Montséret

Montséret est une commune française, située dans le département de l'Aude en région Occitanie. Située sur l'Aussou, cette commune viticole fait partie des Corbières maritimes et se trouve à proche distance de la mer Méditerranée et de la basse plaine de l'Aude. Ses habitants sont appelés les Montsérétois.

Montséret

Vue de Montséret depuis le château de Roquelongue.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Aude
Arrondissement Narbonne
Intercommunalité Communauté de communes de la Région Lézignanaise, Corbières et Minervois
Maire
Mandat
Geneviève Fabre
2020-2026
Code postal 11200
Code commune 11256
Démographie
Gentilé Montsérétois
Population
municipale
608 hab. (2018 )
Densité 54 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 06′ 13″ nord, 2° 48′ 42″ est
Altitude Min. 55 m
Max. 240 m
Superficie 11,31 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Narbonne
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton des Corbières
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Montséret
Géolocalisation sur la carte : Aude
Montséret
Géolocalisation sur la carte : France
Montséret
Géolocalisation sur la carte : France
Montséret

    Géographie

    Localisation

    Montséret est un village de l'Aude situé sur les contreforts des Corbières. Au-dessus de la vallée de l'Aude et à proche distance du golfe du Lion. À vol d'oiseau, le village est à 102,6 km au sud-ouest de Montpellier, 123 km au sud-est de Toulouse, 45,5 km au nord de Perpignan et 18,1 km au sud-est de Narbonne[1].

    Seulement trois communes sont limitrophes :

    Géologie et relief

    L'altitude sur la commune de Montséret varie entre 55 m et 235 m au Roc de la Bousole[3]. On trouve sur le territoire de nombreuses élévations du relief que l'on peut distinguer facilement :

    • Le massif de Fontfroide sur lequel se situe le point culminant de la commune, le Roc de la Bousole (235 m) à l’extrême sud du territoire. Ce massif qui abrite l'abbaye de Fontfroide est recouvert de la forêt du même nom. Il fait partie des Corbières maritimes. La commune de Montséret s'étend sur une petite partie à l'ouest du massif.
    • Le site de Roquelongue, situé à cheval sur les communes de Montséret et de Saint-André-de-Roquelongue culmine à 174 m. C’est sur cet éperon rocheux que se situent les ruines du château de Moun Séré. Le village est bâti au pied de cette colline escarpée.
    • Le massif du Bois de la Pinède dont les premiers contreforts à l'est sont situés sur la commune. La partie montsérétoise du massif culmine à 152 m. Elle est presque entièrement cultivée. Ce massif culmine à 173 m à la tour de guet de Boutenac.
    • Le Pech de l'Arc se trouve à l'ouest de Montséret dans la direction de Thézan. Il culmine à 126 m.
    • Le Pech Blanc (120 m), autre colline située à l'est le long de la D 613. L'Aussou coule au pied de cette colline.
    Vue panoramique de Montséret en hiver depuis le château de Roquelongue.

    Hydrographie

    Le ruisseau de la Prade rejoint l'Aussou.

    L'Aussou traverse la commune du sud vers le nord. Cette rivière de 17,4 km prend sa source sur la commune de Fontjoncouse et se jette dans l'Orbieu. Son débit est très irrégulier et peut devenir nul en été. Dans les communes de Montséret, l'Aussou est rejoint par le Ruisseau de la Prade qui prend sa source à Thézan-des-Corbières, il s'écoule sur 5,3 km avant de se jeter dans l'Aussou. Les étés étant souvent très secs, il arrive fréquemment que plus aucune rivière ne coule à Montséret.

    Climat

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 14,8 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 0,9 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 13 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,8 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 616 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 6,6 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 2,8 j

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[5].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[6]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[4].

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Ferrals-les-Corbières », sur la commune de Ferrals-les-Corbières, mise en service en 1971[9]et qui se trouve à km à vol d'oiseau[10],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 14,9 °C et la hauteur de précipitations de 647 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Carcassonne », sur la commune de Carcassonne, mise en service en 1948 et à 39 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 13,7 °C pour la période 1971-2000[13], à 14,1 °C pour 1981-2010[14], puis à 14,5 °C pour 1991-2020[15].

    Voies de communications et transports

    Montséret est desservie par la D 123 du nord au sud, cette route va de la D 24 à Ornaisons au nord à la D 611 au sud près de Montséret. La D 423 dessert le village d'est en ouest, cette route va de Thézan-des-Corbières à Saint-André-de-Roquelongue. Ces routes permettent de rejoindre très rapidement la D 613 (ancienne nationale 613) qui va de Narbonne à Ax-les-Thermes traversant les Corbières puis le Pays de Sault franchissant en tout 10 cols. C'est le principal axe de circulation des Corbières.

    Urbanisme

    Typologie

    Montséret est une commune rurale[Note 3],[16]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[17],[18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Narbonne, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 71 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[19],[20].

    Le village est construit sur le flanc est d'une modeste colline face au rocher de Roquelongue. On y trouve le principal axe de vie du village.

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (65,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (71,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (61,3 %), forêts (17,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (13,6 %), zones agricoles hétérogènes (3,9 %), zones urbanisées (3,4 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Logement

    En 2009, le nombre total de logements dans la commune était de 325[22]. Parmi ces logements, 65,4 % étaient des résidences principales, 21,3 % des résidences secondaires et 13,3 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 96,5 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 2,2 % des appartements[23]. La proportion des résidences principales, propriétés de leurs occupants était de 83,4 %[24].

    Hameaux, lieux-dits et écarts

    Les habitations sont concentrées au pied de Roquelongue mais on en trouve aussi plus au sud dans le hameau des Clauses qui est situé au sud du village sur la D 123. Celui-ci est bâti sur les pentes du massif de Fontfroide.

    Toponymie

    Le nom de Moun Séré qui donna plus tard Montséret, ne vient pas de sierra (montagne), mais de sereno, un petit oiseau migrateur africain (guêpier en français) qui, encore de nos jours, vient nicher en haut de ce rocher. Une autre version donne le Mont Serein, le "serin" est aussi un oiseau.

    Histoire

    Sur l'éperon rocheux de Roca Longua fut construit à partir du Xe siècle, le château de Moun Séré entouré de son village accroché aux flancs escarpés de la montagne. C'était un imposant château fort, avec donjon et doubles remparts, à l'image de son voisin Saint-Martin-de-Toques, aujourd'hui restauré.

    En 1153 Raingarde de Montseret fonde ici aux Ollieux, la première abbaye cistercienne de femmes du royaume de France. Cette abbaye unique pour l'époque, deviendra en 1174 un prieuré rattaché à l'abbaye de Fontfroide, dont le rôle sera déterminant pendant la croisade contre les Albigeois (cathares).

    En 1304, après la mort du chevalier Guillaume-Raimon du Bourg, seigneur de Montséret, et de son fils Arnaud, Ricarde resta seule avec sa fille Mabile pour conserver et défendre le patrimoine familial. Avec une énergie farouche, Mabile âgée de 20 ans décida d'assumer l'héritage des charges que lui léguait son père. Entreprise difficile qui demandait une activité et une autorité peu commune parmi les femmes de cette époque. En 1311, elle perdit ses droits à Moun Séré au profit de sa toute puissante voisine l'abbaye de Fontfroide. Après 18 ans de lutte acharnée, elle retrouvera ses droits et son château en 1329.

    Le castrum de Moun Séré fut soudainement abandonné par ses habitants en 1550, et ne fut jamais plus habité. La raison n'est pas connue (la peste peut-être), mais il semble que tout fut fait pour faire oublier ce lieu.

    Plus tard un nouveau village fut construit dans la plaine, mais il ne fut plus fait allusion aux ruines de la montagne. On changea même le nom du lieu : Bouisse ou lieu planté de buis. C'est ainsi que les villageois appellent encore aujourd'hui ce lieu oublié des mémoires.

    Les pierres du château qui n'avaient pas été utilisées pour construire le nouveau village et les murets des chemins de vignes, servirent de remblai à la voie de chemin de fer de l'éphémère petit train des Corbières. Ainsi disparurent en moins de 2 ans, donjons et double rempart.

    Héraldique

    Lorsque, par un édit de 1696, Louis XIV veut remédier aux abus héraldiques, ses conseillers n'oublient pas de faire créer de nouveaux offices et d'imposer l'enregistrement des armoiries. La communauté de Montséret ne pouvant financer un tel projet dont elle ne voyait pas l'utilité puisqu'elle partageait les affaires communales avec celle de Saint-André-de-Roquelongue. En effet ces armoiries auraient constitué des marques de noblesse et des signes de féodalité, inexistants pour ces villages.

    Montseret
    Blason
    D’azur au mont sommé d’une tour surmontée d’une clé posée en fasce, le tout d’or[25].
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Politique et administration

    Montséret fait partie du département de l'Aude, de l'arrondissement de Narbonne et de la communauté de commune de Lézignan-Corbières.

    La commune est, depuis 2010 dans la 1re circonscription législative de l'Aude (Carcassonne[26]).

    Tendances politiques et résultats

    Lors du 1er tour de la présidentielle de 2002 Lionel Jospin est arrivé en tête avec 69 voix et 27 % devant Jean-Marie Le Pen (43 voix et 17 %) et Jacques Chirac (29 voix et 11,5 %)[27]. Au 2d tour Jacques Chirac l'emporte face à Jean-Marie Le Pen avec 210 voix et 79,5 %[28]. Le 1er tour de la présidentielle de 2007 a amené en tête Ségolène Royal (104 voix et 36,5 %) devant Nicolas Sarkozy (48 voix et 16 %), Jean-Marie Le Pen (40 voix et 13,5 %) et François Bayrou (39 voix et 13 %). Au 2d tour Ségolène Royal arrive en tête avec 185 voix et 64,5 % contre 102 voix et 35,5 % pour Nicolas Sarkozy[29]. Au 1er tour de la présidentielle de 2012 François Hollande (124 voix et 40,5 %) est arrivé en tête devant Jean-Luc Mélenchon (59 voix et 19 %) et Marine Le Pen (43 voix et 14 %). Au 2d tour François Hollande est arrivé en tête devant Nicolas Sarkozy avec 213 voix et 74,4 %[30].

    Liste des maires

    Depuis 1944, quatre maires se sont succédé à Montséret :

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1944 1976 Noé Léo Hervé SFIO  
    1976 1992 Marsérou Jean-Baptiste PS  
    1992 1997 Orts Arlette PS  
    1997 -- Jalabert Jean-Luc SE  
    2020 En cours Geneviève Fabre    

    Jumelages

    Au Montséret n'est jumelée avec aucune commune[31].

    Population et Société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[33].

    En 2018, la commune comptait 608 habitants[Note 5], en augmentation de 11,36 % par rapport à 2013 (Aude : +2,17 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    127113135166181155161160151
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    182226245263385497550496474
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    497495492507442494445355368
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    369360308306347401465474483
    2013 2018 - - - - - - -
    546608-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Montséret est rattachée à l'académie de Montpellier. La commune de Montséret administre une école élémentaire[36]. La scolarité jusqu'au CM2 des enfants de Montséret s'effectue sur deux villages, Thézan-des-Corbières puis Montséret[37].

    Économie

    Emploi

    En 2009, la population de Montséret se répartissait ainsi : 72,7 % d'actifs et 27,3 % d'inactifs dont 9,1 % de retraités et 7 % d'élèves, d'étudiants et de stagiaires non rémunérés[38]. Le taux de chômage était de 15,4 %[39].

    Entreprises et commerces

    La viticulture est au premier plan de l'économie de Montséret, la quasi-totalité de la surface cultivée de est plantée de vignes.

    Au , Montséret comptait 85 établissements : 47 dans l'agriculture-sylviculture-pêche, 3 dans l'industrie, 4 dans la construction, 27 dans le commerce-transports-services divers et 4 étaient relatifs au secteur administratif[40]. En 2011, 7 entreprises ont été créées à Montséret, 6 dans le domaine du commerce-transports-services divers et une dans le secteur administratif[41].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Église de Montséret.
    Ruines du château de Roquelongue

    Le site de Roquelongue surmonté des ruines du château est le principal lieu remarquable sur la commune. Il domine le village et offre un point de vue sur les Corbières et la Montagne Noire. On peut aussi citer la miellerie dans le hameau des Clauses au sud du village.

    • L'église Saint-Félix de Montséret, de style néo-roman (XIXe siècle) est située au nord du village entre l'allée des Acacias et l'avenue des Platanes. Elle fut construite en deux temps : d'abord la nef, le chœur et un petit clocher au XVIIe siècle puis le clocher est surélevé et deux chapelles sont ajoutées sur le côté[42].

    Appellations et terroirs

    Le territoire de la commune de Montséret fait partie de l'appellation AOC Corbières[43] mais aussi du terroir de Boutenac[44] et des vins de pays des Coteaux de Cabrerisse sauf sur la partie nord de la commune.

    Personnalités liées à la commune

    • Hervé Noé (1908-1999) : résistant pendant la Seconde Guerre mondiale puis maire de 1944 à 1974, a été la figure de Montseret et a marqué de son empreinte pour de longues années la vie de ce village.
    • Léopold Noé (1877-1957) : soldat de la Première Guerre mondiale auteur de "Nous étions ennemis sans savoir pourquoi ni comment".

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    3. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes

    Références

    1. « lion1906 », sur Localisation Interactive, Orthodromie et Navigation. (consulté le ).
    2. Carte IGN sous Géoportail
    3. « géoportail », sur portail des territoires et de citoyens (consulté le )
    4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    5. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    6. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France Ferrals-les-Corbières - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Montséret et Ferrals-les-Corbières », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Ferrals-les-Corbières - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
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    13. « Station météorologique de Carcassonne - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Carcassonne - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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    16. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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    23. LOG T2 - Catégories et types de logements sur la fiche Insee de la commune, [lire en ligne].
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    33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    36. « École à Montséret », sur le site du ministère de l’Éducation nationale (consulté le ).
    37. « École à Montséret », sur le site de la commune (consulté le ).
    38. EMP T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité sur la fiche Insee de la commune, [lire en ligne].
    39. EMP T4 - Chômage (au sens du recensement) des 15-64 ans sur la fiche Insee de la commune, [lire en ligne].
    40. CEN T1 - Établissements actifs par secteur d'activité au 31 décembre 2010 sur la fiche Insee de la commune, [lire en ligne].
    41. DEN T1 - Créations d'entreprises par secteur d'activité en 2011 sur la fiche Insee de la commune, [lire en ligne].
    42. Église Saint-Félix sur le site de la mairie
    43. Université de la vigne et du vin
    44. Terroir de Boutenac sur vins-languedoc-roussillon.fr
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