Collège-lycée Jacques-Decour

Le lycée Jacques-Decour est issu du collège Sainte-Barbe de l’université de Paris, fondé dès le XVe siècle, et de sa séparation en deux établissements après la Révolution : le collège Sainte-Barbe-Nicolle, rue des Postes, et le collège Sainte-Barbe-Lanneau, rue Cujas.

Lycée Jacques Decour

Les bâtiments du lycée vus depuis le dôme du Sacré-Cœur.
Généralités
Pays France
Académie Paris
Coordonnées 48° 52′ 54″ nord, 2° 20′ 40″ est
Adresse 12, avenue Trudaine
75009 Paris
Site internet lyc-jacques-decour.scola.ac-paris.fr
Cadre éducatif
Type Établissement public local d'enseignement (EPLE)
Proviseur P. Hautin
Matricule Collège : 0752532 V
Lycée : 0750668 U
Population scolaire ~1 700 élèves
Formation Collège
Lycée général (S, ES et L)
CPGE scientifiques et économiques
Langues étudiées allemand, anglais, espagnol, italien, chinois, néerlandais, hongrois
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Paris

Il a pris successivement les noms de collège Sainte-Barbe (en 1821), collège Rollin (en 1830), lycée Rollin (en 1919) et enfin lycée Jacques-Decour (en 1944). C'est un des lycées français à avoir été rebaptisé à la Libération du nom d'un de ses professeurs, résistant[1], avec le lycée de garçons de Saint-Germain-en-Laye, rebaptisé Marcel Roby.

C'est un collège et un lycée situé dans le 9e arrondissement, la cité scolaire Jacques-Decour avec, l'année scolaire 2009-2010, environ 2 000 personnes, collégiens, lycéens, étudiants, enseignants, personnels de la vie scolaire, d’accueil et de service, d’administration et de direction, qui y vivent ou y travaillent.

C'est le seul lycée d'Île-de-France à offrir une section internationale en chinois.

L'établissement possède également des classes préparatoires scientifiques et commerciales.

Ce site est desservi par la station de métro Anvers.

Construction

Entrée principale.
Collège Rollin rue des Postes.

Le collège-lycée Jacques-Decour a été construit en 1876 sur l'emplacement des abattoirs de Montmartre, démolis en 1867[2].

De la rue des Postes à l’avenue Trudaine

Avec la séparation du collège Sainte-Barbe en deux établissements après la Révolution, chaque établissement a essayé de garder le nom de « Sainte-Barbe »[3].

  • L'un était dirigé par Victor de Lanneau à partir de 1798, le collège Sainte-Barbe-Lanneau, rue Cujas.
  • L'autre l'était par les frères Nicolle, Henri Nicolle (1767-1829)[4] et l'abbé Charles Nicolle (1758-1835)[5] son frère aîné, le collège Sainte-Barbe-Nicolle, rue des Postes.

Par arrêté du Conseil royal de l'Instruction publique en date du 28 août 1821, l'institution de la rue des Postes, connue sous le nom d'Association des anciens élèves de Sainte-Barbe, fut érigée en collège de plein exercice[6] et le 2 juillet 1822 le même conseil autorisa le collège de la rue des Postes à porter le nom de collège Sainte-Barbe[3]. Le collège était établi à l'emplacement de l'ancien couvent des Filles de Saint-Michel fermé en 1790.

Par arrêté, toujours du même Conseil, en date du 6 octobre 1830, le collège Sainte-Barbe de la rue des Postes s'est vu attribuer le nom de collège Rollin afin de conserver l'appellation d'Institution Sainte-Barbe à la maison d'éducation dirigée par Victor de Lanneau[6], il restera rue des Postes à Paris, actuelle rue Lhomond, jusqu'en 1876.

« Quant au collège de la rue des Postes, il fut appelé le Collège Rollin par un acte de justice qu'on peut regarder comme le digne pendant de l'autre, car ce fut consacrer la mémoire du Saint de l'Université, que de l'associer à l'existence d'un de nos meilleurs établissements d'instruction. Sainte-Barbe se félicite d'avoir fourni pour des rivaux qu'elle estime la pensée d'un si respectable patronage[7]. »

 Quicherat, Jules Étienne Joseph, 1814-1882, Histoire de Sainte-Barbe : collège, communauté, institution (1860)

Depuis 1826 il avait statut de collège municipal de Paris[3].

Dès 1867 une association d'anciens élèves est créée[8], elle déménagera avec le collège[9].

C'est le baron Haussmann qui transférera le « collège Rollin » à son emplacement actuel de l'avenue Trudaine[10].

Le bâtiment de l’avenue Trudaine

Façade intérieur du lycée Jacques-Decour.
Intérieur du lycée Jacques-Decour.
Intérieur du lycée Jacques-Decour, sous les arcades.
Plaque « Lycée d'Europe » du lycée Jacques-Decour.

Le bâtiment actuel, qui comporte plusieurs cours, une chapelle, un théâtre et un musée, occupe 3 hectares et demi et a été construit de 1867 à 1876 par l'architecte Napoléon Alexandre Roger (1806-1883)[11] sur l'emplacement de l'ancien abattoir de Montmartre.

Après avoir porté le nom de Charles Rollin (1661-1741), historien, professeur et chancelier des universités, il prendra en 1944 celui de Jacques Decour, nom de résistance de Daniel Decourdemanche (1910-1942), professeur d'allemand, écrivain et résistant fusillé en 1942 au Mont-Valérien. On lit chaque année depuis la libération sa lettre d'adieu à ses parents avant d'être fusillé par les Allemands.

« Je me considère un peu comme une feuille qui tombe de l'arbre pour faire du terreau. La qualité du terreau dépendra de celle des feuilles. Je veux parler de la jeunesse française »

 Daniel Decourdemanche, (Lettre, extrait)

Dans la cour d'honneur plusieurs plaques rendent hommage aux anciens élèves, professeurs et fonctionnaires morts durant les différents conflits (1914-1918, 1939-1945, Maroc), 245 noms y sont relevés[12].

L'orgue de la chapelle

De 1974 à 1982 un « grand orgue » a été construit dans la chapelle du lycée par des anciens élèves et professeurs sous la conduite du facteur d’orgue Swiderski qui harmonisa l’instrument. L’orgue comprend 20 jeux répartis sur deux claviers manuels et pédalier, il est d’esthétique néo baroque, il a été inauguré en 1982. L’organiste titulaire du lycée est Boris Lefeivre, président de l’« Association des Amis de l’Orgue »[13] et organiste titulaire de l'orgue Bernard Aubertin de l’église Saint-Jacques de Neuilly-sur-Seine. Des récitals d’orgue mais aussi des concerts qui ne sont pas seulement dédiés à l’orgue sont régulièrement programmées dans la chapelle du lycée. Dans le cadre du 250e anniversaire de la mort de Jean-Sébastien Bach, l'intégrale de son œuvre pour orgue y a été interprétée[14].

D’hier à aujourd’hui

En décembre 1967, Maurice Najman (1949-1999) y fonde les Comités d'action lycéen (CAL), qui allaient jouer un rôle central durant mai 68[15]. Mais les « années soixante-huit » au lycée Jacques-Decour se caractérisent surtout par une tendance dadaïste-libertaire fortement inspirée par les situationnistes, sensible dès 1967 et qui se poursuivra pendant les années soixante-dix. En Mai 68, le lycée est occupé jour et nuit. Des salles de cours sont baptisées des noms d'Antonin Artaud, André Breton et Tristan Tzara. Au cours des années qui suivirent, une communauté de lycéens occupants s'installa secrètement dans les caves de l'établissement, renommées « Ravachol-City » en l'honneur du célèbre anarchiste[16].

En 1974, par une initiative ministérielle avant-gardiste d'initiation à l'informatique pour élèves et enseignants intéressés, le lycée Jacques-Decour, à Paris, fut éligible à l'opération dite « Expérience des 58 lycées »[17] : utilisation de logiciels et enseignement du langage de programmation LSE[18], en club informatique de lycée[19], pour 58 établissements de l’enseignement secondaire[20]. À cet effet, dans une première phase, quelques professeurs du lycée, enseignants de diverses disciplines, furent préalablement formés de manière lourde à la programmation informatique. Dans une seconde phase, l'établissement fut alors doté d'un ensemble informatique en temps partagé comportant initialement : un mini-ordinateur français CII Mitra 15[21] avec disque dur, un lecteur de disquettes 8 pouces, plusieurs terminaux écrans claviers Sintra TTE, un Teletype ASR-33 et le langage LSE implémenté ; tous ces moyens ayant permis de mettre en œuvre cette démarche novatrice sur le terrain, avec du matériel informatique ultra-moderne pour l'époque.

En mai 2009 a été apposée, dans la cour du lycée, en présence de Simone Veil dont le père, André Jacob (1890-1944), a été scolarisé à Jacques-Decour, une plaque portant 27 noms de lycéens juifs, dont 26 sont morts en déportation et le dernier, Julien Selonczyk, est mort fusillé pour faits de résistance[22].

Fin 2009 un accessit[23] est décerné au lycée Jacques Decour dans le cadre du « Prix des droits de l’homme - René Cassin » (décerné par la Commission nationale consultative des droits de l'homme conjointement avec le ministère de l'éducation nationale) pour son travail « 27 janvier : commémoration de l’holocauste et prévention des crimes contre l’humanité »[24].

En 2017, deux étudiants du lycée, Ricardo Monteiro et François Wu remettent à jour l'existence de la cité perdue « Ravachol-City » sous Jacques Decour inaugurée par Antonin Artaud en 1967.

Classements des CPGE

Les tableaux présentent les résultats du lycée par filière en 2017, selon les statistiques disponibles sur le site scei-concours.

Filière MP

Concours Inscrits Admissibles Classés Intégrés
X/ENS 12 0 0 0
Mines 37 21 13 5
Centrale 28 5 2 0
CCP 38 25 19 7
E3A 34 27 25 11

Filière PC

Concours Inscrits Admissibles Classés Intégrés
X/ENS/ESPCI 20 6 4 3
Mines 33 25 19 6
Centrale 30 18 15 5
CCP 34 27 18 2
E3A 16 15 14 5

Filière PSI

Concours Inscrits Admissibles Classés Intégrés
X/ENS/ESPCI 15 1 1 1
Mines 81 61 52 7
Centrale 78 36 25 6
CCP 85 66 54 17
E3A 83 74 64 16

Le lycée Jacques-Decour au cinéma

Professeurs notables

L'établissement dans la seconde moitié du XIXe siècle.
  • Just-Jean-Étienne Roy (1794-1871), écrivain, professeur au Collège Rollin.
  • Jules Michelet (1798-1874) y a enseigné l'histoire à partir de 1821[26].
  • Charles Sturm (1803-1855) y a enseigné les mathématiques (en classe de math spé) entre 1830 et 1840.
  • Henri Wallon (1812-1904), historien et homme politique, auteur de l'amendement Wallon de 1875, y exerça au début de sa carrière en qualité de professeur d'histoire.
  • Félix Ravaisson (1813-1900), professeur de philosophie, il fut le maître de Bergson[26].
  • Édouard Jannettaz (1832-1899), minéralogiste et géologue, professeur en 1863[27].
  • Émile Beaussire (1824-1889), philosophe et homme politique, professeur de philosophie vers 1865.
  • Albert Lange (1842-1915), professeur d'allemand de 1877 à 1881[28].
  • Stéphane Mallarmé (1842-1898), poète, professeur d'anglais[26].
  • Édouard Branly (1844-1940), physicien et médecin, professeur de physique[26].
  • Charles Rinn (1849-1929), professeur en 1875, helléniste et lexicographe français.
  • Hippolyte Monin (1854-1915), professeur d'histoire de 1886 à 1914.
  • Henri Bergson (1859-1941)[26], professeur de philosophie de 1889 à 1890. Prix Nobel de littérature en 1927.
  • Léon Roger-Milès (1859-1928), professeur au Collège Rollin de 1879 à 1887.
  • Victor Auzat (1865-1939), docteur en médecine et entomologiste y fut professeur adjoint du au .
  • Georges-Henri Luquet (1876-1965), professeur de philosophie à partir de 1920.
  • Jules Romains (1885-1972), professeur de philosophie en 1916-1917.
  • Jean Bouzet (1892-1954), hispaniste, félibre, linguiste et poète.
  • Fernand Cohen, professeur agrégé de physique, médaillé de 1914-1918, touché par les lois antisémites de Vichy en 1940, arrêté et interné au camp de Drancy, il dirigea l'orphelinat Rothschild pendant la Seconde Guerre mondiale.
  • Louis Francis (1900-1959), professeur agrégé de lettres
  • Irénée Barbance (1901-1980), syndicaliste et enseignant, professeur de mathématiques de 1948 à 1966.
  • Camille Lebossé (1905-1995), mathématicien.
  • Ferdinand Alquié (1906-1985), philosophe.
  • Robert Dauvergne (1908-1977), professeur d'histoire et géographie.
  • Daniel Decourdemanche (1910-1942), professeur d'allemand[26], résistant sous le nom de Jacques Decour, dont le nom a été donné à l'établissement.
  • Jean-Pierre Vernant (1914-2007)[26], en 1946, historien et anthropologue.
  • François Chamoux (1915-2007), en 1951-1952, membre de l’Académie des inscriptions et belles-lettres.
  • Jean-Louis Curtis (1915-1995), écrivain.
  • Jacques Vilfrid (1923-1988), scénariste.
  • Bernard Pottier (né en 1924), linguiste, membre de l'Académie des inscriptions et belles-lettres, y a enseigné l'espagnol en 1953.
  • Jean Girault (1924-1982), réalisateur, auteur de la série du Gendarme avec Louis de Funès.
  • Henri Patez (1927-2014), artiste peintre, sérigraphe, y a enseigné les arts plastiques entre 1965 et 1987.
  • Michel Clouscard (1928-2009), occupera le poste de professeur de lettres (français) de 1965 à 1975[29].
  • Irène Frain (née en 1950), femme de lettres française, romancière et historienne.
  • Andreï Makine (né en 1957), académicien français, romancier, y exerça comme assistant de russe.
  • Alex Taylor, journaliste européen y exerça comme assistant d'anglais.

Élèves notables

Une classe vers 1945, au 5e rang, le 3e à partir de la droite : François Truffaut.

Structure des classes préparatoires

  • Classes de première année[38]
    • 1 classe de MPSI (Mathématiques – Physique – Sciences de l’Ingénieur)
    • 2 classes de PCSI (Physique – Chimie - Sciences de l’Ingénieur)
    • 1 classe de ECS (classe préparatoire économique et commerciale voie scientifique)
  • Classes de deuxième année
    • 1 classe de MP (Mathématiques – Physique)
    • 1 classe de PSI (Physique - Sciences de l’Ingénieur)
    • 1 classe de PSI « étoile » (Physique - Sciences de l’Ingénieur)
    • 1 classe de PC « étoile » (Physique - Chimie)
    • 1 classe de ECS

Notes et références

  1. Un lycée dans la guerre, par Jérôme Garcin, Le Nouvel Observateur du .
  2. Cadastre de Paris par îlot (1810-1836), plan 8e quartier Faubourg Montmartre, îlots nos 10 et 11, échelle 1/1000, F/31/76/09
  3. « Les écoles, lycées, collèges, bibliothèques; l'enseignement public à Paris (1913), Dupont-Ferrier, Gustave, 1865 (p. 161-162) », sur www.archive.org
  4. « Notice sur M. Henri Nicolle, directeur du collège de Sainte-Barbe... », sur gallica.bnf.fr
  5. « L'abbé Dominique-Charles Nicolle », sur www.inrp.fr
  6. [PDF]« Les lycéens au XIXe siècle dans les archives de l’administration centrale du ministère de l’Instruction publique (p. 4) », sur www.archivesnationales.culture.gouv.fr
  7. « Histoire de Sainte-Barbe : collège, communauté, institution (1860) (p. 234) », sur www.archive.org
  8. « Les écoles, lycées, collèges, bibliothèques; l'enseignement public à Paris (1913), Dupont-Ferrier, Gustave, 1865 (p. 172) », sur www.archive.org
  9. « Page de L’ASSOCIATION DES ANCIENS ELEVES - Ancien collège Sainte-Barbe - 12, avenue Trudaine », sur lyc-jacques-decour.scola.ac-paris.fr
  10. « Les lycées dans la ville: l’exemple parisien (1802-1914) », sur histoire-education.revues.org
  11. « Les architectes par leurs œuvres, Brault, Élie (p. 309) », sur www.archive.org
  12. « Plaques commémoratives du lycée Jacques Decour (relevé n°26647) », Memorialgenweb.org, (consulté le )
  13. « L’orgue du lycée > visite guidée » (consulté le )
  14. « Célébrations nationales, 250e anniversaire de la mort de Jean-Sébastien Bach 1750-2000 », sur www.culture.gouv.fr
  15. Vincent Noce (journaliste à Libération), Mort du journaliste Maurice Najman ; Militant gauchiste; il avait travaillé à «Libération»
  16. Un Paris révolutionnaire : émeutes, subversions, colères, dir. Claire Auzias, Paris, L'Esprit frappeur-Dagorno, 2001, p. 212-214.
  17. Jacques Baudé, « L’expérience des « 58 lycées » », sur societe-informatique-de-france.fr, (consulté le )
  18. Jacques Baudé, « Le système LSE », sur societe-informatique-de-france.fr, (consulté le )
  19. « Témoignage d'un ancien élève sur l'ambiance d'un club informatique « 58 lycées » des années 1975 », sur epi.asso.fr, (consulté le )
  20. « Liste des 58 lycées », sur epi.asso.fr, (consulté le )
  21. Association pour un conservatoire de l'informatique et de la télématique, « Collection ACONIT, les mini-ordinateurs français Télémécanique T1600 et CII Mitra 15 », sur db.aconit.org (consulté le )
  22. « Hommage aux 27 lycéens juifs du lycée parisien Jacques Decour, victimes de la barbarie », CRIF, (consulté le )
  23. Accessit : distinction accordée dans les écoles, dans les collèges et dans les académies à celui ou à ceux qui ont le plus approché du prix.
  24. « Palmarès du Prix des droits de l'homme - René Cassin », ministère de l'éducation nationale, (consulté le )
  25. « Les Brigades du Tigre - Presse », Les Brigades du Tigre - Site officiel (consulté le ).
  26. « Ils sont passés par le Lycée » (consulté le )
  27. Minutes et répertoires du notaire Philibert Turquet, 9 juillet 1846 - 9 mars 1877 (étude XXXV) sur www.siv.archives-nationales.culture.gouv.fr.
  28. Notice nécrologique dans : Revue de l'enseignement, volume 32, 1915, p. 164.
  29. Michel Clouscard, « Biographie de Michel Clouscard » (consulté le ).
  30. Cercle algérianiste, archives Armand Point.
  31. Philippe Bouvard, « J’ai découvert la lutte des classes dans la cour de récréation », rubrique « Le bloc-notes », in Le Figaro Magazine, , p. 138.
  32. Qui est qui en France, J. Lafitte, , p. 1434.
  33. Antoine de Baecque et Serge Toubiana, François Truffaut, Éditions Gallimard, , p. 29.
  34. Pierre Richard, Le Petit Blond dans un grand parc, éditions Olivier Orban, 1989.
  35. « Jean Morange », PUF (consulté le ).
  36. Philippe Bordier, Didier Blain, « Daniel Vaillant : « Un 18e arrondissement harmonieux, mais pas uniforme » », Dixhuitinfo, (consulté le ).
  37. « "Le Moral des ménages" d'Eric Reinhardt, Une vie française "moyen format", antichambre de son roman "Cendrillon" », www.buzz-litteraire.com, (consulté le ).
  38. « Les classes préparatoires du lycée Jacques Decour », cpge-decour.scola.ac-paris.fr (consulté le )

Liens externes

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