Mouvement pro-nucléaire

Le mouvement pro-nucléaire est l'ensemble des individus[réf. souhaitée] et des groupes qui soutiennent[précision nécessaire] l'utilisation et le développement de l'énergie nucléaire civile pour des raisons de protection de l'environnement (notamment de lutte contre le réchauffement climatique), économiques, sanitaire, de préservation de l'emploi ou encore de sécurité énergétique (diminution de la dépendance aux sources d'énergie importées)[réf. souhaitée].

Historique

Années 1950

L'énergie d'origine nucléaire est apparue sur le marché de l'électricité dans les années 1950. C'était une période de grand enthousiasme et de grande activité de recherche et développement, nourrie de l'espoir de pourvoir l'humanité d'une nouvelle source d'énergie bon marché et pratiquement inépuisable. L'atome utilisé à des fins pacifiques est devenu symbole de progrès et de bienfaits pour l'humanité[réf. à confirmer][1].

Années 1970

À mesure que le nucléaire se dégageait de l'intimité des laboratoires et perdait de son prestige en tant que discipline scientifique à mesure qu'il se transformait, au cours des années 1970, en réalités industrielles, le public en prenait conscience, s'y intéressait et s'en inquiétait[réf. à confirmer][1].

En 1979 est survenu pour la première fois un grave accident dans une centrale nucléaire, celle de Three Mile Island, aux États-Unis. L'industrie nucléaire du monde entier en a été ébranlée ; l'opposition s'en est trouvée renforcée[réf. à confirmer][1].

Années 1980

Le s'est produit à Tchernobyl, en Ukraine, la pire catastrophe jamais survenue dans une centrale nucléaire ; des morts ont été déplorés et d'importantes quantités de radioactivité emportées au-delà des frontières du pays. Les fondements mêmes de l'option nucléaire, et son avenir, ont été fortement ébranlés[réf. à confirmer][1].

Années 2010

Selon la Sustainable Development Commission (en), l'énergie nucléaire reste en 2014 un domaine controversé de la politique publique[2].

Professionnels du secteur nucléaire

Entreprises leaders du secteur

Les entreprises majeurs du secteur sont : en Chine, Compagnie nucléaire nationale chinoise (CNNC) ; au Japon, Tokyo Electric Power Company (TEPCO) ; en Inde, Nuclear Power Corporation of India ; en Russie, Rosatom ; au Canada, Ontario Power Generation ; en Suède, Vattenfall.

Groupements professionnels

L'Association nucléaire mondiale (en anglais World Nuclear Association, WNA) regroupe la plupart des principaux acteurs du secteur nucléaire civil ; elle fait la promotion de l'industrie nucléaire mondiale et propose un large éventail de statistiques et d'études techniques.

Institutions

L'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) et l'Agence pour l'énergie nucléaire, organisation intergouvernementale spécialisée de l’OCDE, produisent de nombreux rapports et des bases de données sur l'énergie nucléaire.

L'Agence internationale de l'énergie (AIE) prend fréquemment position en faveur de la contribution du nucléaire à la transition énergétique[3].

Investisseurs

Bill Gates a co-fondé en 2006 la société TerraPower, qui développe des projets innovants de réacteurs nucléaires : réacteur à onde progressive et réacteur à sels fondus. Lors d’un discours prononcé au MIT en 2010, il a salué le potentiel de l’énergie nucléaire dans les pays où les énergies solaire et éolienne sont rares : « C’est presque infini. Nous pourrons d’ailleurs bientôt extraire de l’uranium des océans, à un coût très bas, afin de faire fonctionner ces machines aussi longtemps que le soleil brillera »[4].

Entreprises leader du secteur

Les principales entreprises du secteur nucléaire ont une communication axée sur la promotion de ses avantages, par exemple en France : EDF, Orano, Framatome[5].

Groupements professionnels

Le Groupement des industriels français de l’énergie nucléaire (GIFEN) rassemble la branche de l'industrie nucléaire en France depuis 2018[6].

Agences gouvernementales

Institutions

Associations pro-nucléaires

Au niveau international

  • Les voix du nucléaire
  • Clean and Safe Energy Coalition[9]
  • Supporters of Nuclear Energy Mouvement (SONE)[10]
  • Association des écologistes pour le nucléaire

Au niveau français

La Société française d'énergie nucléaire (SFEN) se veut une société savante qui publie des études solidement étayées en faisant appel à l'expertise de ses membres ingénieurs ou chercheurs dans le secteur nucléaire. Dans un registre plus militant, Sauvons le climat publie des argumentaires en faveur du nucléaire et des réfutations des arguments contestables des partisans du tout-renouvelables. La Fédération nationale des mines et de l'énergie CGT défend l'emploi de ses adhérents, dont une grande part travaille dans la filière nucléaire.

Personnalités publiques ayant défendu publiquement le nucléaire civil

Personnalités politiques des principaux pays producteurs de nucléaire

Plusieurs dirigeants ont mené des politiques de maintien du parc nucléaire existant de leur pays, ou de développement du nucléaire civil de manière temporaire ou par nécessité, bien qu'ils ne se réclament pas nécessairement comme « pro-nucléaire » ou appartenant à un mouvement pro-nucléaire.

Le président Joe Biden a intégré dans son programme[11] la contribution du nucléaire à la transition énergétique grâce aux petits réacteurs modulaires[12]. Son envoyé spécial pour le climat John Kerry précise cette position : « Nous devons garder ouverte une position de repli au cas où l'on ne réussirait pas une percée dans le stockage des batteries, si on ne réussit pas à créer une économie de l'hydrogène [...] je ne pense pas que cela prendra la forme ancienne de ces énormes centrales qui sont actuellement sur le marché et qui sont trop chères pour être réellement viables »[13].

Le gouvernement britannique est également favorable au nucléaire : Boris Johnson, présentant en novembre 2020 la feuille de route qui doit permettre au Royaume-Uni d'atteindre son objectif de neutralité carbone à l'horizon 2050, promet 525 millions de livres pour aider au développement des grandes centrales mais aussi de plus petits sites, grâce aux réacteurs modulaires avancés[14]. Il annonce en décembre 2020 l'ouverture de discussions avec EDF pour la construction d'une nouvelle centrale nucléaire Sizewell C[15].

Au Canada, le gouvernement de Justin Trudeau voit l'énergie nucléaire comme « un élément important du panier d'énergies propres actuel du Canada » et il fait pression sur l'étranger pour qu'elle soit incluse dans les discussions sur la lutte contre les changements climatiques[16].

Au Japon, Shinzō Abe déclare en 2016 : « Notre pays pauvre en ressources ne peut se passer de l'énergie nucléaire pour se garantir un approvisionnement régulier en énergie »[17] et son gouvernement approuve en 2018 un plan énergétique visant à atteindre une part de 20 % à 22 % d’électricité d’origine nucléaire à l’horizon 2030 contre 2 % fin 2017[18]. Son successeur Yoshihide Suga fixe en octobre 2020 l'échéance de 2050 pour que le Japon atteigne la neutralité carbone ; il précise que le pays va promouvoir l'utilisation des énergies renouvelables et de l'énergie nucléaire[19].

En Chine, le président Xi Jinping s'engage en septembre 2020 à atteindre la neutralité carbone en 2060. La Chine compte porter la part du nucléaire dans son mix électrique de 4,9 % en 2020 à 10 % d’ici à 2035, au rythme de construction de six à huit réacteurs par an, soit près d’une centaine en quinze ans[20]. Une ébauche de trajectoire de neutralité carbone publiée en par l’université Tsinghua prévoit un accroissement de la production d'électricité nucléaire de 382 % d'ici 2060[21].

En Russie, le président Vladimir Poutine critique la politique énergétique de certains États européens : « Nos partenaires, notamment en Europe, se compliquent considérablement la tâche, parce que de nombreux pays abandonnent l’énergie atomique ». La part du nucléaire dans la production électrique de la Russie est d’environ 19 %[22].

Personnalités politiques des autres pays

En septembre 2021, le ministre italien de la Transition écologique Roberto Cingolani déclare à propos des réacteurs nucléaires de quatrième génération : « Des pays sont en train d'investir sur cette technologie. Elle n'est pas encore mature, mais elle le sera bientôt. Si, à un certain moment, on est assuré que les déchets radioactifs seront peu nombreux, la sécurité élevée et les coûts bas, ce serait une folie de ne pas l'envisager »[23].

Personnalités politiques des institutions européennes

Le commissaire européen au Marché intérieur Thierry Breton affirme que le choix de l'Union européenne de se fixer l'objectif de réduire d'au moins 55 % par rapport à 1990 ses émissions de gaz à effet de serre d'ici 2030 « implique de multiplier par deux la production d'électricité en 2050 » et qu'on pourra difficilement se passer du nucléaire pour cette transition ; il souligne que le choix de l’Allemagne de s’en passer a été « coûteux en CO2 » ; il se dit ouvert à l’idée de prolonger sur une période de trois à quatre ans certaines centrales appelées à fermer pour lancer le cycle de production de l’hydrogène[24].

Personnalités politiques françaises

Emmanuel Macron[25],[26], considère que « le nucléaire est une chance » en matière de réchauffement climatique[27].

Édouard Philippe a été, avant d'être Premier ministre, chargé des relations d’Areva avec le Parlement et les ministères de tutelle de 2007 à 2010[28].

Bruno Le Maire estime que « le nucléaire est un atout pour la France, une énergie qui n'émet pas de CO2. C'est des centaines de milliers de salariés, d'ouvriers, de compétences et de savoir-faire »[29].

Nicolas Sarkozy promet en 2016 d'abroger l’objectif de ramener à 50 % la part du nucléaire dans la production d’électricité en France : « il n’y a simplement aucune alternative crédible à l’énergie nucléaire [...] Il faut donc maintenir le parc actuel, et investir pour développer une nouvelle génération de centrales »[30].

Brice Lalonde déclare en 2020 : « le nucléaire, pour l'instant, c'est quand même l'une des industries les plus sûres »[31].

François Bayrou, interviewé par LCI en 2021 en tant que Haut-commissaire au Plan, déclare : « si on n’avait pas le nucléaire, on serait obligés d’avoir des centrales thermiques au pétrole ou au gaz, et on augmenterait nos rejets de GES. Il faut construire d’autres réacteurs, il n’y a pas d’autre solution »[32].

Dirigeants d'entreprises

Le président du Medef, Geoffroy Roux de Bézieux, déclare en août 2021 : « Imaginer réussir la transition écologique sans le nucléaire est un immense mensonge »[33].

Journalistes, chercheurs, experts

James Lovelock : « il n'existe qu'une source d'énergie immédiatement disponible qui ne cause pas de réchauffement climatique : c'est l'énergie nucléaire. [...] L'opposition à l'énergie nucléaire est fondée sur des craintes irrationnelles [...]. Ces craintes sont injustifiées, et l'énergie nucléaire, depuis ses débuts en 1952, a prouvé qu'elle est la plus sûre de toutes les sources d'énergie. [...] La civilisation est en danger imminent et doit utiliser le nucléaire, la seule source d'énergie sûre et disponible dès maintenant, ou sinon subir les maux qui vont nous être infligés par notre planète outragée »[34]; de nombreux autres biologistes sont en faveur de l'utilisation pacifique du nucléaire[35].

James E. Hansen et trois autres spécialistes du réchauffement climatique ont publié en 2013 une lettre ouverte aux anti-nucléaires : « la poursuite de l'opposition à l'énergie nucléaire menace la capacité de l'humanité à éviter le danger du changement climatique »[36].

Jean Marc Jancovici : « On n'a pas trouvé mieux que le nucléaire pour produire de l'électricité sans trop polluer. […] Il y a de 10 à 100 fois plus de métal dans l'éolien et le photovoltaïque que dans le nucléaire par kilowatt-heure produit. Il faut donc faire 10 à 100 fois plus de trous dans la terre pour aller chercher les métaux »[37].

Écologistes, écologues, environnementalistes

Michael Shellenberger, fondateur de l'association Environmental Progress et du think tank Breakthrough Institute, explique : « J'étais initialement, comme beaucoup de gens, assez hostile à l'énergie nucléaire. Mais j'ai changé d'avis en me rendant compte qu'une économie moderne ne peut pas reposer sur le solaire et l'éolien. Ils ne font que rendre chaotique la production d'électricité et facilitent le développement des énergies fossiles »[38]; plus généralement tous les écomodernistes.

Zion Lights, porte-parole du mouvement Extinction Rebellion jusqu'en juin 2020, quitte l'organisation notamment pour défendre l'énergie nucléaire qu'elle considère comme « une source d’énergie fiable à faible émission de carbone dans laquelle nous pouvons investir dès maintenant. […] Entourée d’activistes antinucléaires, j’avais laissé la peur des radiations, des déchets nucléaires et des armes de destruction massive s’infiltrer dans mon subconscient. J’ai réalisé que j’avais été dupée dans le sentiment anti-science depuis tout ce temps »[39].

Patrick Moore, co-fondateur et l'un des premiers présidents de Greenpeace, dont il dirigea l'antenne canadienne pendant sept ans, écrit en 2006 : « en trente ans, mes idées ont évolué... Le nucléaire est peut-être la source d’énergie qui peut préserver notre planète. Les mouvements verts doivent revoir leur position »[40].

George Monbiot a durement condamné les méthodes anti-scientifiques du mouvement anti-nucléaire : « le mouvement a trompé le monde sur les effets des rayonnements sur la santé humaine. […] Incapable de fournir des sources, réfutant des données avec des anecdotes, sélectionnant uniquement les éléments qui lui conviennent dans les études, dédaignant le consensus scientifique, invoquant une dissimulation pour l'expliquer : tout ceci est horriblement familier. Ce sont les habitudes des climato-sceptiques, contre qui le mouvement vert a lutté vaillamment, appelant la science à son aide. Il est désolant de découvrir que lorsque les faits ne leur conviennent pas, les membres de ce mouvement recourent aux folies qu'ils ont dénoncé »[41].

Le climatologue Tom Wigley considère que le recours aux énergies renouvelables sera insuffisant pour contrer le changement climatique et que « la poursuite de l’opposition à l’énergie nucléaire menace la capacité de l’humanité à faire face au danger du changement climatique »[42].

Yann Arthus-Bertrand : « Les écologistes refusent le débat car leur histoire se confond avec celle du mouvement pacifiste, contre la bombe atomique. Ils parlent des déchets nucléaires, mais nous empoisonnons tous les jours notre terre et nos enfants avec des pesticides ou des herbicides qui recouvrent 30 % du pays ! Si le changement climatique est la priorité des Verts et si ces déchets sont le prix à payer pour fermer les centrales à charbon, c’est leur responsabilité d’ouvrir le débat sans tabou »[43].

Notes et références

  1. N.L. Char et B.J. Csik, L'énergétique nucléaire: son passé et son avenir, IAEA (iaea.org/sites/default/files/29304781925_fr.pdf [PDF])
  2. (en) « Wayback Machine » [PDF], sur web.archive.org, (consulté le ).
  3. « La France doit avoir du nucléaire et du renouvelable », juge le directeur de l'Agence internationale de l'énergie, Les Échos, 12 février 2020.
  4. Une entreprise énergétique co-fondée par Bill Gates développe un réacteur nucléaire d’un nouveau genre, Trust My Science, 3 décembre 2018.
  5. « Les grands lobbies français : pro-nucléaire », sur L'Internaute (consulté le )
  6. Le nucléaire français enterre ses haches de guerre et crée le Gifen, L'Usine nouvelle, 27 juin 2018.
  7. Fermer Fessenheim et d’autres réacteurs est un contre-sens [PDF], avis de l’Académie des sciences, 7 juillet 2020.
  8. « I2EN - International institute of nuclear energy », sur i2en.fr (consulté le ).
  9. (en-US) « Clean and Safe Energy Coalition – Nuclear Energy is America's Clean and Safe Energy Solution » (consulté le )
  10. (en-GB) « Welcome to website of the Supporters of Nuclear Energy (SONE) UK », sur Supporters of Nuclear Energy (SONE) (consulté le )
  11. (en) The Biden Plan for a Clean Energy Revolution and Environmental Justice, joebiden.com.
  12. États-Unis: Joe Biden compte avec le nucléaire pour ses projets d'énergie propre, Forum nucléaire suisse, 22 juillet 2020.
  13. Nucléaire : les États-Unis comptent sur les petits réacteurs, Les Échos, 4 avril 2021.
  14. Le Royaume-Uni se dote d'une feuille de route ambitieuse pour atteindre la neutralité carbone d'ici à 2050, Les Échos, 18 novembre 2020.
  15. Londres annonce des discussions avec EDF sur la construction d'une nouvelle centrale nucléaire, La Provence, 14 décembre 2020.
  16. Climat : le gouvernement Trudeau mise aussi sur le nucléaire, Radio-Canada, 15 mars 2018.
  17. Nucléaire: le Japon ne peut se passer de l'énergie atomique selon Abe, Capital, 10 mars 2016.
  18. Sept ans après Fukushima, le Japon reprend le chemin du nucléaire, Le Monde, 3 juillet 2018.
  19. Le Japon se fixe un nouvel objectif de neutralité carbone d'ici 2050, RTS, 26 octobre 2020.
  20. La Chine, championne de l’énergie atomique, Le Figaro, 10 mars 2021.
  21. Nucléaire, solaire, éolien... : Comment la Chine veut atteindre la neutralité carbone en 2060, Novethic, 23 octobre 2020.
  22. Comment vont-ils se «réchauffer» ? Poutine plaisante sur la politique anti-nucléaire des Allemands, RT France (Russia Today), 23 septembre 2020.
  23. En Italie, le nucléaire crée la polémique au sommet de l'État, Les Échos, 3 septembre 2021.
  24. « Industrie. L’Europe devra avoir doublé sa production électrique en 2050 », sur Ouest-France, .
  25. « Emmanuel Macron écrit sur l’énergie nucléaire », {Sciences²}, (lire en ligne, consulté le )
  26. « VIDÉO - Nucléaire : vers une annonce "historique" d'Emmanuel Macron ? », sur RTL.fr (consulté le )
  27. « Réchauffement climatique : le nucléaire, une "chance" selon Emmanuel Macron », sur La Dépêche du Midi,
  28. Eric Wattez, « Edouard Philippe, un nucléocrate à Matignon ? », sur Capital.fr, (consulté le )
  29. Nucléaire : le rapport qui préconise 6 nouveaux EPR a-t-il fait craquer Hulot ?, Le Parisien, 30 août 2018.
  30. Nucléaire : Nicolas Sarkozy veut revenir sur l’objectif de réduction à 50 %, Le Monde, 30 avril 2016.
  31. Robin Prudent et Clément Parrot, « Peut-on être écologiste et défendre le nucléaire ? On a tenté de trancher le débat en répondant à cinq questions », France Info, (lire en ligne, consulté le )
  32. « François Bayrou, Haut-commissaire au Plan, veut de nouveaux réacteurs nucléaires », sur L'EnerGeek, (consulté le )
  33. Le Medef dresse sa feuille de route pour le prochain quinquennat, Les Échos, 25 août 2021.
  34. (en) James Lovelock : Nuclear power is the only green solution, The Independent, 24 mai 2004.
  35. (en) « Nuclear power is the greenest option, say top scientists », sur The Independent,
  36. « Top climate change scientists issue open letter to policy influencers – CNN.com », CNN, (lire en ligne) La lettre est signée par James E. Hansen, Ken Caldeira, Kerry Emanuel et Tom Wigley.
  37. « On n'a pas trouvé mieux que le nucléaire pour produire de l'électricité sans trop polluer », Le Point, 17 juin 2019.
  38. (en) « A radioactive wolf in green clothing: Dissecting the latest pro-nuclear spin », sur Independent Australia (consulté le )
  39. « La porte-parole d'Extinction Rebellion se convertit en... lobbyiste pro-nucléaire », sur Valeurs actuelles (consulté le )
  40. « Flambée du pétrole, une chance pour la France, leader du nucléaire », Le Figaro, (lire en ligne)
  41. George Monbiot, « Evidence Meltdown », The Guardian, (lire en ligne[archive du ], consulté le ).
  42. By, « Top climate change scientists issue open letter to policy influencers », sur CNN (consulté le ).
  43. Peut-on être écologiste et pro-nucléaire ?, Goodplanet, 25 mai 2020.

Voir aussi

Articles connexes

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