Pontacq

Pontacq (en béarnais Pontac ou Pountac) est une commune française située dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine.

Pour les articles homonymes, voir Pontacq (homonymie).

Pontacq

Tour des anciens remparts de Pontacq.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Pau
Intercommunalité Communauté de communes du Nord Est Béarn
Maire
Mandat
Didier Larrazabal
2020-2026
Code postal 64530
Code commune 64453
Démographie
Gentilé Pontaquais
Population
municipale
2 930 hab. (2018 )
Densité 102 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 11′ 11″ nord, 0° 06′ 46″ ouest
Altitude Min. 337 m
Max. 488 m
Superficie 28,85 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Pontacq
(ville-centre)
Aire d'attraction Pau
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton des Vallées de l'Ousse et du Lagoin
(bureau centralisateur)
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Pontacq
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
Pontacq
Géolocalisation sur la carte : France
Pontacq
Géolocalisation sur la carte : France
Pontacq
Liens
Site web www.mairie-pontacq.fr

    Le gentilé est Pontaquais[1].

    Géographie

    Localisation

    La commune de Pontacq se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[2].

    Elle se situe à 28 km par la route[Note 1] de Pau[3], préfecture du département. La commune est par ailleurs ville-centre du bassin de vie de Pontacq[2].

    Les communes les plus proches[Note 2] sont[4] : Lamarque-Pontacq (0,9 km), Labatmale (3,1 km), Barzun (3,4 km), Labatmale (3,8 km), Barlest (4,3 km), Livron (5,0 km), Loubajac (6,4 km), Hours (6,5 km).

    Sur le plan historique et culturel, Pontacq fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[5].

    Hydrographie

    Réseaux hydrographique et routier de Pontacq.

    La commune est drainée par le ruisseau de l'Ousse, le ruisseau du Goua de Michou, l’Ariou de Hounrède, le Cassagnet, le Gabastou, L'Oussére, le ruisseau de Bad, le ruisseau Hoursoumou, le ruisseau Sausse, un bras de l'Ousse, le Luc, l'Oussére, le ruisseau de Couet-Daban, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 46 km de longueur totale[7],[Carte 1].

    L’Ousse, d'une longueur totale de 42,4 km, prend sa source dans la commune de Bartrès et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans le gave de Pau à Gelos, après avoir traversé 19 communes[8].

    Le Goua de Michou, d'une longueur totale de 11,4 km, prend sa source dans la commune et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le Gabas à Luquet, après avoir traversé 4 communes[9].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[10]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[11].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[12]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[10]

    • Moyenne annuelle de température : 12,5 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,9 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 5,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 14,1 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 189 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,8 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,4 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[13] complétée par des études régionales[14] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Asson », sur la commune d'Asson, mise en service en 1970[15]et qui se trouve à 12 km à vol d'oiseau[16],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 13 °C et la hauteur de précipitations de 1 304,6 mm pour la période 1981-2010[17]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Pau-Uzein », sur la commune d'Uzein, mise en service en 1921 et à 35 km[18], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[19], à 13,4 °C pour 1981-2010[20], puis à 13,8 °C pour 1991-2020[21].

    Milieux naturels et biodiversité

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 5]sont recensées sur la commune[22],[Carte 2] : les « landes humides du plateau de Ger » (804,65 ha), couvrant 5 communes dont 2 dans les Pyrénées-Atlantiques et 3 dans les Hautes-Pyrénées[23] et les « tourbières de Couet-Daban et de Gabastou » (46,74 ha), couvrant 3 communes dont 1 dans les Pyrénées-Atlantiques et 2 dans les Hautes-Pyrénées[24] et une ZNIEFF de type 2[Note 6],[22],[Carte 3] : le « plateau de Ger et coteaux de l'Ouest tarbais » (6 409,37 ha), couvrant 26 communes dont 6 dans les Pyrénées-Atlantiques et 20 dans les Hautes-Pyrénées[25].

    Urbanisme

    Typologie

    Pontacq est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[26],[27],[28]. Elle appartient à l'unité urbaine de Pontacq, une agglomération inter-régionale regroupant 5 communes[29] et 5 038 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[30],[31].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pau, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 228 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[32],[33].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (83,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (84,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (75,3 %), forêts (9,5 %), prairies (6,9 %), zones urbanisées (6,2 %), zones agricoles hétérogènes (1,3 %), zones humides intérieures (0,9 %)[34].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 4].

    Lieux-dits et hameaux

    • L'Abbadie ;
    • Angarons ;
    • Barbé ;
    • Belle Vue ;
    • Cardache ;
    • Cazenave ;
    • Honzet ;
    • Lande Darré ;
    • Marra cou ;
    • Montestrucq ;
    • Mouralot ;
    • Sarrail du Midi ;
    • Sarrail du Nord ;
    • Trabessat ;
    • la Ville.

    Voies de communication et transports

    La commune est desservie par l'autoroute A64 et les routes départementales 129, 936 et 940.

    Toponymie

    Le toponyme Pontacq apparaît sous les formes Pontacum (970[35], cartulaire de l'abbaye de Larreule[36]), Lo cami Pontagues (1429[35], censier de Bigorre[37]) et Sant-Laurens de Pontacq(1507[35], notaires de Pontacq[38]).

    Son nom béarnais est Pontac[39] ou Pountac[40].

    Abbadie, fief de Pontacq, est mentionné sous la forme la maison de l'Abbadie de l'Archiprestre (1675[35], réformation de Béarn[41]).

    Angarons, hameau de Pontacq, est cité en 1863 dans le dictionnaire topographique Béarn-Pays basque[35].

    Le toponyme Barbé' apparaît sous la forme Lo Barber (1385[35], censier de Béarn[42]).

    Pontacq signifie « domaine de Pontus », d'un nom romain Pontus avec le suffixe gallo-romain -acum[43],[44].

    Histoire

    Paul Raymond[35] note que la commune comptait une abbaye laïque, vassale de la vicomté de Béarn.

    En 1385, Pontacq comptait vingt-six feux à l'intérieur de la ville, et quatre-vingt-deux hors les murs. Elle dépendait du bailliage de Montaner. La notairie de Pontacq n'englobait que la ville elle-même.

    Le fief d'Abbadie était vassal de la vicomté de Béarn[35].

    Archiprêtré de Pontacq

    Il dépendait du diocèse de Tarbes et comprenait, pour ce qui concerne les Basses-Pyrénées, les communes de Hours, Montaut, Pontacq et Saint-Hilaire (hameau de Montaut), et pour les Hautes-Pyrénées, celles de Gardères, Lamarque et Luquet.

    Canton de Pontacq

    En 1790, le canton comprenait les communes de Barzun, Espoey, Ger, Gomer, Hours, Labatmale, Livron, Lucgarier, Pontacq et Soumoulou.

    Héraldique

    Blasonnement :
    De gueules, à une oye s'essorant d'argent, au chef cousu d'azur chargé du mot PONTACQ en caractère d'or.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs de Pontacq[45]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Jean de Bataille    
    Jean-Philippe de Bataille    
    Beauvais Poque    
    Jean Peyrus    
    Vincent de Bataille-Furé    
    Jean Clouchet    

    (décès)
    Pierre-Louis Peyrus   Conseiller général du canton de Pontacq (1871 → 1872)
    Maximilien Naudé Droite Conseiller général du canton de Pontacq (1873 → 1888)
    Aîné Méliande    
    Maximilien Naudé Droite Conseiller général du canton de Pontacq (1873 → 1888)
    Pierre François Leugé    
    Édouard Canet    
    Jean-Marie Peyrus    
    Antoine Leugé    
    Armand Carassou    
    Jean Carliste Labrit    
    Armand Carassou    
    Henri de Bataille-Furé URD Conseiller général du canton de Pontacq (1937 → 1940)
    Nommé conseiller départemental en 1943[46]
    Jean Bignalet Rad. Conseiller général du canton de Pontacq (1945 → 1951)
    Pierre Conte[47] MRP Conseiller général du canton de Pontacq (1951 → 1958)
    Jean Estrade[47]    
    Maurice Meireles[48] DVD Cadre technico-commercial
    En cours Didier Larrazabal DVD Chef d'entreprise

    Intercommunalité

    Pontacq fait partie de quatre structures intercommunales[49] :

    • la communauté de communes Ousse-Gabas ;
    • le syndicat d'aménagement hydraulique du bassin de l'Ousse ;
    • le syndicat d'énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
    • le syndicat mixte d'eau et d'assainissement de la vallée de l'Ousse.

    Démographie

    Église Saint-Laurent.

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[50]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[51].

    En 2018, la commune comptait 2 930 habitants[Note 9], en augmentation de 1,67 % par rapport à 2013 (Pyrénées-Atlantiques : +2,37 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    2 2962 3982 5442 7693 1093 2023 1233 2963 212
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 9393 0153 0182 8562 7542 6212 6412 6102 743
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 8152 7312 7092 5622 5892 5172 3972 2792 420
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    2 4532 4022 3282 5342 6832 6112 7432 8222 917
    2018 - - - - - - - -
    2 930--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[52] puis Insee à partir de 2006[53].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    La commune fait partiellement partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.

    Culture locale et patrimoine

    L'église, vue latérale.

    Pontacq Radio

    Pontacq Radio est une webradio qui a été créée fin 2011[54] sur l’initiative de Julien TOTH, l’actuel président et directeur d’antenne.

    Pontacq Radio est avant tout un média généraliste de proximité au format musical adulte offrant un mélange très varié de morceaux pop-rock et de nouveautés.

    Après l’enthousiasme et l’approximation des débuts, l’aventure s’est peaufinée avec les équipes de la station jusqu’à une récente restructuration et professionnalisation[55] basées sur un projet de communication précis qui ont mené Pontacq Radio à ce qu’elle est aujourd’hui.

    Animée par une équipe d'amateurs et de professionnels, Pontacq Radio couvre un secteur géographique local, principalement situé sur le territoire du Nord-Est Béarn et du Pays de Nay.

    Reflet de la vie locale au sens large, Pontacq Radio a conquis une audience fidèle et en constante progression jusqu’à devenir un média incontournable pour tous les secteurs d’activité locaux.

    Patrimoine civil

    La vieille tour[56] de Pontacq et les vestiges de remparts attenants (XIVe - XVIe siècles), sont inscrits à l'inventaire des monuments historiques (20 juillet 1945).

    Le monument aux morts fut réalisé par le sculpteur Ernest Gabard.

    Le manoir[57], dit domaine de Meyracq, date partiellement du XVIe siècle.

    Patrimoine religieux et culturel

    Vieille tour.
    • Église Saint-Laurent où se trouve l'un des derniers tableaux des ateliers de Jacques-Paul Migne et daté de 1858[réf. souhaitée].

    Équipements

    Enseignement

    Il y a deux collèges à Pontacq, le collège privé Saint-Joseph et un collège public, le collège Jean-Bouzet[58]. Pour ce dernier, le syndicat intercommunal pour le fonctionnement du collège de Pontacq est compétent pour les activités post- et périscolaires, la restauration scolaire et les investissements d'équipements publics. Il regroupe dix communes du canton de Pontacq et deux communes des Hautes-Pyrénées, Lamarque-Pontacq et Ossun.

    Pontacq dispose de deux écoles primaires, l'une publique et l'autre privée (école Saint-Jeanne-Elisabeth).

    École agricole de la Frede Duce, ou l’art du fauchage, ramassage, etc.

    Sports et infrastructures sportives[59]

    • badminton ;
    • club athlétique ;
    • cyclisme : le cyclo-club[60] pontacquais a été créé en 2005 ;
    • football : Pontacq possède une école de football, l'entente Pontacq-Luquet ;
    • rugby : Pontacq possède une école de rugby[61] Pontacquais Basket-ball.

    Personnalités liées à la commune

    Nées au XVIIe siècle

    • Pierre Peiret, né vers 1644 à Pontacq et mort en 1707 à Manhattan (New York), est un pasteur protestant, ministre d'Osse-en-Aspe de 1677 à 1685. Il est membre de la famille Peiret (ou Peyret), ancienne famille noble de Pontacq apparentée à la famille Barbanègre. Il s'enfuit de France avec sa famille en 1685 à la suite de la révocation de l'Édit de Nantes par celui de Fontainebleau. Il se réfugie à New York où il fonde l'Eglise protestante française du Saint-Esprit. Il a de nombreux descendants aux Etats-Unis. Sa tombe est encore aujourd'hui visible dans le cimetière de Trinity Church.

    Nées au XVIIIe siècle

    Nées au XIXe siècle

    • Jean Bouzet, né en 1892 à Pontacq et décédé en 1954, est un spécialiste de la langue espagnole qu'il enseigna dans divers lycées parisiens et à La Sorbonne. Il reste de lui, qui eut Georges Pompidou et François Mitterrand comme élèves, une grammaire espagnole qui a accompagné des générations d'élèves et d'étudiants du baccalauréat à l'agrégation.

    Nées au XXe siècle

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
    2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    6. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. « Carte hydrographique de Pontacq » sur Géoportail (consulté le 11 août 2021)..
    2. « ZNIEFF de type I sur la commune de Pontacq », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
    3. « ZNIEFF de type II sur la commune de Pontacq », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
    4. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Gentilé sur habitants.fr
    2. « Métadonnées de la commune de Pontacq », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Pontacq et Pau », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. « Communes les plus proches de Pontacq », sur www.villorama.com (consulté le ).
    5. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
    6. Carte IGN sous Géoportail
    7. « Fiche communale de Pontacq », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
    8. Sandre, « le ruisseau de l'Ousse ».
    9. Sandre, « le ruisseau du Goua de Michou ».
    10. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
    11. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
    12. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le ).
    13. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    14. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
    15. « Station Météo-France Asson - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    16. « Orthodromie entre Pontacq et Asson », sur fr.distance.to (consulté le ).
    17. « Station Météo-France Asson - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    18. « Orthodromie entre Pontacq et Uzein », sur fr.distance.to (consulté le ).
    19. « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    20. « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    21. « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    22. « Liste des ZNIEFF de la commune de Pontacq », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    23. « ZNIEFF les « landes humides du plateau de Ger » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    24. « ZNIEFF les « tourbières de Couet-Daban et de Gabastou » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    25. « ZNIEFF le « plateau de Ger et coteaux de l'Ouest tarbais » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    26. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    27. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    28. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    29. « Unité urbaine 2020 de Pontacq », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    30. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    31. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    32. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Pau », sur insee.fr (consulté le ).
    33. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    34. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
    35. Paul Raymond, Dictionnaire topographique du département des Basses-Pyrénées, Paris, Imprimerie Impériale, , 208 p. (notice BnF no FRBNF31182570, lire en ligne)..
    36. Cartulaire de l'abbaye de Larreule, d'après Pierre de Marca, Histoire de Béarn
    37. Manuscrit de 1429 - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
    38. Notaires de Pontacq - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
    39. Ostau Bearnes, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie classique » [PDF] (consulté le ).
    40. Institut béarnais et gascon, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie moderne » [PDF] (consulté le ).
    41. Réformation de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, coll. « manuscrits du XVIe au XVIIIe siècle »..
    42. Censier de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, manuscrit de 1385..
    43. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Librairie Guénégaud Paris 1978. p. 541.
    44. Michel Grosclaude, Dictionnaire toponymique des communes du Béarn, 2006, p. 320.
    45. Pontacq. Les maires depuis la Révolution, La Dépêche du Midi, article du 7 juin 2013.
    46. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k9614068c/f3.item.r=canton.zoom
    47. Jean Estrade, maire de Pontacq pendant 30 ans, est décédé, La République des Pyrénées, article du 5 octobre 2015.
    48. Pontacq : l'ancien maire Maurice Meirelès est mort, La République des Pyrénées, article du 17 octobre 2016.
    49. Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
    50. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    51. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    52. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    53. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    54. « Les débuts de Pontacq-Radio », sur La-R%C3%A9publique-des-Pyr%C3%A9n%C3%A9es (consulté le ).
    55. « Des nouvelles de «Pontacq-Radio» », sur ladepeche.fr (consulté le ).
    56. Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur la vieille tour et les remparts
    57. Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur le domaine de Meyracq
    58. Site du collège Jean Bouzet
    59. Associations sportives sur le site de la mairie
    60. Site du cyclo-club pontacquais
    61. Site du CAP rugby

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    • Portail des communes de France
    • Portail des Pyrénées
    • Portail du Béarn
    • Portail des Pyrénées-Atlantiques
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.