaux (celui de Mahamasina, le plus grand, est réservé aux matches de football et de rugby ; celui d'Alarobia aux compétitions d'athlétisme), un grand stade de rugby (le stade Maki) à la périphérie de la ville, un Palais national de la culture et des sports, des gymnases couverts (à Mahamasina, à Ankorondrano, ANS d'Ampefiloha), plusieurs courts de tennis, piscines municipales et autres équipements sportifs.

    Personnalités liées à Antananarivo

    Culture

    Depuis 1961, Antananarivo possède un musée, le Musée d'Art et d'Archéologie à l'Université de Madagascar, ainsi qu'un observatoire astronomique, tandis que le parc botanique et zoologique de Tsimbazaza est situé près du centre.

    On peut également y admirer le Palais de la Reine (Rova Manjakamiadana) entièrement reconstruit après un incendie en 1995 ou encore le palais d'Andafiavaratra, dévasté par un incendie criminel en 1976 puis entièrement reconstruit (palais du Premier ministre sous la royauté merina, palais présidentiel de 1960 à 1972), le palais de justice d'Ambatodrafandrana, édifice construit en pierre de taille en 1881, tous trois construits sur la colline sacrée surplombant toute la ville.

    La ville d'Antananarivo comptait autrefois plusieurs salles de cinéma qui sont aujourd'hui laissées à l'abandon ou devenues des lieux de culte pour des groupes cultuels se réclamant d'un courant évangélique.

    Elle compte également des salles de spectacle et théâtres municipaux (théâtres municipaux d'Isotry et d'Analakely).

    Elle abrite par ailleurs la grande Bibliothèque nationale malgache et une bibliothèque municipale. Le célèbre centre de recherches scientifiques créé par le professeur Rakoto-Ratsimamanga l'IMRA (Institut Malgache de Recherches Appliquées) en 1957.

    L’Institut français de Madagascar, créé en 1964 sous le nom de Centre culturel Albert-Camus (CCAC), veut promouvoir la création artistique malgache et être un lieu d’échanges et de dialogues entre les cultures du Nord et du Sud.

    Héraldique

    Blason
    Écartelé , au premier et quatrième quartiers, d'or à la rencontre de zébu de sable , au deuxième et troisième, d'azur à la fleur de lis d'or.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Galerie

    Notes et références

    1. La Commission générale de terminologie et de néologie est indifférente aux deux dénominations. Publié au Journal officiel de la République française le . Voir la Recommandation concernant les noms d'États, d'habitants, de capitales, de sièges diplomatiques ou consulaires (liste établie par le ministère de l'Europe et des Affaires étrangères).
    2. (en) « Air Pollution Ranking In 32 Cities — How Does Yours Measure Up? (State of Pollution Series) », sur CleanTechnica, (consulté le ).
    3. Redaction Midi Madagasikara, « Rapport de l’OMS : Antananarivo, parmi les villes les plus polluées au monde – Midi Madagasikara » (consulté le ).
    4. voir vidéo https://www.youtube.com/watch?v=swoKrMcH_pE
    5. http://ogimet.com/cgi-bin/gsynres?ind=67083&decoded=yes&ndays=2&ano=2013&mes=06&day=06&hora=21
    6. Météo Madagascar, Antananarivo sur TV5 Monde.org.
    7. Dictionnaire des noms de lieux – Louis Deroy et Marianne Mulon (Le Robert, 1994) (ISBN 285036195X)
    8. Roman Adrian Cybriwsky, Capital Cities around the World: An Encyclopedia of Geography, History, and Culture, ABC-CLIO, USA, 2013, p. 15
    9. Nom donné par les Malgaches aux étrangers en général et aux blancs en particulier
    10. Institut National de la Statistique, Madagascar, « Collectivité malgache », GeoHive, 1993-2011 (consulté le )
    11. J. Gordon Melton, Martin Baumann, ‘‘Religions of the World: A Comprehensive Encyclopedia of Beliefs and Practices’’, ABC-CLIO, USA, 2010, p. 1768
    12. Pierre Barbancey, « Les ressources de la Grande Île toujours pillées », sur L'Humanité,
    13. Lycée Nanisana : Nouveau bâtiment de la JICA, Midi Madagasikara, 8 octobre 2014.
    14. Britannica, Antananarivo, britannica.com, USA, consulté le 20 juillet 2019
    15. "École de l'Alliance française d'Antsahabe." AEFE. Retrieved on 5 July 2018.
    16. Accueil. Russian Embassy School in Antananarivo. Retrieved on 6 July 2018.
    17. "École Bird." AEFE. Consulté le 5 juillet 2018.
    18. "École de la Francophonie." AEFE. 12 avril 2015. Consulté le 5 juillet 2018.
    19. "École Sully." AEFE. 15 octobre 2005. Consulté le 5 juillet 2018.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • La Cité des mille, CITE/Tsipika 1998. (ISBN 2-912290-05-8). 192 pages.
    • Nativel, Didier, Maisons royales, demeures des grands à Madagascar. L’inscription de la réussite sociale dans l’espace urbain de Antananarivo au XIXe siècle, préface de Françoise Raison-Jourde, postface de Faranirina Rajaonah, Paris, Éditions Karthala, 2005, 377 p.
    • Rajaonah Faranirina V., Élites et notables malgaches à Antananarivo dans la première moitié du XXe siècle, doctorat d'État, Université de Lyon 2, 1997, 1082 p.

    Articles connexes

    Liens externes

    • Portail de Madagascar
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.