Gelos

Gelos (prononcer [ʒəlɔs]; en béarnais Gelòs ou Yelos) est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.

Gelos

Haras de Gelos.

Blason
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Pau
Intercommunalité Communauté d'agglomération Pau Béarn Pyrénées
Maire
Mandat
Pascal Mora
2020-2026
Code postal 64110
Code commune 64237
Démographie
Population
municipale
3 598 hab. (2018 )
Densité 326 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 17′ 03″ nord, 0° 22′ 12″ ouest
Altitude Min. 165 m
Max. 374 m
Superficie 11,03 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Pau
(banlieue)
Aire d'attraction Pau
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Pau-4
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Gelos
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
Gelos
Géolocalisation sur la carte : France
Gelos
Géolocalisation sur la carte : France
Gelos

    Le gentilé est Gelosien[1].

    Géographie

    Localisation

    La commune de Gelos se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[2].

    Elle se situe à 2,6 km par la route[Note 1] de Pau[3], préfecture du département La commune fait en outre partie du bassin de vie de Pau[2].

    Les communes les plus proches[Note 2] sont[4] : Jurançon (1,4 km), Mazères-Lezons (1,7 km), Bizanos (1,7 km), Pau (2,0 km), Uzos (2,7 km), Billère (3,0 km), Aressy (3,9 km), Rontignon (4,1 km).

    Sur le plan historique et culturel, Gelos fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[5].

    La Bielle (le Bourg)

    Le cœur historique de Gelos[7]. Le bourg ancien est situé entre les rues des Trois Frères Peyrou, l’avenue du Général Leclerc et l’avenue Henri Fanfelle. A partir des années 1930, l'urbanisation continue jusqu’à ses limites naturelles : les coteaux au Sud, et le Gave au Nord. La Bielle se situe aujourd’hui dans la continuité de Pau (quartier du 14 Juillet), de Jurançon et de Mazères-Lezons.

    Le Bourdalat (le Hameau)

    Village périurbain récent composé de quelques dizaines de pavillons, situé à l’extrémité de la Vallée Heureuse, à la frontière des communes de Mazères-Lezons et de Rontignon. Le Château de Tout-y-Croît le voisine sur le coteau adverse.

    Le quartier Beauchamps – La Chambrière

    De nombreuses maisons à pignons y sont visibibles.

    Le quartier de la Tannerie

    Le Quartier tire son nom de la tannerie Bochet et Dulau, spécialisée dans la production de cuir destiné à la fabrication de chaussures qui s'y implante dans les années 1890[8]. En 1967, la tannerie ferme ses portes, et le quartier est désormais réinvesti par des artistes et des artisans. Son dirigeant emblématique Pierre Bochet, également bénévole à la Section Paloise s'est éteitn en 2015[9].

    La Vallée Heureuse

    La Vallée Heureuse abrite de grands domaines historiques de villégiature bâtis à la Belle Epoque le long de la route de Piétat (villas Montrose, Estéfani, Le Vignal, Nirvana), de la route des coteaux de Guindalos (La Tisnère, Le Tinaud, Montfleury) et des chemins de randonnées (domaine de Béterette, Castel Béarn).

    Hydrographie

    Réseaux hydrographique et routier de Gelos.

    La commune est drainée par le gave de Pau, l'Ousse, le Soust, le ruisseau des Bouries, un bras du gave de Pau, le Bartouil, le ruisseau de Gélos, le ruisseau de l'Oulié, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 17 km de longueur totale[10],[Carte 1].

    Le gave de Pau, d'une longueur totale de 192,8 km, prend sa source dans la commune de Gavarnie-Gèdre et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans l'Adour à Saint-Laurent-de-Gosse, après avoir traversé 88 communes[11].

    L’Ousse, d'une longueur totale de 42,4 km, prend sa source dans la commune de Bartrès et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans le gave de Pau sur le territoire communal, après avoir traversé 19 communes[12].

    Le Soust, d'une longueur totale de 24,4 km, prend sa source dans la commune de Sévignacq-Meyracq et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le gave de Pau à Pau, après avoir traversé 7 communes[13].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[14]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[15].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[16]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[14]

    • Moyenne annuelle de température : 13,1 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 13,9 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 195 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,5 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[17] complétée par des études régionales[18] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Pau-Uzein », sur la commune d'Uzein, mise en service en 1921[19]et qui se trouve à 14 km à vol d'oiseau[20],[Note 4], où la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[21], à 13,4 °C pour 1981-2010[22], puis à 13,8 °C pour 1991-2020[23].

    Réseau Natura 2000

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 5]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : le « gave de Pau »[25], d'une superficie de 8 194 ha, un vaste réseau hydrographique avec un système de saligues[Note 6] encore vivace[26],[Carte 2].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

    Une ZNIEFF de type 2[Note 7] est recensée sur la commune[27],[Carte 3] : le « réseau hydrographique du gave de Pau et ses annexes hydrauliques » (3 000,84 ha), couvrant 71 communes dont 10 dans les Landes, 59 dans les Pyrénées-Atlantiques et 2 dans les Hautes-Pyrénées[28].

    Urbanisme

    Typologie

    Gelos est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 8],[29],[30],[31]. Elle appartient à l'unité urbaine de Pau, une agglomération intra-départementale regroupant 55 communes[32] et 200 666 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[33],[34].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pau dont elle est une commune de la couronne[Note 9]. Cette aire, qui regroupe 228 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[35],[36].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (51,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (54,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (33,1 %), prairies (26,1 %), zones agricoles hétérogènes (24,2 %), zones urbanisées (13,2 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (2,3 %), terres arables (0,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,2 %)[37].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 4].

    Voies de communication et transports

    La commune est desservie par les routes départementales 2, 37 et 108.

    Toponymie

    Le toponyme Gelos est mentionné au XIIe siècle[38] (Pierre de Marca[39]) et apparaît sous les formes Geloos (1286[38], titres de Béarn[40]), Sent Miqueu de Gelos (1484, notaires de Pau[41]), Gellos (1608[38], réformation de Béarn[42]) et Gélos (1863, dictionnaire topographique Béarn-Pays basque[38]).
    Ce nom signifie « jaloux » comme de nombreux autres toponymes (Casteljaloux), en occitan gelós.

    Son nom béarnais est Gelòs[43] ou Yelos[44].

    Histoire

    Paul Raymond[38] note que la commune comptait une abbaye laïque, vassale de la vicomté de Béarn. En 1385, Gelos rassemblait vingt feux et dépendait du bailliage de Pau.

    Héraldique

    Blasonnement :
    Blasonnement à écrire

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1865 1908 Pierre Mounaud    
    1908 1919 Bernard Peyrou    
    1919 1929 Joseph Lacaze    
    1929 1936 Joseph Peyrou    
    1936 1944 Louis Lacaze    
    1944 1944 Boniface de Castellane    
    1944 1947 Auguste Carraze    
    octobre 1947 mai 1953 Pierre Castagnos    
    mai 1953 mars 1959 Henri Lacaze    
    mars 1959 mars 1965 Maurice Peyrou    
    mars 1965 mars 1971 Henri Fanfelle    
    novembre 1971 mars 2014 André Castro DVD  
    mars 2014 En cours Pascal Mora DVG Attaché territorial
    10e vice-président de la CA Pau Béarn Pyrénées

    Intercommunalité

    Gelos fait partie de six structures intercommunales[45] :

    • la communauté d'agglomération de Pau Béarn Pyrénées ;
    • le syndicat AEP de la région de Jurançon ;
    • le syndicat d’énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
    • le syndicat intercommunal centre de loisirs de Narcastet ;
    • le syndicat intercommunal d'études et de travaux d'aménagement du Soust et de ses affluents ;
    • le syndicat intercommunal de défense contre les inondations du gave de Pau.

    Gelos accueille le siège du syndicat intercommunal d'études et de travaux d'aménagement du Soust et de ses affluents.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[46]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[47].

    En 2018, la commune comptait 3 598 habitants[Note 10], en augmentation de 0,9 % par rapport à 2013 (Pyrénées-Atlantiques : +2,37 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    7237538189291 0511 1041 1581 1271 143
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 1001 1711 2701 3131 3281 3771 4591 5371 635
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 5811 6061 7261 7201 7432 0212 1352 5092 762
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    2 7243 3673 1613 1483 5293 6663 7143 6933 540
    2018 - - - - - - - -
    3 598--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[48] puis Insee à partir de 2006[49].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Gelos fait partie de aire urbaine de Pau.

    Économie

    La commune fait partie des zones AOC du vignoble du Jurançon et du Béarn et de celle de l'ossau-iraty.

    Culture locale et patrimoine

    Patrimoine civil

    Le haras national de Gelos[50] occupe le château[51], qui date de 1784. Le haras possède des voitures hippomobiles[52] classées au titre d'objet aux monuments historiques.

    Patrimoine religieux

    L'église Saint-Michel[53] fut construite dans la deuxième moitié du XIXe siècle.

    Équipements

    Enseignement

    Gelos dispose de trois écoles primaires, deux publiques (Belos-Bourg et Hameau) et l'autre privée (école Saint-Joseph), ainsi qu'un lycée des métiers de l’habitat (anciennement LEP).

    Transports urbains

    Gelos est desservie par le réseau de bus Idelis :

    • Pau — Zénith ↔ Mazères — L'Arriou
    • Pau — Porte des Pyrénées ↔ Mazères-Lezons — Lezons

    Sports

    L'Union Sportive Vaillante Gelosienne, issu de la fusion des deux anciennes entités de la ville en 2006 (la Vaillante de Gelos, fondée en 1908 et la Gelosienne), est le club omnisports de Gelos comptant plusieurs sections sportives: football, pelote basque, volley-ball, judo, badminton...

    L'USVG Football, champion de D3 en 2016, champion de D2 en 2018, et vainqueur de la Coupe Vispaly en 2019 évolue pour la saison 2020-2021 en Régionale 3 (Ligue de Football de Nouvelle Aquitaine).

    La section football de l'USVG organise chaque année un Tournoi destiné aux jeunes joueurs U11 et U13 qui connaît un grand succès et a un rayonnement dans tout le grand Sud Ouest[54].

    La Vaillante de Gelos était active en 1902, et était avant la Première Guerre mondiale très active dans le domaine de la gymnastique[55]. La Vaillante est officiellement fondée le , patronage de l'église Saint-Michel[56]. Les Vaillants s'orientent ensuite vers le rugby et la barette, puis le football à partir des années 20[57]. En 1923, la Vaillante est championne de l'Union Pyrénéenne deuxième série. La Vaillante tire certainement ses origines des Enfants de Gelos, club de barette fondé en 1900, proche du Stade Palois[58].

    L'Union Sportive Gelosienne (maillot rouget et vert), en activité en 1901, est à l'époque orientée vers la barette, puis le rugby[59],[60].

    Personnalités liées à la commune

    Nées au XIXe siècle

    Nées au XXe siècle

    Fiction

    Dans À la Recherche du temps perdu, Proust fait naître Françoise, cuisinière du narrateur et de sa famille, à Gelos[61].

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. La distance est mesurée entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluée à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
    2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[24].
    6. La saligue est un mot patois (langage local) qui désigne la végétation typique qui habille toutes les zones marécageuses du gave de Pau.
    7. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    8. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    9. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. « Carte hydrographique de Gelos » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
    2. « Sites Natura 2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune de Gelos », sur www.geoportail.gouv.fr.
    3. « ZNIEFF de type II sur la commune de Gelos », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
    4. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Gentilé sur habitants.fr
    2. « Métadonnées de la commune de Gelos », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Gelos et Pau », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. « Communes les plus proches de Gelos », sur www.villorama.com (consulté le ).
    5. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
    6. Carte IGN sous Géoportail
    7. « HISTOIRE DE GELOS », sur webetab.ac-bordeaux.fr (consulté le ).
    8. « Béarn : l’ancienne tannerie de Gelos se cherche un avenir », sur SudOuest.fr (consulté le ).
    9. « L’industriel béarnais Pierre Bochet est mort », sur La-République-des-Pyrénées (consulté le ).
    10. « Fiche communale de Gelos », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
    11. Sandre, « le gave de Pau ».
    12. Sandre, « le ruisseau de l'Ousse ».
    13. Sandre, « le Soust ».
    14. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
    15. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
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    22. « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
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    24. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    25. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Gelos », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    26. « site Natura 2000 FR7200781 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    27. « Liste des ZNIEFF de la commune de Gelos », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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    52. voiture hippomobile : charrette anglaise dite Jardinièrevoiture hippomobile : landau à cinq glaces voiture hippomobile : landauvoiture hippomobile : cab anglaisvoiture hippomobile : demi-mail Phaétonvoiture hippomobile : mail-roof-seat-break dit Garden Cityvoiture hippomobile : Road Coach Le Béarn Ministère de la Culture, base Palissy - Notices sur les voitures hippomobiles du haras de Gelos
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    61. Le Côté de Guermantes, Esquisse IV, Éd. Pléiade, 1988, t.II, p.1036 : « Alors elle poussait un nouveau soupir et disait : Ah! Gelos, Gelos (c'était le nom de son pays) quand est-ce que je te reverrai […] ».

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