Forces armées du Sénégal

Les Forces armées du Sénégal ont pour mission d'assurer la défense nationale et dans ce but, d'assurer en tous temps, en toutes circonstances et contre toutes les formes d’agression, la sécurité et l’intégrité du territoire du Sénégal et de sa population.

Forces armées sénégalaises
Fondation 1960
Branches Armée de terre
Marine nationale
Armée de l'air
Gendarmerie
Commandement
Président de la République Macky Sall
Ministre des Forces Armées Sidiki Kaba
Chef d'état-major des armées Général de corps Cheikh Wade
Main-d'œuvre
Âges militaires 18 ans
Disponibles au service militaire 1 618 920 hommes
Aptes au service militaire 1 158 893 hommes
Atteignant l'âge militaire chaque année 189 381  hommes
Actifs ~ 15 000 hommes
+ 7 000 gendarmes
Budgets
Budget 805 millions €
Pourcentage du PNB ~ 1.9 % PIB (2017)
Industrie
Fournisseurs étrangers France
États-Unis
Russie
Israël

Elle contribue de même au respect des alliances, traités et accords internationaux. La mise en œuvre de la politique de la défense est arrêtée par le Président de la République qui est responsable de la défense nationale, dont il exerce la direction générale et militaire.

Chaque ministre est responsable de la préparation de l’exécution des mesures de défense incombant au Département dont il a la charge. Le Chef d'État-Major Général des Armées (CEMGA), assiste le Ministre chargé des Forces Armées pour l’organisation générale, la mise en condition des forces et la coordination interarmées. Il est chargé de la préparation des plans et des opérations militaires.

Organisation

Le territoire sénégalais est divisé en sept zones militaires distinctes, délimitant les rayons d'action des différentes unités territoriales.

En application de la loi 84-62 du 16 août 1984 complétée par la loi 89-02 du 17 janvier 1989, les Forces Armées comprennent :

au niveau de la Présidence de la République :

au niveau du Ministère des Forces Armées :

Le Ministre des Forces Armées dispose :

L'État Major Général des Armées est organisé comme suit :

  • Chef d'État-Major Général des Armées
  • Sous-Chef d’état-major général des Armées
  • Sous-Chef Opérations
  • Sous-Chef Logistique
  • Sous-Chef Administration
  • Sous-Chef Ressources Humaines
  • Commandement de la formation

Armée de terre

Soldat sénégalais lors d'un exercice en 2013.

Doyenne et noyau des armées sénégalaises, l’Armée de Terre a opéré des mutations continues qui ont renforcé ses capacités d’intervention. Régulièrement restructurée et réorganisée de 1960 à nos jours, l’Armée de terre sénégalaise a conforté au fil des ans son rôle dans la préparation des unités.

Organisation

L’Armée de terre constitue actuellement la composante majeure de l'armée sénégalaise avec plus de la moitié des effectifs (environ 10 000 soldats)[1]. Elle est articulée autour d’un état-major avec deux divisions chargées des opérations et de la logistique. Elle s'articule également autour d'unités territoriales comprenant :

  • des bataillons d’infanterie appuyés par des sections d'artillerie lourdes dont la mission et de veiller aux frontières.
  • des bataillons de reconnaissance et d’appui (BRA) qui constituent des réserves zonales grâce à leur souplesse, leur mobilité et leur puissance de feu.

Enfin, elle possède plusieurs unités de réserve générale constituant une force d’intervention équipée et armée pour être projetées sur tout point du territoire national.

Équipements

Liste non exhaustive des équipements de l'armée de terre (voir le détail ici)
Armes portatives Véhicules et blindés légers Artillerie
Fusil d'assaut Roquette Transport de troupes Blindé léger Véhicule d'intervention Mortier
M16A2 RPG-7 M35 series (en) BRDM-2 (20) Toyota 70 Series Mle 27/31
M4A1 AT4 M809 (en) AML-60 (28) RAM MkIII (en) (55) MO 120 RT (8)
T4 (en) LRAC F1 (36) M818 (en) AML-90 (24) Dozor-B Oncilla Obusier
FAMAS F1 MILAN (4) VLRA VXB 170 (12) Humvee M116 (6)
HK G3 Eryx Casspir (9) M3 Panhard (12) M151 M2A2 (8)
Pistolet auto. Mitrailleuse KamAZ-6350 (12) M8 (10) RG-31 Nyala TRF1 (8)
Sig-Sauer P220 FN M2HB Aviation légère M20 (4) PUMA M26 (en) Mle 50 (en) (6)
PAMAS G1 AAN F1 SA.341H Gazelle (1) WMA301 (12) Mamba APC (en) Antiaérien et autre
Fusil de précision M60 SA.330F Puma (2) WZ551 (13) - ZPU-2
FR-F2 FN Minimi Alouette III SA.316 (2) EE-11 Urutu - Canon antiaérien (33)
SVD - - - - BM-21 Grad-U (8)
PGM - - - - -
M110 - - - - -

Marine nationale

Réception du Commandant de l'USS Robert G. Bradley à la base navale Amiral Faye Gassama de Dakar en 2011.

Situé à l’extrême ouest du continent africain, le Sénégal occupe une position stratégique de choix grâce à une façade maritime prolongée par une Zone Économique Exclusive de deux cents miles particulièrement riche en ressources halieutiques et minières. De cette situation découle toute l’importance de la marine nationale sénégalaise créée en 1961, qui, aussitôt après l’indépendance, est chargée de préserver les intérêts de l’État en mer. Elle compte aujourd'hui environ 1 000 militaires.

Organisation

La Marine nationale comprend un état-major et trois (03) corps :

  • Groupement Naval Opérationnel (GNO) : chargé de la mise en œuvre des unités navales qui sont regroupées en flottilles de Patrouilleurs de Haute Mer (PHM), de Bâtiments de Surveillance Côtière (BSC) et de Vedettes Côtières Rapides (VCR) et en groupe de transport (EDIC).
  • Groupement de Soutien de la Marine (GSM) : chargé d’assurer la sécurité des infrastructures portuaires, l’entretien et la réparation des unités navales, la formation du personnel et le soutien logistique.
  • Groupement de Surveillance Fluvio-maritime (GSFM) : chargé de la surveillance et de la protection des zones maritimes et fluviales.

Équipements

Le Fouladou, bâtiment amiral depuis 2016.
Le patrouilleur Kédougou, OPV 45 de la marine sénégalaise depuis 2015.
Le Gorée, ancien chaland de débarquement de la marine française.
Équipements de la marine sénégalaise au 3 avril 2021 (voir le détail ici)
Navire Origine Mis en service Classe Longueur
Patrouilleur hauturier (PHM)
Fouladou (bâtiment amiral)[2] France 2016 OPV 190 58 mètres
Kédougou[3] France 2015 OPV 45 45,9 mètres
Taouay[4] France 2021 RPB 33 33 mètres
Ferlo[5] France 2013
Conejera Espagne 2012 P 31 32 mètres
Fouta Danemark 1987 OSPREY 55 55 mètres
Njambuur[6] France 1983 PR 72 58 mètres
Bâtiment de surveillance côtière (BSC)
Lac Retba Israël 2020 SHALDAG MK V 32 mètres
Cachouane Israël 2020 SHALDAG MK II 25 mètres
Soungrougrou Israël 2019
Anambe Israël 2019
Popenguine France 1977 PR 48 26 mètres
Podor France 1974
Saint-Louis France 1974
Bâtiment de transport et de soutien logistique (EDIC)
Gorée France 2011 EDIC 700 59 mètres
Karabane France 2011
CTM 2[7] France 2010 CTM 24 mètres
Baliseur / Recherche halieutique / Formation (GSM)
Diender Corée du Sud 2018 - -
Samba Laobe Fall[8] France 2008 ECO 145 45 mètres
Itaf Deme Japon 2000 - 38 mètres
Vedette rapide de surveillance côtière (VCR)
4x vedettes États-Unis 2015 DEF 38 11,5 mètres
1x vedette États-Unis 2010 - 13 mètres
4x vedettes France 2005 RPB 12 12 mètres
2x vedettes France 2004 RPB 20 20 mètres

Armée de l'air

Embryonnaire à ses débuts, elle a été restructurée à partir des années 1980 avec des moyens matériels et humains adaptés. Elle compte aujourd'hui environ 1 000 militaires.

Organisation

  • Un État-Major dénommé EMAIR avec deux divisions : division Opérations et division Logistique ;
  • Un Groupement de Soutien GSAA chargé de l’administration du personnel, du soutien logistique et de la défense des bases
  • Un Groupement Opérationnel GOAA chargé des missions aériennes.
  • Une École EAA chargée de la formation technique et professionnelle du personnel de l’Armée de l’Air.

Équipements

Équipements de l'armée de l'air sénégalaise au 3 juin 2021 (voir le détail ici)
Avion d'entraînement Hélicoptère Avion de transport Patrouille maritime
Socata TB-30 (6) Alouette III (1) Bell 206 (2) CASA CN-235 (2) CASA CN-235 (1)
KAI KT-1 (en) (4) Mil Mi-2 (1) Agusta AW139 (1) Fokker F27 (1) CASA C-212 (1)
Drone Mil Mi-17 (2) AS350 Écureuil (1) Beechcraft King Air (1) Groupement aérien
Skylark II (3) Mil Mi-24 (5) - DHC-6 Twin Otter (1) Airbus A319 (1)

Gendarmerie nationale

Spahis sénégalais (2012), ou Garde rouge, affiliés à la Gendarmerie sénégalaise.

Au Sénégal, la Gendarmerie nationale est une force de police à statut militaire subordonnée au ministère des Forces armées pour les missions militaires et de police, alors que la Police nationale dépend du ministère de l'Intérieur. Le numéro d'urgence de la gendarmerie est le même que celui de la police : le 17 ou le 112. Ce corps comprend également la Garde présidentielle issue de l'ancienne Garde coloniale de spahis sénégalais.

Organisation

Elle comprend environ 5 000 gendarmes. Elle est dirigée par un Haut Commandant de la Gendarmerie assisté par un Haut Commandant en Second. Les officiers et les sous-officiers sont souvent formés en France. Les principales missions de la gendarmerie sont de veiller à la sûreté publique et d'assurer le maintien de l’ordre et l’exécution des lois et règlements.

Le Haut Commandement de la Gendarmerie Nationale a le commandement des forces de gendarmerie, il est nommé par le Président de la République Chef Suprême des Armées qui définit la politique de Défense Nationale. Laquelle, est exécutée sous l’autorité du Premier Ministre par le Ministre des Forces Armées.

Présentation des Directions

Présentation des Écoles

  • L'École Militaire de Santé
  • L'École d'Application de l'Infanterie
  • L'École Nationale des Officiers d'Active
  • L'École de l'Armée de l'Air de Thiès
  • L'Ecole d'Application du Service de Santé des Armées
  • L'École Nationale des Sous-Officiers d'Active
  • Le Prytanée militaire de Saint-Louis
  • Le 12e Bataillon d'Instruction
  • Le Centre de Perfectionnement des Cadres Militaires
  • Le Bureau Enseignement Militaire Supérieur

Histoire

Armée de Terre

Trois grandes périodes ont marqué l’évolution de l’Armée de terre sénégalaise :

  • La première période de 1960 à 1971 :
    • création de quelques bataillons et participation à la sécurisation de la frontière Sud dans le cadre de la guerre de libération de la Guinée-Bissau et aux opérations de maintien de la paix au Congo (ONUC).
  • La seconde période de 1972 à 1988 :
    • avènement d’un commandement de l’Armée de Terre (COMTER) qui se transformera d’abord en État Major Terre (EMTER) et enfin en État Major de l’Armée de Terre (EMAT)
    • couverture de l’ensemble du territoire national par des bataillons d’infanterie et de divers corps de troupe
    • création des Écoles de formations : l’École nationale des Sous-officiers d’active (ENSOA) en 1971, l’École nationale des Officiers d’Active (ENOA) en 1981, et la Division d’Application l’Infanterie (DAI) en 1984 devenue École d’Application d’Infanterie (EAI) en 1990.
    • participation de l’Armée de Terre à des opérations de maintien de la paix au Tchad, au Zaïre au Sinaï (FINUS), au Liban (FINUL) et en Gambie ( FODE KABA II).
  • La troisième période de 1988 à nos jours :
    • montée en puissance des formations
    • opérations simultanées dans la vallée du Fleuve Sénégal et dans le Sud du pays en 1989.

La montée en puissance de ces formations a permis à l’Armée de Terre de faire la preuve de ses capacités, tant à l’intérieur du territoire qu’à l’extérieur, notamment lors de la Guerre du Golfe (Bouclier et Tempête du Désert), de la guerre civile du Libéria (ECOMOG et MINUL), de la guerre civile du Rwanda (MINUAR et TURQUOISE), de la Centrafrique (MISAB et MINURCA) et de la Guinée-Bissau (GABOU).

Marine Nationale

La Marine nationale sénégalaise a été créée le .

Des étapes ont marqué l’évolution de la Marine notamment :

  • 1961 : Acquisition du premier patrouilleur côtier rapide dénommé Sénégal.
  • 22 janvier 1975 : La Marine passe sous commandement sénégalais intégral (auparavant conjoint avec la Marine française) ; le capitaine de corvette Faye Gassama est nommé Commandant de la Marine.
  • de 1982 à 1989 : Restructuration de la Marine avec la création de l’État-major, du Groupement de Soutien de la Marine (GSM), du Groupement Naval Opérationnel (GNO) et l’ouverture de la base navale secondaire d’Elinkine.
  • 1997 : Création du Groupement de Surveillance Fluvio-Maritime (GSFM).

Armée de l'Air

L’armée de l’Air sénégalaise a été créée le avec essentiellement du personnel de l’assistance technique française et du matériel aéronautique composé d’un (01) C.47 et d’un (01) hélicoptère de type Bell, et à titre de prêt.

Les deux premiers pilotes sénégalais sont sortis d’école en 1964. Le premier officier mécanicien et le premier pilote commandant de bord en 1966.

Le potentiel des moyens aériens a évolué et atteint son plus haut niveau en 1984 par l’acquisition :

  • d’hélicoptères lourds type SA330 Puma (perdus lors de l'opération Fodé Kaba et lors d'un entrainement)
  • d’avions de transport Fokker F27
  • d’avions d’entraînement et de combat type Fouga Magister
  • d’avions d’appui et d’observation Rallye Guerrier G 235,
  • d’un avion de patrouille maritime type Twin Otter.

L’Armée de l’air a eu à mettre en œuvre des avions de transport et de liaison type Dakota C47, Broussard, Cessna et des hélicoptères type Bell et Alouette III.

Le commandement du 1er Groupement Aérien Sénégalais a été sénégalisé en 1966 et le Commandement de l’Armée de l’Air le . Depuis 1974, l’Armée de l’Air ne compte dans ses rangs que deux personnels de l’Assistance Militaire Technique française, un officier et un sous-officier conseillers du commandement.

En avril 2006, la France offre 2 Epsilon et 1 hélicoptère Ecureuil, à la suite de l'engagement pris par le président français Jacques Chirac, lors de sa visite au Sénégal en février 2005. L'État sénégalais a récemment acquis 2 Mi-35P, 2 Mi-171SH. L'Espagne a donné 2 UH-1H et CN212 en 2008 aux Forces Aériennes Sénégalaises.

Les opérations extérieures

Opérations achevées

Opérations sans mandat

Opérations en cours

Budget

Le budget des forces armées a augmenté de 9 % pour 2001-2002, et de 8 % pour 2002-2003, atteignant les 56 milliards de francs CFA soit 68,6 millions de dollars à l'époque.

En 2005 les dépenses militaires étaient estimées à 1,4 % du PIB, en 2006 à 1,9 %.

Selon le Stockholm International Peace Research Institute, en 2005, le budget a été de 117 300 000 $ soit le 113e rang au classement des budgets de défense par pays. Cela fait du Sénégal le 3e budget de défense de l'Afrique de l'Ouest francophone derrière la Côte d'Ivoire et la Guinée Conakry.

Le budget n'est pas représentatif du niveau de renouvellement du matériel car le Sénégal bénéficie de beaucoup de dons de matériel de pays alliés ce qui permet d'avoir malgré le faible budget d'investissement une montée en puissance et un niveau opérationnel correct.

Mais notons qu'en 2021 le budget est d'environ 805 000 000$ soit une hausse de presque 800% en un peu plus de 15 ans cette hausse reflete la determination du governement senegalais a moderniser son armée et aujourd'hui l'armée sénégalaise a l'un des meilleurs budgets de défense d'Afrique

Recrutement

Pour la première fois, 300 jeunes femmes sont incorporées dans des unités combattantes en 2008[10]

Publications

Les forces armées éditent plusieurs publications telles que Sunugaal[11], une revue de liaison et de réflexion ; Armée/Nation, une revue trimestrielle de réflexion ; le Jambaar, un journal bimestriel d’information et de liaison ; Infogendarme, un journal bimestriel de la Gendarmerie nationale, ainsi que la Revue de la Gendarmerie.

Notes

  1. « Presentation generale de l'armée de terre sénégalaise », sur armyrecognition.com
  2. « A bord du patrouilleur sénégalais Fouladou », sur http://www.meretmarine.com,
  3. « Raidco achève le patrouilleur sénégalais Kedougou », sur meretmarine.com,
  4. « Ufast livre le patrouilleur Taouay au Sénégal », sur meretmarine.com,
  5. « Ufast et Raidco livrent leur patrouilleur de nouvelle génération au Sénégal », sur meretmarine.com,
  6. « Class PR 72 », sur worldwarships.com,
  7. « CTM 2 », sur netmarine.net,
  8. « Ocea livre le baliseur sénégalais Samba Laobe Fall », sur meretmarine.com,
  9. Ndèye Fatou Ndiaye et Chamsidine Sané, « Opérations en Gambie : Il était une fois “Fodé Kaba 1” et “Fodé Kaba 2” », sur seneweb.com,
  10. « Sénégal : l'armée veut recruter ses premières soldates » AFP
  11. Voir l'article Étymologie du nom Sénégal

Bibliographie

  • (en) Andrew F. Clark et Lucie Colvin Phillips, « Armed forces », in Historical Dictionary of Senegal, The Scarecrow Press, Metuchen (N. J.) et Londres, 1994 (2e éd.), p. 63-64
  • (en) M. C. Diop et M. Paye, « The Army and political Power in Senegal », in Eboe Hutchful et Abdoulaye Bathily (dir.), The Military and Militarism in Africa, Dakar, CODESRIA, 1998, p. 315-354
  • (fr) Dia Fara, « Armée et politique », Vérité, no 9, 1980, p. 1 et 8
  • (fr) Ka Leyti, « Réorganisation de la gendarmerie nationale », Sunugaal, no 1, 2 bimestre 1985, p. 10-11
  • (fr) Dieng Mamadou, « La réorganisation des forces armées », Sunugaal, , 1, 2e bimestre 1985, p. 7-9
  • (fr) Colonel Mamadou Lamdou Touré, Contribution à l’histoire militaire : Des premiers soldats noirs de la colonie du Sénégal à la formation de l’armée sénégalaise, Dakar, Université Cheikh Anta Diop, 1999, 111 p. (Mémoire de Maîtrise)
  • Colonel Sidy Sady, La Gendarmerie nationale sénégalaise : son rôle dans la consolidation de l'État, Paris, L'Harmattan, , 177 p. (ISBN 978-2-296-54893-0)

Voir aussi

Articles connexes

Articles relatifs à l'histoire des armées sénégalaises

Liens externes

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