Verneuil-sur-Seine

Verneuil-sur-Seine est une commune du département des Yvelines, dans la région Île-de-France, en France, située à 15 km environ au nord-ouest de Saint-Germain-en-Laye.

Pour les articles homonymes, voir Verneuil.

Verneuil-sur-Seine
La mairie rénovée.

Blason

Logo
Administration
Pays France
Région Île-de-France
Département Yvelines
Arrondissement Saint-Germain-en-Laye
Intercommunalité CU Grand Paris Seine et Oise
Maire
Mandat
Fabien Aufrechter
2020-2026
Code postal 78480
Code commune 78642
Démographie
Gentilé Vernoliens, Vernoliennes
Population
municipale
15 982 hab. (2018 )
Densité 1 695 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 58′ 50″ nord, 1° 58′ 29″ est
Altitude Min. 17 m
Max. 69 m
Superficie 9,43 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Paris
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Verneuil-sur-Seine
(bureau centralisateur)
Législatives 7e circonscription des Yvelines
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
Verneuil-sur-Seine
Géolocalisation sur la carte : Yvelines
Verneuil-sur-Seine
Géolocalisation sur la carte : France
Verneuil-sur-Seine
Géolocalisation sur la carte : France
Verneuil-sur-Seine
Liens
Site web https://www.verneuil78.fr/

    Ses habitants sont appelés Vernoliens.

    Ville périurbaine de la capitale située dans ce qu’il est convenu d’appeler la « grande couronne », Verneuil-sur-Seine bénéficie d’accroches ferrées et routières vers Paris tout à fait exceptionnelles. Ville de la vallée de la Seine, située entre Les Mureaux et Vernouillet.

    Elle bénéficie également du « réseau » Saint-Germain-en-LayePoissyOrgeval, lieu d’attraction régional fort où le commerce, les activités et les échanges sont particulièrement vifs. Elle est enfin proche du pôle de Cergy-Pontoise et s’ouvre alors les portes du Val-d'Oise, département au caractère différent et complémentaire.

    La ville de Verneuil-sur-Seine profite enfin d’une situation géographique privilégiée entre les bords de la Seine, les étangs de Verneuil, le massif forestier des bois de Verneuil et les terres agricoles du plateau des Groux.

    La commune est située sur l’une des boucles ouest de la rive gauche de la Seine, à 40 km de Paris.

    Géographie

    Position de Verneuil-sur-Seine dans les Yvelines

    La commune de Verneuil-sur-Seine se trouve dans le nord des Yvelines en bord de Seine, dans la convexité d'un méandre, sur la rive gauche du fleuve. Le territoire se trouve dans la plaine alluviale de la Seine, entre 60 et 20 mètres d'altitude, en légère pente du sud vers le nord en direction de la Seine. Un vallon en son centre, orienté sud-nord, a été creusé par le ru de Bazincourt (qui disparaît au nord dans la zone urbanisée).

    Verneuil-sur-Seine est localisée à 38 kilomètres à l'ouest de la cathédrale Notre-Dame de Paris, point zéro des routes de France, à 26 kilomètres au nord de Versailles, préfecture des Yvelines, à 14 kilomètres au nord-ouest de Saint-Germain-en-Laye la sous-préfecture et à 34 kilomètres au nord-ouest de la porte Maillot.

    Occupation des sols

    L'occupation des sols se caractérise par une forte urbanisation, concentrée dans le centre-sud du territoire. L'espace construit représente 33 % du territoire, soit 314 hectares (en 1999)[1]. L'espace rural, 55 % du territoire se partage, en parties sensiblement égales entre cultures, forêt (surtout dans l'ouest de la commune, avec la forêt régionale de Verneuil-sur-Seine (certifiée par le Forest Stewardship Council pour sa gestion durable en 2014[2]) au sud de la RD 154 et le bois de la Demi-Lune au nord) et les plans d'eau le long de la Seine de la Base de plein air et de loisirs de Val-de-Seine (étangs du Rouillard, de la Grosse-Pierre et du Gallardon). Il s'agit de plans d'eau artificiels résultant de l'exploitation passée de sablières et gravières.

    L'habitat s'est étendu le long de la RD 154 en continuité avec la ville voisine de Vernouillet, formant une agglomération continue. Il est constitué principalement d'habitations individuelles récentes (39,5 % de l'espace urbain, soit 170 hectares) et d'un grand nombre de logements en immeubles collectifs occupant 5 % de cet espace soit 20 hectares. Les zones d'activités, environ 14 hectares, se situent principalement au nord des voies ferrées.

    Espaces verts

    La nature et les paysages sont plus que jamais des motifs d'expression de citoyenneté pour ceux qui, de plus en plus nombreux, s'engagent en faveur de la préservation de l'environnement. Elle renvoie en particulier à la question de la responsabilité collective de conservation et de bonne gestion des espaces naturels qui ont été légués aux générations présentes et dont les générations futures seront bientôt titulaires.

    • Le chemin des Aulnes
    • Les jardins d'Aguilar (anciennement nommé "parc du Talweg")
    • Le parc des jardins familiaux
    • Le bois de Verneuil
    • Île de loisirs du Val-de-Seine
    • Le Champclos
    • Parc de la mairie, boulevard André-Malraux

    Climat

    Le climat de Verneuil-sur-Seine est de type océanique dégradé. La station de référence pour Verneuil est celle de Saint-Germain-en-Laye[3]. Le climat est caractérisé par un ensoleillement et des précipitations assez faibles. La moyenne des précipitations tourne autour de 650 mm par an étalés sur 111 jours de pluie en moyenne, dont 16 jours de fortes précipitations (plus de 10 mm). Les températures y sont douces, le mois le plus froid étant janvier avec une moyenne de températures de 4,7 °C et les mois les plus chauds juillet et août qui présentent une température moyenne de 20 °C.

    MoisJanvFévMarsAvrMaiJuinJuilAoûtSeptOctNovDécAnnée
    Températures maximales moyennes (°C) 6 7 11 14 18 21 24 24 21 15 9 7 14,8
    Températures minimales moyennes (°C) 1 1 3 6 9 12 14 14 11 8 4 2 7,1
    Températures moyennes (°C) 4 4 7 10 14 17 19 19 16 12 7 5 11,2
    Source : Climatologie mensuelle - Saint-Germain-en-Laye, France[4]

    Urbanisme

    Typologie

    Verneuil-sur-Seine est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[5],[6],[7]. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant 411 communes[8] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[9],[10].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[11],[12].

    Transports et déplacements

    .

    Voies de communications

    Les communications routières sont assurées principalement par la route départementale 154 qui relie Orgeval aux Mureaux, traversant la commune dans le sens sud-est - nord-ouest.

    La commune est située à 5 kilomètres à l'est de la sortie 8 de l'autoroute A13 (Les Mureaux-Meulan, Bouafle, Ecquevilly), ainsi qu'à 9 kilomètres au nord de la jonction entre les autoroutes A13 et A14, située à Orgeval (sortie 7).

    Dans l'ouest de la commune se trouve une partie des pistes de l'aérodrome des Mureaux.

    Chemin de fer

    Train en gare de Vernouillet-Verneuil

    .

    La ville de Verneuil sur Seine dispose de deux gares situées sur la ligne .

    La ligne J du Transilien effectue les liaisons entre les gares de Paris-Saint-Lazare, de Vernon - Giverny, des Mureaux et de Mantes-la-Jolie. Les deux gares de Verneuil-sur-Seine sont situées sur la ligne de Paris-Saint-Lazare au Havre. D'importants faisceaux de voies situés au nord des voies principales, entre celles-ci et les étangs, témoignent d'une ancienne activité de triage. Ils sont aujourd'hui utilisés comme voies de garage temporaires. Des voies d'embranchement desservent des installations industrielles au nord de la ligne.

    La gare des Clairières de Verneuil est moins desservie que la première puisque seuls les trains à destination et au départ des Mureaux s'y arrêtent en heures de pointe. En heures creuses, les trains de la ligne J sont omnibus et desservent donc toutes les gares de la ligne.

    Les deux gares font partie du projet de prolongement du RER E. À terme, le RER E remplacera la ligne J dans les gares de Vernouillet-Verneuil et des Clairières de Verneuil.

    Transports routiers urbains et interurbains

    La ville de Verneuil est desservie par de nombreuses lignes de bus[13].

    La ville a acquis depuis les années 1990 une gare routière en face de la gare de Vernouillet - Verneuil, ce qui facilite les échanges entre les différentes connexions de bus. Elle est desservie également par une ligne de car qui se rend vers La Défense via l'autoroute A 14. Les transports en commun urbains sont assurés principalement par les Autocars Tourneux (groupe Transdev), qui exploite 18 lignes. Ces lignes desservent les divers quartiers de la commune ainsi que les liaisons aux pôles de Cergy-Préfecture, Saint-Germain-en-Laye, La Défense.

    La commune est donc desservie par les lignes des Autocars Tourneux 3 (de Meulan à Poissy), 12 (de Verneuil à Cergy), 13 (de Verneuil à la gare de Conflans-Fin-d'Oise), 26 (des Mureaux à Poissy), 30 (circulaire Verneuil via Jean Zay), 31 (circulaire Verneuil via Les Hauts de Verneuil), 32 (circulaire Verneuil via Marsinval), 33 (de Verneuil à Morainvilliers), 35 (circulaire Verneuil via La Garenne et la gare des Clairières de Verneuil), 37 (circulaire Verneuil via collège Emile-Zola) et 39 (circulaire Verneuil via Chapet).

    Verneuil-sur-Seine est également desservie par la ligne 34 du réseau Transdev Ecquevilly (vers Bouafle, Ecquevilly et Nézel), par la ligne 30-27 des cars Lacroix (vers Vaux-sur-Seine, Vauréal et Jouy-le-Moutier) et par la ligne 9 du réseau de bus Com'Bus (de Mantes-la-Jolie à Verneuil via Limay).

    La nuit, le Noctilien dessert Verneuil avec la ligne N151. Cette ligne nocturne relie Paris-Saint-Lazare à Mantes-la-Jolie.

    Enfin, la commune est desservie par la ligne Verneuil-Orgeval-La Défense du Réseau de bus Express A14.

    Toponymie

    Le nom de cette localité est attesté sous les formes De Vernoilo en 1150[14], Vernagilum, Vernugilum, Vernalium[15], Verneuil en 1793[16].

    Plaque signalétique en gare.

    Verneuil se compose de deux éléments gaulois (celtique) : du terme *uerno (marécage, aulne), resté dans les termes dialectaux verne et vergne (sortes d'aulnes)[17]. Le second élément est un appellatif toponymique également d'origine celtique *ialon, latinisé en -ialum, et qui signifie initialement « espace découvert par un défrichement », « essart », puis par extension « village » [18].

    La Seine est le seul cours d'eau traversant Verneuil-sur-Seine.

    Histoire

    Rapide fresque historique

    Eglise Saint-Martin, Charité

    La découverte de sarcophages laisse présumer que le territoire de Verneuil-sur-Seine était habité à l’époque mérovingienne et plusieurs chartes attestent que l’existence du village remonte à une époque reculée du Moyen Âge. L'histoire de la ville fut intimement liée à celle de Vernouillet : les deux paroisses eurent les mêmes seigneurs et pendant un temps elles ne constituèrent, avec Chapet, qu’une seule seigneurie érigée en marquisat par Louis XV, sous le nom de « marquisat de Romé de Vernouillet ».

    Au XIIe siècle, la terre de Verneuil figurait sur la liste des possessions de la maison de Montmorency. Elle passa ensuite dans la famille de Narbonne, puis au XVe siècle, à Mary Bureau qui vendit les fiefs, les terres et les seigneuries de Verneuil et de Vernouillet avec leurs appartenances et leurs dépendances, à Estienne Alleaume, écuyer et seigneur de la Motte, le , pour la somme de 5 200 livres. Le nouveau seigneur des lieux mourut en 1555 en son château.

    Le comte Hervé de Tocqueville, aimant la richesse, les honneurs et le pouvoir, vécut à Verneuil en grand seigneur, entouré d’une famille nombreuse et recevant une foule d’invités, parmi lesquels Chateaubriand. En 1804, le comte de Toqueville accepta de l’Empereur, qu’il n’hésita pas à surnommer au lendemain de sa chute l’usurpateur, les fonctions de maire de Verneuil qu’il exerça jusqu’en 1814, signant de vigoureux arrêtés municipaux qu’on taxerait aujourd’hui d’arbitraires.

    Au début du XXe siècle, le partage des terres effectué à la mort de la princesse de Ligne apporta une profonde modification à la commune, transformant les champs labourables et une partie des bois, en terrains à bâtir, à seulement 35 kilomètres de Paris et desservis chaque jour par 32 trains.

    L'église Saint-Martin

    église Saint-Martin-de-Verneuil

    L'église date des XIIe et XIIIe siècles et fut plusieurs fois reconstruite. Le sous-sol de l’église conserve une histoire bien plus ancienne que ne laissent penser ses murs ; la fondation de l’édifice remonte en réalité au premier Moyen Âge, à l’époque carolingienne (IXe – Xe siècles). En effet, un bâtiment rectangulaire, doté d’une abside à angles arrondis et d’un chevet plat, a pu être identifié sous le chœur de l’église actuelle [19].

    L'église Saint-Martin mêle l'art roman du XIIe siècle (arcs-doubleaux en plein cintre, chapiteaux à crochets et à large tailloir, fenêtres géminées à la base du clocher) à l'art gothique du XIIe siècle (voûtes d'ogives de la nef et des bas-côtés).

    Aucun acte n'indique la date précise de la fondation de l'église Saint-Martin de Verneuil, mais à partir de 1790, la paroisse est rattachée au diocèse de Versailles (Seine-et-Oise) et refuse de se fondre avec la paroisse de Vernouillet. En 1794, l'église devient temple de la déesse Raison. Le , la cloche de l'église prend pour marraine la comtesse de Tocqueville et pour parrain, Hervé de Tocqueville, le maire.

    En 1930, l'église est classée monument historique. Construite à une époque de transition, l'église porte les caractéristiques de 2 périodes distinctes : romane et gothique.

    Retirées pour restauration en 1982 et 1984, 3 des 5 statues ont retrouvé leur place. Citons la représentation de saint Martin, patron de l'église : la charité de saint Martin, statue polychrome du XVIe siècle, comme le prouve l’écusson peint entre les pattes du cheval qui est celui des Aleaume. Cette statue a été classée monument historique en 1960 pour sa valeur artistique. L'église de Verneuil a bénéficié de grands travaux de restauration intérieure et extérieure en 2013, travaux qui ont été précédés par un diagnostic archéologique mené par le Service archéologique départemental des Yvelines. Le diagnostic a mis en lumière une existence bien plus ancienne de l'église, qui remonterait au bas-Empire (Antiquité tardive).

    Un guide édité en 2014 retrace les grandes étapes de la construction de l'église Saint-Martin, à la lumière des découvertes réalisées par les archéologues.

    Le château

    Beau château du XIIe siècle bâti par les Montmorency, et modifié depuis. Le château conserve, d'avant le XVIe siècle, ses caves, son colombier et ses communs voûtés. En 1773, la gentilhommière de style renaissance fut baillée de façades à la mode du temps (fausses fenêtres, frontons, guirlandes). Plusieurs de ses châtelains ont mérité de figurer dans l'histoire : Louis Aleaume (avocat qui versifiait en latin et fréquentait les poètes de la Pléiade), Jean-Jacques Olier (qui créa les premiers séminaires et fonda les Sulpiciens), Mme de Senozan (sœur de Malesherbes), M. de Tocqueville, père d'Alexis (qui recevait Chateaubriand), Mme de Mortefontaine (que la Convention adopta pour fille), enfin, Mélanie, Princesse de Ligne, qui lotit son vaste domaine en 1925 et donna ainsi le coup d'envoi au développement accéléré de Verneuil. Le château est inhabité depuis 15 ans lorsqu'il voit arriver, fin août-début , ses nouvelles propriétaires. Ce sont des religieuses de la congrégation Notre Dame, congrégation née en 1597 de l’intuition d’Alix Le Clerc et de Pierre Fourier. Les sœurs fonderont l'école Notre Dame des Oiseaux.

    Au XVIIIe siècle, le château subit de profondes modifications. Les murs des deux façades furent exhaussés d’un étage, faisant disparaître les mansardes et masquant le toit autrefois très apparent. La salle où, avant la Révolution, se rendait la justice, fut transformée en un petit théâtre parfaitement aménagé qui subsista jusqu’en 1848.

    L’exécution de la comtesse de Senozan, propriétaire des terres et de la seigneurie depuis 1780 et sœur de Malesherbes, le , donna lieu à la confiscation de ses biens qui restèrent sous séquestre jusqu’en 1802, puis échurent, en 1807, à Louise Magdeleine Le Peletier-Rosanbo, épouse du comte Hervé de Tocqueville.

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    Rattachements administratifs

    Antérieurement à la loi du [20], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département des Yvelines et à son arrondissement de Saint-Germain-en-Laye après un transfert administratif effectif au .

    Elle faisait partie de 1801 à 1964 du canton de Poissy de Seine-et-Oise, année où la commune rejoint le canton de Conflans-Sainte-Honorine. Lors de la mise en place des Yvelines, la commune est intégrée au canton de Triel-sur-Seine[16]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

    L’organisation juridictionnelle rattache les justiciables de Verneuil-sur-Seine au Tribunal judiciaire de Versailles et au tribunal administratif de Versailles, tous rattachés à la Cour d'appel de Versailles[21].

    Rattachements électoraux

    Pour les élections départementales, la commune est depuis 2014 le bureau centralisateur du nouveau canton de Verneuil-sur-Seine

    Pour l'élection des députés, elle fait partie de la septième circonscription des Yvelines.

    Intercommunalité

    Logo de GPS&O

    La ville était membre de la communauté d'agglomération des Deux Rives de Seine, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 2005.

    Dans le cadre des prescriptions de la loi de modernisation de l'action publique territoriale et d'affirmation des métropoles (loi MAPAM) impose la création de territoires en grande couronne d'au moins 200 000 habitants[22]. D'après une déclaration de Philippe Tautou rapportée dans Le Parisien[22] afin de pouvoir dialoguer avec la Métropole du Grand Paris créée par cette même loi, la communauté d'agglomération des Deux Rives de Seine fusionne avec ses voisines pour former, le , la Communauté urbaine Grand Paris Seine et Oise dont est désormais membre la ville.

    Tendances politiques et résultats

    Au second tour des élections municipales de 2020, le maire sortant Philippe Tautou  élu depuis 2001 , voit la liste qu'il soutenait menée par Patrice Jégouic (DVD) être battue dans le cadre d'une quadrangulaire par celle menée par Fabien Aufrechter (LREM), par 35,50 % des suffrages exprimés contre 36,30 %, soit 32 voix d'écart.

    Il s'agissait d'une quadrangulaire où les listes menées par Fabienne Huard (SE) et Fabien Lemoine (PS) ont obtenu respectivement avec 20,33 % et 7,84 % des voix[23]

    Les personnalités exerçant une fonction élective dont le mandat est en cours et en lien direct avec le territoire de Verneuil-sur-Seine sont les suivantes :

    Élection Territoire Titre Nom Tendance politique Début de mandat Fin de mandat
    Municipales 2020 Commune de Verneuil-sur-Seine Maire de Verneuil-sur-Seine Fabien Aufrechter LREM-MoDem
    Départementales 2015 Canton de Verneuil-sur-Seine Conseillers départementaux Hélène Brioix-Feuchet et Jean-François Raynal LR
    Législatives 2017 7e circonscription des Yvelines Députée Michèle de Vaucouleurs MoDem

    Élections présidentielles

    Résultats des deuxièmes tours :

    Élections législatives

    Résultats des deuxièmes tours :

    Élections européennes

    Résultats des deux meilleurs scores :

    Élections régionales

    Résultats des deux meilleurs scores :

    Élections départementales

    Résultats des deux meilleurs scores :

    Élections municipales

    Résultats des deuxièmes tours ou du premier tour si dépassement de 50 % :

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[34]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1790 1792 Jean-Baptiste La Ferté   agent municipal
    1792 1795 Jérôme Martin    
    1795 1797 Jean-Baptiste La Ferté    
    1797 1797 Pierre Adrien Varillon   agent municipal
    1797 1799 François Dufour   agent municipal
    1799 1804 Louis Yves Jourdain   agent municipal
    1804 1814 Hervé Clérel, comte de Tocqueville    
    1814 1830 Hervouët de la Chardonnière    
    1830 1834 François Dufour    
    1834 1843 Jean-Baptiste Jacques Perrel    
    1843 1845 Comte Ernest de Talleyrand-Périgord    
    1845 1867 Jean-Baptiste Jacques Perrel    
    1867 1878 François-Jean Condrot    
    1878 1881 François-Eugène Denyze   (intérim)
    1881 1892 Achille Boyriven    
    1892 1893 Émile Bouland    
    1893 1896 Achille Boyriven    
    1896 1902 Alphonse Laprêté    
    1902 1904 Louis-Alexandre Jourdain    
    1904 1906 Alphonse Bergaud    
    1906 1910 Émile Perrel    
    1910 1911 Henri Robinet    
    1911 1912 Émile Perrel    
    1912 1912 Auguste Pérelle   (intérim)
    1912 1915 René Larüe    
    1915 1919 Auguste Pérelle   (intérim)
    1919 1925 Auguste, dit Ferdinand Perrot   Marchand boucher, père de Maurice F. Perrot
    1925 1927 François Gamard    
    1927 1935 Alfred Auger    
    1935 1936 Auguste Lebrun    
    1936 1944 Alfred Auger    
    1944 1967 François Pons SFIO  
    1967 1971 Alexandre Pauwels UNR  
    1971 1977 Léon Robert UDR Conseiller général de Triel-sur-Seine (1967 → 1976)
    1977 mars 1983 Jean-Pierre Cœuillet PS  
    mars 1983 mars 1989 Jean-Dominique Poisson RPR  
    mars 1989 mars 2001[35],[36] Jacques Massacré RPR Danseur, chorégraphe, maître de ballet et homme politique
    Conseiller général de Triel-sur-Seine (1982 → 2001)
    mars 2001 juillet 2020[37] Philippe Tautou UMPLR Ancien cadre dans l'immobilier
    Conseiller général de Triel-sur-Seine (2008 → 2015)
    Président de la CA2RS ( 2012[38] → 2015)
    Président de la communauté urbaine Grand Paris Seine et Oise (2016 → 2020)
    Président du pôle métropolitain Grand Paris Seine Aval (2015 → 2015)
    juillet 2020[39] En cours
    (au 5 juillet 2020)
    Fabien Aufrechter LREM MoDem Cadre, enseignant dans le supérieur

    Distinctions et labels

    En 2005, la commune a reçu le label « Ville Internet @@ »[40], renouvelé en 2006[41].

    En 2015, elle reçoit a reçu le prix de l’Excellence des Jardinier[42].

    En 2015 et en 2017, elle obtient le Trophée yvelinois de « l’eau dans les espaces verts »; pour les aménagements réalisés au Parc des Jardins familiaux. Sans compter le prix spécial du jury du « fleurissement durable », pour l’ensemble des actions contribuant à la constitution d’une trame verte qui organise l’espace bâti et les circulations, accompagne l’aménagement du territoire[43],[44].

    Jumelages

    Ville jumelée avec Verneuil-sur-Seine
    VillePays
    Aguilar de la FronteraEspagne
    WeiterstadtAllemagne

    La ville entretient des partenariats de jumelage avec Weiterstadt (Hesse) depuis 1986 et Aguilar de la Frontera (Andalousie) depuis 1998.

    Population et société

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[45],[Note 3]

    En 2018, la commune comptait 15 982 habitants[Note 4], en augmentation de 6,19 % par rapport à 2013 (Yvelines : +1,62 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    617611650583577545528571583
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    596631626600612619658684661
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    6466957147768901 3411 5631 6202 118
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    4 5737 4059 98811 30312 49914 53815 40815 46615 475
    2018 - - - - - - - -
    15 982--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[16] puis Insee à partir de 2006[46].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Pyramide des âges en 2017

    La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (13,7 %) est en effet inférieur au taux national (16,2 %) et au taux départemental (13,9 %). À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (51,7 %) est du même ordre de grandeur que le taux national (51,6 %).

    La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2017, la suivante : 0 à 14 ans = 20,7 % 15 à 29 ans = 16,9 % 30 à 44 ans = 19,4 % 45 à 59 ans = 22,1 % 60 à 74 ans = 13,7 % plus de 75 ans = 7,1 %

    Enseignement

    .

    La ville compte de nombreux équipements scolaires[47] :

    Maternelles

    Notre-Dame « Les Oiseaux » (Privé) ; La Garenne ; Jean Jaurès ; Jacques Prévert ; Chemin vert ; Joseph Kosma ; Françoise Dolto

    Primaires

    Notre-Dame « Les Oiseaux » (Privé) ; La Source ; La Garenne ; Jean Jaurès

    Secondaire

    Equipements culturels et sportifs

    Espace Maurice-Béjart
    Médiathèque municipale
    • L'espace Maurice-Béjart : À l'aube de l'an 2000,la ville se lance dans le grand projet d'offrir aux Vernnoliens un nouveau lieu de culture. L'espace Maurice-Béjart est devenu un des premiers partenaires culturels des Yvelines. Le centre culturel accueille régulièrement les établissements scolaires pour leurs spectacles de fin d'année, les associations pour leurs manifestations de fin d'année et la production de spectacles à but caritatif. L'espace Maurice-Béjart participe à différentes opérations hors saison culturelle comme le Téléthon, les fêtes de Verneuil. Il participe également au devoir de mémoire par la tenue de congrès d'anciens combattants et l'organisation de débats/conférences.
    • L'école municipale de musique et de danse : Fondée en 1975 et rénovée en 2017, cette structure est spécialisée dans l’enseignement de 2 activités artistiques : la musique et la danse.
      École Municipale de Musique et de Danse
    • La médiathèque : Lors de la démolition de la vieille maison qui occupait l'angle de la rue des Prés, la ville se porte acquéreur de l'ancienne grange de la ferme du château de Verneuil qui fût jusqu'en 2011, un lieu de stockage pour les services techniques de la ville.En , ce bâtiment vieux de plus de 4 siècles est rénové pour devenir la nouvelle médiathèque. Cet équipement a été conçu dans l’optique de créer un véritable lieu de vie pour ses usagers, idéalement situé sur le chemin de la gare, près du centre-ville, entre votre domicile et votre lieu de travail. De ce fait, tout a été pensé pour que le public se sente bien et reste plusieurs heures afin de consulter les revues, écouter de la musique, visionner un film ou naviguer sur internet.
    • La ludothèque Vernamuse
    • Le complexe sportif François-Pons (multisports, stade, piscine, skate park), le gymnase Pierre de Coubertin (dojo, tennis) et le gymnase La Garenne (dojo)
    • L'île de loisirs du Val-de-Seine : centre équestre, base nautique, port de plaisance.

    Sécurité

    Selon les statistiques de l'Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales, le nombre de crimes et délits commis à Verneuil-sur-Seine et ses environs en 2014 était de 34,72 pour 1 000 habitants, un nombre dans la moyenne départementale (34,59) mais considérablement inférieur aux moyennes régionale (54,45) et nationale (44,27)[48].

    La ville dispose d'une police municipale, qui comptait 5 policiers et 3 ASVP en 2019. Depuis 2001, les forces de police municipale de Verneuil-sur-Seine sont associées à celles de Triel-sur-Seine (5 policiers et 2 ASVP en 2019) et de Vernouillet (3 policiers en 2019) dans le cadre du syndicat intercommunal à vocation unique pour le commissariat de police du canton de Triel-sur-Seine (SIVUCOP) qui gère à la fois le commissariat de Vernouillet (devenu Centre Opérationnel de Police en 2021) et le système de vidéosurveillance commun aux trois communes[49]. Depuis , le SIVUCOP est présidé par Michel Debjay, adjoint au maire délégué à la sécurité publique de Verneuil-sur-Seine[50].

    Économie

    • Commune résidentielle.
    • Nombreux lotissements, le premier fut implanté en 1929.
    • Base de loisirs du Val-de-Seine, fondée dans des sablières abandonnées en bordure de la Seine.
    • Plusieurs commerces en centre-ville
    • En 2017, le taux d'activité des 15-64 ans est de 77,3 % avec un taux d'emploi de 68,7 %. Le taux de chômage est de 11,1 % en 2017[51].
    • Le nombre d'emplois dans la commune est de 2 386 en 2017, en majorité des employés et des professions intermédiaires.
    • Concernant la population active, la catégorie la plus représentée est celle des Cadres et professions intellectuelles supérieures (2 452 en 2017) et des Professions intermédiaires (2 241 en 2017).

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église Saint-Martin : église (classée monument historique depuis 1930), du XIIe siècle mariant par son architecture l'art roman à l'art gothique. Au lendemain de la révolution française, elle devient temple de la déesse Raison. Le , la cloche de l'église prend pour marraine la comtesse de Tocqueville et pour parrain, le maire Hervé Clérel de Tocqueville, père d'Alexis de Tocqueville. L'église héberge trois statues remarquables classées monuments historiques :
      • la charité de Saint-Martin, statue peinte, polychrome du XVIIe siècle
      • la Vierge et l'enfant, statue de pierre peinte du XIVe siècle
      • la Vierge de Pitié, un groupe de pierre de la fin du XVIe siècle.
    • Château de Romé de Vernouillet : construit au XVIe siècle, transformé en 1929 en école Notre-Dame-des-Oiseaux, dont le parc est inscrit au patrimoine français.
    • Le parc de la villa des Groux aménagé au milieu du XIXe siècle.
    • Le Manoir du Champclos.
    • Lieux naturels et/ou aménagés :
      • jardins d'Aguilar / Talweg / Champclos
      • jardins familiaux
      • place du Général de Gaulle (gare routière)
      • île de Loisirs du Val de Seine
      • bois régional de Verneuil

    Personnalités liées à la commune

    Le groupe Kyo, formé à Verneuil

    .

    • Anne Nicole de Lamoignon (1718-1794), Comtesse de Sénozan. Elle achète la seigneurie de Verneuil en 1780. Le jardinier du château cultive les orangers pour lesquels Madame de Sénozan a fait construire l’orangerie.
    • François-René de Chateaubriand (1768-1848), écrivain romantique et homme politique français, vécut quelques années à Verneuil et écrivit plusieurs chapitres de ses Mémoires d'outre-tombe dans le parc du château, aujourd'hui établissement d'enseignement privé Notre-Dame "Les Oiseaux".
    • Suzanne Le Peletier de Saint-Fargeau (1782-1829), Comtesse de Mortefontaine. Suzanne est la fille de Louis-Michel Lepeletier de Saint-Fargeau. Lorsque son père est assassiné en 1793 pour avoir voté la mort de Louis XVI, la Convention, au nom du peuple français, adopte Suzanne pour fille. On l’appellera "Mademoiselle Nation". Le , l’acte de vente du château de Verneuil est signé entre les Tocqueville et la Comtesse de Mortefontaine.
    • Alexis de Tocqueville (1805-1859), penseur politique, historien et écrivain français, vécut une partie de son enfance au château de Verneuil-sur-Seine. Son père, Hervé Clérel de Tocqueville, préfet et pair de France, fut maire de la commune de 1804 à 1814[52].
    • Émile Zola (1840-1902), écrivain naturaliste. Lorsqu'il résidait dans la commune voisine de Médan, dans les années 1890, Zola venait régulièrement à bicyclette à Verneuil rendre visite à sa maîtresse, Jeanne Rozerot et à ses deux enfants, Denise et Jacques[53].
    • Paul Vogler (1853-1904), peintre impressionniste, décédé à Verneuil.
    • Dwight D. Eisenhower (1890-1969), une des figures principales de la libération de la France durant la 2de Guerre mondiale. Le Manoir du Champclos, à Verneuil, est occupé par les Allemands, jusqu’à l’arrivée des Américains, en . Le général Eisenhower, alors général 5 étoiles de l'armée américaine et commandant en chef des forces alliées en Europe et ses officiers y dînent et s’y reposent quelques heures.
    • Clément Passal (1892-1929), aventurier célèbre des années 1920 connu sous le nom de "marquis de Champaubert", y est mort et enterré.
    • Jean d'Esparbès ( Verneuil-sur-Seine- Montmartre), peintre, fils de l'écrivain Georges d'Esparbès.
    • Marcel Gotlib (1934-2016), dessinateur et scénariste de bande dessinée français, a vécu trois ans au château des Groux de Verneuil-sur-Seine, transformé en orphelinat après la Seconde Guerre mondiale.
    • Presnel Kimpembe (1995) est un joueur de football français, champion du monde avec l’equipe de France en 2018 et finaliste de la ligue des champions avec le Paris Saint-Germain en 2020. Il a effectué sa préformation à Verneuil-sur-Seine.
    • Sami Outalbali (1999) est un acteur français, il joue le rôle de Rahim dans la série Sex Education et tient également le rôle de Reda dans Mortel. Né à Poissy, il a vécu à Verneuil-sur-Seine durant son enfance.
    • Les membres du groupe pop-rock français Kyo se sont rencontrés et ont fondé leur groupe au cours de leur scolarité au collège Notre-Dame Les Oiseaux.

    Héraldique

    Les armes de Verneuil-sur-Seine se blasonnent ainsi :
    d'or au chevron de gueules accompagné de trois grappes de raisin d'azur tigées au naturel

    Ces armes reprennent celles de la famille Olier, seigneurs locaux au XVIIe siècle[54], époque où la vigne était abondamment cultivée.

    Voir aussi

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

    • « Verneuil-sur-Seine », Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales (consulté le ).

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Mode d'occupation des sols, 1999, Iaurif
    2. Gestion forestière ; L’Île-de-France relance FSC, Environnement magazine ; 30 juin 2014
    3. Fiche sur Verneuil/Seine sur le site cartesFrance
    4. L'Saint-Germain-en-Laye distante de 14 kilomètres à l'est constitue la station de référence.
    5. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    7. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Unité urbaine 2020 de Paris », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    9. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    10. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    13. « Ville de Verneuil, les Déplacements », sur Mairie de Verneuil (consulté le ).
    14. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, p. 181.
    15. Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, (lire en ligne).
    16. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    17. Pierre-Yves Lambert, La langue gauloise : Description linguistique, commentaire d'inscriptions choisies, Paris, Éditions Errance, coll. « Hespérides », , 239 p. (ISBN 2-87772-089-6).
    18. Xavier Delamarre, Dictionnaire de la langue gauloise : Une approche linguistique du vieux-celtique continental, Paris, Éditions Errance, coll. « Hespérides », , 440 p. (ISBN 2-87772-237-6), p. 185.
    19. Service Archéologique Départemental des Yvelines
    20. Loi no 64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, JORF no 162 du 12 juillet 1964, p. 6204–6209, fac-similé sur Légifrance.
    21. Organisation juridictionnelle sur le site du ministère de la Justice. Consulté le 15/03/2020.
    22. Le Parisien, « C'est parti pour une agglo de 400 000 habitants », (consulté le ).
    23. Kévin Lelong, « Fabien Aufrechter grille Patrice Jégouic sur la ligne : La quadrangulaire s’est vite transformée en un duel au coude à coude entre l’adjoint sortant Patrice Jégouic (DVD) et Fabien Aufrechter (LREM), finalement élu avec 32 voix d’avance », Le Parisien, édition des Yvelines, (lire en ligne, consulté le ).
    24. « Résultat de l'élection présidentielle de 2012 à Verneuil/Seine », sur le site du ministère de l’intérieur.
    25. « Résultat de l'élection présidentielle de 2017 à Verneuil/Seine », sur le site du ministère de l’intérieur.
    26. « Résultat de l'élection législative de 2012 à Verneuil//Seine », sur le site du ministère de l’intérieur.
    27. « Résultat de l'élection législative de 2017 à Verneuil/Seine », sur le site du ministère de l’intérieur.
    28. « Résultat de l'élection européenne de 2014 à Verneuil/Seine », sur le site du ministère de l’intérieur.
    29. « Résultat de l'élection européenne de 2019 à Verneuil/Seine », sur le site du ministère de l’intérieur.
    30. « Résultat de l'élection régionale de 2015 à Verneuil/Seine », sur le site du ministère de l’intérieur.
    31. « Résultat de l'élection départementale de 2015 à Verneuil/Seine », sur le site du ministère de l’intérieur.
    32. « Résultat de l'élection municipale de 2014 à Verneuil/Seine », sur le Monde.
    33. « Résultat de l'élection municipale de 2020 à Verneuil/Seine », sur le Monde.
    34. Liste des maires sur le site de la mairie. Consulté le 31/08/2020.
    35. Olivier Bossut, « Un centriste contre le maire RPR », Le Parisien, édition des Yvelines, (lire en ligne, consulté le ) « Hubert François-Dainville, conseiller municipal UDF qui siège dans l'opposition de droite au maire de Verneuil-sur-Seine, remet le couvert. Comme en 1995, il présentera sa propre liste, contre un maire sortant pourtant nanti d'une triple investiture RPR-UDF-DL ».
    36. Carole Lardot, « La division fatale à Jacques Massacré », Le Parisien, édition des Yvelines, (lire en ligne, consulté le ) « C'est au prix d'une alliance opportune que les deux dissidents divers droite, Philippe Tautou et Hubert-François Dainville, ont pu renverser le géant aux pieds d'argile ».
    37. Yves Fossey, « Yvelines : après 30 ans de vie politique, Philippe Tautou tire sa révérence : Président de la vaste agglomération de la vallée de la Seine, l’ancien maire (LR) de Verneuil-sur-Seine quitte la politique à l’occasion de l’installation de son successeur ce vendred », Le Parisien, édition des Yvelines, (lire en ligne, consulté le ) « Car pour Philippe Tautou, cela signifie quitter définitivement la politique. Consensuel, habile mais aussi homme de terrain, cet ancien cadre dans l'immobilier, élu pour la première fois en 1989, est passé durant toutes ces années de la fonction de simple conseiller municipal à celle de maire, puis président de la plus importante agglomération des Yvelines, en passant par celle de conseiller départemental (de 2008 à 2015) ».
    38. « Philippe Tautou succède à Pierre Cardo à l'agglomération des Deux Rives de Seine », Le Parisien, édition des Yvelines, (lire en ligne).
    39. Florian Dacheux, « Yvelines. Fabien Aufrechter devient officiellement maire de Verneuil-sur-Seine : Fabien Aufrechter et ses neufs adjoints sont officiellement élus à Verneuil-sur-Seine (Yvelines). Retour sur un conseil municipal d’installation sous tension », 78 Actu, (lire en ligne, consulté le ) « Fabien Aufrechter a été élu avec 23 voix contre 9 votes blancs ».
    40. Palmarès 2005 des Villes Internet sur le site officiel de l'association. Consulté le 01/10/2009.
    41. Palmarès 2006 des Villes Internet sur le site officiel de l'association. Consulté le 01/10/2009.
    42. « CGY-Brochure-VVF2015.pdf », sur yvelines.fr, (consulté le ).
    43. « CGY-Brochure-VVF2015.pdf », sur yvelines.fr, (consulté le ).
    44. « Bravo aux acteurs du fleurissement de notre département - Yvelines Infos », sur yvelines.fr, (consulté le ).
    45. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    46. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    47. Liste des établissements sur le site de la mairie. Consulté le 31/08/2020==.
    48. « Chiffres délinquance Verneuil sur Seine (78480) », sur Linternaute.com (consulté le )
    49. Thomas Richardson, « Yvelines. Sécurité : La Ville de Triel-sur-Seine ne veut plus être partenaire de Verneuil et Vernouillet », sur Actu.fr, (consulté le )
    50. Rodrigo Acosta, « Michel Debjay, président du syndicat intercommunal en charge de la sécurité publique : « Triel a le droit de partir, mais c’est un choix politique » », Le Journal des deux rives, (consulté le )
    51. « Comparateur de territoire − Commune de Verneuil-sur-Seine (78) | Insee », sur www.insee.fr (consulté le ).
    52. L'enfance d'Alexis de Tocqueville sur le site Tocqueville.culture.fr
    53. Biographie d'Émile Zola
    54. Le Patrimoine des communes des Yvelines, Paris, Éditions Flohic, coll. « Le Patrimoine des communes de France », , 1155 p. (ISBN 2-84234-070-1).
    55. Jean-Laurent Truc, « Polar, Shots entre amis à Cognac », sur Ligne Claire, .
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