Sainte-Marthe (Québec)

Sainte-Marthe, parfois appelée Sainte-Marthe de Rigaud ou Sainte-Marthe-de-Vaudreuil[1], est une municipalité dans la municipalité régionale de comté (MRC) de Vaudreuil-Soulanges au Québec (Canada). Elle est située dans la région du Suroît dans la région administrative de la Montérégie. La communauté compte environ 1 100 habitants (2017)[2].

Pour les articles homonymes, voir Sainte-Marthe, Rigaud et Vaudreuil.

Ne doit pas être confondu avec Sainte-Marthe-sur-le-Lac.

Sainte-Marthe
Administration
Pays Canada
Province Québec
Région Montérégie
Subdivision régionale Vaudreuil-Soulanges
Statut municipal Municipalité
Maire
Mandat
François Pleau
2017-2021
Code postal J0P 1W0
Constitution
Démographie
Gentilé Marthéen, ne
Population 1 097 hab. ()
Densité 14 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 24′ nord, 74° 18′ ouest
Superficie 7 973 ha = 79,73 km2
Divers
Langue(s) Français
Fuseau horaire Est (UTC-5)
Indicatif +1 450 459
Code géographique 2471110
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Canada
Sainte-Marthe
Géolocalisation sur la carte : Québec
Sainte-Marthe
Géolocalisation sur la carte : Montérégie
Sainte-Marthe
Géolocalisation sur la carte : Montérégie
Sainte-Marthe
Liens
Site web Site officiel

    Géographie

    Rivière à la Raquette

    Sainte-Marthe se situe au nord-ouest du Suroît. Son territoire est borné au nord par Rigaud, à l'est par Saint-Lazare, au sud par Saint-Clet et Sainte-Justine-de-Newton et à l'ouest par Très-Saint-Rédempteur[3].

    La municipalité couvre une superficie totale de 79,92 km2 dont 79,78 km2 terrestres[2]. Le relief est contrasté. La municipalité se trouve dans la basses-terres du Saint-Laurent. Dans sa plus grande partie au sud, son territoire est plat et exploité à des fins agricoles alors que la partie nord, située sur le flanc sud de la montagne de Rigaud, est boisée, notamment par des érablières. La butte de Sainte-Marthe est un autre relief sur le territoire alors que la Marmite est une colline au sud de la montagne de Rigaud[4]. . L'altitude varie de 190 mètres au nord sur la montagne de Rigaud à la limite de Rigaud près de la montée Neuve, à moins de 50 mètres à l'est, en aval de la rivière à la Raquette près du Camping Choisy[5].

    Les sols de Sainte-Marthe se composent, pour la partie de plaine au centre, de grès, conglomérat, calcaire et dolomie datant du Cambrien (grès de Potsdam, formations de Brador et de Forteau) alors que le flanc de la montagne de Rigaud se compose de granite du Protérozoïque. Les sols au sud de la municipalité près de Saint-Clet sont plutôt de dolomie et grès de l'Ordovicien inférieur (groupe de Beekmantown et formation de Romaine)[6]. La municipalité est drainée par la rivière à la Raquette[7] et ses tributaires, dont les ruisseaux Saint-Guillaume[5] et Bellefeuille[8].

    Municipalités limitrophes

    Urbanisme

    Le périmètre d'urbanisation couvre 14 ha et est presque totalement occupé. Le noyau villageois, autour de l'église, se trouve sur le chemin Saint-Guillaume entre les montées Saint-Henri et Sainte-Julie. Les aires à l'extérieur du périmètre d'urbanisation sont situées en zone agricole permanente, ce qui représente 99,9 % du territoire de la municipalité[9]. L'affectation agricole permet l'établissement de fermes équestres[10]. Il y a 430 logements dans la municipalité[11].

    La route 201 est une route régionale sous juridiction du ministère des Transports du Québec d'orientation nord sud qui relie Rigaud à Salaberry-de-Valleyfield en passant par l'est du territoire agricole de Sainte-Marthe[12]. Plusieurs rangs d'orientation est-ouest desservent les habitations et établissements de Sainte-Marthe entre la route 201 et la route 325, soit le chemin Saint-Guillaume, qui traverse le village, le chemin Saint-Henri, dans le flanc sud du mont Rigaud, le chemin Sainte-Marie et le chemin Sainte-Julie dans l'aire agricole au sud. Du village, il est possible de se rendre aux chemins Saint-Henri et Sainte-Marie par les montées homonymes[13]. La ligne de chemin de fer du Canadien Pacifique effleure à peine la pointe sud du territoire de la municipalité. Une ligne de transport d'énergie électrique de 735 kV traverse le territoire d'est en ouest[14].

    Histoire

    Éphémérides
    1732Concession de la seigneurie de Rigaud
    1835Établissement d'Irlandais
    1845Création de la paroisse catholique
    1855Constitution de la municipalité de paroisse
    1912Constitution de la municipalité de village
    1980Fusion des municipalités de village et de paroisse

    La seigneurie de Rigaud, qui comprend le territoire actuel de Sainte-Marthe, est concédée en 1732 aux frères François-Pierre de Rigaud de Vaudreuil et Pierre de Rigaud de Vaudreuil de Cavagnial, plus tard gouverneur général de Nouvelle-France[15]. En 1835, un groupe d'Irlandais s'établit dans le sud de la seigneurie[16]. En 1845, quatre des quatorze concessions de la seigneurie de Rigaud, soit les concessions Saint-Henri, Saint-Guillaume, Sainte-Marie et Sainte-Julie, se détachent pour former la nouvelle paroisse de Sainte-Marthe[17]. Le choix du nom de la paroisse catholique et de la municipalité s'explique du fait que Marthe de Béthanie est la sœur de Lazare, le ressuscité, patronyme de la paroisse voisine de Saint-Lazare, et que la paroisse de Sainte Marthe s'est formée par détachement de la paroisse de Sainte Madeleine de Rigaud, Marthe étant l'un des principaux témoins de la Résurrection de Jésus avec Marie-Madeleine d'après l'apôtre Jean[16]. La municipalité est également appelée Sainte-Marthe de Rigaud dans le langage courant, sans doute pour la distinguer de Sainte-Marthe-sur-le-Lac, municipalité située relativement près, de l'autre côté du lac des Deux Montagnes. Le bureau de poste de Sainte-Marthe ouvre en 1851[16]. La municipalité de paroisse est créée en 1855, bien que sa proclamation ait lieu seulement en 1857. Le premier maire est James Madden[18]. Au début des années 1900, un hameau se développe autour du carrefour de la montée Sainte-Marie et du rang du même nom, comptant entre autres le magasin général Cool et l'Hôtel Bertrand[19]. Fortunat Montpetit construit en 1905 l'aqueduc du village alimenté par un puits. L'approvisionnement en électricité débute en 1927. La municipalité de village se détache de la municipalité de paroisse en 1928. Le premier maire du village est Émery Quesnel[18]. En 1950, l'ensemble du territoire est desservi par l'électricité[18]. La municipalité actuelle est constituée en 1980 par la réunion des municipalités de paroisse et de village[20].

    Démographie

    Le recensement dénombre en 2016 1 097 Marthéens[11],[21]. La population totale est relativement stable depuis 30 ans. Le français est la langue maternelle d'une majorité de la population. Toutefois, le nombre de personnes de langue maternelle française diminue de manière importante alors que le nombre d'anglophones fait des gains majeurs depuis 2001[11].

    Langue parlée à la maison[11]
    Langue19962001200620112016
    Français83,5 %87,5 %88,0 %82,6 %.
    Anglais15,6 %11,1%12,0%14,6%.
    Autres0,9 %1,4 %-2,0 %.

    Population totale de Sainte-Marthe, 1986-2016[11]

    La population de Sainte-Marthe est relativement âgée. Le groupe d'âge le plus important est celui des 45-64 ans, soit la population active mature ou pré-retratiée suivie par les 25-44 ans, c'est-à-dire la population active en début ou à mi-carrière. L'âge moyen y est de 43,2 ans, soit davantage que la MRC de Vaudreuil-Soulanges (39,4 ans) et davantage que la région de Montréal (40,6 ans) ou le Québec (41,9 ans). De plus, la structure d'âge montre un fort vieillissement depuis 20 ans[11],[22].

    Groupes d'âge, Sainte-Marthe, 1996-2016, et comparateurs, 2016[11],[22]
    Groupe d'âgeSainte-MartheComparateurs 2016 (%)
    19962016Variation 1996-2016Vaudreuil-
    Soulanges
    RMR de
    Montréal
    Québec
    Nb %Nb %Nb %Points
    0-14 ans25023 %14013 %11044 %11 %19.6 %16,9 %16,3 %
    15-24 ans959 %14513 %5055 %4 %11,5 %12,1 %11,4 %
    25-44 ans33031 %24522 %8526 %9 %25,2 %27,4 %25,3 %
    45-64 ans28026 %38535 %10538 %9 %29,5 %27,3 %28,6 %
    65-84 ans10510 %17516 %55067 %6 %12,8 %14,2 %16,0 %
    85 ans et plus151 %151 %-...-1,3 %2,2 %2,3 %
    Total1 090100 %1 095100 %5......100 %100 %100 %
    Âge médian.46,7.........40,740,641,9
    Typologie des ménages, Sainte-Marthe, 2016[11]
    Type de ménageMénages
    Nombre %
    Personnes seules9020 %
    Groupes en cooccupation102 %
    Couples sans enfants16036 %
    Familles biparentales14034 %
    Familles monoparentales409 %
    Total435100 %
    Appartenance à un ménagePersonnes
    Nombre %
    Personnes/ménage2,5...
    Personnes dans les ménages1 080100 %
    Personnes hors ménage--
    Population totale1 080100 %
    Évolution démographique
    1986 1991 1996 2001 2006 2011 2016
    1 0551 0561 0901 0941 0801 0751 097

    Administration

    Mairie

    Le conseil municipal de Sainte-Marthe compte un maire et six conseillers élus tous les quatre ans. Le mode d'élection est en bloc sans division territoriale[2]. La mairesse Aline Guillotte est réélue à l'élection de 2013 avec 73,4 % des voix contre Huguette Dupras, ancienne conseillère. Le taux de participation est de 66,0 %[25].

    Sainte-Marthe
    Maires depuis 2002
    Élection Maire Qualité Résultat
    2002 Jean-Guy Desrochers Voir
    2005 Aline Guillotte Voir
    2009 Voir
    2013 Voir
    2017 François Pleau Voir
    Élection partielle en italique
    Depuis 2005, les élections sont simultanées dans toutes les municipalités québécoises
    Composition du conseil municipal[2],[26]
    2005-20092009-20132013-2017
    Maire Aline GuillotteAline GuillotteAline Guillotte
    Conseillers François Béliveau
    Marcel Delattre
    Claude Gravel
    Eddy Lawlor
    Sylvain Roy
    Peter T. Stephenson
    François Béliveau
    Marcel Delattre
    Hélène Dupras**
    Claude Gravel
    Eddy Lawlor
    Sylvain Roy*
    Peter T. Stephenson
    François Béliveau*
    Jinny Brunelle
    Claude Gravel
    Eddy Lawlor
    François Pleau**
    Alain Sauvé
    Gilbert Séguin

    * Élu en début de terme mais n'ayant pas terminé le terme. **Élu à une élection partielle.

    La municipalité est rattachée à la MRC de Vaudreuil-Soulanges. Elle est l'une des municipalités rurales situées à l'ouest et qui ne sont pas incluses dans le territoire de juridiction de la Communauté métropolitaine de Montréal[27]. La population de Sainte-Marthe est représentée à l'Assemblée Nationale du Québec par le député de la circonscription de Soulanges[28]. . À la Chambre des communes du Canada, le député représentant la population de Sainte-Marthe est celui de la circonscription de Salaberry—Suroît[29]. Avant les élections fédérales canadiennes de 2015, le territoire de Sainte-Marthe était compris dans la circonscription de Vaudreuil-Soulanges[30].

    Économie

    L'économie de Sainte-Marthe est agricole[31]. Elle compte 62 fermes en 1999. Le maïs est la principale culture et l'élevage est orienté pour moitié vers les vaches laitières[32]. Elle compte plusieurs exploitations d'érablières comme la Sucrerie de Bellefeuille[33] et l'Érablière des Roy. Le sirop d'érable de cette érablière entre dans la composition du savon de Vaudreuil-Soulanges confectionné à Saint-Lazare[34]. L'exploitation Cajoline fait l'élevage d'alpagas[35].

    Statistiques agricoles, 2011[36]
    Nombre de fermes ou de travailleursSuperficie (ha) ou nombre de têtes
    Terres en culture 6 065 ha
    Pâturages 146 ha
    Boisés et milieux humides 848 ha
    Autres 132 ha
    Total des terres 7 190 ha
    Soja 112 463 ha
    Maïs 112 102 ha
    Légumes 4422 ha
    Fruits 216 ha
    Produits de l'érable 11106 579 entailles
    Vaches laitières 3151 têtes
    Bovins de boucherie 3298 têtes
    Chevaux 353 têtes
    Poulets 375 000 têtes
    Toutes fermes (recettes annuelles) 6213 766 200 $
    Travailleurs (semaines payées) 751 212 semaines

    Outre les sucreries, le secteur nord de Sainte-Marthe, boisé et situé sur le flanc sud de la montagne de Rigaud le long du chemin Saint-Henri, compte différents établissements d'hébergement, par exemple, l'Auberge des Gallant, hôtellerie champêtre, est réputée pour sa cuisine, mettant souvent en valeur les produits de l'érable[37], ou encore la Villa Oracle[38]. Le camping Plein Bois, dans le même secteur géographique, compte 414 emplacements[39].

    Société

    Les jeunes peuvent utiliser les installations de loisir du parc municipal Yvon Lauzon, situé dans le village. La sécurité publique est assurée par le poste de la Sûreté du Québec de Saint-Clet[40]. Le festival de la tomate a lieu tous les ans à la mi-septembre depuis 2011. Il attire 1 800 visiteurs[41].

    Les principales personnalités nées à Sainte-Marthe sont :

    Éducation

    La Commission Scolaire des Trois-Lacs administre les écoles francophones[42]

    • École Sainte-Marthe

    La Commission scolaire Lester-B.-Pearson administre les écoles anglophones: L'École primaire Soulanges à Saint-Télesphore et l'École primaire Evergreen et l'École primaire Forest Hill (pavillons junior et senior) à Saint-Lazare servent a la ville[43].

    Notes et références

    Signes conventionnels : - Néant ou non significatif . Non disponible ...N'ayant pas lieu de figurer. x Confidentiel
    Note : Les totaux peuvent être légèrement différents des sommes des composantes en raison des arrondissements.

    1. Municipalité de Sainte-Marthe, « Présentation des armoiries » (consulté le ).
    2. Gouvernement du Québec, « Répertoire des municipalités du Québec : Sainte-Marthe »(ArchiveWikiwixArchive.isGoogle • Que faire ?), 71110, sur Ministère des Affaires municipales et de l'Habitation du Québec (consulté le ).
    3. Gouvernement du Québec, 710 - MRC de Vaudreuil-Soulanges, Québec, (lire en ligne), carte.
    4. Commission de toponymie du Québec, « Sainte-Marthe (municipalité) », Banque de noms de lieux du Québec, Québec, Gouvernement du Québec, no 33777, (lire en ligne, consulté le ).
    5. Gouvernement du Canada, « L'Atlas du Canada - Toporama », Ressources Naturelles Canada (consulté le ), carte 1/15 000.
    6. « CRÉ Vallée-du-Haut-Saint-Laurent, Plan régional de développement intégré des ressources naturelles et du territoire (PRDIrRT) : Portrait de la forêt précoloniale de la Vallée-du-Haut-Saint-Laurent »(ArchiveWikiwixArchive.isGoogle • Que faire ?), 2010, page 6.
    7. Pierre-Jacques Ratio, « Rivière à la Raquette », sur Conseil du bassin versant de la région de Vaudreuil-Soulanges (consulté le )
    8. Gouvernement du Québec, « Ruisseau Bellefeuille », 75557, sur Commission de la toponymie du Québec, (consulté le ).
    9. MRC de Vaudreuil-Soulanges, 2004, p. 33-34, 62.
    10. MRC de Vaudreuil-Soulanges, 1984, p. 66.
    11. a. Statistique Canada. Sainte-Marthe, Québec (Code 247110) (tableau). Profil du recensement, produit nº 98-316-XWF au catalogue de Statistique Canada. Ottawa. Recensement 2011, diffusé le 24 octobre 2012. Consulté le 24 janvier 2014.
      b. Statistique Canada. 2007. Sainte-Marthe, Québec (Code2471110) (tableau). Profils des communautés de 2006, Recensement de 2006, produit nº 92-591-XWF au catalogue de Statistique Canada. Ottawa. Diffusé le 13 mars 2007. Consulté le 24 janvier 2014.
      c. Statistique Canada. 2002. Sainte-Marthe, Québec (Code2471110) (tableau). Profils des communautés de 2001, Recensement de 2001. Ottawa. Modifié le 26 août 2013. Consulté le 24 janvier 2014.
      d. Statistique Canada 1997, Recensement de la population de 1996, Sainte-Marthe, Québec (Code2471110). Produit numéro 95F0181XDB96001 au catalogue de Statistique Canada. Modifié le 23 décembre 2013. Consulté le 24 janvier 2014.
      e. Statistique Canada. 2017. Sainte-Marthe, M (Subdivision de recensement 2471110) (tableau). Profil du recensement, Recensement de 2016, produit nº 98-316-X2016001 au catalogue de Statistique Canada. Ottawa. Diffusé le 3 mai 2017. Consulté le 22 juillet 2017.
    12. Ministère des Transports du Québec, Distances routière, Québec, Les Publications du Québec, , 206 p. (ISBN 2-551-19693-0, ISSN 0714-2153, lire en ligne), p. 55
    13. Google, « sainte-marthe québec », sur Google Maps (consulté le ).
    14. MRC de Vaudreuil-Soulanges, Schéma d'aménagement révisé, Sotar, , 369 p. (lire en ligne), p. 15-16
    15. « Seigneurie Rigaud », 118955, sur Commission de la toponymie du Québec (consulté le ).
    16. Commission de toponymie du Québec, « Sainte-Marthe (municipalité) », Banque de noms de lieux du Québec, Québec, Gouvernement du Québec, no 98667, (lire en ligne, consulté le ).
    17. Lorraine Auerbach Chevrier et Raymond Séguin, Histoires de Rigaud en histoires, Rigaud, Cercle d'histoire de Rigaud, , 516 p., p. 12
    18. Municipalité de Sainte-Marthe, « Historique de la municipalité », (consulté le ).
    19. Luke De Stéphano, Vaudreuil-Soulanges, un lieu de convergence : 100 ans, noir sur blanc, vol. 21, Québec, Éditions GID, , 205 p. (ISBN 978-2-89634-036-1), p. 117.
    20. Sainte-Marthe (paroisse) et Sainte-Marthe (village), sur MairesduQuebec.com.
    21. Office québécois de la langue française, « Toponymes québécois commençant par S (de Sainte-Barbe à Saint-Janvier-de-Joly) », Banque de dépannage linguistique, Gouvernement du Québec, (lire en ligne, consulté le ).
    22. Statistique Canada. 2017. Profil du recensement, Recensement de 2016, produit nº 98-316-X2016001 au catalogue de Statistique Canada. Vaudreuil-Soulanges, MRC (Division de recensement) et Montréal (Région métropolitaine de recensement) (tableau). Ottawa. Diffusé le 3 mai 2017. Consulté le 24 juillet 2017.
    23. « Statistique Canada - Profils des communautés de 2006 - Sainte-Marthe, MÉ » (consulté le )
    24. « Statistique Canada - Profils des communautés de 2016 - Sainte-Marthe, MÉ » (consulté le )
    25. Yanick Michaud, « Huguette Dupras candidate à la mairie : Sainte-Marthe, un endroit d'avenir pour aimer la vie », Première Édition, vol. 28, no 31, , p. 9 (lire en ligne).
    26. a. Ministère des Affaires municipales et de l'Habitation du Québec, « Archives des résultats des élections municipales 2005 : Sainte-Marthe (M) »(ArchiveWikiwixArchive.isGoogle • Que faire ?), (consulté le ).
      b. Gouvernement du Québec, « Élections municipales 2013, Candidatures et résultats pour Sainte-Marthe », 71110, Ministère des Affaires municipales et de l'Habitation du Québec, (consulté le ).
    27. MRC de Vaudeuil-Soulanges, 1984, p. 15.
    28. Commission de la représentation électorale du Québec, « La carte électorale du Québec : Les 125 circonscriptions électorales 2011 », Directeur général des élections du Québec (consulté le ).
    29. Élections Canada, « Salaberry-Suroît », Décret de représentation électorale de 2013, Ottawa, no 24071, (lire en ligne), carte.
    30. Gouvernement du Canada, « Proclamation donnant force de loi au décret de représentation électorale à compter de la première dissolution du Parlement postérieure au 25 août 2004 (TR/2003-154), Annexe: Loi sur la révision des limites des circonscriptions électorales - Décret de représentation », sur Ministère de la Justice du Canada (consulté le ).
    31. Municipalité de Sainte-Marthe, « Sainte-Marthe vous souhaite la bienvenue », (consulté le )
    32. MRC de Vaudreuil-Soulanges, 2004, p. 63.
    33. « Sucrerie De Bellefeuille », (consulté le ) (« http://sucreriedebellefeuille.com/notrehistoire.html »(ArchiveWikiwixArchive.isGoogle • Que faire ?) (consulté le )
    34. >Marché champêtre de Rigaud, « L'air du marché », (consulté le ), p. 3
    35. UPA Montérégie, « Journée portes ouvertes sur les fermes du Québec », Première Édition, vol. 28, no 32, , p. 18.
    36. Statistique Canada, « Recensement de l'agriculture de 2011, Données sur les exploitations et les exploitants agricoles : Sainte-Marthe (Québec) »(ArchiveWikiwixArchive.isGoogle • Que faire ?) (consulté le ), no  95-640-XWF au catalogue. Consulté le=4 septembre 2013].
    37. « Auberge des Gallant », 142, sur Hôtellerie Champêtre (consulté le )
    38. « Villa Oracle », sur Let's book Hotel (consulté le )
    39. « Camping Plein Bois », sur Camping Québec (consulté le )
    40. Municipalité de Sainte-Marthe, « Services municipaux », (consulté le )
    41. a. Marie-Maxime Cousineau, « Festival de la tomate : Savourer les derniers trésors de l'été », Première Édition, vol. 28, no 34, , p. 11 (lire en ligne).
      b. (en) « All things tomato in Ste. Marthe », Gazette Vaudreuil-Soulanges, vol. 63, no 25, , p. 36.
    42. « Les écoles et les centres », Commission Scolaire des Trois-Lacs (consulté le )
    43. "Carte Scolaire." Commission scolaire Lester-B.-Pearson. Consulté le 28 septembre 2017.

    Annexes

    Articles connexes

    Bibliographie

    • Municipalité de Sainte-Marthe, Règlement numéro 140 relatif au Plan d'urbanisme, Sotar, , 36 p. (lire en ligne)
    • Huguette Bourbonnais-Dupras, Sainte-Marthe : hommage à nos ancêtres, Québec, Éditions GID, , 428 p. (ISBN 978-2-89634-062-0, OCLC 608939814)

    Liens externes

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