Payrac

Payrac est une commune française située dans le département du Lot, en région Occitanie.

Payrac

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Lot
Arrondissement Gourdon
Intercommunalité Communauté de communes Causses et Vallée de la Dordogne
Maire
Mandat
François Nadaud
2020-2026
Code postal 46350
Code commune 46215
Démographie
Gentilé Payracois, Payracoise
Population
municipale
623 hab. (2018 )
Densité 32 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 47′ 51″ nord, 1° 28′ 22″ est
Altitude Min. 125 m
Max. 364 m
Superficie 19,5 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Gourdon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Souillac
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Payrac
Géolocalisation sur la carte : Lot
Payrac
Géolocalisation sur la carte : France
Payrac
Géolocalisation sur la carte : France
Payrac

    Ses habitants se nomment les Payracois(es).

    Géographie

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat, Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 12,1 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,5 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 8,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,7 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 963 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,1 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Gourdon », sur la commune de Gourdon, mise en service en 1961[7]et qui se trouve à 10 km à vol d'oiseau[8],[Note 2], où la température moyenne annuelle évolue de 12,4 °C pour la période 1971-2000[9], à 12,7 °C pour 1981-2010[10], puis à 13,1 °C pour 1991-2020[11].

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[12],[13].

    La commune est dans le périmètre du « géoparc des causses du Quercy », classé Géoparc en mai 2017 et appartenant dès lors au réseau mondial des Géoparcs, soutenu par l’UNESCO[14],[15].

    La commune fait également partie de la zone de transition du bassin de la Dordogne, un territoire d'une superficie de 1 880 258 ha reconnu réserve de biosphère par l'UNESCO en juillet 2012[16],[17].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 3] est recensée sur la commune[18] : les « bois des Dames et des pechs de Mouret et de Guidon » (471 ha), couvrant 3 communes du département[19].

    Urbanisme

    Typologie

    Payrac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[20],[21],[22].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Gourdon, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 22 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[23],[24].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (54,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (54,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (49,1 %), prairies (32,6 %), zones agricoles hétérogènes (10 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (5,5 %), zones urbanisées (2,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,6 %)[25].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Selon Gaston Bazalgues, le toponyme Payrac, d'origine gallo-romaine, est basé sur un anthroponyme Parius ou Patrius. La terminaison -ac est issue du suffixe gaulois -acon (lui-même du celtique commun *-āko-), souvent latinisé en -acum dans les textes[26].

    Pour d'autres, Payrac tire son nom de l’occitan « Peyro » qui signifie « pierres »

    Histoire

    Payrac était un bourg important sous la paix romaine. L’écrit le plus ancien mentionnant le village remonte au Xe siècle. À l’époque féodale, Payrac appartenait aux seigneurs de Gourdon, ville fortifiée qui reste encore la capitale de la Bouriane. Vers 1279, Payrac devint propriété de la famille Verneuil et le resta environ cinq cents ans. C’est à cette époque, au XIIIe / XIVe siècle que le château, dont il ne reste que la grosse tour féodale, fut construit. Au cours de la guerre de Cent Ans, la population fut pratiquement exterminée ; la région fut donc ensuite repeuplée à partir des régions avoisinantes. Au 16e, Payrac souffrit des guerres de religion. À la suite d'une défaite en 1580 à Rocamadour les protestants se réfugièrent dans l’église et dans le château de Payrac. Celui-ci fut alors incendié et les protestants, exterminés (environ 500 morts). À partir de la Renaissance, Payrac prit de l’importance en tant que centre postal et relais d’étape. Le courrier en provenance des grandes villes de France y fut déposé pour être réexpédié dans toute la région. La vie devint plus ordonnée et plus prospère. La notoriété du village dans le domaine des foires et marchés augmenta, et couvrit rapidement une zone très étendue. Les archives montrent que d’énormes quantités de grain et de bétail furent vendues sur les marchés pendant cette période.

    La révolution de 1789 entraîna le dépeuplement de Payrac ; la population actuelle, d’environ 700 habitants, ne représente qu’un tiers de celle de 1789. Vint ensuite l’ouverture, sous le règne de Napoléon, d’une voie impériale traversant Payrac pour relier Paris à Toulouse (l’actuelle RD 820) puis l’avènement du chemin de fer transportant les marchandises plus vite et plus loin, qui diminuèrent le rôle prépondérant de plaque commerciale qu’était devenue Payrac. Jusqu'au début du XXe siècle, la vigne et la lavande étaient cultivées sur le canton de Payrac, une distillerie de lavande y était même présente. Le phylloxéra détruisit la majeure partie des vignes, tandis que la culture de la lavande fut abandonnée au profit de régions plus productives comme la Provence. La Révolution industrielle qui ne toucha que très peu le Lot et quasi inexistante à Payrac, a contribué avec les causes précédentes à son déclin dès le XIXe siècle et surtout au XXe siècle. Le village perdit plus de la moitié de sa population (la commune comptait plus de 1 200 habitants dans les années 1800-1850). La révolution industrielle accentua ainsi le mouvement de dépeuplement et la disparition de l’artisanat local. Malgré ces pertes de population, le village réussit à conserver une communauté relativement prospère, et demeure un centre administratif.

    L'offre en matière de services commerciaux et administratifs est bien en place et parfaitement adaptée aux exigences du moment. Le grand attrait du village est sans doute sa situation, car il est entouré de sites remarquables tels que Rocamadour ou Padirac. Les principales activités du village et de son canton sont maintenant l'agriculture, avec de nombreux vergers de noyers et de chênes truffiers. L'élevage est aussi présent, celui des canards et la production de foie gras participant à l'authenticité du canton payracois.[réf. nécessaire]

    Territoire communal

    La commune de Payrac absorbe Camy et Loupiac en 1806. Elle cède Loupiac en 1839 pour que celle-ci puisse reformer une commune indépendante.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs[27]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1802 1813 Joseph Hebrard    
    1813 1819 Antoine Laffargue    
    1819 1830 Pierre Delmas    
    1830 1837 Jean Pierre Bonaventure Lauvel    
    1837 1852 Antoine Andrieu    
    1852 1878 Eugène Lauvel    
    1878 1882 Jean Constanty    
    1882 1900 Antoine Iscard    
    mars 2001 2008 Jean-Pierre Favory    
    mars 2008 2014 Bernard Choulet PRG Conseiller général
    Mars 2014 Décembre 2015 Patrick Deltombe    
    Février 2016 Juin 2020 Jean-Pierre Favory    
    Juin 2020 En cours François Nadaud    
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[29].

    En 2018, la commune comptait 623 habitants[Note 6], en diminution de 2,35 % par rapport à 2013 (Lot : +0,1 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 0179091 1601 7861 8091 9111 2531 2671 265
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 2901 3201 2551 2401 2221 1851 1791 1361 069
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    980960968846816719687646580
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    523512456448492564626636628
    2018 - - - - - - - -
    623--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[31].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    De 1806 à 1839 la commune de Loupiac a été absorbée par celle de Payrac, d'où la population bien plus élevée.

    Évolution des tranches d'âge de la population de Payrac entre 1999 et 2007

    Données trouvées sur le site de l'INSEE

    Données socio-économiques

    En 2006 :

    • La population était de 626 personnes, avec 52,2 % d'hommes et 47,8 % de femmes ;
    • Le nombre de célibataire était de 31,4 % dans la population ;
    • Les couples mariés représentaient 53 % de la population ;
    • Dans la commune de Payrac, les divorcés représentaient 6,7 % ;
    • Le nombre de veufs était de 9 % à Payrac.

    Entre 1999 et 2006 :

    • En 1999, il y avait 564 personnes, avec 52,7 % d'hommes et 47,3 % de femmes ;
    • Le taux de chômage en 2006 était de 14,9 %. En 1999, il était de 10,6 % ;
    • Les retraités et les préretraités représentaient 28,1 % de la population en 2006 et 28 % en 1999 ;
    • Le taux d'activité était de 68,9 % en 2006 et de 70,5 % en 1999 ;

    Le pourcentage de résidences secondaires à Payrac est un des plus élevés du département, 38,96 % des logements sur la commune sont des résidences secondaires. Sources : Insee

    Lieux et monuments

    Bourg:

    • De ce passé si riche, nous n’avons gardé que quelques bâtiments, dont le château, ancien repaire de la seigneurie de Gourdon, avec sa grosse tour ronde du XVIe siècle. Elle comporte deux étages sur une salle voûtée en demi-sous-sol. Des meurtrières la percent, permettant l’usage d’une petite artillerie. Le logis date du XVIIIe siècle . Le château a accueilli de 1856 à 1957 les sœurs de Saint Vincent de Paul, Certains habitants de Payrac ont conservé l'habitude d'appeler le château : « le couvent ».
    • Église Saint-Pierre de Payrac, l'église romane, mal entretenue, fut minée et détruite en 1899 ainsi que la halle et la mairie qui y était accolées. La nouvelle église, terminée en 1901, est une construction étonnante, d’une réelle beauté. Moderne pour l'époque, mais inspirée de styles antique et néoclassique, elle possède de magnifiques vitraux du début du XXe siècle, œuvre des verriers du Lot. Ils représentent la vie du Christ et de la vierge Marie. Ils ont été restaurés en 2001 avec grand soin et ont retrouvé toute leur splendeur. De l'ancienne église, le sanctuaire conserve une belle Vierge à l'Enfant en bois sculpté et un petit tabernacle de style Louis XVI. Un buste du Christ crucifié sculpté dans le bois et polychrome datant de la fin du XVIIe siècle, début XVIIIe siècle se trouve dans la chapelle Saint-Joseph de l'église.
    • Église Notre-Dame de Camy. L'édifice est référencé dans la base Mérimée et à l'Inventaire général de la région Occitanie[32]. La peinture monumentale est référencé dans la base Palissy[33].
    • L'hôtel de ville, construit en 1911, remplaçant l'ancienne mairie détruite en même temps que l'ancienne église Saint-Pierre car collée à cette dernière, est un bel exemple de l'architecture bourgeoise du début du XXe siècle ; construite en briquettes et pierre blanches, elle se démarque ainsi des autres bâtisses du centre du village. Privé de son campanile (clocheton) depuis 1948 (rasé par manque d'entretien par le maire de l'époque, M. Constant) il a été reconstruit à l'identique grâce à de nombreux dons des habitants du village et de quelques sociétés.
    • Maisons bourgeoises du XVIIIe siècle au XIXe siècle le long de l'ancienne « route Royale »RN 20 aujourd'hui RD820. Maisons pittoresques dans le vieux bourg, vieux porche du XVIIe siècle dans la rue Saint-Louis.
    • Grande croix en fer forgé de 1829 à un carrefour proche du lavoir.
    • Monument aux Morts.
    • Important patrimoine de monuments du XIXe siècle et XXe siècle. École maternelle, église Saint-Pierre, hôtel de ville, la villa des Pins, et de nombreuses autres bâtisses du bourg.

    Aux alentours:

    • Au sud-ouest, dans la vallée du Tournefeuille, hameau de Camy : tour carrée à échauguette d'un ancien repaire du XVe siècle en partie modifié début XIXe siècle ; église remaniée en 1898, d'origine gothique (vestiges et peintures).
    • Les Granges : maison bourgeoise à porche ; maison rurale à bolet en angle et grange attenante.
    • Au sud-est, sur le plateau caussenard, hameau dispersé de Toulas, résultat d'un repeuplement familial après la guerre de Cent Ans. Puits collectif voûté en berceau brisé récemment restauré près d'une ferme datée de 1788 ; maison d'habitation à lucarnes ornées d'épis de pierre, précédée d'un porche (daté de 1700) et accompagnée d'un four à pain. Fontaine-lavoir vers La Séguinie.
    • Four à pain de Campanole.

    Vie locale

    • Services publics : Payrac dispose d'une gendarmerie, d'un bureau de poste, d'une ADMR, d'une maison des associations, d'une bibliothèque communale et d'une maison pluridisciplinaire de santé. Le village bénéficie également d'un terrain de tennis, d'un boulodrome et de plusieurs salles des fêtes (une salle en face de la mairie, une salle polyvalente près de la piscine). Payrac en effet partage un stade de foot avec la commune de Loupiac. Soutenue par le Conseil Général du Lot, une Maison d'Accueil pour Personnes Âgées (MAPA) « Les 4 Saisons » a ouvert ses portes le à Payrac. Cette maison est née d'un projet commun des communes de Payrac et Loupiac, accompagné par la MSA, relayé par la Communauté de Communes Haute-bouriane.
    • Enseignement : Une école maternelle et primaire sont présentes sur la commune de Payrac. À la suite d'un réaménagement total des établissements, les deux écoles se trouvent depuis 2020 sur la Place du Foirail et portent le nom suivant : Ecole des Lys. Un centre de loisir "Le Petit Prince" à ouvert en 2020 dans les locaux de l'ancienne école maternelle située près de l'église.
    • Commerces de proximité et produits régionaux: Payrac bénéficie de tous les commerces de proximité avec une épicerie Proxy, un tabac-presse, une boulangerie, un coiffeur, mais également d'une station-service et de plusieurs garages. Payrac dispose aussi de différentes boutiques de produits régionaux (Maison Jacquin, Maison Adenot, Fromagerie Lahore ...).
    • Secteur touristique : Situé à la lisière du Parc Naturel Régional des Causses du Quercy, à mi chemin entre Sarlat et Rocamadour, le village de Payrac vie au rythme du tourisme. Le village comporte alors différents campings (Camping des Pins, Camping le Picouty, Camping Le Panoramic ...), chambres d'hôtes et gîtes. Payrac dispose également d'un pizzeria près de l'église, et d'un café/bar. Un marché de producteurs fait vivrez le cœur de Payrac l'été.
    • Maison de Santé: Nouvelle architecture pour le village de Payrac, il aura fallu environ un an de travaux pour réaliser cette maison de santé qui aura coûté près de 1,4 million d’euros. Porté par la Communauté de communes du Pays de Souillac-Rocamadour depuis 2012, le projet a pour objectif de lutter contre la désertification médicale en permettant l’installation de médecins généralistes, spécialistes et paramédicaux. La première pierre est posée le 17  . L’inauguration de cette très belle réalisation, signée de main de maître de l’architecte Émilie Wattier-Darnis du cabinet Arkhidée, a eu lieu le . Ce bâtiment d’une superficie de 700 m2 rayonnant de luminosité comprend plusieurs pôles dont celui de l’ADMR, ses cabinets, ses espaces attente, ses bureaux, ses locaux techniques, son appartement destiné aux médecins internes ou stagiaire. La Maison de santé pluridisciplinaire regroupe aujourd’hui trois médecins, deux pharmaciens, quatre infirmiers, deux kinésithérapeutes, un orthophoniste, un podologue, une psychomotricienne, un dentiste, un psychologue et une diététicienne, soit au total une quinzaine de professionnels de la santé.

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Blasonnement :
    De gueules à la fasce d'argent chargée de trois fleurs de lys d'azur.

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    3. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Carte IGN sous Géoportail
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station météofrance Gourdon - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Payrac et Gourdon », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    10. « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    11. « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Les différents espaces protégés. », sur http://www.observatoire-biodiversite-centre.fr/ (consulté le )
    13. « Liste des espace protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    14. « le géoparc des Causses du Quercy », sur le site des Géoparks de l'Unesco (consulté le )
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    16. « Réserve de biosphère du bassin de la Dordogne », sur mab-france.org (consulté le )
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    22. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    23. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
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    25. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
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    29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    32. « Église paroissiale Notre-Dame », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
    33. « Peinture monumentale », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
    34. « Les clés du royaume », sur EMCI TV (consulté le )

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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