Biron (Dordogne)
Biron est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine, entre le Périgord et l'Agenais.
Pour les articles homonymes, voir Biron.
Biron | |||||
Le bourg de Biron dominé par le château. | |||||
Blason |
|||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Dordogne | ||||
Arrondissement | Bergerac | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes des Bastides Dordogne-Périgord | ||||
Maire Mandat |
Bruno Desmaison 2020-2026 |
||||
Code postal | 24540 | ||||
Code commune | 24043 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Bironnais | ||||
Population municipale |
147 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 11 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 37′ 54″ nord, 0° 52′ 23″ est | ||||
Altitude | Min. 128 m Max. 240 m |
||||
Superficie | 12,98 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Lalinde | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
| |||||
Liens | |||||
Site web | www.biron24.fr | ||||
C'est le siège de l'une des quatre anciennes baronnies du Périgord.
Géographie
La commune de Biron est située dans la vallée du ruisseau de Clairfond, un affluent de la Lède, entre les vallées du Lot et de la Dordogne.
Communes limitrophes
Biron est limitrophe de six autres communes dont trois dans le département de Lot-et-Garonne. Au sud-ouest, Paulhiac est limitrophe par un simple quadripoint.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
|
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Lacapelle-Biron-Pailloles », sur la commune de Lacapelle-Biron, mise en service en 1986[8] et qui se trouve à 4 km à vol d'oiseau[9],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 12,8 °C et la hauteur de précipitations de 903,6 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988 et à 39 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[12], à 13,1 °C pour 1981-2010[13], puis à 13,3 °C pour 1991-2020[14].
Urbanisme
Typologie
Biron est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[15],[16],[17]. La commune est en outre hors attraction des villes[18],[19].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (60,9 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (60,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (60,9 %), prairies (24,3 %), zones agricoles hétérogènes (10,5 %), terres arables (4,3 %)[20].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Villages, hameaux et lieux-dits
Outre le bourg de Biron proprement dit, le territoire se compose d'autres villages ou hameaux, ainsi que de lieux-dits[21] :
- les Araires
- Badieux
- Baliste
- Ballande
- les Barouillettes
- le Bec
- Bel-Air
- Besse
- Bois Grand
- Bois Haut
- Bois de la Roque
- Bois de Tandy
- Bois de Vinssou
- le Bout de la Forêt
- le Bout du Parc
- Coucaud
- les Écuries Basses
- les Fargues
- la Forêt
- le Fournet
- la Garenne
- la Grange
- la Jasse
- Maison Neuve
- Malcirmain
- les Marios
- la Mondine
- le Moulinal
- les Mounard
- les Peyres
- la Plante
- Rand
- Raste
- Saint-Cloud
- Testut
- le Tournier
- Tout Vent
- la Tuque
- la Vigne de Caput
- Vinssou.
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Birontium en 1115 dans le cartulaire de l'abbaye de Cadouin, « Biron » dès 1281, Sanctus-Michael de Bironnio en 1365, Bironium en 1432, « Byron » au XVIe siècle et Biroun au siècle suivant[22].
Le sens du toponyme est incertain. Il peut dériver d'un nom de personnage gaulois Birus suivi du suffixe -onem[23],[24]. Il peut également être issu d'une racine pré-indo-européenne (vir-) évoquant un cours d'eau ou peut représenter un dérivé de birerloucher, surnom d'un homme qui louche[25].
Histoire
La commune est connue pour son château des XIIe et XVIIIe siècles, classé monument historique.
Siège de l'une des quatre baronnies du Périgord, le château occupe une position stratégique à la lisière du Périgord et de l'Agenais.
Son histoire est liée à la grandeur d'une famille, les Gontaut-Biron, qui tint le fief durant huit cents ans.
À sa création en 1790, la commune porte d'abord le nom de Notre-Dame-de-Biron puis au cours de la période révolutionnaire de la Convention nationale (1792-1795), celui de Mont-Rouge, avant de s'appeler Biron[27].
En 1827, le territoire de la commune de Biron s'agrandit par le rattachement des anciennes communes de Saint-Michel-de-Biron, Bertis-de-Biron, Saint-Cernin-de-Biron et Vergt-de-Biron, ces trois dernières formant en 1840 une nouvelle commune indépendante appelée Vergt-de-Biron[27].
En 1943-1944, un détachement des Chantiers de la jeunesse, qui fournit de la main-d'œuvre à la Société Guyenne-Pétrole, exploite sur la commune un chantier de carbonisation[28].
Politique et administration
Administration municipale
La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020[29],[30].
Liste des maires
Juridictions
Dans le domaine judiciaire, Biron relève[32] :
- du tribunal judiciaire, du tribunal pour enfants, du conseil de prud'hommes, du tribunal de commerce et du tribunal paritaire des baux ruraux de Bergerac ;
- de la cour d'appel de Bordeaux.
Démographie
Les habitants de Biron se nomment les Bironnais[33].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[35].
En 2018, la commune comptait 147 habitants[Note 5], en diminution de 21,81 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,84 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
La brusque et provisoire augmentation de la population aux recensements de 1831 et 1836 s'explique par la fusion avec Biron en 1827 de quatre communes : Bertis-de-Biron, Saint-Cernin-de-Biron, Saint-Michel-de-Biron et Vergt-de-Biron, et de la création en 1840 de la commune indépendante de Vergt-de-Biron dont le territoire englobe également les anciennes communes de Bertis-de-Biron et Saint-Cernin-de-Biron[27].
Économie
Emploi
En 2015[37], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 70 personnes, soit 36,6 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (quinze) a augmenté par rapport à 2010 (dix) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 21,7 %.
Établissements
Au , la commune compte vingt-quatre établissements[38], dont treize au niveau des commerces, transports ou services, quatre dans la construction, trois relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, deux dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, et deux dans l'industrie[39].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
En 1991, en même temps que les communes voisines de Monpazier et Capdrot, la commune de Biron a été inscrite, à l'initiative du ministère de l'Aménagement du territoire et de l'Environnement, dans une opération « Grand site national[Note 6] », dans le cadre d'une politique de gestion durable du patrimoine liée au développement local, afin de préserver et de mettre en valeur son patrimoine architectural et urbain unique. En 2010, Biron ne figure plus parmi les 34 Grands sites du territoire français[40].
- Château de Biron, XIIe siècle XVe siècle XVIe siècle XVIIe siècle, à Biron, classé, visitable
- Église Notre-Dame-du-Bourg[41], église paroissiale de Biron, des XIIe et XIIIe siècles. L'église est dédiée à Notre Dame de l'Assomption. Elle a été construite à la place d'une église prieurale dédiée à saint Michel qui dépendait de l'abbaye de Sarlat.
- Vallée de la Lède et ses moulins
- Le Monument vivant de Biron. Le sculpteur allemand Jochen Gerz a réhabilité le monument aux morts de la commune en 1996.
- Le château de Biron.
- L'église Notre-Dame-du-Bourg.
Voir aussi
Bibliographie
- « Une verrerie à Biron », dans Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, 1876, tome 3, p. 499-502 (lire en ligne)
- Élisée Cérou et Bernard Carpentier, « Biron », dans Les Cahiers du Groupe archéologique de Monpazier, no 14, 2005, p. 1-55 (lire en ligne)
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel de la mairie
- Société archéologique du Midi, Pierre Garrigou Grandchamp, Inventaire des édifices domestiques romans et gothiques des XIIe, XIIIe et XIVe siècles dans le Périgord, août 2000
- Biron sur le site de l'Institut géographique national (archive)
- Les monuments aux morts pacifistes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- En 2010, il y a 34 Grands sites sur le territoire français, parmi lesquels la Pointe du Raz, la dune du Pyla ou le Pont du Gard
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- Carte IGN sous Géoportail
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Lacapelle-Biron-Pailloles - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Biron et Lacapelle-Biron », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Lacapelle-Biron-Pailloles - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Biron et Bergerac », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- « Biron » sur Géoportail (consulté le 11 mars 2021)..
- Vicomte Alexis de Gourgues, Dictionnaire topographique du département de la Dordogne comprenant les noms de lieu anciens et modernes (A-K), article « BIRON », 1873, sur guyenne.fr, consulté le 27 juillet 2016.
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6)..
- Chantal Tanet et Tristan Hordé, Dictionnaire des noms de lieux du Périgord, Éditions Fanlac, 2000, (ISBN 2-86577-215-2), p. 59-60.
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, t. 3, p. 1453, (ISBN 2600028846).
- Le nom occitan des communes du Périgord sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le 11 février 2014.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Francis A. Boddart, Les chantiers de la jeunesse et la Dordogne, 1940-1944 : de la révolution nationale à la production industrielle, Périgueux, IFIE Éditions Périgord, , 342 p. (ISBN 978-2-916265-18-6), p. 252-268..
- Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 28 août 2020.
- Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 25 octobre 2020.
- « Voici vos 557 maires », édition spéciale de Sud Ouest du 3 avril 2008, p. 14.
- « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
- Fiche commune Biron, Union des maires de la Dordogne, consultée le 17 novembre 2016.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- Dossier complet - Commune de Biron (24043) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 18 août 2018.
- « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
- Dossier complet - Commune de Biron (24043) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 18 août 2018.
- Réseau des Grands Sites de France
- Jean-Pierre Verdon - Les églises romanes du Monpaziérois - p. 6-10 - Groupe archéologique de Monpazier - (ISSN 0767-9475).
- Armorial de France
- Portail de la Dordogne
- Portail des communes de France