Maison-Rouge

Maison-Rouge est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France.

Pour les articles homonymes, voir Maison rouge.

Maison-Rouge

Blason
Administration
Pays France
Région Île-de-France
Département Seine-et-Marne
Arrondissement Provins
Intercommunalité Communauté de communes du Provinois
Maire
Mandat
Pierre Caumartin
2020-2026
Code postal 77370
Code commune 77272
Démographie
Gentilé Mansirubiens
Population
municipale
870 hab. (2018 )
Densité 63 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 33′ 34″ nord, 3° 09′ 05″ est
Altitude Min. 105 m
Max. 155 m
Superficie 13,91 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Provins
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
Maison-Rouge
Géolocalisation sur la carte : Seine-et-Marne
Maison-Rouge
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Maison-Rouge
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Maison-Rouge

    Géographie

    Localisation

    Localisation de la commune de Maison-Rouge dans le département de Seine-et-Marne

    La commune est située à environ 11,6 kilomètres à l’ouest de Provins[Carte 1].

    Communes limitrophes

    Réseau hydrographique

    Carte des réseaux hydrographique et routier de Maison-Rouge.

    Le réseau hydrographique de la commune se compose de trois cours d'eau référencés :

    • le ru du Dragon ou ru des Glatigny ou ru du fossé mou, long de 8,12 km[1], affluent de la Voulzie ;
      • le ru des Vieux Moulins, long de 4,65 km[2], qui conflue dans le ru du Dragon ;
        • le fossé 01 de Champarlin, 1,16 km[3], qui conflue avec le ru des Vieux Moulins.

    La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 3,34 km[4].

    Gestion des cours d'eau

    Afin d’atteindre le bon état des eaux imposé par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intégrée s’articulent à différentes échelles : le SDAGE, à l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE, à l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Le département de Seine-et-Marne est couvert par six SAGE, au sein du bassin Seine-Normandie[5]. La commune fait partie de deux SAGE : « Yerres » et « Bassée Voulzie ».

    Le SAGE « Yerres » a été approuvé le . Il correspond au bassin versant de l’Yerres, d'une superficie de 1 017 km2, parcouru par un réseau hydrographique de 450 kilomètres de long environ, répartis entre le cours de l’Yerres et ses affluents principaux que sont : le ru de l'Étang de Beuvron, la Visandre, l’Yvron, le Bréon, l’Avon, la Marsange, la Barbançonne, le Réveillon[6]. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par le syndicat mixte pour l'assainissement et la gestion des eaux du bassin versant de l’Yerres (SYAGE), qualifié de « structure porteuse »[7].

    Le SAGE « Bassée Voulzie » est en cours d'élaboration en décembre 2020. Il concerne 144 communes dont 73 en Seine-et-Marne, 50 dans l'Aube, 15 dans la Marne et 6 dans l'Yonne, pour une superficie de 1 710 km2[8],. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par Syndicat Mixte Ouvert de l’eau potable, de l’assainissement collectif, de l’assainissement non collectif, des milieux aquatiques et de la démoustication (SDDEA), qualifié de « structure porteuse »[9].

    Climat

    Paramètres climatiques pour la commune sur la période 1971-2000

    - Moyenne annuelle de température : 10,7 °C
    - Nombre de jours avec une température inférieure à -5°C : 3,2 j
    - Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C : 3,6 j
    - Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,6 °C
    - Cumuls annuels de précipitation : 754 mm
    - Nombre de jours de précipitation en janvier : 1,2 j
    - Nombre de jours de précipitation en juillet : -3,6 j

    La commune bénéficie d’un « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type affecte l’ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalité des communes de Seine-et-Marne[10].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[11]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[10]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales[12]. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Melun - Villaroche , qui se trouve à 35 km à vol d'oiseau[13], où la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour 1981-2010[14] à 11,6 °C pour 1991-2020[15].

    Milieux naturels et biodiversité

    Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[16],[17],[18].

    Urbanisme

    Typologie

    Maison-Rouge est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[19],[20],[21].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire regroupe 1 929 communes[22],[23].

    Lieux-dits, écarts et quartiers

    La commune compte 96 lieux-dits administratifs[Note 4] répertoriés[24] dont :

    • Hameaux détachés du village : Landoy (Absorbé en 1842[25]), Courtevroust ;
    • Habitat ou bâti écarté : Beugnon, La Cénie, Faujus, Leudon, Mitoy, la Tablotte ;
    • Lieux-dits d'intérêt local : bois de Faujus.

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (94,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (94,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (94,3% ), zones urbanisées (3,4% ), forêts (2,4 %)[26].

    Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[27],[28],[Carte 2]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 3].

    Planification

    La loi SRU du a incité les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle et à un horizon de 20 ans et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT Grand Provinois, dont le projet a été arrêté le , porté par le syndicat mixte d’études et de programmation (SMEP) du Grand Provinois, qui regroupe les Communautés de Communes du Provinois et de Bassée-Montois, soit 82 communes[29].

    La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme en révision[30]. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le Géoportail de l'urbanisme[Carte 4].

    Logement

    En 2016, le nombre total de logements dans la commune était de 357 dont 91,3 % de maisons et 8,4 % d’appartements.

    Parmi ces logements, 88,7 % étaient des résidences principales, 4,2 % des résidences secondaires et 7,1 % des logements vacants.

    La part des ménages propriétaires de leur résidence principale s’élevait à 84,8 % contre 14,2 % de locataires[31], dont 4,6 % de logements HLM loués vides (logements sociaux)[Note 5] et 1 % logés gratuitement.

    Voies de communication

    Le village est situé au croisement de la RD 209 et de la RD 619, ex-RN 19, entre Provins et Nangis.

    Transports

    La gare SNCF la plus proche est la Gare de Nangis, située à 11,1 kilomètres, (12 minutes). Elle est desservie par les trains du réseau Transilien Paris-Est (ligne P) à partir de la gare de l'Est à Paris.

    Toponymie

    En 1789, Maison-Rouge était un hameau dépendant de la paroisse de Courtevroust ; la commune est érigée par la loi du , est formé de la réunion des communes de Courtevroust et de Landoy.

    Courtevroust est mentionné sous les formes Curia Evrodi - Coutevroux - Courtevrot - Courtesvroulz - Coutevroust jusqu'en 1842.

    Landoy est mentionné sous les formes Landeyum - Landoy-le-Vau - Landey[32].

    Maison rouge est une formation médiévale tardive qui aurait désigné une auberge, un relais en briques rouges, une tuilerie ou une briqueterie au croisement des deux axes majeurs du village[33] où quelques toits rouges contrastaient avec la couleur de chaume voisins[34]. La Table de Peutinger indique une station de Riobe que l'on peut identifier avec Maison-Rouge[35].

    Histoire

    La commune de Maison-Rouge est née de la fusion, le , des communes de Courtevroust et de Landoy.

    Maison-Rouge

    L'importante seigneurie du Mitoy, est mentionnée au XIIIe siècle et appartient au XVe siècle de celle du Plessis-aux-Tournelles[36].
    Vers 1680, grâce à création de la route du Pavé du Roy, Maison-Rouge, qui était un hameau dépendant de la paroisse de Courtevroust, s'agrandit en recueillant un relais de poste[37] ainsi un grand nombre d'auberges devenant ainsi le lieu le plus peuplé des deux paroisses.
    Un second relais verra le jour vers 1790. Il sera situé à l'autre extrémité du hameau. Le château de Maison-Rouge sera détruit en 1759.

    Courtevroust

    Le lieu est cité en 1140 sous le nom de Curtevrolt.

    Landoy

    Le lieu est cité en 1266 sous le nom de Landeium qui proviendrait du gaulois landa, qui veut dire étendue de terre peu fertile où poussent des ajoncs et des bruyères.
    Landoy était avant la fusion en 1842 une paroisse du diocèse de Sens et seigneurie appartenant au chapitre de Saint-Martin de Tours.

    Politique et administration

    En 2002, la commune a reçu le label « Ville Internet @ »[38].

    Liste des maires

    La mairie.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 1995 mars 2001 Maurice Monceau    
    mars 2001 mars 2008 Jacques Bourgeoisat UMP  
    mars 2008 avril 2015 Jean Sassinot UMP  
    juillet 2015 En cours Pierre Caumartin[39],[40]   Directeur d'une agence de transports

    Équipements et services

    Eau et assainissement

    L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [41],[42].

    Assainissement des eaux usées

    En 2020, la commune de Maison-Rouge gère le service d’assainissement collectif (collecte, transport et dépollution) en régie directe, c’est-à-dire avec ses propres personnels[43].

    L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[44]. La communauté de communes du Provinois assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[43],[45].

    Eau potable

    En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par le syndicat de l'Eau de l'Est seine-et-marnais (S2E77) qui en a délégué la gestion à l'entreprise Veolia, dont le contrat expire le [43],[46],[47].

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[48]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[49].

    En 2018, la commune comptait 870 habitants[Note 6], en diminution de 2,47 % par rapport à 2013 (Seine-et-Marne : +3,47 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    169199186168174196486487510
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    522550533523563553547573588
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    605605580573554547526525505
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    391423426468599693755868891
    2018 - - - - - - - -
    870--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[50].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Revenus de la population et fiscalité

    Le nombre de ménages fiscaux en 2016 était de 303 représentant 847 personnes et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 22 820 [31].

    Emploi

    En 2017 , le nombre total d’emplois dans la zone était de 96, occupant 425 actifs résidants. Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 69,1 % contre un taux de chômage de 8,8 %. Les 22,1 % d’inactifs se répartissent de la façon suivante : 10,8 % d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 6,4 % de retraités ou préretraités et 4,9 % pour les autres inactifs[51].

    Entreprises et commerces

    En 2018, le nombre d'établissements actifs était de 42 dont 3 dans l’industrie manufacturière, industries extractives et autres, 11 dans la construction, 13 dans le commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration, 1 dans l’Information et communication, 1 dans les activités financières et d'assurance, 2 dans les activités immobilières, 6 dans les activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien, 1 dans l’administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale et 4 étaient relatifs aux autres activités de services[52].

    En 2019, 7 entreprises ont été créées sur le territoire de la commune, dont 5 individuelles.

    Au 1er janvier 2020, la commune ne disposait pas d’hôtel et de terrain de camping[53].

    • Entreprise Forsee Power, assembleur et intégrateur de batteries.

    Agriculture

    Maison-Rouge est dans la petite région agricole dénommée la « Brie centrale », une partie de la Brie autour de Mormant[Carte 5]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 7] de l'agriculture sur la commune est la culture de céréales et d'oléoprotéagineux (COP)[54].

    Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000 ha par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010[55]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune où le nombre d’exploitations est passé de 15 en 1988 à 11 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de 115 ha en 1988 à 183 ha en 2010[54]. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Maison-Rouge, observées sur une période de 22 ans :

    Évolution de l’agriculture à Maison-Rouge entre 1988 et 2010.
    1988 2000 2010
    Dimension économique[54],[Note 8]
    Nombre d’exploitations (u) 15 12 11
    Travail (UTA) 26 19 19
    Surface agricole utilisée (ha) 1 729 1 988 2 008
    Cultures[56]
    Terres labourables (ha) 1 696 1 988 2 003
    Céréales (ha) 964 1 142 1 429
    dont blé tendre (ha) 798 974 s
    dont maïs-grain et maïs-semence (ha) 131 70 175
    Tournesol (ha) 157 s
    Colza et navette (ha) 143 199 s
    Élevage[54]
    Cheptel (UGBTA[Note 9]) 156 29 34

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    En 2016, la commune compte 1 monument inscrit à l'inventaire des monuments historiques[57] et 3 éléments répertoriés à l'inventaire des objets historiques[58].

    • L'église de Landoy,  Inscrit MH (1980)[59] et d'une architecture simple (plan rectangulaire et toit à deux pans), elle est pourtant longtemps restée à l'abandon. Petit bâtiment de caractère à contreforts, une association de sauvegarde a été créée pour tâcher de lui rendre dignité et utilité. Voir sur le site des Clochers de France et Liste des monuments historiques de Seine-et-Marne (est).
    • L'église de Maison-Rouge de style roman, située en bordure de la D 619 (rue du Pavé-du-Roy). Grand bâtiment de plan rectangulaire avec une abside ronde en prolongement de la travée centrale, son clocher protégé par un toit à deux pentes a été dressé un peu en arrière du côté droit de la façade à pignon. Elle contient des éléments classés M.H.
    • Lavoir à Courtevroust.

    Héraldique

    Les armes de la ville se blasonnent ainsi :

    coupé de gueules et de sinople à la maison d’or pignonnée en chef de trois montants, maçonnée de sable, ouverte et ajourée du champ, brochant sur la partition, surmontée de deux plumes d’argent posées en pal et rangées en chef et soutenue d’un fer à cheval versé du même.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    4. Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
    5. Voir la Loi relative à la solidarité et au renouvellement urbains (loi SRU).
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    7. L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    8. L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
    9. L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).
    • Cartes
    1. « Localisation de Maison-Rouge » sur Géoportail (consulté le 29 octobre 2019)..
    2. « Maison-Rouge - Occupation simplifiée 2017 », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
    3. IAU Île-de-France, « Évolution de l'occupation des sols de la commune vue par photo aérienne (1949-2018) », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
    4. « Géoportail de l’urbanisme », sur https://www.geoportail-urbanisme.gouv.fr/ (consulté le ).
    5. [PDF]« Carte des petites région agricoles en Seine-et-Marne », sur driaaf.ile-de-france.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Références

    1. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru du Dragon (F2326000) » (consulté le ).
    2. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru des Vieux Moulins (F2326500) » (consulté le ).
    3. Sandre, « Fiche cours d'eau - Fossé 01 de Champarlin (F2326600) » (consulté le ).
    4. 77272 Site SIGES – Seine-Normandie (Système d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie), consulté le 5 février 2019
    5. « SAGE dans le département de Seine-et-Marne », sur le site de la préfecture de Seine-et-Marne (consulté le ).
    6. « SAGE Yerres - Documents », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le ).
    7. site officiel du Syndicat mixte pour l'assainissement et la gestion des eaux du bassin versant de l’Yerres (SYAGE)
    8. « SAGE Bassée Voulzie - Documents », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le ).
    9. « Ile SDDEA et sa régie », sur www.sddea.fr, (consulté le ).
    10. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
    11. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le ).
    12. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    13. « Orthodromie entre Maison-Rouge et Melun-Villaroche », sur fr.distance.to (consulté le ).
    14. « Station météorologique de Melun - Villaroche - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    15. « Station météorologique de Melun - Villaroche - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
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