126e régiment d'infanterie

Le 126e régiment d'infanterie (126e RI) est un régiment d'infanterie de l'Armée de terre française .

126e régiment d'infanterie

Insigne régimentaire du 126e régiment d'infanterie ("bison blanc")

Création 1793
Pays France
Branche Armée de terre
Type Régiment d'infanterie
Rôle Infanterie
Fait partie de 9e brigade d'infanterie de marine de la 1re division
Garnison Brive-la-Gaillarde
Devise "Fier et vaillant"
Inscriptions
sur l’emblème
Bérézina 1812
Artois 1915
Auberive 1917
Italie 1918.
Anniversaire Saint-Maurice
Équipement Véhicules de l'avant blindé (VAB),

véhicules blindés légers (VBL),
pour la section reconnaissance, véhicules légers tout terrains Peugeot (P4),
missiles antichars HOT,
MILAN et Eryx,
lance-roquettes AT4,
(lance-grenade individuel LGI),
fusil de tireur de précision (PGM),
fusil d'assaut HK416,
mitrailleuse lourde calibre 12,7mm et légère MINIMI calibre 5,56 NATO,
mortier de 81 mm,
pistolet automatique (Glock17)

Fourragères Aux couleurs du ruban de la Croix de guerre 1914-1918
Aux couleurs du ruban de la Croix de la valeur militaire
Décorations Croix de guerre 1914-1918
deux palmes
Croix de la Valeur militaire
deux palmes

Il est créé par Napoléon à partir de deux régiments d'infanterie hollandais en 1810 et dissout trois ans plus tard. Le numéro avait été auparavant porté par une demi-brigade de l'Armée républicaine entre 1793 et 1796.

Le régiment est recréé en 1870 et combat pendant la guerre franco-prussienne, la Première Guerre mondiale et la Seconde Guerre mondiale. Recréé après cette dernière guerre, il est d'abord un bataillon d'instruction. En 1964, le 126e RI devient un régiment de réservistes et d'appelés jusqu'à sa professionnalisation en 1998.

Depuis, il participe aux différentes opérations extérieures menées par l'Armée française. Aujourd'hui intégré à la 9e brigade d'infanterie de marine, il est en garnison à Brive-la-Gaillarde depuis 1907.

Création et différentes dénominations

Chefs de corps

Insigne de béret de l'infanterie "métropolitaine" (a contrario à "de marine")
  • Chef de brigade Marillac
  • 1810-1813 : colonel Dumoulin
  • 1870 : colonel Neltner
  • 1870-1871 : lieutenant-colonel Duban
  • 1871-1873 : colonel Voynant
  • 1873-1877 : colonel Denuc
  • 1877-1878 : colonel Bergeron
  • 1878 : colonel Poilloue de Saint-Mars
  • 1878-1881 : colonel Doumenjou
  • 1881-1885 : colonel Bournenfou
  • 1885-1887 : colonel Desfrancois de Ponchalon
  • 1887-1894 : colonel Montagne
  • 1894-1997 : colonel Roget
  • 1897-1906 : colonel Jean Gustave de la Brousse de Veyrazet
  • 1906-1908 : colonel Roustan
  • 1908-1913 : colonel Chandezon
  • 1913-1914 : colonel Dubois
  • 1914-1915 : lieutenant-colonel Laporte
  • 1915 : lieutenant-colonel Bressan
  • 1915-1918 : lieutenant-colonel Labourdette
  • 1918 : lieutenant-colonel Bontemps
  • 1918-1919 : lieutenant-colonel Cholet
  • 1919-1926 : lieutenant-colonel Larrieu
  • 1926-1928 : colonel Tixier
  • 1928-1930 : lieutenant-colonel Foures
  • 1930-1931 : colonel Sonnerat
  • 1931-1934 : colonel Baille
  • 1934-1936 : colonel Vital
  • 1936-1938 : colonel Papillon
  • 1938-1940 : colonel Duche
  • 1940 : colonel Donnat
  • 1944-1945 : commandant Passemard
  • 1945-1946 : colonel Godefroy
  • 1946-1947 : chef de Bataillon Lagasquie
  • 1947-1948 : chef de Bataillon Basseres
  • 1948-1950 : chef de Bataillon Dumas
  • 1950-1952 : chef de Bataillon Habert
  • 1952-1954 : lieutenant-colonel de Martin du Tyrac de Marcellus
  • 1954-1956 : lieutenant-colonel Helme-Guizon
  • 1956-1958 : colonel Henry
  • 1958 : colonel Parisot
  • 1958-1961 : colonel Gueneau
  • 1961-1963 : colonel Galle
  • 1963 : chef de bataillon Toulouse
  • 1964 : chef de bataillon Pellabeuf
  • 1964-1965 : colonel Audibert
  • 1965-1967 : colonel du Bois de Gaudusson
  • 1967-1969 : colonel Lacoste
  • 1969-1971 : lieutenant-colonel Blanquefort
  • 1971-1973 : colonel Burgard
  • 1973-1975 : colonel Goerger
  • 1975-1977 : colonel Fregiere
  • 1977-1979 : colonel de la Moriniere
  • 1979-1981 : colonel Mestelan
  • 1981-1983 : colonel Castagne
  • 1983-1985 : colonel Langlois
  • 1985-1987 : colonel Rozec
  • 1987-1989 : colonel Brousse
  • 1989-1991 : colonel Renault
  • 1991-1993 : colonel Bresse
  • 1993-1995 : colonel Seguret
  • 1995-1997 : colonel Beauval
  • 1997-1999 : colonel Martin
  • 1999-2001 : colonel Herbert
  • 2001-2003 : colonel Lesimple
  • 2003-2005 : colonel Didier
  • 2005-2007 : colonel Barnay
  • 2007-2009 : colonel Malassinet
  • 2009-2011 : colonel Goisque
  • 2011-2013 : colonel Secq
  • 2013-2015 : colonel Ponchin
  • 2015-2017 : colonel Mollard
  • 2017-2019 : colonel Perot
  • 2019-2021 : colonel Gouvernet
  • 2021-...  : colonel Ferraton

Historique des garnisons, combats et bataille

Révolution et Empire

  • La bataille de la Bérézina.
    1795 : Quiberon

Après la seconde abdication de l'Empereur, Louis XVIII réorganise de l'armée de manière à rompre avec l'héritage politico-militaire du Premier Empire.
A cet effet une ordonnance du licencie l'ensemble des unités militaires françaises.

Son numéro reste vacant jusqu'en 1870

Second Empire

Le le 126e régiment d'infanterie de ligne est créé à partir du 26e régiment provisoire d'infanterie qui avait été constitué, avec les :

3 compagnies de marche de ce régiment sont incorporées dans la 2e brigade de la 1re division d'infanterie du 21e corps d'armée qui part renforcer l'Armée de la Loire. Le reste du régiment est incorporé dans la 1re brigade de la 3e division d'infanterie du 2e corps d'armée de la 2e armée de Paris avec laquelle il participe au Siège de Paris et prend part aux combats de Châtillon, de Villiers-sur-Marne et de Bry-sur-Marne puis plus tard à la bataille de Montretout.

De 1871 à 1914

Caserne Brune, ancien stationnement du régiment à Brive-la-Gaillarde

En mars 1871, le 126e RI est versé dans le 26e régiment d'infanterie avant d'être recrée le , sous le nom de « 19e régiment provisoire » et de reprendre le nom de 126e régiment d'infanterie de ligne le .

1874 : en garnison à Lyon

Première Guerre mondiale

Casernement : Brive-la-Gaillarde, 48e brigade d'infanterie, 12e corps d'armée.
Affecté à la 24e division d'infanterie d' à .


Le 126e a perdu durant la grande guerre 2 843 hommes.

Entre-deux-guerres

Le 126e RI est en garnison à Brive-la-Gaillarde en , quand il est requis pour appliquer le plan de barrage dans les Pyrénées-Orientales. Ce plan vise à empêcher les militaires de l'armée populaire de la République espagnole, vaincue par les rebelles franquistes, en pleine Retirada, de passer en France. L'interdiction d'entrer est levée du 5 au [1].

Seconde Guerre mondiale

Il s'illustre encore en juin 1940 en participant avec opiniâtreté au freinage de l'offensive allemande, parcourant 350 km à pied en 2 semaines.

Il se reconstitue en 1944 à partir de maquis de la Corrèze et du Périgord, regroupés autour de son Drapeau préservé de l'occupant, et participe à la libération de l'Alsace, puis entre en forêt noire[2]. En janvier 1945 le 126e est intégré aux unités de la 1re armée, d'abord mis à la disposition de la 2e brigade de la 1re division française libre le 126e renforce la 2e brigade sur la période de la défense de Strasbourg, la surveillance de la rive gauche du Rhin. Puis de la 2e division d'infanterie marocaine, il participe avec la 9e division d'infanterie coloniale à la campagne en Allemagne, combat de Karlsruhe, Ruppur, Rastadt avec le 23e RIC et le 6e RIC.

De 1945 à nos jours

Combats en vallée de TAGAB - Afghanistan 2010

Après un séjour en Algérie de 1947 à 1948, le régiment devient un centre d'instruction pour ce théâtre d'opération.

Le 126e RI relève de la défense opérationnelle du territoire jusqu'à son intégration dans la 15e division d'infanterie créée en 1976. Régiment de la DOT, il est organisé en trois compagnies de combat commando et une compagnie de commandement et des services. La création de la 15e DI permet au régiment d'être intégralement motorisé et de recevoir du personnel supplémentaire : une compagnie de combat et une compagnie d'éclairage et d'appui.

Rattaché pendant la guerre froide à la 15e division d'infanterie, il est essentiellement constitué d'appelés venus des régions avoisinantes. Durant les années 1980, son matériel reste étonnamment rudimentaire[3] puisqu'il est constitué par les nombreux véhicules laissés par les Américains après la Deuxième Guerre mondiale : jeep, dodges, GMC de même on y trouve encore les vieux pistolets-mitrailleurs utilisés en Indochine et en Algérie qui seront remplacés par les FAMAS en 1984.

Professionnalisé en 1998, il est alors rattaché à la 3e brigade légère blindée. Dans le cadre de la mise en œuvre du nouveau modèle de l'Armée de terre "Au contact", le 126e RI est rattaché à la 9e Brigade d'infanterie de Marine (9e BIMa) le (jour de la dissolution de la 3e BLB).

Depuis quarante ans, il participe à tous les déploiements en opérations extérieures de l'armée française :

  • au Liban au sein de la FINUL en 1984/1985, 992 et 2001 ;
  • en Afghanistan en 2002, 2006, 2008 et 2010 au sein de l'ISAF (notamment le Mandat PAMIR XXIV en Surobi, de juillet à décembre 2010 sous le nom de GTIA Bison. Ce patronyme est depuis devenu le nom générique de baptême des GTIA armé par le 126e régiment d'infanterie.
  • en Côte d'Ivoire en 2001, 2003, 2004, 2005 et 2008 au sein de l'opération Licorne, puis en 2016[réf. nécessaire] ;
Opération Barkhane - MALI 2016

Faits d'armes faisant particulièrement honneur au régiment

  • 1812 : La bataille de la Bérézina (inscrit au drapeau)
  • 1915 : Artois (inscrit au drapeau)
  • 1917 : Auberive (inscrit au drapeau)
  • 1918 : Italie (inscrit au drapeau)
  • 1994 : Bihać (FORPRONU en Bosnie-Herzégovine), une compagnie citée collectivement
  • 2004 : (novembre) Envoi dans l'urgence à Abidjan pour participer à l'évacuation des ressortissants français
  • 2010 : Afghanistan (Task Force Bison)
  • 2014 : RCA dans le cadre de l'opération EUFOR
  • 2017 : Opération Barkhane au Mali

Le major Thibault Miloche de la Task Force Bison est le 50e militaire français mort en Afghanistan depuis 2001. Le , Thibault Miloche avait été grièvement blessé par un tir de roquette lors d'une mission de reconnaissance dans la vallée d'Uzbin en Afghanistan, à l'est de Kaboul. Un autre soldat du 126e RI, Laurent Merle, a été blessé dans cette attaque.

Drapeau

5e Drapeau du 126e RI

Il porte, cousues en lettres d'or dans ses plis, les inscriptions suivantes[4] :

Bérézina 1812 - Artois 1915 - Aubérive 1917 - Italie 1918

Décorations

Le , le régiment reçoit la Croix de guerre 1914-1918 avec deux palmes de bronze (deux citations à l'ordre de l'armée), puis la fourragère aux couleurs du ruban de la croix de guerre 1914-1918.

Le , il a reçu la Croix de la Valeur militaire avec une palme de bronze (une citation à l'ordre de l'armée) au titre de l'opération Pamir en Afghanistan puis une seconde le ce qui lui ouvre le droit au port de la fourragère aux couleurs du ruban de la croix de la Valeur militaire.

L'ensemble des militaires affectés au 126e RI portent donc une double fourragère.

Personnages célèbres ayant servi au 126e RI

  • Marie-Georges Picquart, Acteur central de l'affaire Dreyfus, il découvre les preuves de la trahison de Ferdinand Walsin Esterhazy, à la place duquel le capitaine Dreyfus a été accusé, dégradé et condamné sur de fausses preuves, et participe au rétablissement de la vérité, malgré la pression de sa hiérarchie. Tout comme Dreyfus, il est condamné bien qu'innocent, et incarcéré. Les deux hommes sont réhabilités en même temps, en 1906. Il reprend ensuite le cours de sa carrière militaire au grade de général de division et rejoint la même année le premier gouvernement Clemenceau en tant que ministre de la Guerre.
  • Jean Colombier
  • Louis-Henry Destel
  • François Coli
  • Louis Godefroy, alias Marcel, alias Robert, alias Auriac, alias Rivière, il a été militant communiste, connu pour ses faits de résistance durant la Seconde Guerre mondiale. Il commande le 126e RI, jusqu'à sa dissolution le 1er avril 1946 après neuf mois d'occupation en Allemagne.
  • Martial Brigouleix, officier de réserve et commandant de la 5e compagnie du 126e RI de à . Démobilisé, il est arrêté en tant que membre actif de la résistance. Torturé à Limoges, il tombe sous les balles allemandes dans les douves du Mont Valérien le . Chevalier de la Légion d'honneur, compagnon de la Libération[5], titulaire de trois citations, il est mort pour la France.
  • Raymond Farro, officier saint-cyrien, capitaine au 126e RI en 1939. Blessé pendant la campagne de France[6], il s'engage dès 1941 dans la résistance et devient le chef départemental puis régional de l'Armée secrète. Arrêté une première fois en 1943, il parvient à s'échapper et poursuit sa lutte contre l'occupant. Arrêté par la Gestapo le , il est torturé puis fusillé le .

Devise

La devise du régiment est "Fier et vaillant !" Compagnie de commandement et de logistique : Soutenir sans faillir

  • 1re compagnie : Toujours en pointe !
  • 2e compagnie : À cœur vaillant rien d'impossible
  • 3e compagnie : Cherche et frappe.
  • 4e compagnie : Tambour battant.
  • 5e compagnie : Renaître et Vaincre !
  • Compagnie d'éclairage et d'appui (CEA) : Occulum scutumque legionis ("l'œil et le bouclier des légions").
  • 10e compagnie (UIR - Unités d'Intervention de Réserve) : Être plus que paraître

Insigne

Bison blanc depuis 1937, sur fond de Croix de Lorraine bleu depuis 1944.

Le lieutenant-colonel Godefroy chef de corps du 126e RI dote le régiment d'un insigne figurant les ruines d'Oradour, pour évoquer le 134e RI qui fut intégré au 126e RI en octobre 1945. En effet, le 134e est créé à Périgueux par Roger Lescure, commandant du bataillon de sécurité de la région.Le 134e était composé d'ex maquisards du Limousin (les attaques de ces maquisards étaient si nombreuses que les soldats allemands avaient surnommé le Limousin "la petite Russie"), de l'Indre et de la Dordogne. Ce 134e RI sera surnommé RI « Oradour » en mémoire de la ville d'Oradour-sur-Glane, ville martyre brûlée par la division SS Das Reich. Le RI « Oradour » ne fut pas amené à combattre sur le front de l'Est, cette unité portant un nom trop vengeur.

L'insigne actuel du régiment lui a été donné par le colonel Mestelan, chef de corps de 1979 à 1981.

Monument aux morts régimentaire

Monument aux morts du 126e régiment d'Infanterie entouré des porte-drapeaux des associations patriotiques, le 1er juin 2018.

Le Monument aux morts du régiment a été inauguré le dans la caserne Laporte à Brive-la-Gaillarde[7],[8].

Il se compose d'une œuvre monumentale intitulée "la charge des Bisons Blancs" réalisée par le sculpteur Guy GEYMANN (1951 - 2017), figurant au centre d'un demi-cercle de stèles en ardoise portant les 3249 noms des militaires du régiment morts pour la France depuis le début de la 1re Guerre mondiale. Situé sur la place d'armes et face au Drapeau, au cœur du régiment, il témoigne du lien indissoluble qui unit les différentes générations du feu.

Ce monument est la dernière œuvre du sculpteur Guy Geymann, peintre officiel de l’Armée, artiste reconnu conjuguant abstraction et figuration en belles allégories, décédé en , trois semaines seulement après avoir achevé sa création.

Le régiment aujourd'hui

Membres du 126e RI et un observateur de l'US Army en manœuvres en Allemagne en 2014.

Subordinations

Le régiment est subordonné à la 9e brigade d'infanterie de marine de la 1re division.

Défilé du régiment sur les Champs Élysées le 14 juillet 2016

Missions

Régiment d'infanterie motorisée, le 126e régiment d'infanterie dispose de capacités d'investigation et de renseignement. Souple, mobile, aérotransportable et héliportable, il donne toute sa mesure dans les opérations de contrôle de milieu et de combat rapproché. Il est entraîné aux opérations de maintien de la paix.

Composition

  • 1 compagnie de commandement et de logistique (CCL) ;
  • 5 compagnies de combat : la 5e compagnie a été créée le dans le cadre de l'augmentation des effectifs de la Force opérationnelle terrestre ;
  • 1 compagnie d'appui (CA) avec une section appui direct (SAD) avec (Milan puis MMP / MAG58), une section Tireurs d'élite Longue Distance (TELD), et une section d'aide à l'engagement débarqué (SAED) ;
  • 1 compagnie de réserve

soit un total de 1 200 hommes et femmes.

Matériels majeurs

  • Véhicules de l'avant blindé (VAB).
  • Véhicules blindés légers (VBL).
  • véhicules légers tout terrains Peugeot (P4).
  • VBMR Griffon à partir de 2019, l'un des premiers régiments équipés de ce véhicule.

Armement

Notes et références

  1. René Grando, Jacques Queralt et Xavier Febrés (préf. Bartolomé Bennassar), Camps du mépris : des chemins de l'exil à ceux de la Résistance, 1939-1945, Perpinya, Editorial Trabucaire, , 192 p. (ISBN 978-2-905-82832-3, OCLC 807012104), p. 186
  2. Découvrez la drôle d'histoire du drapeau caché du 126e Régiment d'infanterie de Brive (Corrèze)
  3. D'après le caporal G Berthou contingent 83/08 3e compagnie de combat
  4. Décision no 12350/SGA/DPMA/SHD/DAT du 14 septembre 2007 relative aux inscriptions de noms de batailles sur les drapeaux et étendards des corps de troupe de l'Armée de terre, du service de santé des armées et du service des essences des armées, Bulletin officiel des armées, no 27, 9 novembre 2007
  5. « Martial Brigouleix, 1038 compagnons, Compagnons - Musée de l'Ordre de la Libération », sur www.ordredelaliberation.fr (consulté le )
  6. Émilie Auffret, « Raymond Farro a organisé la branche armée de la Résistance de la région », www.lamontagne.fr, (lire en ligne, consulté le )
  7. Journal La Montagne, « Cinq choses que vous ignoriez sur le monument aux morts du 126e Régiment d'infanterie de Brive », quotidien, (lire en ligne)
  8. « Brive Mag - Les Bisons ont leur monument aux morts », sur Brivemag.fr,

Sources et bibliographie

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes



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