Montholier

Montholier est une commune française située dans le département du Jura en région Bourgogne-Franche-Comté, ayant pour voisin d'autres villages et étant composée de plusieurs hameaux (Rabeur, Rathier...). Les habitants se nomment les Barouchins et Barouchines.

Montholier

Montholier - église du XVIIe siècle et son clocher franc-comtois à croix de Malte.
Administration
Pays France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Jura
Arrondissement Dole
Intercommunalité Communauté de communes Arbois, Poligny, Salins, Cœur du Jura
Maire
Mandat
Pierre Leroy
2021-2026
Code postal 39800
Code commune 39354
Démographie
Gentilé Barouchins[1]
Population
municipale
365 hab. (2018 )
Densité 46 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 53′ 55″ nord, 5° 38′ 54″ est
Altitude 300 m
Min. 228 m
Max. 310 m
Superficie 7,99 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Poligny
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Bletterans
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Montholier
Géolocalisation sur la carte : France
Montholier

    Géographie

    Village situé dans le vignoble jurassien à 8 km de Poligny (capitale du comté), 12 km d'Arbois, 25 min de Lons-le-Saunier, 30 min de Dole et 50 min de Besançon. Le village est à 5 km du péage-échangeur de l'A39 à Bersaillin. La future LGV qui va longer l'A39 mettra deux gares TGV à trente minutes de Montholier. Une première gare sera construite près de Dole (Choisey) et une seconde près de Lons-le-Saunier (Courlaoux). L'expansion attendue de l'aéroport de Franche-Comté à Tavaux-Dole achève le décompte des moyens d'ouverture du village sur l'extérieur.

    Sa superficie est de 799 ha dont 458 en surface agricole utile (prairie, céréales, oléagineux et quelques vignes). L'élevage bovin est dominant (AOC Comté ou viande). La vigne, qui a atteint une centaine d'hectares en 1870, a quasiment disparu. Il reste seulement une petite production familiale chez les quelques seniors du village (Bon, Jacquot, Maraux, Seroz...). Deux forêts (La Rochette et Foras) produisent des bois de bonne qualité (chênes et hêtres). La population bénéficie de très nombreuses coupes de bois afin de fournir le bois de chauffage. (MS)

    Communes limitrophes

    Urbanisme

    Typologie

    Montholier est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[2],[3],[4].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Poligny, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 22 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[5],[6].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (79,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (79,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (51,1 %), terres arables (17,2 %), forêts (15,7 %), zones agricoles hétérogènes (10,9 %), zones urbanisées (5,1 %)[7].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[8].

    Histoire

    Les traces les plus anciennes remontent à la période pré-romaine avec la présence sur le site des Millières d'un enclos, identifié par des prises de vues aériennes.(DRAC) Le village à l'époque gallo-romaine se trouve entre les riches plaines doloises et la cité de Grozon ainsi que près de la villa de Tourmont. C'est ainsi que divers vestiges ont été retrouvés dans divers lieux du village (tessons, tuiles, éclats de poteries.... malheureusement tout cela a été perdu). Rabeur est le lieu de rencontre de trois voies romaines (Chevalier, Rousset et divers relevés actuels).

    Le village apparaît dans les documents au XIe siècle où il est rattaché à la Terre de Colonne. Il fait partie du comté de Bourgogne, lui-même dépendant du Saint-Empire romain germanique.(ADSL) Il était à l'origine une ferme dépendant de Grozon. Les chartes de l'abbaye de Rosières (La Ferté) commencent à mentionner Montholier dès le XIIe siècle. Montholier (d'après Rousset) est dès cette époque le chef-lieu de l'un des quatre bâtis de la terre de Colonne. On l'appelait Bâtis d'outre-bois (par rapport au bois de Foras) et il avait sous sa dépendance Rathier, Neuvilley, les Millières, le moulin des Charpys et le Moulin Banigot. Le prévôt de Colonne y exerçait la justice haute, moyenne et basse. L’ensemble du Revermont a été saccagé par les Grandes compagnies au XIVe siècle, donc il semble plus que probable que Montholier ait été une cible comme une autre pour ces pillards. Rousset, dans son Dictionnaire des communes, mais aussi l'historien Chevalier (XVIIIe siècle) affirment que le château de Montholier (on parlera de maison-forte) a été détruit par Louis XI en 1480, lors d'une première tentative d'invasion. Il aurait été la propriété d'un certain seigneur ou chevalier de la Baroche. D'où le nom actuel des habitants de Montholier, les Barochins (prononcé Barouchins).

    La chapelle Bulabois possède une pierre tombale d'un certain Jehan Bulabois datée de 1577. La chapelle est élevée en 1611 sur cette pierre tombale. À cette époque, l'église de Montholier est située à Grozon, même si une petite chapelle (Saint-Michel) se trouve au pied de la colline sous l'église actuelle. C'est lors de la guerre de Dix Ans que le lieu de culte s'installe à Montholier dans cette chapelle Bulabois ou au presbytère de Grozon. Mais l'insécurité règne. Toujours lors de la guerre de Dix Ans (1634-1644), Montholier est, comme la grande majorité des villages du Bas Jura, ravagé et détruit par les troupes françaises de Louis XIII et Richelieu. Louis XIII rêve de rattacher la comté au royaume de France. Face à la violence des Français, localement, se crée un groupe de partisans, mené par le Polinois La Courvière, qui mène des coups de main contre l'occupant français dans les campagnes autour de Montholier-Oussières. À plusieurs reprises, le village sera pillé et la population anéantie, et plus particulièrement au printemps 1637. Face au succès grandissant de La Courvière, les Français et leurs soudards suédois le traquent impitoyablement. Il est finalement tué. La paix revient, la population reconstruit la région, la prospérité et le calme sont de retour. Les Français et les Suédois (les Sweds) laissent derrière eux plus de 100 000 morts dans les campagnes comtoises.

    En 1654, les travaux de l'église Saint-Michel commencent et ils s'achèvent en 1659. Un clocher-porche comtois est érigé à l'Ouest. Clocher comtois dont les tuiles vernissées représentent sur les quatre faces des croix de Malte (ordre des Chevaliers de l'Hospital de Saint Jean). En 1678, nouvel assaut des Français, la Comté devient française. Montholier entre alors dans le royaume de France. Le Code forestier est appliqué dans nos forêts, ce qui n'est pas rien lorsque l'on sait que Montholier est une très riche commune forestière. Le quart de réserve entre très vite en vigueur, les fossés entourant ce quart de réserve sont visibles à la Rochette. En 1747, grâce au don de l'ancien prêtre du village (Claude Anathole Guignard) et à l'aumône des paroissiens, une cloche est installée dans le clocher. Elle est bénite par le père Jean-François-Xavier Marion de Vatagna.

    La Révolution ne laisse aucune trace. En 1790, Montholier compte 258 hab., Rabeur 151 et Rathier 155. Lors des guerres d'Italie, Napoléon Bonaparte se serait arrêté dans l'auberge du village. En 1825, les villages de Montholier, Rabeur et Rathier décident de s'unir pour ne former qu'une commune. L'ensemble compte 673 habitants. En 1848, Montholier fait bâtir une maison commune qui abrite l'école fréquentée par 75 élèves. 70 élèves fréquentent l'étude du soir. En 1851, une maison-école est construite à Rathier. L'institutrice y est logée. (Rousset). En 1881, le président de la République Jules Grévy, originaire de Mont-sous-Vaudrey, obtient la réalisation d'une voie ferrée entre Dole et Poligny via Mont-sous Vaudrey. Montholier est sur le tracé et bénéficie de deux gares proches pour ses habitants (Aumont et Vacadieu-Brainans). Elle est inaugurée le . Face au succès de l'automobile, elle est fermée dans les années 1950. L'eau et l'électricité arrivent dans les années 1950 et 60.

    Dinosaure-Plésiosaure

    Au XIXe siècle, lors des travaux sur la route impériale (nationale 5 ou départementale 1005), le squelette d'un Plesiosaurus a été retrouvé dans de la marne grise. Squelette qui est parti pour étude à Paris et qui n'a pas laissé de traces. (Rousset et Désiré Monnier, ADJ). Le plésiosaure était un grand reptile marin qui nageait dans les mers peu profondes du jurassique. Ses quatre nageoires lui permettaient de se déplacer très vite. site décrivant les plésiosaures.

    Politique et administration

    Élections Régionales

    Le village de Montholier place la liste "Pour La Bourgogne et La Franche-Comté" menée par Gilles Platret (LR), dés le 1er tour des Élections régionales de 2021 en Bourgogne-Franche-Comté, avec 25,00 % des suffrages. Lors du second tour, les habitants décideront de placer la liste de "Notre Région Par Cœur" menée par Marie-Guite Dufay, présidente sortante (PS) en tête, avec cette fois-ci, près de 37.33 % des suffrages. Devant les autres listes menées par Gilles Platret (LR) en seconde position avec 34,67 %, Julien Odoul (RN), troisième avec 21,33 % et en dernière position celle de Denis Thuriot (LaREM) avec 6,67 %. Il est important de souligner une abstention record lors de cette élection qui n'ont pas épargné le village de Montholier avec lors du premier tour 65,98 % d'abstention et au second, 66,39 %[9].

    Élections Départementales

    Le village de Montholier faisant partie du Canton de Bletterans place le binôme de Philippe Antoine (LaREM) et Danielle Brulebois (LaREM), en tête, dés le 1er tour des Élections départementales de 2021 dans le Jura, avec 57,50 % des suffrages. Lors du second tour, les habitants décideront de placer de nouveau le binôme de Philippe Antoine (LaREM) et Danielle Brulebois (LaREM), en tête, avec cette fois-ci, près de 71,83 % des suffrages. Devant l'autre binôme menée par Josiane Hoellard (RN) et Michel Seuret (RN) qui obtient 28,17 %. Il est important de souligner une abstention record lors de cette élection qui n'ont pas épargné le village de Montholier avec lors du premier tour 65,98 % d'abstention et au second, 66,80 %[10].

    Liste des maires de Montholier

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 1952 mars 1966 Eugène Michondard SE  
    mars 1966 mars 1987 Émile Poirson SE  
    mars 1987 mars 2001 Jean-Claude Viallard SE  
    mars 2001 mars 2003 Guy Vionnet SE  
    mars 2003 août 2020 Marie-Ange Capron DVG[11] Agent technique
    août 2020 En cours Pierre Leroy    

    Émile Poirson fut le maire de la commune pendant 18 ans, il habitait dans le hameau de Rathier. Lui succèdent Viallard Jean Claude, Vionnet Guy et Marie-Ange Capron (l'actuelle mairesse). Viallard Jean-Claude qui est à l'origine du lotissement du Pré Dôle (normalement Pré Bôle: erreur de retranscription), lance l'étude des maisons expérimentales (chanvre et paille). Maisons dont la construction est concrétisée par Mme Capron. Depuis le lotissement est en train de s'étendre en direction du hameau de Rabeur.

    École

    Montholier et Aumont se sont réunis pour regrouper leurs élèves. Aumont accueille les premières sections jusqu'au CE1 et Montholier accueille les CE2, CM1 et CM2.

    Une cantine scolaire est à disposition à Aumont.

    Un système de bus assure la navette pour les enfants.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[12]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[13].

    En 2018, la commune comptait 365 habitants[Note 3], en augmentation de 5,8 % par rapport à 2013 (Jura : −0,29 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    264299353257601598624673671
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    600563573575575538518511470
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    464442424359381378361333290
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    278259270289286283309313317
    2013 2018 - - - - - - -
    345365-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[14] puis Insee à partir de 2006[15].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    La population est en constante progression grâce à la construction de plusieurs maisons au nouveau lotissement du Pré Dole. Mais aussi grâce à la rénovation d'anciennes fermes. Le lotissement du Pré Dole est en train de voir s'élever divers chalets et maisons bioclimatiques. L'esprit écologue voulu par J-C Viallard et ses maisons expérimentales est préservé. Le village attire et a une image positive à l'extérieur, en plus de cela le tissu artisanal est assez dense pour un village de cette taille. - deux électriciens - un maçon - une entreprise de TP

    Festivités

    Montholier a été pendant de nombreuses années le lieu d'une populaire fête des jonquilles. Elle s'est éclipsée depuis quelques années.

    Un concours de pétanques, a lieu le dernier week-end de septembre pour la Saint-Michel, il rassemble plus d'une cinquantaine de doublettes. Le week-end de la Saint-Jean, un repas rassemble une partie du village sur le terrain de pétanque, repas qui s'achève par un feu en l'honneur de l'été.

    Biou

    Le biou de Montholier est relativement récent, puisqu'il est institué en 1901 par un vigneron arboisien venu s'installer à Montholier. La fête a lieu pour la Saint-Michel, le . Les préparateurs du biou disposent de deux moules différents, mais il semble que seul le plus important soit utilisé. La disposition des raisins a varié à plusieurs reprises. Le biou, apporté à l'église par quatre hommes, y reste suspendu une semaine et quelquefois plus longtemps. les grappes sont ensuite à la disposition du curé qui en use comme bon lui semble. D'après Vins, vignes et vignobles du Jura, Cêtre Bruno, Christian et Éric de Brisis. 1993.

    Le biou est préparé dans l'ancien presbytère qui est aujourd'hui propriété de la famille Dhorne. Certains vignerons du village se réunissent le samedi de la fête pour le préparer (Jean Jacquot, M. Sinet, JC Viallard, fils Maraux, les regrettés MM Richard et Maraux). Les cépages locaux sont tous utilisés (savagnin, chardonnet, plousard et trousseau). La grappe est ensuite transportée en procession le dimanche à l'église. Le raisin est donné aux sœurs Clarisse de Poligny, qui l'utilisent en vin de messe. L'équipe a perdu beaucoup de ses membres à cause du poids des ans, quelques jeunes se greffent à l'équipe afin de perpétuer cette très noble et belle tradition. Le risque majeur est la disparition des vignes sur les coteaux du village, pourtant classés en AOC Côtes du Jura. Un groupe de musique "Les Jamois" de Tourmont accompagne la cérémonie.

    Lieux et monuments

    Voies

    21 odonymes recensés à Montholier
    au
    Allée Avenue Bld Chemin Cours Impasse Côte Passage Place Quai Rd-point Route Rue Ruelle Autres Total
    0 0 0 5 0 0 0 0 1 0 0 5 6 0 4 [Note 4] 21
    Notes « N »
      Sources : rue-ville.info & annuaire-mairie.fr & OpenStreetMap & FNACA 39 GAJE

      Édifices et sites

      Une mise en valeur du village a été effectuée dans les années 2000 : réfection d'une fontaine, parterres de fleurs, terrain de pétanque.... Le village accueille lors du week-end de la Saint-Michel, le traditionnel biou (grappe de raisins offerte par les vignerons à l'église et un concours de pétanque (quarante doublettes).

      L'église du XVIIe siècle est en grande partie classée (statues, retables, autel...). Son clocher à croix de Malte est célèbre dans la campagne du comté de Grimont et se retrouve sur de nombreux clichés.

      Plusieurs fontaines et statues dédiées à la Vierge ponctuent les routes et chemins.

      Sur le versant est de la colline, de nombreuses cabordes et terrasses élevées lors des siècles précédents sont à voir.

      On y trouve également un monument aux morts en hommage aux combattants de la guerre 1914-1918 et un autre en hommage à la guerre d'Algérie (1954-1962)

      Y sont reproduits une croix en ruban aux couleurs de la France, des colonnes, une couronne de laurier et une branche de chêne. Le monument est protégé par une barrière et se trouve dans la cour de l'école, près de la Mairie et de l'Eglise. Il ne compte que les victimes de leur guerres respectives et celui pour la première Guerre Mondiale porte l'inscription : "Aux morts pour la Patrie".

      Personnalités liées à la commune

      1. Jean Bulabois est avocat au Parlement de Franche-Comté à Dole, la province était autonome et sujette de Philippe IV d'Espagne. Cela au début du XVIIe siècle.
      2. Claude Adrien Jean Bulabois né en 1858 (mort en 1930) a été directeur du ministère des Affaires étrangères du gouvernement égyptien lors de la présence anglaise en Égypte. Il restera attaché à la diplomatie britannique de nombreuses années.
      3. Des cousins et de la famille de l'ancien président de République Jules Grévy (Mont-sous-Vaudrey) ont vécu à Rathier.

      Notes et références

      Notes

      1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
      2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
      3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
      4. Dont un Espace du 19-Mars-1962

      Références

      1. "Nom des habitants de Motholier" | siteweb = http://www.habitants.fr/habitants_montholier_39354.html
      2. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
      3. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
      4. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
      5. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
      6. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
      7. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
      8. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
      9. Ministère de l'Intérieur, « Résultats des élections régionales 2021 », sur http://www.interieur.gouv.fr/Elections/Les-resultats/Regionales/elecresult__regionales-2021 (consulté le )
      10. Ministère de l'Intérieur, « Résultats des élections départementales 2021 », sur http://www.interieur.gouv.fr/Elections/Les-resultats/Departementales/elecresult__departementales-2021 (consulté le )
      11. « Résultats municipales 2020 à Montholier », sur Le Monde.fr (consulté le ).
      12. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
      13. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
      14. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
      15. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.

      Voir aussi

      Articles connexes

      Liens externes

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